MalgrĂ© notre excitation sexuelle de retour, la semaine se passe en pensant d’abord au travail si bien que ce n’est qu’après une – petite – baise du samedi matin que je rappelle Ă Alexandra qu’il nous faut aller au sex-shop. Elle parait ennuyĂ©e Ă cette idĂ©e:« Oh chĂ©ri, vraiment ? Tu crois ? Es-tu bien sĂ»r de toi ? Ça me gĂŞne.— Alexandra, mon bĂ©bĂ©.— Vraiment, tu t’imagines si on nous voyait dans un sex-shop ?— Eh bien nous n’aurons qu’à aller Ă ZZ, ça ne fait que 80 Km et personne ne nous connaĂ®t, il y a un sex-shop derrière le théâtre.— … bon si tu y tiens tant que ça.— C’est pour ton plaisir, mon bĂ©bĂ© chĂ©ri. »Nous prenons la route vers ZZ, je suis en jeans et blouson de toile, Alexandra porte un petit haut gris lĂ©ger en coton, sans soutien-gorge, qui laisse transparaĂ®tre ses pointes de seins, sur une jupe noire fantaisie avec des volants en dentelle qui s’arrĂŞte Ă 2 doigts au-dessus du genou.J’ai prĂ©fère acheter ces ustensiles dans une boutique, plutĂ´t que sur Internet, car je tiens a y amener Alexandra. Je ne doute pas qu’elle sera gĂŞnĂ©e et je m’attends Ă sa rĂ©sistance, mais je prends ça pour un parcours Ă©rotique, presque un dĂ©pucelage mental que je veux faire vivre Ă notre couple.ArrivĂ© sur place, la boutique est bien ouverte, comme nous approchons par les petites rues de la vieille ville, Alexandra essaie encore une fois de me faire changer d’avis :« Tu sais, Patrick, nous n’avons pas besoin de trucs comme ça, je trouve que c’est un peu sale, vulgaire. On va croire que je suis du genre foldingue, prĂŞte Ă se donner au premier venu!— Et puis alors ? C’est bien ton droit non ?— ArrĂŞte, tu n’en crois rien toi-mĂŞme. C’est très gĂŞnant ! On peut toujours se promener en amoureux et puis rentrer Ă la maison, non?— Alexandra, je t’aime. Ça n’engage Ă rien, on ne nous connaĂ®t pas, on entre, on regarde et on ne prend que ce qui nous plait. De plus il y a aussi de la lingerie lĂ©gère.— Oui, c’est vrai, bon finissons-en ! »Nous entrons dans la très petite Ă©choppe, oĂą les magazines, vidĂ©os et livres XXX se cĂ´toient en dĂ©sordre sur les rayons entre lesquels une personne a tout juste la place de passer.Il n’y a qu’un vendeur, un homme maigre de la cinquantaine, qui ne semble pas nous prĂŞter attention après un vague ’bonjour’ quand nous sommes entrĂ©s.Alors que nous tournons en silence, examinant les produits d’un air consciencieux depuis quelques minutes, il finit par nous demander :« Puis-je vous aider ? »Alexandra s’immobilise, dans un silence crispĂ© et fixe avec intensitĂ© une vitrine exposant des strings, des porte-jarretelles et des culottes fendues d’un goĂ»t plutĂ´t discutable.Je me dĂ©cide Ă produire un son :« Nous sommes intĂ©ressĂ©s par des accessoires Ă©rotiques … mais je ne les vois pas dans vos rayons.— Quel genre d’accessoires?