Voici la suite du récit 3017, celui-ci correspondant au premier chapitre. Cette suite, déjà prévue et partiellement écrite n’avait pas encore été publiée. C’est dorénavant chose faite.1. Une soirée qui commence malFlorent et Cyril sont de vieux amis qui se sont connus à la fac. Ils ont continué à se voir régulièrement pour jouer ensemble au tennis. Ils se sont mariés à quelques mois d’intervalle mais leurs femmes ne se supportent pas. C’est fort malheureux, car cela ôte à Florent et Cyril de nombreuses occasions de se voir. Ils ont malgré tout décidé de faire un nouvel essai, reste à voir comment Agnès et Nathalie vont se comporter.Florent et Agnès sont en train de terminer les préparatifs, leurs hôtes ne vont pas tarder. Agnès ne peut s’empêcher de pester contre Nathalie.— Quand je pense que cette pétasse a osé dire que j’étais coincée.Florent essaye de la raisonner.— Ce n’est pas une pétasse.— C’est ça, prends sa défense. N’empêche que la dernière fois que je l’ai vue, elle m’a dit que j’étais coincée.Florent la regarde avec un sourire très doux et lui caresse les hanches de ses deux mains.— Mais moi, je sais bien que tu n’es pas coincée.— Alors c’est une menteuse… De toute façon, c’est elle qui est coincée, tu as vu comment elle s’habille?Florent est surpris de cette affirmation.Agnès se retourne vers la table et replace quelques objets. Elle est souriante.— Logique, on ne la voit pas, cette fille est insignifiante.— Allons, c’est quand même la femme de mon meilleur ami.Agnès se retourne vers Florent et le prend dans ses bras. Elle fait une moue et l’embrasse.— C’est vrai… Allez, je ne dis plus rien.Soudain, la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre. Florent réagit le premier.— Ça tombe bien, les voilà !Il quitte la pièce pour aller ouvrir. Agnès restant seule dans le salon pour terminer le placement des plateaux, assiettes et coupes disposés sur la table basse. Florent ouvre la porte avec un peu d’appréhension. Est-ce que cela se passera mieux cette fois-ci ?— Ah… Bonsoir. Vous allez bien?Nathalie est plutôt réservée. Elle doit être aussi emballée par cette soirée que l’est Agnès.Cyril quant à lui est plus détendu.— Oui, ça va, et toi? … Où est Agnès?— Elle vous attend dans le salon— Alors, on y va?Nathalie proteste.— Et ton manteau?— Ah oui, laisse-moi ton manteau.Cyril parle plus fort. Il essaye de détendre l’atmosphère.Ca n’a pas l’effet escompté sur Nathalie qui lève les yeux au ciel tout en soupirant.Cyril laisse donc son manteau à Florent qui le range dans le placard de l’entrée. Nathalie retire son manteau à son tour, elle porte un pull-over moulant, très fin et plutôt transparent, dessous on peut deviner sans difficulté un soutien-gorge sombre à balconnet qui met particulièrement en valeur sa poitrine. Elle a mis aussi mis une jupe noire s’arrêtant à mi-cuisses. En se retournant vers Nathalie, Florent ne peut s’empêcher de l’observer furtivement et d’éprouver une certaine émotion: des picotements dans le cou et dans le bas du ventre. Ce n’est pas que la poitrine de Nathalie soit particulièrement imposante, elle est plutôt d’une taille moyenne, tout comme celle d’Agnès, c’est sa mise en valeur qui retient l’attention de Florent. Une fois débarrassée de son manteau, Nathalie va vers le salon. Florent murmure tout en refermant la porte du placard.— Comment j’ai pu faire pour ne jamais remarquer comment elle s’habillait? Elle a dû changer, ce n’est pas possible autrement.Cyril entre dans le salon et embrasse Agnès. Suit Nathalie. Le regard d’Agnès décrit Nathalie de la tête à la taille, puis remonte aux yeux. Agnès est furieuse, mais elle se contient. Les deux filles se font la bise du bout des lèvres en échangeant juste un bonjour un peu sec. Agnès se reprend et esquisse un sourire un peu crispé.— Installez-vous, je reviens dans un instant.Et elle file voir Florent qui est allé en cuisine prendre les saucisses cocktail qui avaient été mises à réchauffer.Agnès est outrée.— Non mais, tu as vu comment elle vient me provoquer?Florent reste désinvolte.— Je dois dire que cette fois-ci, je peux te dire comment elle est habillée.Mais cela énerve encore plus Agnès, qui serre les dents.— Ça suffit, ça ne m’amuse pas. Quel affront !Florent essaye de calmer le jeu.Agnès prend sur elle.— Elle joue la provoc pour me faire passer pour une fille coincée, mais ça ne marchera pas.Agnès défait deux boutons de son chemisier. Celui-ci est fait dans un tissu épais et opaque et masquait complètement sa poitrine jusqu’à présent. De cette façon, on peut aisément voir sa poitrine quand elle se penche en avant, d’autant plus qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Florent, tournant la tête vers sa femme, est surpris.— Enfin… Qu’est-ce qui te prend?— Il y a que cette pétasse commence à me gonfler, ce soir elle n’aura pas le dernier mot.— Ce n’est pas une pétasse…— C’est ça, prends sa défense.Agnès part vers le salon. Florent prend le bol de saucisses cocktail en main et s’apprête aussi à quitter la cuisine. Il le sent mal et soupire.— Ça va mal finir…Pendant ce temps là au salon. Cyril essaye de raisonner Nathalie. Il est plutôt contrarié.— Qu’est-ce qui t’a pris de t’habiller comme ça?— Je veux juste que cette connasse arrête de se foutre de ma gueule.— C’est d’Agnès que tu parles comme ça?— Bien sûr, ça commence à bien faire ses sous-entendus.— D’abord ne la traites pas de connasse, c’est la femme de mon meilleur ami. Et de quels sous-entendus parles-tu?— Il paraîtrait que je suis coincée, indirectement ça te touche aussi.— Hein?— Ben oui, c’est certainement parce que tu ne sais pas me décoincer.— En voilà une bien bonne… Pourtant tout va très bien entre nous.— Bien sûr, mon chéri. Mais elle est persuadée du contraire… Je suis sûre que je l’ai choquée tout à l’heure… Tant mieux…Cyril regarde vers le couloir d’où devraient bientôt venir Florent et Agnès. Tout en se parlant à lui-même.Agnès fait irruption à ce moment là . Elle remarque l’expression angoissée de Cyril.— Ça ne va pas Cyril?Cyril est embarrassé.— Non… Rien… Je pensais à mon boulot.Florent entre à ce moment.— Toujours aussi crevant?— Quoi donc?— Ben, ton boulot.— Ah oui, euh… C’est pire qu’avant.— Raconte.Agnès intervient.— Excusez-moi de vous interrompre, mais qu’est-ce que vous buvez?Cyril répond le premier.— Tu as toujours du Porto?— Oui.— Alors, un Porto.Nathalie prend la parole.— Je prendrais bien un Martini blanc avec un glaçon.— Bon, et toi Flo?— Un Porto, aussi.Agnès s’absente.Cyril s’approche de Florent.— Dis donc, ta femme t’appelle Flo, c’est plutôt le diminutif de Florence.— Gros malin, Florent, c’est le masculin de Florence, donc c’est le même diminutif.— Je sais bien… N’empêche que c’est un diminutif de gonzesse.— Rigolo, va. Et le féminin de Cyril, c’est quoi?— Cyrille.Florent se rejette en arrière dans son fauteuil, satisfait, tout en faisant un large geste de la main.— Voilà … Il n’y a rien à ajouter.Agnès revient avec un plateau contenant les bouteilles et les verres. Elle commence par servir les deux Portos, faisant exprès de servir Nathalie en dernier. Ils reprennent leur conversation.— Alors ton boulot?— Crevant.— Mais encore?Pendant que Florent et Cyril sont partis dans leur conversation, Agnès se penche vers Nathalie pour lui servir son Martini. Les seins d’Agnès se baladent librement sous son chemisier entrouvert. Nathalie en a la pleine vue, d’autant plus qu’Agnès prend tout son temps pour lui servir le Martini. Elle tend le verre à Nathalie tout en relevant les yeux. Les deux regards se croisent. Nathalie, qui est assise sur la banquette est dominée d’au moins deux têtes mais parvient à soutenir le regard haineux d’Agnès deux secondes avant de détourner les yeux. Agnès est satisfaite, elle quitte la pièce.— Je reviens, j’ai oublié de me prendre à boire.Florent quitte à son tour la pièce pour chercher une carte routière. Cyril voulant lui montrer la zone géographique sur laquelle il travaille, car il est technico-commercial et sa direction a réduit les effectifs et augmenté la surface à couvrir.Cyril et Nathalie se retrouvent seuls. Nathalie se lâche.— Non mais, tu as vu ce qu’a fait cette salope?— D’abord, ce n’est pas une salope…Nathalie ne lui laisse pas le temps de terminer.— Qu’est-ce que t’en sais? Tu n’as pas vu qu’elle avait déboutonné son chemisier?— Non, je discutais avec Florent.— Elle est venue m’exhiber sa poitrine sous mes yeux. C’est de la provocation. Elle ne portait même pas de soutien-gorge.— Mollo. C’est toi qui as commencé.— C’était juste pour la choquer.— Bien sûr. Et elle répond à ta provocation par une autre provocation… On a déclenché des guerres pour moins que ça.Nathalie se parle à voix basse.— N’empêche que je ne me laisserai pas faire.Nathalie passe les mains sous son pull et elle en retire prestement son soutien-gorge. Cyril réagit.— Mais qu’est-ce que tu cherches à faire?— C’est une affaire entre elle et moi… Prends ça.Nathalie donne son soutien-gorge à Cyril.— Qu’est-ce que tu veux que j’en fasse?— Dis donc, tu m’as l’air bien déboussolé. Ce n’est pas la première fois que je te donne mon soutien-gorge. Tiens, la semaine dernière au ciné.— Oui, mais c’est moi qui te l’avais demandé.— Et alors? Tu crois que c’est mieux?