RETROUVAILLES SURPRISELA SOIREE N’EST PAS FINIEJe résume brièvement : Sandrine, une ex que je n’ai pas vue depuis 2 ans, débarque à l’improviste chez moi. Découvrant mes magazines pornos, elle se met en tête de « me rééduquer » en me faisant retarder ma jouissance. Et me voilà, sans attendre, nu, les mains attachées dans le dos, à la regarder se masturber, lire, prendre sa douche, sans pouvoir me masturber une seconde. Heureusement, après une longue épreuve, elle m’invite sous la douche avec elle et me fait jouir. Nous vous avions donc laissé là : Sandrine et moi, sortant tous les 2 d’une jouissance incroyable, dans la douche, le visage et les seins de la jolie blonde couvert de mon sperme. Mais j’ai toujours les mains liées dans le dos. Et mon court espoir (et angoisse en même temps) que la séance soit terminée évanouit par l’attitude de Sandrine. En effet, à peine remis de nos exploits, elle rallume la douche et reprend sa toilette, enlevant toute trace de mon sperme sur son joli corps. Elle me fait signe de ressortir de la douche, me laissant toujours les mains dans le dos… Sa petite toilette terminée, elle me parle enfin :— Ce n’est pas parce que tu as bien passé la première épreuve qu’il faut te croire arriver. Le but est aussi de gagner de la fréquence et d’être capable d’enchaîner.Je ne sais pas où elle a appris tout ça, mais en tout cas, elle y croit. Un peu à contre cœur, j’accepte donc de rester mains liées. Après tout, c’est pas trop désagréable le spectacle qu’elle m’offre pendant ce temps… Et puis, l’heure du repas approchant, je serais forcément dispensé de cuisine et elle devra se débrouiller.— Pour manger ce soir (parce que je commence à avoir faim avec ce voyage), je te propose de commander des pizzas. (Elle doit quand même lire dans mes pensées, cette fille…) à livrer. Il doit bien y en avoir des bonnes. Et un célibataire comme toi qui ne veut pas perdre de temps dans sa découverte des filles ne peut que commander des pizzas…— Si tu veux commander, il y a la liste à côté du téléphone. Et elle se dirige, toujours aussi nue et désirable vers la chambre pour téléphoner. Mais tu devrais aussi t’habiller, parce que le mec il vient jusqu’à la porte. Et que je me vois mal le recevoir dans l’état où je suis.La commande passée, on a encore 20 minutes à perdre d’après ce qu’elle me dit. Elle me demande de lui raconter ma première fois avec une fille… C’est reparti. Replongé dans les souvenirs, je ne vais pas pouvoir m’empêcher de penser au plaisir et au sexe, et forcément, l’excitation va me reprendre à son comble. Et comme elle ne peut pas s’empêcher de se caresser pendant mon récit, je sens que je vais avoir du mal à tenir les 20 minutes. Je suis toujours debout, au bout du lit, la regardant couchée à ma place, les jambes écartées, le doigt qui parcourt ses lèvres frétillantes, ses poils soyeux s’enroulant autour de sa main. Mon sexe en vibre de plaisir. Quel spectacle. J’en perds parfois le cheminement de mon histoire. Heureusement, la sonnerie salvatrice survient. Elle me dit d’aller dans la salle de bain durant la livraison et elle enfile mon t-shirt, plus long que le sien, qui la recouvre jusqu’à mi-cuisse. C’est elle bien sur qui va répondre à l’interphone :— Allo?— …— Si, si, c’est bien chez lui, mais il est occupé. Je suis une copine d’enfance (elle exagère un peu).— …— Ah ok, mais monte, il n’y a pas de problème.Reposant le téléphone, elle vient me voir dans la salle de bain.— Ce sont les pizzas… Enfin, je crois…Le livreur est à la porte, alors elle ressort l’accueillir.— Vas y, entre. Ne sois pas surprise (tiens, une livreuse?), il est dans une posture un peu spéciale, on faisait un jeu. Mais, ça me gène, parce qu’il m’a dit qu’il était célibataire (qu’est qu’elle raconte?)