RETROUVAILLES SURPRISELE COUP DE TELEPHONECe samedi après midi là, malgré le beau temps printanier, je me suis forcé à travailler. Je devais absolument reprendre un cours que je n’avais pas trop compris dans la semaine. Heureusement pour moi, je m’y suis mis tôt, dès mon réveil (je ne voulais pas gâcher ma soirée de samedi, et plus vite le boulot serait terminé, plus vite je pourrais aller m’amuser). Parce que vers 5h de l’après midi, le téléphone retentit dans mon petit appartement.— Allo?— Sylvain?— Oui, c’est moi… Qui est au bout du fil, je ne reconnais pas cette voix féminine, d’autant plus qu’un brouhaha en arrière plan rend sa voix un peu lointaine.— Ici, c’est Sandrine F. Tu te souviens, la copine de C…On est sorti ensemble il y a 2 ans.— Ah oui, Sandrine. Quelle surprise… Dans la liste des interlocutrices supposées, Sandrine ne devait pas être avant le 100ème rang, voire plus loin encore, rangée au fond de ma mémoire.— Je viens de trouver un CDD à Toulouse pour 8 mois et C. m’a dit que tu y habitais.— Oui, c’est vrai, et tu viens quand à Toulouse?— Ben, j’y suis. Je suis à la gare. J’ai essayé de t’appeler cette semaine, mais je n’ai jamais pu te joindre.— Ça me fait plaisir de t’entendre en tout cas. Même si notre relation avait été courte, pour ne pas dire moins, je la gardais à une place un peu spéciale, un goût d’inachevé sans doute. Et tu habites où à Toulouse?— Ben, c’est un peu le problème. J’ai trouvé un petit appart, mais il n’est libre que la semaine prochaine. En attendant, il faut que je me trouve un petit hôtel pas trop cher.— Hop je saute sur l’occasion. Si je peux te dépanner pour quelques jours, pas de problème. J’ai un matelas d’appoint et l’appart est assez grand pour qu’on ne se gène pas trop. Comme je suis célibataire pour le moment, pas de copine à rendre jalouse.— C’est vrai? Ce ne te dérange pas? Oh, ça me fait super plaisir… Visiblement, elle a eu ce qu’elle attendait. Moi aussi, j’espère. Tu habites loin?Un petit coup d’explications plus tard, la conversation s’achève et il me reste 10 minutes pour transformer mon antre de célibataire en appartement correct et rangé. C’est pas gagné…Mais, quand 10 minutes plus tard, la sonnerie de l’interphone résonne, l’appartement est propre, rangé et je suis presque prêt à accueillir une jeune fille. Il ne me manque que les capotes et du jus d’orange. Voilà la porte ouverte, et j’entends Sandrine monter les escaliers pour arriver devant mon appart. La voilà. Elle n’a pas trop changé depuis 2 ans. Sa tenue est sans surprise pour une personne qui vient de faire 7 heures de train et qui sait s’habiller en fonction des circonstances. Elle porte un sac à dos que je m’empresse de lui prendre, avant même de se dire bonjour. J’ai décidé de sortir le grand jeu ;-)— Hou, pas trop tôt. Quel voyage, une vraie expédition pour arriver par ici. Je n’aurais jamais pensé que ça puisse être aussi long.Deux bises plus tard, je lui fais les présentations de l’appartement, lui explique que j’ai un lit à 2 places, mais que j’ai aussi un matelas d’appoint que j’utiliserais pendant qu’elle sera là. Bref, on parle de choses et d’autres. Je me sens troublé par cette arrivée fort surprenante et par la présence de Sandrine. J’en oublie même les règles élémentaires de l’accueil et je m’aperçois que je ne lui ai rien proposé à boire. Remarquez, c’est normal, mis à part de l’eau, je n’ai rien d’autre… Je lui propose d’aller chercher du jus d’orange à l’épicerie du coin pendant qu’elle s’installe un peu plus. Elle me dit qu’elle a très soif et qu’elle accepte volontiers ma proposition.Finalement, ce jus d’orange tombe bien. Qu’aurais je fait plus tard dans la soirée devant le risque d’une rupture de stocks de capotes? Hop, un tour à l’épicerie, un tour à la pharmacie, et me voilà de retour. J’ouvre la porte de l’appartement, et je la vois, étendue sur mon lit, (non! pas nue, mais toujours dans sa même tenue), mais en train de lire mes magazines pornos de célibataire que j’avais pourtant bien caché (que je croyais…). Le fard que je me pique…— Je vois que notre célibataire a trouvé des occupations pour le soir.