— Bon…Cyril range le soutien-gorge dans sa poche.Florent et Agnès reviennent dans le salon.Cyril cache difficilement sa gêne, il jette subrepticement un regard à sa femme, puis à Florent, mais ce dernier s’intéresse surtout à la carte. Cyril reprend alors comme si de rien n’était la conversation interrompue. Nathalie et Agnès se font face. En arrière plan, Florent et Cyril ne font attention qu’à eux. Les deux femmes cherchent chacune à faire craquer l’autre. Nathalie s’est placée bien au fond du canapé, faisant ainsi ressortir un peu plus sa poitrine. Les aréoles sont bien visibles. Par de petits mouvements, elle laisse la laine vierge de son pull lui caresser les tétons, ce qui les fait rapidement durcir. Ceux-ci deviennent alors nettement visibles au milieu des taches brunes des aréoles. Nathalie esquisse un léger sourire narquois. En face d’elle, Agnès a tout vu de ce manège et se mord les lèvres pour rester calme.Agnès s’enfonce un peu dans le fauteuil où elle s’est assise. Cela a pour effet de faire remonter sa jupe. Lentement, elle écarte légèrement les cuisses pour donner à Nathalie une vue de son string en dentelle blanche. Agnès sourit, sure d’elle, satisfaite d’avoir osé le faire face à celle qu’elle déteste. Malgré tout, Nathalie ne se démonte pas, elle sourit aussi. Elle entrouvre également les cuisses laissant entrevoir son entrejambe. Nathalie n’a pas mis de culotte. Agnès peut aisément distinguer sa fente parfaitement épilée. Nathalie exulte et Agnès ne sourit plus. Cette dernière s’enfonce encore plus dans son siège, sa culotte est maintenant bien visible. Elle espère que Cyril pourra la voir, mais trop occupé par sa conversation avec Florent, il n’y fait pas attention. Nathalie répond à cela en remontant également sa jupe. C’est maintenant toute son intimité qui est bien visible, bien épilée, elle n’a laissé qu’une touffe de poils sur le mont de Vénus. Florent s’en rend compte. Son regard se fixe sur le sexe de la femme de son copain. Il est comme captivé par cette exhibition. Cyril, voyant que Florent ne l’écoute plus tourne la tête et voit lui aussi la chatte de sa femme offerte aux regards de tous. Il est surpris que cela aille si loin, mais est aussi très excité de la situation. Agnès est dégoûtée. Non seulement Nathalie va encore plus loin qu’elle mais en plus les deux hommes sont scotchés. Florent et Cyril se sont rapprochés pour discuter à voix basse.— J’aurais dû m’en douter.— Moi aussi… Elles sont complètement remontées.— Oui.Agnès se penche en avant et saisit une coupe de biscuits apéro pleine de miettes au fond. Nonchalamment, elle en propose aux convives, personne ne répond. Elle poursuit le mouvement circulaire qu’elle avait entamé pour en proposer. Quand elle arrive devant Nathalie, Agnès fait volontairement un faux mouvement, les biscuits tombent de la coupe et les miettes arrivent en plein sur le bas ventre de Nathalie. Agnès fait semblant de s’excuser.— Qu’est-ce que je suis maladroite.Nathalie n’est pas dupe et lance un regard de haine à Agnès. Cette dernière ne se démonte pas.— Attends, je vais nettoyer tout ça.Agnès commence par retirer les biscuits et les miettes tombées sur le canapé. Elle passe ensuite ses mains sur les cuisses de Nathalie pour en retirer les miettes. Ses gestes sont lents et ressemblent plus à des caresses. Elle va ensuite sur le pubis et passe sa main à travers la touffe de Nathalie. Passant ses doigts dans les poils à la façon d’un peigne, en remontant. Ses doigts arrivent ensuite autour de la fente toute lisse de Nathalie. Elle leur fait suivre le sillon du sexe de Nathalie de haut en bas puis de bas en haut. Nathalie vibre sous cette caresse, sa langue passe sur ses lèvres. Agnès n’est pas encore satisfaite.— Il reste encore des miettes.Agnès met deux doigts dans sa bouche et les suce lentement tout en les faisant entrer et sortir comme s’il s’agissait du sexe d’un homme. Florent et Cyril restent ébahis devant ce spectacle. Agnès revient alors sur la fente de Nathalie avec ses deux doigts humides et la parcourt. Nathalie n’en peut plus et écarte les cuisses. Agnès peut alors pénétrer plus avant l’intimité de Nathalie, passer sur les petites lèvres, faire le tour du clitoris, pour finir par la pénétrer de ses deux doigts.— Il reste toujours des miettes.Nathalie encourage Agnès.— Peut-être qu’avec la langue.— Pourquoi pas ?Florent et Cyril, bouche bée, se penchent en avant pour ne rien perdre de la scène. Agnès s’avance vers Nathalie et lui lèche le sexe à grands coups de langue. Elle repasse bien partout, suce le clitoris dressé et fait pénétrer sa langue dans le vagin. Nathalie se cambre et ondule de tout son corps. Elle se caresse les seins à travers son pull-over, ses tétons ont encore grossi, elle les prend entre ses doigts et les fait tourner toujours à travers le fin tissu de laine. Florent et Cyril n’en peuvent plus.— C’est excitant!— Tu l’as dit! Je bande à fond!— Ça serait dommage de les laisser seules.— Oui… On y va?Agnès s’est mise à genoux pour lécher Nathalie. Florent arrive derrière Agnès, soulève sa jupe et baisse son string. Il commence par lui pétrir les fesses tout en continuant d’observer ce qu’elle fait à Nathalie. De son coté, Cyril relève le pull de Nathalie, lui malaxe les seins et les lèches aussi. Florent, quant à lui, se baisse et se met à lécher le sexe et l’anus de sa femme. Agnès continue de lécher Nathalie tout en recommençant à lui introduire un ou deux doigts. Nathalie écarte au mieux son sexe pour qu’Agnès puisse aller le plus loin possible quand elle la pénètre de sa langue tout en lui branlant le clitoris. Cyril continue à lécher les seins de sa femme et lui caresse la cuisse d’une main, le bas ventre de l’autre. C’est à ce moment là que Cyril et Florent décident de se déshabiller pour pouvoir mieux participer.Leurs sexes en érection jaillissent de leurs caleçons comme des diables d’une boite. Florent s’apprête à pénétrer Agnès en levrette tandis que le sexe de Cyril se rapproche de la bouche de Nathalie. C’est là ce moment là que les deux filles se révoltent, Nathalie la première.— Vous ne pouvez pas nous laisser tranquilles?— C’est vrai, quoi, ne soyez pas si pressés.— Laissez-nous seules encore un peu.— Après vous pourrez participer.Florent est dépité.— Et qu’est-ce qu’on fait, nous?Agnès répond à son mari.— Vous n’avez qu’à nous regarder.Nathalie surenchérit.Cyril ne l’entend pas ainsi.Nathalie n’a pas l’intention que son mari ait le dernier mot.— Ah… C’est chiant de nous regarder nous gouiner?Les deux filles s’échangent un regard, sourient entre-elles. Elles viennent d’avoir la même idée. C’est Agnès qui l’exprime.— Alors, branlez-vous mutuellement.Florent et Cyril répondent en cœur.Nathalie répond.— C’est ça ou vous ne nous toucherez pas.Agnès complète.— Exactement. Et pas que ce soir. Les jours à venir aussi.Florent et Cyril soupirent et se regardent. L’idée de faire ceinture pendant un temps indéterminé les contrariant, ils se concertent rapidement.— Bon, pourquoi pas…— Après tout…Agnès vient se placer sur le canapé à côté de Nathalie. Pendant ce temps Cyril et Florent discutent de détails techniques.— Tu te branles de quelle main?— Tu sais bien que je suis droitier.— Moi aussi, mais j’aime bien me branler d’une main ou de l’autre.— J’ai compris, alors il vaut mieux que tu te mettes à droite et moi à gauche.Nathalie termine de déboutonner le chemisier d’Agnès. Quant à Agnès, elle a choisi de redescendre le pull de Nathalie pour lui caresser les seins à travers le tricot de laine. Nathalie se penche vers Agnès qui s’allonge sur le dos. Elle lui soulève sa jupe et découvre un sexe partiellement épilé tout comme le sien. Nathalie retire la jupe tout en discutant.— Je vois que nous avons un point commun.Nathalie se penche vers l’entrejambe d’Agnès et avec les doigts et la langue, elle se met à faire à Agnès toutes les bonnes choses que cette dernière lui a fait auparavant. Nathalie commence par caresser le pourtour du sexe avec la paume de sa main, puis avec les doigts, elle joue un instant avec les poils dressés sur le mont de Vénus, puis vient promener ses doigts sur la fente. Agnès sans plus attendre déplace sa jambe sur la table basse pour bien s’ouvrir aux caresses de Nathalie. Elle se fait alors lécher, sucer et pénétrer des doigts et de la langue, Nathalie s’applique à bien lui prodiguer autant de plaisir qu’elle en a reçu.Pendant ce temps-là , Florent et Cyril se sont assis côte à côte. Leurs sexes toujours aussi tendus. Chacun prend alors en main le sexe de l’autre et le masturbe. Au début, leur gêne est visible, mais le plaisir prend rapidement le dessus. Rapidement, chacun prend autant de plaisir à être masturbé qu’à prodiguer les mêmes caresses à son copain. Agnès se redresse et retire le pull-over de Nathalie tout en lui caressant les seins. Les bouts, bien durs, se dressent fièrement, plus gros que ceux d’Agnès. Nathalie retire sa jupe. Les deux filles se placent côte à côte, elles se masturbent mutuellement, se caressent et se sucent les seins, s’embrassent intensément. Florent et Cyril se masturbent de plus belle.— Tu sais que tu es un super branleur.— Et toi, tu branles comme un dieu.Ensuite, Agnès et Nathalie se mettent en 69. Elles recommencent à se lécher le sexe et à se frotter l’une à l’autre. Florent prévient Cyril.— Si tu continues, je lâche tout!Cyril cesse, Florent aussi.— Moi aussi, je n’étais pas loin.Florent s’adresse alors aux filles.— Dites, si vous continuez sans nous, on va se finir tout seuls.Agnès et Nathalie se relèvent.Les couples d’origine se reforment et se réinstallent sur les canapés comme à leur arrivée. Cyril commence à caresser Nathalie tandis que Florent s’occupe d’Agnès. Cependant, Agnès et Nathalie se ravisent.