— En fait, il a raison, je ne lui ai pas donné signe de vie depuis 2 mois, il a bien raison de se considérer comme célibataire (Stéphanie!! Que vient faire cette fille ici aujourd’hui, à l’heure de la pizza, alors que je n’ai pas de nouvelles depuis 2 mois?)— Je ne sais pas jusqu’à quelle intimité vous vous connaissez, mais si ce qu’on fait te choque, n’hésite pas à partir. Sylvain, tu peux venir s’il te plait?Et moi, comme un con dans ma salle de bain, j’hésite à sortir, mes mains toujours dans le dos, et la bite bien retombée par cet interlude plutôt désagréable. Entre les mains de ces 2 furies, je crains le pire pour la suite.Stéphanie s’est faite belle pour cette soirée surprise. Elle devait avoir l’intention de renouer les fils cassés : elle porte une jolie jupe courte aux couleurs de l’été et en haut un petit pull en coton noir. Un léger maquillage aux couleurs pastelles orne ses lèvres. Les cheveux attachés vers l’arrière, je dois dire qu’elle avait mis toutes les chances de son coté. Même si je me suis juré 100 fois durant les 2 derniers mois de ne pas retomber dans le piège, même si elle venait me rechercher. Mon sexe n’y est pas insensible non plus, et rapidement, il reprend la position qu’il affectionne tant ces derniers temps, entraînant une certaine rougeur chez Stéphanie. Sandrine, qui ne rate pas une occasion comme celle là, se place derrière la nouvelle arrivante et la prenant par la taille lui murmure à l’oreille :— Ça t’excite de le voir comme ça?— Je n’avais pas encore vu son sexe, et là, j’avoue que ça me trouble pas mal— Et tu n’as encore rien vu. Si tu me laisses faire, je te promets qu’il pourra être encore plus gros…— Les yeux de Stéphanie pétillent. Vraiment? Vas y, montre moi…— Tu es sure que c’est ce que tu veux? Stéphanie acquiesce d’un petit geste de la tête. Alors regarde…Et voilà Sandrine, qui commence à remonter le petit pull de Stéphanie, dévoilant son ventre blanc. Stéphanie ne semble pas surprise; en fait, elle semble hypnotisée par mon sexe et ne le quitte pas du regard. Arrivant aux seins, Sandrine continue son mouvement et me dévoile le petit soutien-gorge de dentelle noire qui fait ressortir à merveille les seins blancs de Stéphanie. Ma bite, qui voyant la tournure des événements avait repris sa croissance, accélère le mouvement et continue de durcir et de grossir. Le pull noir finit sur le lit, rapidement accompagné du soutif en dentelle. Les petits seins arrogants de Stéphanie sont à présent exposés au regard de tous, les tétons fortement excités, mais les yeux de mon ex sont tellement fixés sur moi qu’ils en deviennent brillants. Sandrine commence alors à dézipper la jupe de mon amie et la descend très lentement, comme pour faire durer le plaisir, me dévoilant petit à petit seulement une culotte légère, assortie au soutien-gorge, dont la dentelle noire ne masque pas complètement les poils blonds et bien taillés de Stéphanie. Indiscutablement, Sandrine sait y faire pour faire monter la pression et le plaisir, et ma bite commence à retrouver sa taille de croisière (depuis le début de la séance…). Malheureusement, la sonnerie de l’interphone et les pizzas viennent casser l’ambiance, et Sandrine nous dirige tous les 2 vers la salle de bain, en attendant que le livreur arrive.Me voilà donc nu dans la salle de bain, les mains attachées dans le dos, avec à quelques centimètres de moi, une ex-copine, dont la seule culotte ne cache plus grand chose de ses charmes… Situation O combien érotique qui nous met assez mal à l’aise tous les 2 à voir le fard que pique Stéph. J’essaie de me contenir, car je ne veux pas lui céder. C’est trop facile de revenir 2 mois plus tard et de se faire sauter un samedi soir quand on a rien d’autre à faire… Même si son regard et son corps sont superbement craquants. Heureusement, le livreur ne s’éternise pas. On entend la porte qui se referme et on s’attend à voir Sandrine venir nous chercher. Stéph a même commencé à aller vers la porte, mais quand elle