— …— Nous avons beaucoup de choses dans la pièce derrière. Suivez-moi si vous voulez. »Nous y allons, Alexandra est rouge de confusion, et nous trouvons dans une pièce encore plus petite garnie de vitrines oĂą sont en effet alignĂ©s godemichĂ©s de tous styles et tailles, allant de sexes en plastiques moulĂ©s très rĂ©alistes, Ă des vibromasseurs Ă l’aspect mĂ©dical. Le vendeur qui semble connaĂ®tre son affaire, nous laisse encore un peu de temps et retourne dans l’autre pièce. Comme nous regardons chacun de notre cĂ´tĂ© les divers ustensiles, je jette un coup d’œil de biais Ă Alexandra et la trouve en contemplation devant une boite sous verre qui contient un chapelet de 5 boules couleur ivoire reliĂ©es par un cordon de soie noire, leur diamètre est de 3 cm environ. Je reconnais des boules de geisha. Alexandra, est de profil et je crois discerner que ses seins sont Ă©rigĂ©s sous le coton de son corsage. Je m’approche et lui dis :« Ce sont des boules de geisha, on les introduit, bien graissĂ©es dans l’anus et on les retire, au moment de l’orgasme, l’effet est Ă©tonnant parait-il !— Je veux bien le croire », dit-elle d’un air rĂŞveur.« On peut aussi les porter toute la journĂ©e, comme certaines de nos clientes le font rĂ©gulièrement. » intervient le vendeur.Alexandra est cramoisie et se tourne vers la vitrine opposĂ©e pour se donner une contenance et peut-ĂŞtre cacher ses pointes de seins turgescentes.Dans cette vitrine on peut voir, circonstance aggravante pour le trouble de ma femme, des godemichĂ©s de taille imposante, tous au-dessus de 20 cm, entourant un engin de science-fiction qui doit faire plus de 30 cm et 7 ou 8 cm diamètre. Parmi eux, mon attention se fixe sur les doubles godes, aux formes et tailles diverses. M’interposant entre les deux, je viens vers Alexandra qui oscille entre le fard le plus total et l’excitation Ă©rotique et lui demande Ă voix basse:« Vois-tu quelque chose qui te plait ? »Elle me regarde avec l’oeil Ă©perdu de celle qui voudrait dire oui, mais ne sait comment.« Oui, euh, c’est-Ă -dire, il y bien ces strings Ă cotĂ©s … pour ici, je … je prĂ©fère te laisser choisir, enfin, si, euh … si tu vois quelque chose de bien. Euh …— Si vous voulez bien me montrer l’objet de vos dĂ©sirs, Madame. «Tous deux retournent vers la boutique principale ou je les entends choisir une pièce de lingerie, parler de taille de bonnets. De mon cĂ´tĂ©, aucun doute, elle aura ses boules de geisha car je sais que ça l’excite, et je prendrai un vibreur Ă pile dont la tige pas trop Ă©paisse est porteuse de cinq renflements successifs garants de sensations fortes. Après quelques instants le vendeur revient seul, Alexandra prĂ©fĂ©rant sans doute garder un maximum de ’dignité’ dans la première pièce. Je lui indique mes choix, il semble m’approuver mais ajoute : « Je me permettrais de vous conseiller ce très beau double dong couleur chair. C’est un accessoire dĂ©licat, vraiment très dĂ©licat, je vous assure », dit-il Ă voix suffisamment haute pour ĂŞtre entendu Ă cotĂ©. « C’est Ă porter tout le temps, et en position assise surtout, les femmes sensuelles en retirent de grandes satisfactions. » Il me montre un objet rose recourbĂ© en forme de U de 25 cm en tout, avec une extrĂ©mitĂ© vaginale Ă©paisse de 3 cm de diamètre et l’autre plus fine pour l’anus. Les deux cotĂ©s sont couronnĂ©s chacun par une partie plus renflĂ©e, ovale. J’acquiesce de la tĂŞte en le fixant dans les yeux et le voilĂ qui empaquette le tout. Je règle en liquide et nous voici dans la rue, chacun avec son petit paquet mystĂ©rieux, accompagnĂ©s d’un cordial : « A bientĂ´t messieurs dames ».Alexandra s’éloigne Ă grandes enjambĂ©e de l’endroit, elle me prĂ©cède et j’admire ses