— Ça n’est pas amusant comme ça.— Oui, on pourrait permuter.— En effet.Florent et Cyril s’exclament.Nathalie répond la première.— Florent, ne me dis pas que je ne t’excite pas?— Oui… Mais…Agnès fait de même.— Et toi, Cyril, je ne te plais pas?— Si… Mais enfin…Agnès et Nathalie rétorquent en cœur.— Bon, ben alors, on échange!C’est alors Florent qui va s’occuper de Nathalie et Cyril va avec Agnès. Les deux couples improvisés faisant l’amour côte à côte, s’échangeant des caresses mutuelles à l’occasion. Après plusieurs positions essayées en même temps de part et d’autre, ils finissent par tous jouir, les deux hommes ne se gênant pas pour éjaculer dans le sexe de la femme de l’autre. Les deux femmes gisent effondrées sur le canapé, les cuisses grandes ouvertes. Le sperme, mais pas celui de leur mari, s’écoulant hors de leurs chattes.Agnès et Nathalie sont devenues de bonnes amies, en l’espace de quelques dizaines de minutes elles se sont trouvé de nombreux points communs. Le reste de la soirée sera plus sage, même si les deux femmes ne se donnent pas la peine de remettre leurs sous-vêtements. Ils sont tous épuisés par cette débauche de sexe inattendue, mais ô combien agréable et bienfaisante. La conversation tourne souvent autour du même sujet, le sexe. Personne n’ose le dire à voix haute, mais tous sont impatients de faire ensemble une autre soirée sexe.2. Partie de pénisLe samedi suivant, Cyril et Florent se retrouvent pour disputer un match de tennis comme ils le font assez souvent. C’est la première fois qu’ils se revoient depuis la chaude soirée de la semaine précédente. Ils n’ont pas encore eu l’occasion d’en discuter car il y avait pas mal de monde sur les courts. Leur match ayant duré assez longtemps, ils sont enfin tranquilles maintenant, la plupart des joueurs ayant quitté les terrains depuis quelque temps.Après avoir retiré leurs vêtements de tennis, ils prennent une serviette et vont aux douches pour se rafraîchir. Les douches sont collectives, ils se sont placés côte à côte pour pouvoir discuter. Cyril observe le sexe de son copain et entame la conversation.— Jamais je n’aurais pu imaginer que je te branle un jour.— Moi non plus. Quelle soirée…— Oui, on s’est bien amusés, et nos femmes ne se font plus la gueule.— C’est un bon point, on va pouvoir se voir plus souvent.— Et se refaire des petites soirées sympas.— Comme celle de la semaine dernière ?— Oui, par exemple.Florent commence à se masturber, absorbé par ses pensées.— Ça m’excite rien qu’à y repenser.Cyril voit grossir le sexe de son copain, il commence à se masturber à son tour.— Moi aussi. Ah, la branlette, il n’y a que ça de vrai.— C’est bien vrai. Surtout en ce moment, d’ailleurs. Agnès à ses règles. Alors je fais ceinture.— Nathalie les a aussi en ce moment, mais elle me suce quand même un peu.— Moi aussi, mais c’est moins souvent. Je suis un peu en manque en ce moment.— Pareil pour moi.Ils continuent à se branler tous les deux, en s’observant mutuellement du coin de l’œil. Se rendant compte qu’ils se matent, la même idée leur traverse l’esprit.— Je suis vraiment très excité.— Moi aussi. Tu penses à la même chose que moi ?— C’est bien possible… Il n’y a plus personne dans les vestiaires… Nous sommes tranquilles.— Oui. Profitons-en.Ils se rapprochent et se mettent à se masturber mutuellement tout comme ils l’ont fait la semaine précédente. Leurs sexes sont raides et bien gonflés, visiblement l’excitation qu’ils ressentent est très importante. Placés face à face, ils ne tardent pas à jouir, s’éjaculant l’un sur l’autre sans retenue dans un grand râle de plaisir.Chacun a cessé de masturber l’autre. Florent passe machinalement la main sur son ventre, celui-ci est couvert du sperme de son ami, ce qui fait qu’il s’en met plein sur les doigts. Il descend ensuite sa main vers son sexe et se caresse, étalant dessus tout le jus de son copain qu’il avait sur la main.— Ah putain, qu’est-ce que c’est bon.Cyril, à son tour, se met à se caresser le sexe avec le sperme de son copain, qu’il a lui aussi recueilli dans le creux de sa main.— Oui, on doit être un peu pédés quand même.— Tans pis. Du moment que ça fait du bien, c’est l’essentiel.— Entre vieux copains après tout.— Oui, c’est surprenant qu’on n’ait pas essayé plus tôt !— C’est nos femmes qui ont eu l’idée.— Exact. En fait, elles pensaient certainement qu’on ne l’aurait pas fait.— Ça a du les surprendre.— Elles pensaient nous avoir, mais on les a bien eues, puisqu’on aime ça.— Oui.Pour terminer, ils ouvrent à nouveau l’eau des douches et se relavent pour évacuer tout le sperme qui s’est collé sur leurs corps.Une fois sortis des douches, ils se rhabillent et quittent le club de tennis ensemble puisqu’ils sont venus avec une seule voiture. Florent prend donc la direction de la maison de Cyril pour le déposer chez lui. Quand ils y arrivent, ils constatent que la voiture d’Agnès est garée devant la maison. Florent s’interroge.— Tiens, ma femme est chez toi. Elle est venue voir Nathalie ?— Je ne sais pas, le plus simple est de lui demander. Tu viens ?Ils entrent donc dans la maison et y découvrent Agnès et Nathalie en train de discuter dans le salon. Florent s’adresse tout de suite à sa femme.— Bonjour, ma chérie. Je ne m’attendais pas à ce que tu sois là .— Surprise ! Et encore… Tu n’es pas au bout de tes surprises.Et Nathalie ajoute, en s’adressant à son mari.— Toi aussi, Florent.Les deux hommes répondent en cœur.Agnès leur répond, tout en montrant l’appareil photo numérique posé sur la table.Joignant le geste à la parole, elle appuie sur le bouton de lecture. Quelques instants après, une image s’affiche sur l’écran du téléviseur du salon, et quelle image ! Il s’agit de Florent et Cyril en train de se masturber mutuellement dans les douches du club de tennis. Agnès appuie à nouveau sur le bouton de lecture et c’est la photo suivante qui s’affiche, toujours les deux hommes en pleine branlette réciproque. Continuant à appuyer régulièrement, c’est un véritable diaporama homosexuel qui est présenté aux deux hommes médusés, qui ne savent quoi dire.Arrivée à la dernière image, celle où après s’être éjaculé dessus, les deux hommes se caressent dans leur sperme, Agnès se retourne vers eux, le regard inquiétant, Nathalie faisant de même.— Qu’est-ce que ça veut dire ?— Vous nous avez trompées, là  ?Cyril et Florent sont dans leurs petits souliers. Ils ne savent pas quoi dire et ne parviennent qu’à balbutier des explications incompréhensibles. Ils sont rouges et ont l’air de deux adolescents que l’on aurait surpris en train de regarder des magazines pour adultes.— On est désolés.— Oui désolés, on le refera plus.Agnès et Nathalie se tournent l’une vers l’autre, échangent quelques regards et se mettent à rire ensemble. Parties dans un fou rire, elles n’arrivent à retrouver leur sérieux qu’au bout d’une bonne minute. Pendant ce temps, Florent et Cyril attendent, ne sachant que faire ni que penser. Nathalie a réussi à cesser de rire la première reprend la parole.— Bon… On leur pardonne ?Agnès lui répond entre deux rires.— Oui. C’est bon.— Ça nous a bien plu votre show. Mais il ne faut plus faire cela sans nous, sinon ce serait nous tromper.Florent et Cyril répondent en cœur, soulagés.Nathalie reprend.— Bon, maintenant, on voudrait bien vous voir à l’œuvre.Cyril n’a pas l’air d’avoir bien compris.— Pardon ?— Ben oui. Puisque nous ne sommes pas en mesure de vous satisfaire et que vous avez l’air de bien vous entendre entre vous. Vous n’avez qu’à continuer.— Maintenant ?— Oui, tout de suite.Agnès débranche l’appareil photo et se lève.— Vous n’avez qu’à vous mettre sur le canapé.Son mari s’inquiète.— Pourquoi tu reprends l’appareil photo avec toi ?— Devine…— Ah non, je ne suis pas d’accord.— Je t’ai déjà pris en photo, ça n’en fera que quelques unes en plus.Nathalie s’est levée à son tour.— Toi aussi, mon chéri.— Quoi donc?— Viens t’asseoir près de ton copain.Les deux hommes se sont rapprochés du canapé mais sont restés debout. Florent prend la parole.— Et maintenant qu’est-ce qu’on fait ?Sa femme lui répond.— On va vous le dire au fur et à mesure. Vous allez prendre des poses et Agnès fera des photos en même temps. Pour commencer, déshabillez-vous.Florent et Cyril commencent donc à se déshabiller côte à côte. Ils se retrouvent bientôt en slip, Agnès intervient alors qu’ils sont sur le point de les retirer.— Attendez ! Pas si vite. Caressez-vous à travers le slip. Je veux voir les bosses se former sous le tissu.Suivant la demande d’Agnès, ils se caressent, mais ce n’est pas exactement ce qu’elle veut.— Non, ce n’est pas ça. Il faut que vous vous caressiez mutuellement.Florent et Cyril s’exécutent, chacun portant sa main sur le slip de l’autre et le caressant. Apparemment, cela leur fait de l’effet car ils ne tardent pas à avoir chacun une bosse dans le slip. Agnès n’a pas arrêté de prendre des photos, C’est Nathalie qui indique l’étape suivante.— Maintenant, chacun retire le slip de l’autreUne fois cela fait, elle reprend la parole.— Et maintenant, branlez-vous mutuellement.Les deux hommes s’attendaient un peu à une telle demande. Ils se remettent dont à faire ce qu’ils avaient déjà fait une demi-heure auparavant. Le plaisir et le désir sont toujours là , c’est donc avec la même excitation qu’ils recommencent leurs caresses.Les deux femmes se regardent. Nathalie commente l’action la première.— C’est qu’ils aiment ça, ces petits pédés.— Oui, on dirait qu’ils ont fait ça toute leur vie.