commence à l’ouvrir, Sandrine lui crie de rester où elle est, qu’elle viendra nous chercher, qu’elle a des trucs à faire, seule…Stéphanie semble un peu surprise et décontenancée par cette réflexion, et elle me regarde interrogative. Ma réponse est volontairement un regard assez dur, pour achever de la mettre mal à l’aise. J’aimerais bien savoir ce qu’elle ressent à ce moment là, mais un peu contre mon gré, car le rôle que je veux tenir me l’impose, je pivote pour lui tourner le dos. Heureusement pour Stéphanie, cette situation ne dure pas et Sandrine vient ouvrir la porte. Elle me dit de venir et à Stéphanie d’attendre 2 minutes encore.De retour dans la chambre, toujours nu et Sandrine avec mon t-shirt, elle me demande :— Que penses tu de Stéphanie?— Comment ça? Comment je la trouve?— Oui et surtout comment trouves tu son attitude d’aujourd’hui?— Je la trouve un peu culottée de revenir comme ça se pointer dans l’espoir de passer une bonne soirée avec moi.— Moi aussi, je vais lui préparer un petit truc à ma façon. Et toi, tu pourras profiter du spectacle… sans toucher bien sur. Son petit sourire moqueur me prouve qu’elle est contente de son petit effet.— Si il est à la hauteur de ce que tu m’as montré jusque là, je fais confiance à tes talents de réalisatrice et te promets de me tenir correctement.Sandrine se dirige vers la salle de bain et fait signe à Stéphanie de venir nous rejoindre dans la chambre. Dans un geste de pudeur, Stéphanie nous rejoint, les bras croisés sur la poitrine cachant ses seins. Et l’interrogatoire commence. Sandrine la fait asseoir sur un petit tabouret, je suis, toujours nu, sur une chaise dans le coin de la pièce, observateur à distance et Sandrine se plante debout devant le tabouret. Elle retire son (mon!!) t-shirt et se retrouve nue devant Stéph, les seins à hauteur de visage.— Bon, alors, quelques questions avant d’aller plus loin. Pourquoi es tu venue chez Sylvain ce soir?— Ben, j’avais envie de lui, de faire l’amour avec un mec, et que ce soit lui le mec.— Et tu étais si sure de ton coup que ça?— Non, j’avoue que je m’attendais à ce… à ce qu’il me reçoive mal. Après 2 mois de disparition, j’aurais trouvé ça normal.— Moi aussi, j’aurais trouvé ça normal. Certes Sylvain est un chaud lapin, mais il a quand même une âme— Oui, je sais. Mais tu sais, j’angoissais vraiment avant de sonner à l’interphone. Et alors quand j’ai entendu une voix de femme, j’ai failli ne pas répondre et repartir.— Enfin, ton but, c’était baiser quand même?— Oui, et j’en avais très envie, c’est pour ça que je suis restée et que je t’ai parlé à l’interphone.— Et tu étais prête à quoi pour le convaincre de te baiser?— Comment ça, prête à quoi?— Ben, tu te doutais quand même qu’il faudrait que tu fasses des concessions. Peut être faire des trucs que tu n’aimes pas trop pour qu’il te baise.— Oui, je m’en doutais un peu. J’y avais pas mal réfléchi, mais j’essayais d’évacuer la question à chaque fois, en me disant que si il voulait me faire faire des trucs dont j’aurais pas envie, je pouvais toujours partir.— Tu manques pas d’air quand même, je trouve. Imaginons un peu que je sois Sylvain et que je te demande de me convaincre de te baiser. Tu serais prête à me faire une pipe et à tout avaler?— Ça oui, j’aime pas spécialement, mais j’étais prête.— À te faire enculer?— Ça ne me dérange pas, je l’ai déjà fait plusieurs fois.— Mais Sylvain, il n’aime pas trop d’après ses dires. Pas de bol. Et à te faire un peu dominer, mettre des pinces sur les seins par exemple.— Ca, je sais pas, je l’ai jamais fait et je pense qu’il aurait fallu que la situation soit complètement désespérée pour que je l’autorise à me faire ça.