longues jambes, Ă la courbe accentuĂ©e par ses talons hauts, la jupe qui bat sur l’arrière de ses cuisses, et je ne peux m’empĂŞcher de l’imaginer portant les boules de geisha, sans culotte avec la ficelle sortant de son cul.Nous regagnons notre Renault Espace, et sans mot dire, prenons le chemin du retour. J’ai une trique d’enfer, Alexandra est rĂŞveuse Ă mes cotĂ©s. Je me tourne vers elle Ă un feu rouge, elle regarde par la vitre, et je vois sa poitrine respirer plutĂ´t vite et ses seins toujours dressĂ©s sous le coton gris.Nous filons maintenant sur la 4 voies et mon excitation ne diminue pas au contraire. Alexandra me parle enfin :« J’ai choisi le joli string rouge en dentelle et le soutien-gorge Ă balconnets qui va avec : tu sais il laisse les pointes des seins sortir. C’est drĂ´le hein, non ? Ça va te plaire ?— À ton avis ? », et je prends sa main pour la poser sur mon sexe tendu et douloureux sous le tissu du jean. Elle rie et me dit : « Que tu es chou! J’en Ă©tais sĂ»re, je te regardais dans le magasin ! Je t’ai vu loucher dessus.— Et moi tu crois que je ne t’ai pas vu loucher sur les boules de geisha ?— … Oh tu exagères, j’étais intriguĂ©e, c’est tout, je n’en ai jamais vu, enfin ça y est, rentrons. »Nous sommes Ă mi-chemin de cette route que je connais bien et j’aperçois Ă 3 Km la silhouette d’un motel B&B, je n’y tiens plus et je dis Ă Alexandra :« Tu vas me montrer ton achat, bĂ©bĂ©, je te paye un petit essayage.— Patrick, oh, mais quel fou tu fais ces jours-ci! « Avec un sourire moqueur.Cinq minutes après, je règle par carte bleue et nous montons vers une chambre, munis de notre code d’entrĂ©e. Ă€ cette heure prĂ©coce, les femmes de chambre sont en train de faire le mĂ©nage et regardent passer d’un air entendu, ce couple pressĂ©, qu’elles croient adultère. Alexandra passe, royale, le menton haut regardant ’ailleurs’, je leur fais un clin d’oeil.A peine entrĂ©s je l’embrasse fougueusement, mais Alexandra se rebiffe et reculant me gourmande : « Mon cher mari qu’est-ce que cette prĂ©cipitation? Je croyais que nous Ă©tions ici pour un essayage ? Un peu de tenue, je veux ! »Elle se dirige vers la salle de bain oĂą elle s’affaire quelques instants. Ă€ travers la porte elle me crie : « Enferme-toi une minute dans les WC, je t’appelle de suite ! « Je m’empresse de le faire. Je l’entends sortir et aller dans la chambre, puis elle me lance : « Venez monsieur le fripon, venez donc voir comment votre fidèle Ă©pouse vous accueille ! »Je sors des toilettes, encore vĂŞtu, pour voir Alexandra, allongĂ©e Ă plat ventre, avec le string et le soutien rouge pourpre. Surprise : un porte jarretelle avec des bas assortis complète le tableau hallucinant que m’offre ma si sĂ©rieuse Ă©pouse. Seule une lampe de chevet est allumĂ©e. Elle s’est mise en travers du lit la tĂŞte Ă l’opposĂ©, son dos est un peu cambrĂ©, ses cuisses ’innocemment Ă©cartĂ©es’ si bien que je distingue la ficelle du string passant entre ses grandes lèvres qui la bordent de chaque cĂ´tĂ© avec les derniers poils de sa toison châtain. La ficelle se perd ensuite entre ses fesses. « Quel spectacle!».Alexandra, pose ses mains sur ses fesses et les Ă©tire me laissant deviner, dans l’ombre, la somptueuse obscĂ©nitĂ© de son anus. Puis elle roule sur le