— Je pense qu’ils peuvent faire mieux.— Certainement.Cyril se tourne vers sa femme.— Qu’est-ce que tu veux dire par là , ma chérie ?— Que tu pourrais le faire avec la bouche plutôt qu’avec la main, mon chéri.Florent s’inquiète à son tour.— C’est ce que tu voulais dire aussi ?— Bien sûr.Il s’adresse alors à son ami, inquiet.— Qu’est-ce que tu en penses ?— Je ne sais pas… On essaye ?— Pourquoi pas, après tout…— Tu commences ?— Pourquoi moi ?— Parce que j’y ai pensé avant toi.— Bon… Ok…Florent se met alors à genoux et prend le sexe raide de son ami dans sa bouche. Il commence à le sucer, lui léchant la verge et le gland. Cyril est ravi de ce traitement, il ne peut s’empêcher de gémir pour exprimer tout le plaisir qu’il ressent.— C’est bon… Ahhh…Enhardi par cet encouragement, Florent s’applique encore plus, aspirant la bite de son copain à fond dans sa bouche. Cyril redouble de gémissements.— Ah, c’est bon. Tu suces comme un dieu.Nathalie s’inquiète.— Dis donc, tu n’es pas dans cet état quand c’est moi qui te suce ? Tu ne serais pas un peu pédé par hasard ?— Je ne sais pas, mais qu’est-ce que c’est bon !Ce disant, il se penche vers son copain, qui est en train de le sucer, pour lui parler.— Ce serait encore meilleur si tu voulais bien me lécher aussi les couilles, tu sais.Florent retire la bite de Cyril de sa bouche pour lui répondre.— Désolé, mais elles sont pleines de poils et je n’aime pas ça. Ce n’est pas pour rien que j’ai demandé à Agnès de se faire épiler le sexe.— Je sais, j’ai demandé la même chose à Nathalie. Bon, ben tant pis, ce n’est pas grave.Agnès intervient.— Mais si, c’est grave. Il faut y remédier.Florent ne comprend pas.— Comment ça ?— Il n’y a qu’à raser les poils de Cyril s’ils te gênent.— Non, ce n’est pas grave.Cyril confirme.— C’est vrai, je peux m’en passer.Mais Agnès revient à la charge.— Il n’y a pas de raison pour que tu m’obliges à me raser le sexe parce que tu préfères, et pas Cyril.Nathalie intervient.— C’est vrai, après tout, moi je suis bien obligée de les supporter, les poils de Cyril. Après tout, moi aussi, je préfèrerais sans poils.Agnès enfonce le clou.Je suis d’accord avec Nathalie, il n’y a pas de raison, après tout.Les deux hommes se sentent au pied du mur. Cyril tente de trouver une raison pour éviter le rasage.— Mais, vous n’êtes pas sérieuses toutes les deux ? Ce n’est pas possible.Nathalie lui répond.— Et pourquoi ?— Ben… Ben déjà au sport. On aurait l’air ridicules dans les vestiaires si on était rasés.— Parce que vous vous regardez mutuellement dans les vestiaires quand vous êtes à poil ?— Un peu…Nathalie s’adresse à Agnès.— En fait, ils avaient déjà un côté pédé, puisqu’ils matent les autres hommes à poil.Cyril se défend.— Ah non, c’est juste pour comparer.— C’est puéril, je suis sure que c’est aussi parce que ça vous excite.— Mais non.— En tout cas, des hommes qui se rasent, il y en a de plus en plus. J’ai lu ça dans un magazine la semaine dernière.— Ouais, mais c’est un truc de pédé, ça.— Et là , vous faites quoi ? Et aux vestiaires ? Si on vous avait surpris, vous seriez vraiment passés pour des pédés.— Mais on était les derniers.Agnès intervient.— Et moi, j’étais bien là . Ça aurait pu être n’importe qui d’autre. Allez, soyez sympa. Je suis sure que vous allez aimer.Nathalie renchérit.— C’est vrai, il faut essayer de nouveaux trucs de temps en temps. Nous, on s’est gouinées par exemple, et vous vous êtes branlés mutuellement.Florent abandonne toute résistance.— C’est bon, on va le faire. Si ça peut vous faire plaisir.Cyril intervient.— Ok pour moi aussi. Bon, on va faire ça dans la salle de bains, c’est plus pratique.— D’accord.Les deux hommes prennent la direction de la salle de bains, au premier étage, suivis par les deux femmes. Cyril se retourne.— Vous n’allez quand même pas venir avec nous ?Nathalie lui répond.— Mais si. L’occasion est trop belle.Arrivés dans la salle de bains, Cyril qui est chez lui, prend naturellement deux rasoirs jetables neufs dans le tiroir du meuble de la salle de bains ainsi que la bombe de mousse à raser.— Bon, on fait ça où ? Dans la douche ?— Pourquoi pas… Vas-y, commence.Cyril est contraint de commencer, il n’a pas trop le choix, il doit s’exécuter. Il commence alors à faire couler de la mousse sur sa main, qu’il passe ensuite sur la base du pénis et sur les couilles. Nathalie a suivi la manœuvre et en veut plus.— Tu as oublié de mettre de la mousse sur ton pubis, mon chéri ?— Pour quoi faire ?— Pour le raser, pardi.— Il n’y a pas de raison, toi tu as des poils sur le pubis.— En ce moment, oui. Mais il est souvent intégralement rasé.Agnès réagit.— Toi aussi ? Décidément, ils sont tous les mêmes. Toi aussi, mon chéri, tu raseras tout. Il n’y a pas de raison.Cyril termine donc d’étendre la mousse à raser, puis se saisit du rasoir et commence à supprimer ce qui faisait sa virilité jusqu’à présent. Au bout de quelques minutes, il est passé partout avec la lame. Un dernier coup de douchette achève d’évacuer les derniers poils et lui donne tout d’un coup un aspect bien plus juvénile.Nathalie est ravie.— Tu es magnifique mon chéri.Agnès confirme.— Il est assez excitant comme ça. Et moi, mon amour, tu en penses quoi ?— C’est vrai que c’est pas mal. Ça met la bite en valeur.— Alors, à ton tour, mon chéri.Tandis que Cyril sort de la douche pour s’essuyer et s’appliquer de la crème adoucissante sur le sexe et son pourtour, Florent y entre et prend le second rasoir, bien décidé faire comme son ami. Après avoir étendu de la mousse sur son sexe et les environs, il supprime tous ses poils à grands coups de rasoir sans aucun état d’âme. Une fois terminé, il se rince avec la douchette, dévoilant enfin son sexe imberbe aux yeux de sa femme et de ses amis. Tous les trois apprécient et le congratulent, sa femme la première.— Superbe. Il n’y a pas à dire. Tu m’excites comme ça.Nathalie acquiesce.— Il est craquant. C’est qu’on aurait envie de le sucer tout de suite. Mais ce n’est pas à moi de le faire, c’est ce pas chéri ?— C’est Florent qui me suçait tout à l’heure, pas moi. On n’a qu’à continuer comme ça. Il le faisait très bien et j’aimerais bien qu’il me lèche les couilles maintenant.Tout en disant cela, il se passe la main sur le sexe et les environs, toute cette zone où sa peau est maintenant à nu. La sensation nouvelle qu’il découvre ne le laisse pas indifférent.— C’est vrai que c’est agréable d’être rasé.Et alors qu’il continue à se caresser Florent essaye à son tour, appréciant lui aussi cette caresse sensuelle.— Oui, c’est tout doux. Je sens que je vais aimer.— Alors viens donc voir si la peau de mes couilles est bien douce.Florent s’approche alors de son ami et se remet à genoux devant lui. Après lui avoir caressé le sexe et les couilles avec les mains pour en éprouver la douceur, il reprend la bite de son copain en bouche. Alors qu’elle s’était ramollie, elle revient en érection en quelques instants, Cyril se remettant à gémir presque immédiatement. Son plaisir décuple lorsque Florent se met à lui lécher les testicules comme promis, les suçant et les avalant sans retenue. Pour plus de confort, Cyril s’assied sur le bord du meuble de toilette, les jambes écartées. Florent repart lui lécher la bite, et l’aspire à fond tout en lui malaxant les couilles. Il retourne ensuite lécher celles-ci tout en lui masturbant la bite d’une main. C’en est trop pour Cyril qui n’en peut plus et lâche tout dans un grand râle de jouissance. La giclée de sperme arrive dans les cheveux et sur le front de Florent, sa main achevant de recevoir le reste. Rien d’étonnant, étant donné le grand état d’excitation de Cyril, qu’il ait giclé aussi fort, et c’est bien ce qu’a remarqué sa femme.— Eh bien dis donc, ce n’est pas moi qui te fais autant d’effet.— Ça doit être parce que c’est nouveau.— Ou alors tu vas devenir pédé, mon chéri.— N’importe quoi !Pendant ce temps, Agnès s’est approchée de son mari qui a l’air bien embêté avec tout ce sperme sur lui.— Tu as un problème, mon chéri ?— Non, je vais juste aller prendre une douche.— Mais non, ce n’est pas la peine, je vais m’en charger.Joignant le geste à la parole, elle vient lécher le front et la main de son mari.Florent s’attend à ce qu’elle avale le tout, mais au lieu de cela elle vient l’embrasser à pleine bouche, partageant avec son mari le sperme de son ami. Florent peut enfin s’exprimer lorsqu’elle relâche son étreinte.— Mais enfin, qu’est ce qui t’as pris ? C’est dégueulasse.— Pas plus que quand c’est moi qui avale. En plus tu as déjà goûté à ton propre sperme de cette façon.— Oui, mais là ce n’était pas le mien, ce n’est pas pareil.— Ce n’est qu’une question d’habitude. Tiens, il y en a encore.Il reste du sperme au bout de la bite de Cyril et c’est cela qu’Agnès montre.— Viens essayer.— Non.Cyril n’a pas l’air décidé à soutenir son copain, il voit plutôt son plaisir personnel.— Mais si, viens donc me sucer encore un peu.Nathalie s’y met à son tour.— Allez Florent, laisse-toi aller.Tous les trois reprennent en cœur.— Vas-y Florent ! Vas-y Florent ! Vas-y !A contrecoeur, mais poussé par les trois autres, Florent s’avance vers la bite couverte de sperme de son copain et commence à la sucer du bout de la langue. Après quelques lichettes le long de la verge, il se décide enfin à la prendre entièrement en bouche pour en finir plus rapidement et recueillir tout ce qui restait de sperme. Il se relève alors et embrasse sa femme à nouveau. Leurs langues pleines de sperme se mêlent dans un long baiser ardent et dégoulinant.Quand il a fini de tout avaler, Florent se tourne vers son ami.