— Pourtant, tu ne parais pas vraiment en position de force après ce que tu as fait il y a 2 mois. Sans parler qu’entre tes petits seins et les miens, je sais ceux qu’il préfère… Stéphanie baisse la tête, la culpabilité de la rupture et sa visite de ce soir commence à faire son effet. Mais bon, tu vois, Sylvain est prêt à te regarder et je pense qu’il saura te récompenser si la soirée lui plait. Il bande comme un âne, mais comme il n’a pas trop le droit de jouir, il va être dans une forme extraordinaire dans un moment. Et il sera pour toi… Peut être…— J’espère être digne d’être baisée par lui cette nuit.— On verra, on verra. Mais, on aurait dû commencer par te punir avant toute chose. Pour le mal que tu lui as fait…Je regarde toujours la scène, bandé comme un démon, les couilles gonflées à bloc. L’opposition entre mes 2 copines est tranchante et je me demande toujours où Sandrine veut en venir. J’aimerais surtout (comme vous je pense) qu’elle active le processus… Stéph ne sait plus trop où se mettre après la dernière phrase de Sandrine et surtout pendant le long silence qui suit. Sandrine s’assoit sur le lit.— Viens sur mes genoux, couchée, le ventre sur mes cuisses. C’est ta punition pour commencer.se doutant de ce qui l’attend, Stéphanie frissonne un peu, mais se dirige quand même vers les genoux de Sandrine. Celle ci la fait mettre de façon que ses fesses soient dirigées vers la place où je suis. Ainsi, je peux voir le petit derrière de Sandrine, toujours enserré dans sa petite culotte de dentelle noire qui moule bien son entrejambe. Les fesses sont assez écartées et le sillon ne paraît pas très profond. Je ne peux malheureusement qu’apercevoir une partie du visage de Stéphanie dans le miroir mais pas suffisamment pour voir l’ensemble de ses réactions. Et ce qui devait arriver arriva : la main de Sandrine tombe enfin sur la fesse droite de Stéphanie, pas très violemment, mais bien qu’amortie par l’étoffe de la culotte, la claque fait sursauter la victime et lui arrache un petit cri. Mais dans la foulée, elle murmure un petit « Excusez-moi » et se repositionne correctement pour recevoir la deuxième sur sa fesse gauche. Sandrine profite de la sagesse de Stéphanie pour accélérer et met une série de 4 ou 5 fessées, alternant toujours les fesses cible.— Je vois que tu as compris ton intérêt. Je vais faire une petite pause pour te permettre de supporter et je passerais à la série suivante. Sans culotte cette fois.Et alliant le geste à la parole, elle descend la culotte noire de Stéphanie et avec un regard triomphateur, la lance dans ma direction et elle atterrit sur mes genoux. Bien visé… Les fesses blanches de Stéphanie commence à rosir légèrement. Sandrine les caresse doucement, sa main se perdant parfois plus bas, entre les cuisses d’où elle ressort triomphante : « Ca te plait quand même on dirait… » Et sur ce, elle enchaîne à nouveau, une claque plus forte et plus bruyante atteignant l’une des fesses de Stéphanie. À nouveau surprise, elle lâche un petit cri et s’excuse à nouveau. Une petite dizaine de claques plus loin, de forces différentes, Sandrine arrête son exercice et admire les fesses rosies de Stéphanie.— Je vois que tu es prête à beaucoup de choses pour baiser Sylvain ce soir. La punition s’étant bien passée, le reste sera moins violent, rassure toi. En attendant la suite, va vers Sylvain, tends lui ta culotte à sentir, le pauvre, il l’a depuis 5 minutes sur les genoux, sans rien pouvoir faire avec ses mains dans le dos. Et après, tu lui fais une superbe pipe et tu recueilles son sperme dans ta bouche ou sur ta figure. Compris?— Oui, j’y vais Et elle me tend sa culotte chaude, humide et odorante, me permettant de prendre quelques bouffées de son odeur intime. Elle se met ensuite devant moi, à genoux, et commence à me prendre la bite dans la bouche.