dos, accoudĂ©e, dĂ©couvrant ses tĂ©tons dressĂ©s au-dessus des deux balconnets du soutien symbolique. Je peux voir son torse fin, son ventre plat finissant sous le string par une toison qui transparaĂ®t sous la dentelle rouge. Ses hanches arrondies continuent par deux longues cuisses musclĂ©es et ses jambes interminables, ses pieds chaussĂ©s encore de ses talons hauts. Le tout surmontĂ© d’un regard interrogateur et d’un sourire immense dĂ©couvrant toutes ses dents.On dirait une pute de luxe ! Voir ma chère et tendre, si sĂ©rieuse mère de famille, parente d’élève modèle, professionnelle rĂ©putĂ©e pour sa fiabilitĂ©, se comporter en call-girl avec tant de naturel et de rĂ©alisme confine au surrĂ©alisme. Je doute de moi, en fait quelque part je ne la reconnais mĂŞme plus, en mĂŞme temps que ma tension sexuelle est au maximum du maximum.« Tu as de quoi rendre fous tous les hommes lĂ Â !— C’est bien le but, non ?— Ah voila du nouveau, c’est ’TON’ but maintenant, veux-tu dire? Tu fais carrĂ©ment «page double de play-boy» !— Tu as l’art du compliment, Patrick! Je vais avoir des fans d’après toi ? Comme c’est a-mu-sant !— En tout cas, comme tu es la, tu peux me considĂ©rer comme ton amant plus que comme ton mari, splendide crĂ©ature !— Un amant, mais c’est inespĂ©rĂ©!», elle est enchantĂ©e du rĂ´le qu’elle joue.Je me dĂ©shabille Ă toute vitesse et suis tentĂ© de la baiser aussi sec, mais je pense soudain Ă mes petits accessoires, surprise …J’ouvre mon paquet et en sort la boite de boules de geisha. « Ha! » S’exclame ma femme en la voyant. Celle-ci contient le chapelet de boules et un petit tube de vaseline qui vient Ă point nommĂ©. Alexandra retient sa respiration au fur et a mesure qu’elle voir sortir les objets.« Viens mon bĂ©bĂ©, tu vas adorer. », lui dis-je, elle fait glisser ses hanches vers moi, toujours accoudĂ©e, en me regardant d’un air semi narquois, semi rĂ©signĂ©, comme si elle me mettait au dĂ©fi de l’étonner, de ne pas la dĂ©cevoir. Je sens bien sa confiance en moi, sa curiositĂ©, son envie certaine, mais aussi sa crainte d’être déçue, souillĂ©e, de voir l’image que j’ai d’elle diminuĂ©e, rabaissĂ©e. Je fais basculer sa hanche droite vers la gauche, si bien qu’elle m’expose ses fesses sĂ©parĂ©es par la ficelle du string, tout en restant appuyĂ©e sur les Ă©paules et me fixant. La suite se passe en silence, je dĂ©ploie le collier et en enduit les boules de quelques touches de vaseline, puis je glisse deux doigts bien gras entre les fesses d’Alexandra. Consentante, elle bascule sĂ»r le cĂ´tĂ© gauche, replie ses genoux vers le haut, dĂ©gageant Ă mon regard, toute une gĂ©ographie Ă©rotique : ses fesses, deux collines arrondies blanches et tendres, dĂ©finissent une sombre cuvette en entonnoir, au fond de laquelle, cerclĂ© de quelques poils châtains, se dĂ©couvre l’orifice rose de ma convoitise, un peu en avant l’abricot fermĂ© de ses grandes lèvres.L’instant est plein d’une excitation bizarre. Alexandra n’a jamais Ă©tĂ© sodomisĂ©e et c’est seulement depuis les dernières semaines que les caresses anales semblent lui apporter du plaisir.L’image de mes doigts, pressant la première boule brillante de vaseline sur l’anneau dĂ©licat de mon Ă©pouse, le fil du string tirĂ© sur le cotĂ©, son silence, sa