— Bon, chacun son tour. C’est à toi de me sucer.— Ok, c’est normal.Florent prend la place de Cyril sur le meuble de salle de bain tandis que ce dernier se place à genoux, pour prodiguer à son tour du plaisir à son ami. L’heure de la revanche a sonné pour Florent.— C’est à toi de goûter à mon sperme maintenant.— Je ne pense pas, Nathalie n’aime pas cela, alors il n’y a pas de raison qu’elle me fasse partager.Florent est déçu.— C’est vrai ça, Nathalie ?— Oui. Je suce, mais je n’avale pas. J’évite même d’en avoir dans la bouche.— Et ça ne te manque pas Cyril ?— Si un peu.— Tu as aimé quand j’ai avalé ton sperme au moins ? Je ne l’ai pas fait pour rien, j’espère ?— Non. Non. C’était bien. J’ai beaucoup aimé.— Et tu ne voudrais pas que ta femme en fasse autant ?— Je n’y crois pas trop.— Et si tu lui montrais que tu le fais. Elle accepterait peut être ?— Ça m’étonnerait.Florent demande à Nathalie.— Tu ne ferais pas un petit effort ?— Je ne sais pas.Agnès encourage Nathalie.— Allez essaye. Tu verras, c’est bon. En plus comme ça, ton mari sera bien obligé de sucer le mien. Et ça, ça me plairait bien. Il n’y a pas de raison pour que mon mari soit plus pédé que le tien.— Bon d’accord, je vais le faire. Mais c’est Cyril qui reçoit tout dans la bouche et après on partagera.Florent se penche vers son ami.— C’est d’accord pour toi ?— Ben…— Allez, tu sauras l’effet que ça fait comme ça.— Bon d’accord. C’est bien pour te faire plaisir.Cyril prend donc le sexe de son ami dans sa main et constate immédiatement la différence de sensation due au rasage.— C’est mieux qu’avec les poils. Je sens mieux le contact de ta peau.Florent lui répond.— N’est-ce pas ? Mais essaye avec la langue et la bouche. Tu verras, c’est bien aussi.Sans plus attendre, Cyril s’exécute et sa langue vient remplacer ses doigts là où il est déjà passé, caressant le pubis, les couilles et le phallus du bout de la langue. Remontant ensuite le long de la bite, il la prend enfin dans sa bouche et se met à la sucer avec application. Le plaisir prodigué à Florent est bien visible, ce dernier se contracte sous l’effet bienfaisant de ces caresses. Se laissant aller de plus en plus à son plaisir au fur et à mesure que son copain le suce, il finit par lui saisir la tête à deux mains pour mieux accompagner les mouvements effectués par Cyril. Le traitement que ce dernier prodigue à son ami n’est pas sans effet et au bout de quelques minutes, Florent est au bord de la jouissance. Cyril a justement la bite de son copain en plein dans la bouche lorsque celui-ci jouit. Il est surpris, mais son ami lui tient toujours la tête de telle façon qu’il ne peut pas se dégager lorsque le sperme lui gicle jusqu’au fond de la gorge. Dans un dernier râle de jouissance, Florent s’affale sur le meuble et relâche la tête de son copain.Cyril se dégage, la bouche pleine de sperme.— Enfoiré, qu’est-ce qui t’a pris ?— Euh… Rien… J’étais ailleurs. C’était trop bon. En plus, je fais aussi ça avec Agnès de temps en temps.— Bon, maintenant, je n’ai plus qu’à recracher tout ça.— Non, pas si vite. Tu oublies Nathalie.— Ah oui, c’est vrai.Cyril vient vers sa femme et l’embrasse, la bouche pleine de sperme. Leurs langues se mélangent et le jus gluant aussi. Alors qu’ils sont en train de s’échanger la semence de leur ami, ils se surprennent à l’avaler par la même occasion. Quand ils ont fini de s’embrasser, ils n’en ont pratiquement plus dans la bouche. Seuls restent quelques filets de sperme à la commissure de leurs lèvres, mais rien de plus.Epuisés, les deux hommes se rhabillent. Puis tous redescendent au salon pour prendre l’apéritif le plus naturellement du monde. Alors qu’il est en train de boire son verre, Cyril constate le bienfait du breuvage alcoolisé.— Ah, ça fait du bien. J’avais comme un goût dans la bouche.Tous rigolent de cette remarque car tous les quatre ont comme un petit goût dans la bouche. Un goût de jouissance. Mais les bonnes choses ne durent qu’un temps, il est l’heure de se séparer. Florent et Agnès prennent congé de leurs hôtes car ils ont des courses à faire.3. Sortie en villeQuelques semaines ont passé, lorsqu’un vendredi soir, quand Florent rentre chez lui, sa femme bien qu’arrivée avant lui ne s’est pas encore changée.— Bonsoir ma chérie, tu viens juste d’arriver ?— Non, mais il faudrait que l’on aille faire les magasins ce soir.— Pour quoi faire ?— Pour chercher un cadeau pour Nathalie. On est invités demain soir.— Ah oui, c’est vrai. J’avais oublié. Si tu permets, je vais me mettre à l’aise avant de ressortir.— Oui, j’en ai fait autant.— Ah bon ? Pourtant tu es habillée comme ce matin.— Je me suis mise à l’aise dessous. C’est le week-end.D’un rapide coup d’œil, Florent comprend l’allusion.— Tu as retiré ton soutien-gorge ?— Oui, ça fait du bien.Mu par une pulsion masculine, Florent s’approche de sa femme et commence à lui caresser les seins à travers le tissu de son chemisier, les pétrissant et en en faisant durcir les bouts. L’excitation commence à se voir car une bosse se forme dans son pantalon. Une de ses mains descend, passe dessous la jupe et remonte à la recherche de la culotte d’Agnès. Mais là , surprise.— Tu n’as rien mis en bas non plus, petite cochonne ?— Comme tu y vas… Mais si, j’ai mis quelque chose.— Pourtant, tout ce que je sens sous mes doigts, c’est la peau toute lisse de ton sexe.— J’ai quand même mis un porte-jarretelles et des bas.— Tu es une petite salope, d’ailleurs ton sexe est tout mouillé. Tu es déjà excitée ?— C’est toi qui m’excites. En plus, je n’ai pas arrêté de me caresser en t’attendant. Je regardais les photos où tu fais le pédé avec Cyril.— Ah… Ces photos là …— Ça te gêne ?— Un peu, je préfèrerais qu’elles n’aient pas été prises.— Ne t’inquiète pas. Il n’y a que Nathalie et moi qui les ayons. Souvent quand nous sommes ensemble, nous les regardons.— Et vous vous touchez ?— Un peu, mais ça tu le sais et tu es d’accord. Je ne te tromperais pas avec un autre homme.— Vous allez plus loin aussi ?— Cette semaine, quand je me suis fait épiler le reste de poils que j’avais sur le sexe, je suis allée chez l’esthéticienne avec elle. De retour à la maison, nous nous sommes léché mutuellement le sexe tellement nous étions excitées.— Tu sais que je pourrais être jaloux.— Mais tu peux faire ce que tu veux avec Cyril.— Ah mais, on n’a rien fait ensemble.— C’est que vous n’avez pas voulu ou c’est que vous n’avez pas eu le temps ?— En fait, on n’a jamais pu avoir de moment de repos. Il y avait trop de monde au tennis et le boulot nous a bien occupés tous les deux.— Tu vois. Il n’y a pas de raison d’être jaloux mon chéri. Bon, on y va ?— Déjà  ?— Pourquoi ? Tu voulais tirer ton coup avant de partir ?— Pourquoi pas ?— Attendons… Laissons monter le désir. On fera ça au retour. Et si on ne peut pas se retenir, on le fera en cours de route…Quelques instants plus tard, ils sont sur le parking, prêts à monter en voiture. Agnès s’assied tout en laissant remonter sa jupe le long de ses hanches. Le haut des bas est parfaitement visible, ainsi qu’une partie de son porte-jarretelles. De plus, quand Florent se penche en avant, il peut entrevoir la fente du sexe imberbe de sa femme. Son érection reprend de plus belle, mais il doit démarrer la voiture pour aller acheter un cadeau. Plus vite ils seront partis et plus vite ils seront de retour pour une partie de sexe qui s’annonce chaude.— Et on va où ? Tu as une idée ?— Allons donc au centre-ville.— D’accord, c’est parti.Tout en démarrant la voiture, Florent passe ses doigts sur le sexe de sa femme pour le caresser et en éprouver la douceur.Après une quinzaine de minutes de route pendant lesquelles Florent n’a pas cessé de tripoter sa femme, ils finissent par atteindre le grand parking du centre ville. Une fois ressortis de celui-ci, Florent suit sa femme qui semble déjà savoir où aller.— Tu as une idée de cadeau ?— Oui, mais ça ne se trouve pas dans tous les magasins.— On va où alors ?— Rue Saint Jean.— Il y a des magasins, là bas ? Je n’y ai jamais vu qu’un sex-shop.— Justement, c’est là qu’on va.— Intéressant. Et c’est quoi ton idée de cadeau ?— On verra sur place. J’ai ma petite idée.— En forme de bite ?— Peut être. Ça dépend de ce qu’il y aura.Quelques minutes plus tard, ils parviennent enfin à l’unique magasin de la rue Saint Jean. Un rideau noir barre la porte d’entrée et la vitrine ne présente aucun des articles destinés à la vente. À l’intérieur, le vendeur et deux clients occupent les lieux. Chacun s’affaire de son côté sans s’occuper de ce que font les autres. Agnès commence à parcourir les rayons à la recherche du cadeau tandis que Florent s’occupe en regardant les jaquettes des cassettes vidéo. Agnès ne semblant pas réussir à trouver ce qu’elle recherche, elle se rend au comptoir du magasin pour se renseigner auprès du vendeur. Pendant qu’elle est en train de discuter, Florent constate que les deux clients se sont mis à regarder fixement dans la même direction. Intrigué, il regarde également dans cette direction. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il constate que le sexe de sa femme est affiché sur le grand écran situé derrière le comptoir. Agnès est bien trop occupée pour s’en rendre compte, mais c’est un spectacle fort séduisant qu’elle offre puisqu’elle n’a pas mis de petite culotte, sa fente imberbe est parfaitement visible. Florent se demande que faire, il est assez excité par la situation, mais Agnès le sera-t-elle autant que lui ? Finalement, il va vers sa femme tandis que les deux autres clients font semblant de regarder ailleurs tout en cherchant à ne rien perdre du spectacle du coin de l’œil. Arrivé derrière Agnès il se demande encore ce qu’il va faire, mais le mieux est de laisser aller son instinct.En tout cas, il peut déjà suivre la conversation avec le gérant, peut-être une occasion de savoir enfin en quoi consiste ce fameux cadeau.— Nous avons plusieurs modèles en diverses tailles.— Et ça va de combien à combien ?— De 10 centimètres de long avec un diamètre de 2 centimètres pour le plus petit à un engin de 30 centimètres par 5 de diamètre pour le plus gros.— Dites donc, le plus petit est vraiment minuscule.— C’est qu’il est fait pour un usage anal, Madame.Florent s’immisce alors dans la conversation.— C’est un godemiché que tu veux acheter pour Nathalie ?Et tout en disant cela, sa main descend le long de la jupe d’Agnès le long de ses fesses. Arrivé à la limite du tissu, il remonte sa main par-dessous en lui parcourant la raie des fesses, faisant ainsi remonter également la jupe. Agnès semble un peu surprise et légèrement gênée, ne répondant à la question de son mari après quelques secondes durant lesquelles le plaisir monte progressivement.— Pas tout a fait. Il s’agit d’une godemiché-ceinture.— Ça va lui servir à quoi ?Pendant que Florent lui parle, Agnès s’est détendue, gagnée par le plaisir. En déplaçant se pieds, elle a pris une nouvelle posture avec les jambes plus écartée permettant ainsi à Florent de pousser ses caresses jusqu’à l’anus. Ce qu’elle n’a pas encore remarqué, c’est que la caméra placée sous elle continue de la filmer et reproduit dorénavant sur l’écran géant une vue imprenable de son sexe entrouvert.— À nous gouiner mutuellement, mon chéri.— Hmmm… J’en rêve d’avance. Et on pourra prendre des photos ?— Si tu veux.— Tiens, regarde un peu cet écran.Et il montre à Agnès l’image diffusée à partir de la petite caméra située à ses pieds. Elle comprend rapidement l’origine de l’image et resserre les cuisses par instinct.— C’est quoi, ce truc ?— C’est une micro caméra pour voyeurs. Tiens, regarde.Florent s’accroupit pour regarder la caméra de plus près sous les yeux du gérant qui attend patiemment qu’Agnès lui dise le modèle qu’elle recherche. Intéressée par cet appareil curieux, Agnès s’accroupit comme son mari pour observer la caméra, ce qui fait qu’elle sort du champ visuel de l’objectif.Florent n’attend pas et sous le prétexte de tester les capacités de l’appareil, il l’oriente à nouveau vers l’entrejambe d’Agnès. De part la posture qu’elle a pris, le sexe de sa femme est assez écarté et l’on peut en voir tous les détails sur le grand écran. Agnès s’en rend rapidement compte.— T’es vraiment un obsédé. Ça t’excite de m’exhiber devant des inconnus ?— Plutôt. Si tu savais comme je suis excité.Pour s’en assurer, Agnès porte sa main sur la braguette du pantalon de son mari. Il y a en effet une grosse bosse à l’intérieur.— Eh ben, dis donc, mon chéri.— Et encore. Si je ne portais rien sous mon pantalon, ça serait pire. Mon slip est prêt à craquer.— C’est vrai ça. Tu pourrais ne pas mettre de slip de temps en temps.— C’est une idée intéressante.— Et si tu le faisais tout de suite ?— Mais où ça ?Agnès se relève pour se renseigner auprès du vendeur.— Excusez-moi, vous n’auriez pas une cabine d’essayage par hasard ?— Si, c’est au fond du magasin.Elle se retourne alors vers son mari.— Je t’attends ici, je termine mon achat.Florent va alors vers la cabine d’essayage tandis qu’Agnès reprend sa conversation avec le vendeur. Ce qu’elle n’a pas remarqué, c’est que Florent a replacé la caméra vers son entrejambe avant d’y aller.— Oui, donc pour revenir à ce godemiché-ceinture… Il n’y aurait pas une taille intermédiaire, de la taille d’un sexe d’homme moyen qui puisse faire les deux usages ?— Si, bien sûr.— Alors c’est ce que je veux.— Je vais vous le chercher.Pendant que le vendeur est parti rechercher l’article stocké sur le haut des rayonnages, Agnès constate que son sexe est à nouveau visible sur le grand écran. Elle se retourne brusquement et comprend que les deux clients n’ont pas arrêté de mater sa chatte. Agacée par tous ces voyeurs, elle prend la parole à voix haute.— Décidément, vous êtes tous des obsédés. Elle vous plait ma chatte toute épilée ? Vous voulez voir mes seins ?Les deux hommes ne savent quoi dire.— Je suis sure que vous voulez les voir.L’un d’eux lui répond.— Ben… Pourquoi pas ?— Alors les voilà  !Et Agnès passe ses mains dans sa jupe et en retire le chemisier qu’elle relève jusqu’à son cou. De cette façon les clients et le gérant peuvent avoir une vue parfaite sur sa poitrine. C’est à ce moment là que Florent renvient.— Je ne le crois pas ! La cochonne ! Tu as décidé de me refaire bander, ma chérie ?— J’espère bien que je vous fais tous bander.Florent s’approche d’elle, son pantalon est très nettement déformé par son sexe, sans slip plus rien ne le retient. Il se place derrière elle et soulève sa jupe et introduit son sexe entre ses fesses à travers le pantalon. Le sexe d’Agnès est maintenant également visible et d’une de ses mains, Florent vient le caresser puis lui introduire un doigt puis deux dans la fente. À peine a-t-il touché le clitoris de sa femme qu’elle jouit bruyamment devant tout le monde.Epuisée par sa jouissance inattendue, mais aussi terriblement gênée par ce qui vient de se passer, Agnès peine à reprendre ses esprits. Florent se charge de régler leur achat et ils quittent rapidement le magasin. Une fois dans la rue, il reprend la conversation.— Ça va mieux, ma chérie ? Tu avais l’air toute bouleversée.— Il y a de quoi. Je n’aurais pas cru que je puisse avoir un tel orgasme.— Ça doit être ton l’exhibition qui t’a excitée.— Certainement. Et toi tu as aimé ?— Beaucoup, mais moi je n’ai pas pu jouir par contre.— C’est vrai ?Et tout en disant cela, sa main se porte à nouveau sur la braguette de son mari pour constater que sa bite est toujours aussi raide.— Je ne peux pas te laisser comme cela mon chéri.Aussitôt, Agnès l’entraîne dans un renfoncement et commence à le branler à travers son pantalon. Pendant ce temps, Florent lui pelote les seins et lui caresse les fesses et le sexe. Il ne lui faut pas longtemps pour jouir à son tour, son plaisir se concrétisant sous la forme d’une large tache sur son pantalon. Agnès en profite pour jouir une seconde fois, mais bien plus discrètement que dans le magasin. À bout de forces tous les deux, ils regagnent leur voiture et rentrent chez eux. Ce qui s’est passé a tellement ému Florent, qu’il en oublie la conversation qu’il avait commencée avec Agnès au sujet de ce gode-ceinture. Pourquoi a-t-elle choisi un tel cadeau ? Que comptent elles en faire ? Avec ou sans Cyril et lui ? Que de questions qu’il souhaitait poser mais qu’il a oubliées entre temps.4. Repas d’AnniversaireLa soirée s’est terminée sans que Florent repense à ce cadeau incongru. De la même façon, la journée du samedi s’est écoulée tranquillement jusqu’à ce qu’il soit l’heure de se préparer pour la soirée. Dans leur chambre, Agnès achève de s’habiller tandis que Florent sort de la douche. La poitrine de la jeune femme est mise en valeur par un bustier en dentelle qui ne cache presque rien de ses seins. Pour ce qui est du reste elle a enfilé une jupe qui lui arrive à mi-cuisses et dévoile la blancheur des bas dont elle a recouvert ses jambes. Florent est immédiatement attiré par sa femme.— Eh bien dis donc, on peut dire que tu es très sexy.— Toi aussi, mon chéri. Tu as bien fait de te raser le sexe, c’est très agréable à regarder.— Autant être irréprochable pour sortir, je savais que ça te ferait plaisir.Et tout en disant cela, il commence à sortir un caleçon propre de l’armoire. Agnès réagit.— Et si tu ne mettais pas de sous-vêtement ?— Tu préfères ?— Déjà au le sex-shop, ça m’a bien plu.— Bon d’accord, mais toi aussi.— C’est déjà fait.— Oui, j’avais remarqué que tu n’as pas de soutif, on ne voit que cela.— Tant mieux, c’est le but recherché, mais il n’y a pas que ça…— Ah oui ?Florent regarde les jambes de sa femme et note la présence des bas.— Alors toi, soit tu as mis des bas auto-fixants, soit tu es en collants mais ce n’est pas sexy, soit tu as mis un porte-jarretelles comme hier soir.— Gagné !— Voyons voir…Il s’avance vers elle et passe la main sous sa jupe, caressant ses fesses, puis il fait le tour de son corps à la recherche de son sexe tout lisse. Tout en remontant la jupe, il lui caresse la fente et joue avec le clitoris, juste le temps de faire soupirer sa femme sous l’effet de cette stimulation. Pour sa part, son sexe s’est redressé et Agnès ne peut s’empêcher de se pencher vers lui pour le sucer quelques instants, mais elle préfère s’arrêter à temps. Florent en est presque déçu.— C’est tout ?— Il vaut mieux en garder pour tout à l’heure.— Oh, tu sais, je peux me refaire d’ici là .— Laissons monter le plaisir.— Oui, mais pour ranger ma bite dans le pantalon, c’est moins pratique.— Au moins, elle sera propre. C’est plus poli d’arriver chez des invités avec le sexe propre.— Ça dépend des invités.