— Au fait, je mets les pizzas à chauffer. C’est toi qui nous servira de table. Plus tu tarderas à le faire éjaculer, plus elles seront chaudes, et plus elles te brûleront… Alors, tu choisis…Et croyez moi, elle a vite choisi. Et le spectacle précédent lui a facilité la tache. Les pizzas n’ont guère eu le temps de chauffer avant que je sente mon jus remplir mon sexe et s’évacuer vers la bouche de Stéphanie. Après 2 jets dans la petite bouche, je me retire de force, et finis de lui vider mes couilles remplies par une après midi de « torture » sur son visage et sur ses cheveux. La sensation de mon orgasme est très forte, sans doute la plus forte que je n’ai jamais eu.Stéphanie se relève, dégoulinante et souillée, je l’imite, et on rejoint Sandrine dans la cuisine au moment où elle sort les 2 pizzas.— Comme je l’ai dit, Stéphanie va nous servir de table. Elle va se coucher sur le lit, et on posera les parts de pizza sur son ventre. Il n’était pas prévu qu’elle mange, on verra si on lui laisse quelques choses. Et Sylvain, comme tu as les mains liées, tu mangeras sans les mains, à même son ventre. Epreuve supplémentaire, tu te placeras à ses pieds, et tu devras passer entre ses jambes pour atteindre tes parts.Mais où va t elle chercher toutes ses idées saugrenues? Ce n’est pas que cela me déplait de manger au-dessus de la chatte de Stéphanie, mais il fallait y penser quand même…Et j’avoue que le repas fut très agréable. L’odeur intime de Stéphanie se propage de son minou encore excité et surtout bien ouvert, pour me permettre l’accès à la « table ». De temps à autre, entre 2 bouchers de la délicieuse pizza, je me désaltère le gosier à donnant quelques coups de langue entre les lèvres humides de la petite blonde. La difficulté relative de manger sans les mains est largement compensée par les plaisirs de la chair (au propre comme au figuré…). Et mon repas fini, je me retrouve dans le même état que celui que j’ai eu tout l’après midi : mon sexe bien bandé et une envie folle d’en finir en me masturbant. Plaisir simple qui m’est toujours interdit par mes mains liées dans le dos. Stéphanie semble avoir fortement appréciée le repas (bien que n’ayant encore rien mangé), et mes derniers coups de langue lui arrachaient des petits cris pleins de plaisir.Mais son tour de manger arrive et elle se redresse légèrement pour pouvoir manger les derniers morceaux de pizza. Sans en référer à Sandrine, je vais prendre mon dessert en replongeant entre les cuisses de la gourmande. Elle m’accueille bien volonté, et sans cesser de manger sa part, m’offre son minou à explorer. Ma langue me sert d’un ustensile pour faire la cuisine de son plaisir, et la sauce montant de plus en plus, elle n’a pas le temps de finir le dernier morceau qu’elle me délivre mon dessert mielleux tant attendu. Non sans crier un bonheur qui semble proportionnel à la quantité de jus que je peux avaler. Sandrine n’a pas perdu une miette de ce spectacle et lorsque je ressors des cuisses de Stéph, elle se masturbe en se doigtant sauvagement. Je m’en vais l’embrasser pour partager les douceurs de Stéph avec elle. Le baiser est fougueux, et elle en profite pour libérer mes liens et rendre à mes mains une liberté tant attendue. J’en profite pour la serrer très fort et très tendrement dans mes bras, heureux de retrouver la liberté de mes mains. Elle me murmure »Tu as été merveilleux. Tu mérites largement ta liberté et j’espère que tu as autant apprécié cet après midi que moi. Va offrir à Stéphanie ce qu’elle est venue chercher et ce qu’elle a, je pense, mérité. Ce n’est pas que je n’ai pas envie que tu me baises, mais j’espère bien pour profiter de toi plus longtemps qu’elle ». Lui rendant le compliment, je lui assure que j’espère de tout mon cœur pouvoir la baiser encore souvent et à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, mais qu’avant cela, il faut effectivement accomplir mon « devoir »…Un petit tour par le sac que j’ai ramené de la pharmacie, et voilà mon sexe couvert et prêt à l’exploration du sexe de Stéphanie. Celle ci, toute à son repas, ne m’a pas senti venir, et c’est avec surprise qu’elle me