docilitĂ© attentive, son excitation silencieuse, sont marquĂ©s pour toujours dans ma mĂ©moire comme des photos de vacances qu’on connaĂ®t par coeur. Devant la première boule, l’anus ne s’ouvre pas mais les chairs Ă©lastiques reculent. Je masse l’anneau de chair de mon doigt graissĂ© et introduit un peu de vaseline Ă l’intĂ©rieur. J’appuie de nouveau la boule et c’est très lentement qu’elle pĂ©nètre, Ă©cartant la muqueuse luisante du petit orifice. Cela fait penser Ă une petite bouche qui s’ouvrirait pour gober un Ĺ“uf. La boule est avalĂ©e et disparaĂ®t, Alexandra, rĂ©agit par une minime secousse du bassin, et sa respiration devient sonore, je vois le duvet de la peau de ses fesses et de l’arrière des ses cuisses se hĂ©risser, au-dessus des bas : c’est magnifique! L’anus s’est refermĂ© sur le petit cordon de soie noire, je presse ensuite la seconde boule et successivement introduit la totalitĂ© du collier. Alexandra et moi-mĂŞme sommes silencieux comme dans l’attente de quelque chose, elle est concentrĂ©e sur les sensations nouvelles qui la parcourent, tandis que je suis saisi par l’esthĂ©tique du moment et un peu Ă©berluĂ© par la transformation Ă©rotique de ma tendre et chère femme, ses dĂ©sirs nouveaux et son acceptation de mes envies.J’imprime une traction sur le cordon et voit les chairs d’Alexandra bomber en arrière, sous la traction de la dernière boule, je continue et voit apparaĂ®tre la boule Ă travers l’anneau entrouvert. Je relâche le cordon et l’anus se referme brusquement sur sa proie, Alexandra lance : « Hhouu, je les sens se cogner dedans ! Houfff. C’est fort ! « Cela m’incite Ă recommencer. Alexandra reste immobile, et se contente de respirer plus vite, je tire, je relâche, je tire, je relâche, au rythme de sa respiration, après une dizaine de fois elle souffle plus fort Ă©mettant un cri Ă la fin de chaque expiration, un peu comme: « hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie, … hoouf, aiiie … ».Je fais durer et plusieurs minutes se passent ainsi, sans autre bruit ni mouvement, juste mes doigts qui tirent le cordon puis relâchent. Je suis assis sur le lit, ma verge est douloureuse Ă force d’être raide, pourtant je ne ressens pas d’urgence. Alexandra, gĂ©mit alors rĂ©gulièrement quand soudain, je ne relâche pas le cordon mais d’un coup sec fait ressortir la dernière boule : elle crie Ă voix si haute, qu’on peut sans doute l’entendre hors de la chambre, ce dont je me moque : « AYAAaaa ! Ah !» Dans le mĂŞme mouvement je rĂ©introduis l’objet, elle frĂ©mit, et c’est tout, ne bouge plus, toujours offerte, repliĂ©e en avant, passive. Et je reprend mais toutes les cinq ou six fois je ressors la boule, et le cri d’Alexandra Ă©branle le silence de la chambre. Une minute ou deux se poursuivent ainsi et je retire puis rĂ©introduit deux ou trois boules toutes les cinq, six mouvements. Alexandra est en sueur, le bas de son dos est trempĂ©, elle gĂ©mit en permanence et crie très fort lorsque les boules sortent et entrent de nouveau dans son anneau assoupli et consentant. Puis brusquement elle se cambre, tend les cuisses emprisonnant les boules entre ses fesses, roule Ă plat ventre sur le drap : « Ah … je viens, ahh … c’est boon … c’est … ahhh ». Je la vois se tordre, avec ses jarretelles