— Evidemment.Florent se résigne à s’habiller, son pantalon est encore nettement déformé par sa bite. Le contact direct du tissu qui lui caresse la peau du sexe ne fait rien pour arranger la situation.Quelques minutes après, Florent a fini de se préparer, tandis qu’Agnès a enfilé un tailleur assorti à sa jupe pour cacher la tenue provocante qu’elle porte dessous. Ils quittent leur appartement et montent en voiture pour se rendre chez leurs amis. Le cadeau d’anniversaire, enveloppé dans un beau papier cadeau, est déposé sur la banquette arrière. C’est en le voyant que Florent se rappelle de ce qu’il s’agit, mais il est trop tard pour en reparler maintenant, il y a peu de route pour arriver chez Cyril et Nathalie.C’est Nathalie qui leur ouvre la porte. Elle a choisi une tenue particulièrement provocante pour cette soirée : une guêpière noire avec porte-jarretelles, des bas noirs et des chaussures à talons hauts. Elle porte rien d’autre, pas de culotte, la fente de son sexe imberbe étant par conséquent bien visible. Nathalie les précède dans le couloir, Agnès en profite pour tâter le sexe de son mari à travers le pantalon : il est dur et le tissu est à nouveau déformé. Une fois arrivés dans le salon, ils peuvent enfin saluer Cyril, qui a lui aussi mis une tenue de circonstance. En effet son unique vêtement est un string tellement petit qu’il ressemble plutôt à un cache-sexe. Florent peut ainsi constater que son ami s’est également rasé le sexe pour l’occasion. Tous se doutent bien que la soirée va se terminer d’une façon très chaude.Agnès tend son cadeau à Nathalie, qui remercie chaleureusement ses amis en échangeant quelques caresses avec eux, puis va le poser sur la table du salon.— Merci. Je l’ouvrirai après le repas— Je pense que ça te plaira.— Si c’est ce que je pense, oui.— Tu verras…Pendant ce temps, Florent et Cyril discutent entre eux.— Ah ben dis donc, quelle tenue !— Une idée de Nathalie qui voulait me mettre en valeur.— Eh bien, c’est réussi. Ça donne envie de toucher.Et joignant le geste à la parole, sa main se pose sur le sexe de son ami et le palpe.— Toi par contre, c’est l’inverse, tu es tout habillé.— C’est même exactement l’inverse de toi.— C’est-à -dire ?— Le seul vêtement que je ne porte pas, c’est ce que tu portes.— Ah bon ? Tu es à poil dans ton pantalon ?A son tour, Cyril porte la main sur le sexe de son ami et commence à le caresser à travers le tissu du pantalon.— Une idée de Nathalie.— Toutes les mêmes.Pendant que les deux hommes se massent mutuellement le sexe, Agnès a retiré sa veste de tailleur et l’a confiée à Nathalie. Cette dernière remarque immédiatement la tenue de son amie.— Tu es habillée bien sexy.— Oui, mais pas autant que toi.— C’est sur, mais je ne sortirais pas comme cela dans la rue.— Tu sais, avec un manteau, ç’est possible.— C’est vrai.Tout en disant cela, sa main se place sur la cuisse de son amie, qui fait de même. Tandis qu’elles commencent à se caresser, Nathalie laisse remonter sa main le long de la cuisse d’Agnès, passe dessous la jupe à la recherche d’une culotte ou d’un slip. Elle est quand même surprise quand ses doigts entrent en contact avec le sexe nu de son amie.— Tiens, tu te balades le cul nu ?— Tu n’as jamais essayé ? C’est super excitant. Je suis sortie comme ça hier soir. Je ne te raconte pas l’état dans lequel était Florent. Surtout dans le sex-shop.— C’était pour trouver mon cadeau, je présume ?— Exactement. J’ai relevé ma jupe dans le magasin. Les clients en bavaient.— Mais pourquoi tu as fait ça ?— Il y avait une mini-caméra près de la caisse, elle filmait le dessous de ma jupe, tout était affiché sur un grand écran et moi je n’avais fait attention à rien. Ça m’a surpris au début. Mais après, je me suis laissée aller et je me suis exhibée. Qu’est-ce que c’est bon !Tout en l’écoutant, son amie lui a introduit deux doigts dans le sexe.— Je vois cela, tu en es encore toute mouillée.Agnès s’empresse de lui rendre la pareille.— Toi aussi petite cochonne.Florent et Cyril en sont arrivés à des caresses plus franches. Alors que Cyril masturbe son ami à travers son pantalon, ce dernier a préféré sortir la bite de son copain hors du string pour la prendre plus facilement en main. L’excitation due à leur branlette entre mecs les fait arriver rapidement au bord de l’éjaculation, à moins que ce ne soit aussi parce que leurs femmes sont elles aussi en train de se caresser mutuellement. Ils préfèrent s’arrêter à temps, préférant se réserver pour plus tard, la soirée commençant à peine. Ayant cessé, Ils se tournent vers leurs femmes juste à temps pour les voir jouir ensemble suite à leurs caresses intimes. Epuisées, les deux femmes vont se vautrer sur le canapé, les cuisses à moitié écartées. C’est l’occasion pour Cyril de se rendre compte que la femme de son ami ne porte pas de culotte, ce qui le fait à nouveau bander, son string étroit se déformant instantanément sous la pression de son sexe. Les femmes étant déjà sur le canapé, il n’y a plus qu’a servir l’apéritif. Pendant ce temps Florent et Agnès racontent en détail à leurs amis leurs pérégrinations de la veille, ce qui n’est pas fait pour relâcher la pression dans le string de Cyril, d’autant plus qu’Agnès refait devant ses amis la petite exhibition de la veuille, suivie par Florent qui vient la caresser par derrière de la même façon que dans le sex-shop. Pendant ce temps, Nathalie voyant comment est déformé le string de son mari, se fait un malin plaisir à le lui caresser à travers le tissu pour voir quelle taille il peut atteindre. Cyril est au bord de l’éjaculation à nouveau et sa femme s’en est rendue compte à temps puisqu’elle se lève sans plus attendre.— Alors, on passe à table maintenant, ou on continue ?Et sans attendre de réponse, elle quitte le coin salon pour aller vers la salle à manger où le couvert a déjà été dressé. Les deux hommes ne peuvent se retenir de regarder avec désir cette maîtresse de maison les fesses à l’air dans sa guêpière noire.Les deux femmes s’asseyent côte à côte, face à leurs maris respectifs. Nathalie ne cesse de frôler son amie chaque fois qu’elle se lève pour aller chercher les plats, Agnès en profite à chaque fois pour lui caresser le sexe de ses doigts. Pour le dessert, c’est Cyril qui se lève, lui aussi profite de l’occasion pour frôler son ami. Comme il ne porte qu’un string, il laisse remonter sa bite, cachée sous le tissu, le long du bras de Florent jusqu’à l’épaule. Ce dernier se tourne vers son ami, le string est à hauteur de son visage.— C’est le dessert ?Et tout en disant cela, il sort la bite de Cyril de son string et la prend dans sa bouche pour la sucer avec application. Les deux femmes, excitées par la scène, commencent à se masturber mutuellement tout en les regardant faire. Cyril arrive rapidement à l’érection, excité comme il est, et ne tarde pas longtemps à se retrouver au bord de l’éjaculation.— Arrête, je vais jouir.— Tu te réserves pour plus tard ?— C’est ça, oui.S’étant absenté dans la cuisine quelques minutes, Cyril revient avec le gâteau sur lequel ont été plantées les traditionnelles bougies. Pour l’occasion, il a troqué son string pour un petit tablier blanc de soubrette qui s’agite au rythme des mouvements de son sexe. Une fois les bougies soufflées, Cyril découpe le gâteau et sert chacun des convives. Alors qu’il se penche pour servir Agnès, Nathalie constate qu’en se penchant, son sexe s’est pas mal rapproché du gâteau. Elle soulève le tablier, en fait son sexe n’est même pas à dix centimètres de la pâtisserie. Elle commence à le branler, mais Cyril s’est redressé entre temps et il n’est plus si près.— Qu’est-ce que tu cherches à faire ?— À voir si tu peux l’atteindre.Joignant le geste à la parole, elle se met à sucer son mari devant ses amis. Cyril arrive rapidement en érection, sa femme cesse alors de le sucer et lui se penche à nouveau en avant tout en relevant son tablier. Ce qui devait se produire arrive, sa bite touche la pâtisserie, en se retirant, il se retrouve avec de la crème dessus. Cette fois-ci, c’est Agnès qui se penche vers lui et se met à le sucer pour lui nettoyer la queue. Florent est déçu.— Si j’avais su, je me serais mis en string ou en jupette comme Cyril. Il n’arrête pas de se faire sucer par tout le monde, et même par moi.Sa femme lui répond.— Evidemment, si tu restes en pantalon, tu risques moins qu’on s’occupe de toi.Sans plus attendre, Florent retire tous ses vêtements et se retrouve donc encore plus nu que son ami qui a malgré tout conservé son petit tablier. Il commence alors un tour de table pour le moins original : il se fait tout d’abord sucer par sa femme, puis c’est Nathalie qui prend le relais, et pour finir Cyril le prend à son tour dans sa bouche. Florent, à son tour, arrive rapidement au bord de l’éjaculation. Souhaitant se réserver pour la suite, il demande à son ami de cesser et se met à son tour à le sucer.Pendant que les deux hommes sont en train de se donner du plaisir, les deux femmes ont fini leur dessert tout en les regardant faire. Nathalie se lève alors et va chercher son cadeau, qu’elle déballe sur la table. Tout en regardant son mari sucer son copain, Agnès prend la parole.— J’espère que ç’est bien ce dont tu m’avais parlé. Et j’espère que Cyril appréciera aussi…Nathalie achève d’ouvrir le paquet et découvre le gode-ceinture.— C’est exactement ce que je voulais. Merci à tous les deux, c’est un super cadeau.Nathalie embrasse Agnès et Florent tandis que Cyril s’inquiète.— En tout cas, je ne risque pas de te l’emprunter.— Pourquoi, tu ne veux pas essayer?— Pour quoi faire ? Je n’en n’ai pas besoin. J’ai déjà une bite, au cas où tu ne l’aurais pas remarqué.Florent ne peut s’empêcher de dire une connerie.— Tu en avais même une deuxième dans la bouche à l’instant.— Très drôle !Nathalie interpelle alors Agnès.