découvre, prêt à la pénétrer et qu’elle m’ouvre grand ses jambes pour permettre à mon sexe dur comme un bâton de pénétrer doucement son sexe chaud et doux. Bien lubrifié, son sexe accueille bien volontiers mon sexe et les premiers mouvements de va-et-vient qu’il imprime. Sa pizza à peine finie, elle se met à gémir fortement et ses cris emplissent la chambre, augmentant mon excitation et celle de Sandrine qui n’en manque pas une miette. Ma bouche ne reste pas inactive et suçote ses petits seins avec application. Je la sens de plus en plus tendue, de plus en plus excitée. Ses petits seins ballottent, sa tête tourne à droite puis à gauche sans arrêt, submergée par le plaisir croissant. Soudain, je la sens se raidir brutalement, elle pousse un cri plus rauque que les autres, et se laisse retomber sur l’oreiller. Je sens son sexe se refermer sur le mien, l’inonder de son jus si gouteux et je ne peux résister longtemps à la pression de ses muscles, libérant à mon tour ma jouissance dans le préservatif. Me retirant délicatement, je commence à dénuder mon sexe, quand Sandrine me le prenant, en répand le contenu sur ses gros seins blancs. « Après ça, Stéphanie, tu ne peux pas refuser de me nettoyer les seins avec ta langue. Même si tu n’as jamais fait ça à une fille ». Et avec un sourire qui en dit long sur son plaisir actuel et passé, Stéphanie commence à lécher les tétons raides et les mamelons doux de Sandrine, nettoyant petit à petit mon jus du corps de ma nouvelle amante.Quelques séances plus tard, toujours nus sur le lit, épuisés, heureux, après s’être échangé les derniers récits de nos expériences passées, on s’est endormi, moi entre mes 2 amies, au contact du corps chaud et voluptueux de Sandrine. La sensation de bonheur qui m’envahit à ce moment là me prouve que plus que du désir physique, je commence à ressentir pour elle des sentiments plus forts et plus personnels.Mon réveil au petit matin est non moins agréable. Se réveiller entouré par 2 ravissantes créatures nues dont l’une se love contre vous, c’est pour le moins agréable. La fine lumière qui entre par les volets me permet d’admirer le corps de Sandrine à quelques centimètres de moi, et je me régale de la vue sur ses magnifiques seins gros et blancs, sur son petit ventre, qui n’est certes pas plat, mais néanmoins magnifiques, sur son sexe dont je n’aperçois que le minimum. Le reste est sous les draps et je ne peux que m’en souvenir…Et il me suffit de tourner la tête pour voir Stéphanie dormir en chien de fusil, me tournant le dos, ses cheveux blonds éparpillés sur ses épaules et ses petites fesses blanches recroquevillées sous ses cuisses. Doucement, n’évitant toutefois pas quelques grognements de Sandrine, je me lève et enfile mes habits de sport. Un petit jogging à la fraiche me fera du bien.Effectivement, une demi heure plus tard, je me sens en pleine forme quoiqu’un peu sueux. Petit détour par chez le boulanger pour ramener des croissants frais à mes 2 partenaires, et me voilà de retour à l’appart. Il s’est animé depuis tout à l’heure, mais seule Sandrine s’affaire à ranger un peu les traces de la soirée.— Stéph a préféré partir. Elle m’a remercié pour la soirée qu’on lui a offerte, mais elle ne voulait pas nous déranger plus longtemps et elle a préféré rentrer chez elle.— Dommage… J’avais de bons croissants. Ça en fera un peu plus pour nous.Mais, en mon for intérieur, je regrette ce nouveau rapide départ de Stéphanie. Il était dit qu’elle devait toujours disparaître de ma vie aussi rapidement. Heureusement, le sourire et la beauté de Sandrine dans mon t-shirt me ramènent rapidement à de meilleurs sentiments et je ne peux m’empêcher de la prendre par la taille pour lui caresser les fesses.Les croissants avalés, je propose à Sandrine d’aller prendre une douche tous les deux, et pour toute réponse, elle commence à enlever mon short de sport…A Suivre…