et ses bas, entre ses fesses serrĂ©es : la ficelle rouge du string et le cordon noir des boules de geisha, quel tableau ! Je ne peux plus tenir, dès qu’elle s’arrĂŞte, je la saisis aux hanches, la ramène brutalement vers moi et la pĂ©nètre en levrette.Sa chatte est inondĂ©e, je la fourre bien profond, et se sens le long du dos de ma bite le chapelet des boules qui s’entrechoque, Alexandra crie quand je la pĂ©nètre et Ă chaque fois que les boules gigotent sous mes coups de reins. L’excitation est si grande que tout va très vite et en un instant je dĂ©charge une quantitĂ© de foutre qui me parait Ă©norme, je tombe sur le dos de ma chĂ©rie, qui crie encore en donnant des coups de cul en arrière.J’embrasse un moment les cheveux et le cou d’Alexandra, puis je roule sur le flanc face Ă son visage et croise son regard un peu vague, elle mime un baiser avec les lèvres.«C’est le moment de la douche!» dit-elle en se levant vivement, mais elle oublie son ’chargement’ et s’arrĂŞte net Ă genoux : « Ouah, la sensaaaation, ça secoue lĂ -dedans! » Elle tend la main vers ses fesses et cherche le cordon des boules de geisha. Je saisi sa main : « Pas question bĂ©bĂ©, tu les gardes jusqu’à chez nous!— Tu rĂŞves ou quoi? Je ne peux pas, tu ne te rends pas compte. Ça vibre en continu, je les sens jusqu’à l’estomac!— Et alors, c’est bien le but, non ? … j’adore savoir qu’à chaque mouvement tu jouis.— Vraiment, toi alors quel loustic, tu m’auras fait faire n’importe quoi.»Elle se relève lentement et se dirige vers la salle de bain d’une dĂ©marche très prĂ©cautionneuse; «ho le choc, je sais pas si je pourrai, oh c’est fort, c’est n’importe quoi, je n’ai jamais vu ça.».Je la rejoins et nous nous savonnons mutuellement, avant de nous rincer jouant avec le jet sur nos parties intimes.Au moment de se rhabiller je lui demande de rester sans culotte ni soutien-gorge, mais de remettre ses jarretelles et ses bas sous sa jupe. Comme elle est «assez dĂ©stabilisĂ©e» par ce qu’elle sent bouger en elle, elle ne rechigne pas et nous reprenons la voiture.Chemin faisant je la surveille de temps en temps et je vois qu’elle a les yeux fermes, reposant sur l’appui tĂŞte. Je lui demande si ça va bien.« Tu ne peux pas imaginer! Je ne savais pas qu’un corps pouvait avoir autant de plaisir … Merci chĂ©ri.— Eh bien, mieux vaut tard que jamais!— Oui, tu peux le dire, ouah, si tu savais ce que ça fait Ă chaque fois que l’auto passe sur une bosse!— C’est bien mignon de te voir jouir, sais-tu?— Oh, tais-toi j’ai honte. Que vas-tu penser de moi après ça. C’est inimaginable.— Que du bien bĂ©bĂ©, que du bien. Tu me plais tant comme cela.».Nous arrivons dans notre rue, et la voiture garĂ©e il nous reste Ă parcourir un bout de trottoir avant de rentrer, c’est tout juste le dĂ©but de l’après midi. Je ne cesse d’être Ă©bloui par la beautĂ© d’Alexandra: son ’petit haut gris’ qui ne cache rien, sa jupe noire, et les bas qui lui allongent les jambes … qui ne passent pas inaperçues si j’en crois les regards des passants. Je prend un malin plaisir Ă percevoir la gĂŞne d’Alexandra qui avance d’une dĂ©marche hĂ©sitante, juchĂ©e sur ses talons hauts, cuisses et fesses serrĂ©es, et a du mal Ă croiser les regards. On est loin de la femme assurĂ©e, en tailleur strict