— Je crois qu’il n’a pas compris. Monsieur a décidé de me faire découvrir les « bienfaits » de la sodomie. Grâce à ce cadeau, il pourra lui aussi en découvrir les « bienfaits ».— Exactement.Cyril répond sans attendre.— Ah mais, ce n’est pas pareil.Et son copain lui vient en aide.— Tout à fait, c’est très différent.Nathalie et Agnès leur répondent en cœur.— Et en quoi, c’est différent ?Les deux hommes se doutent qu’elles ont du préparer leurs réponses. Par ailleurs, ils se demandent bien ce qu’ils vont pouvoir trouver comme bonne raison pour éviter une sodomie. C’est alors que Florent comprend que cela n’est pas réellement son problème.— Après tout, tu ne peux rien refuser à Nathalie le jour de son anniversaire.— Oui, mais non. Je ne suis pas d’accord. Tu me laisses tomber ?— Je ne vois pas comment tu pourrais éviter cela, en plus ce n’est pas moi qui risque de me faire enculer.— Sympa, la solidarité. Après tout, tu pourrais partager ce plaisir avec moi ? Qu’est-ce que tu en penses, Nathalie?— Moi, je suis d’accord.Florent est dégoûté, il va devoir lui aussi faire les frais de l’engin.— Euh… Vraiment ?— Tu ne vas pas refuser cela à ma femme le jour de son anniversaire ?— Mais ce n’est pas naturel, cet appareil en caoutchouc. Quand je sodomise Agnès, c’est avec une vraie bite, la mienne.— Qu’à cela ne tienne. Si tu veux du naturel, je peux t’en donner.Et tout en disant cela, Cyril se caresse la bite. Nathalie donne alors son opinion.— Moi, je suis d’accord, ça me va. Et toi Agnès, qu’est-ce que tu en penses ?— Ça me plait bien comme idée. Chacun son tour de se faire prendre par derrière. Comme ça, il verra l’effet que ça fait.Tous quittent la table pour se diriger vers le canapé du salon. Agnès en profite pour retirer sa jupe, ne conservant pour tous vêtements que son bustier moulant, ses bas et son porte-jarretelles. Nathalie, qui a conservé sa guêpière, s’affaire à enfiler le gode-ceinture, aidée par son amie. Pendant ce temps-là , Cyril a retiré son tablier et s’est assis sur le canapé à côté de son copain. Pour passer le temps en attendant que les deux femmes soient prêtes, ils les regardent tout en se masturbant mutuellement. Cyril sent que cette fois-ci, il va devoir y passer. Lâchant son copain, il s’agenouille sur le canapé tout en se penchant vers lui. Nathalie arrive alors par derrière et présente le sexe de latex à l’entrée du petit trou de Cyril, vierge de toute introduction pour quelques instants encore. Pendant ce temps, ce dernier continue à masturber son ami tandis que Nathalie lui enduit la rondelle de vaseline. Une fois cela fait, elle commence à faire pénétrer progressivement le godemiché dans l’anus de son mari alors qu’il se met à sucer le sexe de Florent. Cette position dure durant quelques minutes, Cyril avale le sexe de son copain et se fait défoncer le cul par sa femme. Progressivement, la douleur du début s’estompe et une sensation nouvelle commence à parcourir Cyril, une sensation agréable bien que néanmoins quelque peu brutale pour son arrière-train. Pendant ce temps-là , Agnès prend des photos pour immortaliser cet instant.Florent change alors de position et se glisse sous Cyril, les deux hommes peuvent ainsi entamer un 69. Nathalie continue de sodomiser son mari, mais guère longtemps, car elle est épuisée de ces mouvements de pénétration à laquelle elle n’est pas habituée. Elle décide alors de laisser les deux hommes ensemble se sucer mutuellement et elle va s’asseoir à côté de sa copine après avoir retiré son cadeau. Les deux femmes se mettent en 69 à leur tour, face à leurs maris. Nathalie interpelle alors Florent.— Dis donc, tu n’as pas oublié quelque chose?— Quoi donc ?— De te faire prendre par Cyril.— Tu étais sérieuse ?— Bien sûr. C’est mon anniversaire, après tout.Cyril intervient.— Oui, il n’y a pas de raison que je sois le seul à m’en prendre plein le cul. Et en plus, espèce de petit veinard, tu auras à une vraie bite, pas du latex.Et Florent lui répond, ennuyé.— S’il n’y a que ça pour te faire plaisir, je peux t’enculer aussi.— Pourquoi pas… Ça doit être meilleur quand c’est vrai.Florent se met alors en position, à quatre pattes. Cyril se place derrière lui et se met à lui caresser l’anus du bout de sa bite. Après l’avoir enduite de vaseline, il alors commence doucement à le pénétrer. Pendant ce temps là , Nathalie lèche le sexe d’Agnès tandis que celle-ci continue à prendre des photos des deux hommes en pleine action. Au bout de quelques minutes, c’est à Florent de ressentir à son tour cette sensation nouvelle qui lui était inconnue jusqu’à présent. Se laissant bercer par le plaisir, il se met à gémir tout en laisser échapper quelques paroles crues.— Oh oui, encule moi, espèce de gros pédé.Cyril se prend au jeu et lui répond.— Tu aimes ça, hein? T’es qu’une tapette. Tu le sais, ça?— Oui, défonce-moi le cul.Pendant ce temps, Agnès a changé de position pour varier l’angle de prise de vue de ses photos. Nathalie en profite elle aussi pour admirer les deux hommes dans leur coït homosexuel. C’est alors qu’elle se rend compte d’un détail troublant.— Dis donc Agnès, tu as vu dans quel état est ton mari ?— Non, qu’est-ce qu’il a ?— Il bande.— Non, c’est vrai ?En effet, alors qu’il est en train de se faire profondément enculer, Cyril est suffisamment excité pour avoir son sexe raide malgré tout. Agnès reprend.— Mais c’est qu’il a l’air d’aimer ça.— Ce serait dommage de gâcher une telle érection.Tout en disant cela, Nathalie se glisse dessous Cyril. Celui-ci peut alors la pénétrer à son tour par l’arrière pour la sodomiser. Agnès continue ses photos de plus belle.— Voilà une bien belle image que l’on pourrait intituler « l’enculeur enculé ».Laissant son appareil photo sur la table, Agnès se joint au groupe à son tour, impatiente de participer. Elle se glisse en 69 dessous son amie et commence à lui lécher la chatte, la bite de son mari lui passant au-dessus de la tête à chaque aller-retour. Nathalie ne tarde pas à jouir son l’effet de toutes ces sollicitations. Elle se laisse aller dans un grand cri qui va même jusqu’à surprendre son mari. Epuisée, elle se retire et laisse sa place à sa copine. Sans plus attendre, Agnès se met à son tour en position pour se faire enculer par son mari, lui-même enculé par son ami. Le plaisir monte rapidement, mais c’est Cyril qui jouit le premier, déchargeant un flot de sperme dans les entrailles de son copain tout en laissant simultanément un cri rauque s’échapper de sa gorge. Dans les secondes qui suivent, Agnès jouit à son tour. Epuisée, elle se retire, tandis que Cyril en fait autant. Florent, laissé seul se sent un peu abandonné.Cyril comprend ce que ressent son ami.— Alors ? Tu viens me prendre par derrière ?— C’est vrai, je peux ?— Puisque je te le propose. Vas-y, ça me fait plaisir.— À moi aussi.Sans plus attendre, Florent s’enduit à son tour la bite de vaseline et se présente à l’entrée du trou du cul de son copain. Il en force facilement l’entrée, celui-ci ayant déjà été pénétré peu de temps auparavant. Florent prend rapidement un bon rythme et excité comme il est, il ne tarde pas à jouir à son tour, remplissant l’anus de son ami d’un jet de sperme bien chaud.Les deux femmes n’ont pas encore eu leur compte. Nathalie nettoie le gode ceinture puis l’enfile à nouveau. Agnès s’est mise à quatre pattes à son tour et son amie vient la sodomiser avec le sexe de latex. Laissant les deux femmes se terminer toutes seules, Florent et Cyril vont à la salle de bain pour se nettoyer du sperme qui commence à leur couler le long des cuisses. Ensemble sous la douche, ils en profitent à nouveau pour se caresser mutuellement, y compris dans leurs parties les plus intimes. Encore grisés par ce plaisir inattendu mais tellement agréable, l’esprit de Cyril se met à vagabonder.— Ouf ! Ça fait du bien !— Oui, je ne pensais pas que ça pouvait être si bon.— Dis moi, on ne serait pas un peu pédés par hasard ?— Peut-être, mais pas complètement. Je préfère les femmes. Entre nous, c’est surtout une affaire d’amitié.— Une amitié très profonde !— Oui. Surtout aujourd’hui !Les deux hommes se mettent à rire ensemble.— Nos femmes sont quand même terribles.— Oui, avec elles on ne sait jamais à quoi s’attendre.— C’est vrai que ça ne se passe jamais comme prévu, mais c’est bon quand même.— C’est vrai, d’ailleurs je ne regrette rien.— Moi non plus.Ils sortent de la douche et se sèchent. Encore excités, ils ne peuvent se retenir de se masturber mutuellement à nouveau. Emportés par le désir, ils s’allongent sur le tapis de la salle de bains tête-bêche et se mettent à se sucer mutuellement. Florent reprend la conversation.— Et maintenant, qu’est-ce qu’on va faire ?— Fais ce que tu veux, moi je pense que je vais avaler.— Je ne voulais pas parler de cela, je pensais à nos prochaines soirées.— Je ne sais pas, j’espère qu’elles vont se calmer.— À nous de les surprendre.— Oui, chacun son tour. Qu’est-ce qu’on pourrait faire ?— Et un truc qui ne se retournerait pas contre nous.— Voyons… C’est bientôt l’été. On pourrait se mettre au naturisme ?— Excellente idée !— On ne leur dit rien, elles seront totalement surprises.— Oui. Ce sera un retournement de situation. Et cette fois-ci, il sera à notre avantage !Les deux hommes heureux de leur idée continuent de se sucer jusqu’à temps que chacun ait éjaculé dans la bouche de l’autre. Pendant ce temps en bas, les deux femmes continuent de se donner mutuellement du plaisir en expérimentant à tour de rôle les bienfaits du gode-ceinture dans toutes les positions possibles.