qu’elle est d’habitude. Elle se hâte, je suis trois pas en arrière avec nos ’fameux paquets’. Elle doit saluer un couple du voisinage et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne s’attarde pas.Une fois entrĂ©s, je me colle a son dos et l’embrasse dans le cou : «que tu es belle, belle ma chĂ©rie, mon bĂ©bé». Je lui flatte les fesses et glisse ma main entre ses cuisses, je sens le cordon qui pend et surtout l’humiditĂ© du lieu, Alexandra est inondĂ©e, la chatte bien sĂ»r est trempĂ©e, mais ça coule des deux cotĂ©s sur l’intĂ©rieur des cuisses et jusqu’aux bas dont le haut a absorbĂ© l’abondante mouille qu’elle a produit depuis le motel. «Eh bien, bĂ©bĂ©, voila ce qui s’appelle une acquisition justifiĂ©e!» lui dis-je.«Oh chĂ©ri, je n’en peux plus, c’est fort, si fort, je ne sais mĂŞme plus si c’est bon ou si ça fait mal.— Vraiment?— Oh oui, non, c’est dĂ©licieux, mais c’est fort fort, ça me remonte jusque-la, tu vois?» me dit-elle en montrant le haut de son ventre sous son joli bolĂ©ro. «Quand ça bouge, c’est dingue, j’ai ’la secousse’ dedans, en bas, mais aussi ici, et des fois j’en perds les sens, c’est carrĂ©ment des Ă©clairs dans la tĂŞte. Je suis trempĂ©e comme ça ne se peut pas!»L’après-midi se passe au lit et Alexandra doit garder ’ses boules’ au nom de l’égalitĂ© entre les sexes, car lui dis-je:« Il n’y a pas de raison que j’en ai et que tu en soit privĂ©e.» Elle me regarde mi figue mi raisin. Je la connais assez bien pour savoir que si elle ’les garde’ c’est qu’elle doit aussi y trouver son compte. Nous faisons et refaisons l’amour, Alexandra manifeste bruyamment son bonheur a chaque fois. Je crois sans me vanter qu’elle jouit au mois six ou sept fois. En fin de compte elle me dit: « Je suis morte, ça suffit, je vais les enlever, ça commence Ă me faire mal, d’ailleurs il faut que j’aille aux toilettes.— Je dois voir ça, Alexandra!— Comme tu voudras.»Elle se rend nue Ă la salle de bain, et fait mine de tirer sur le cordon, trop mignon qui sort de son cul de dĂ©esse. Mais je l’en empĂŞche et la prie de s’accroupir et de l’expulser en poussant.«Tu exagères, j’ai l’impression que tu me traites comme si j’étais une jument!— Et moi, ton bel Ă©talon bĂ©bĂ© d’amour! Hmmm, chĂ©rie je t’en prie …»Elle se laisse convaincre et s’accroupit. Elle me dit soudain avec une voix de petite fille : «Mais je risque de faire pipi!Elle se rĂ©sout Ă pousser, et je vois en effet un filet de liquide jaune jaillir sur le tapis de bain, tandis que le cordon descend sur le sol, suivi par la première, la seconde boule. Elle s’arrĂŞte un temps, puis reprend expulsant les trois autres boules qui chutent lourdement. Le chapelet de boules est souillĂ©, couvert de vaseline et d’excrĂ©ments, l’odeur est prĂ©gnante, âcre. Alexandra est Ă©carlate, elle a honte! Je ne l’ai jamais observĂ© faire ses besoins et lĂ après une journĂ©e de sexe torride, la voici qui pisse et fait sortir un accessoire pornographique de son derrière, sous le regard de son cher mari! Il y a vraiment de quoi avoir l’esprit Ă l’envers! Elle se dĂ©pĂŞche de nettoyer, puis se douche et : «c’est fini, il faut que je dorme».Je m’occupe de rĂ©cupĂ©rer notre fille prĂ©parer son souper et la coucher. Alexandra dort d’un trait jusqu’au lendemain.A suivre …