— … ben… tu comprends… des fois…— Je comprends bien oui, mais quand même, ils sont hards ces bouquins. Tu ne dois pas t’ennuyer. Elle se lève et vient vers moi. Elle me glisse à l’oreille. Fais gaffe quand même. À trop se masturber devant de telles nanas, on en vient à ne plus rien ressentir devant une nana normale.— Non, non, mais… ne t’en fais pas. J’ai pas encore de problème là dessus. Et pour vérifier mes propos, elle me plaque la main sur mon sexe, à travers le jeans.— En effet, je vois. Mais quand même, tu devrais faire attention, et faire des séances de rééducation. Je la regarde, surpris. Qu’entend-elle par là? Tu ne sais pas faire? Laisse moi faire, alors.Vous pensez bien que je la laisse faire. La voilà qui enlève mon t-shirt et je me retrouve immédiatement torse nu. Elle prend dessous les magazines la ceinture de mon peignoir de bain (tiens, que fait elle là? Un oubli du rangement ou alors…). Je me demande bien ce qu’elle veut en faire.— Mets tes mains dans le dos, je vais les attacher pendant un petit moment. Tu verras, c’est indispensable. Bon, allons y, les mains dans le dos, elle les attache sans trop serrer. Et interdiction de les enlever sans mon ordre, OK?— Ça marche, je te fais confiance.Me voilà donc torse nu, en jeans, les mains attachées dans le dos par la ceinture de mon peignoir.Et surprise, elle se recouche sur mon lit, et continue à feuilleter les journaux. Une différence toutefois, elle ouvre son jeans, et passe une main dans sa petite culotte blanche et grise en coton.— Tu m’excuseras, mais je ne peux plus tenir.Et là voilà qui commence à se caresser ouvertement devant moi, sans hésitation. Et moi, je suis là comme un con, debout près d’elle les mains attachées dans le dos. Je fais mine de bouger, mais elle se retourne en fronçant les yeux « On n’enlève pas les mains de la ceinture. Compris? Sinon, la thérapie va échouer. » Le ton ne prête pas à discussion. J’aperçois quelques poils de son sexe qui dépassent du haut de la culotte, mais je suis excité et doublement frustré : mon sexe ne peut pas prendre tout l’ampleur qu’il veut, coincé par mes habits, et je ne peux pas aider Sandrine, puisqu’elle m’interdit l’utilisation de mes mains.Quelques instants plus tard, elle abandonne sa culotte, et remonte son t-shirt pour passer vers ses seins. Mon excitation ne fait qu’augmenter quand j’entraperçois le bas de son soutien-gorge. Ma bite me fait presque mal, compressée dans mon pantalon, et je bouge un peu dans tous les sens pour essayer de lui laisser prendre une place plus favorable dans mon pantalon. Elle remarque mon jeu et s’approche de moi, abandonnant ses lectures, laissant son t-shirt retombé, mais son jeans toujours ouvert me permettant de voir sa culotte.— C’est trop serré là dedans?— Un peu oui, tu vois qu’il fonctionne bien encore.— On dirait oui, mais je ne suis pas sûre que tu sois complètement guéri. Allez, je suis bonne, je vais te libérer.Je m’attends à ce qu’elle défasse mes liens, mais que nenni, elle se dirige vers mon jeans et le descend, tirant mon slip en même temps. Pour le coup, je suis libéré (enfin, surtout mon sexe) mais je ne m’attendais pas à ça. Ma bite se propulse dans l’espace libre, bien tendue.— En effet, je vois que ça a l’air de bien aller. Continuons pour voir.Me voilà complètement nu devant elle, la bite au garde à vous et les mains dans le dos. Elle reprend sa lecture, mais seulement après avoir enlever son t-shirt et libérer ses gros seins de son soutien-gorge. Ils sont vraiment toujours aussi beaux ses seins…Elle les caresse avec douceur, me rendant de plus en plus fou d’excitation. Pire, là voilà qui commence à me commenter les images des magazines.— Pas mal cette photo. Les nanas sont vraiment très expressives et la queue du mec est impressionnanteou— Humm, la langue de ce petit barbu sur le minou, ce doit être génial.Quand ce n’est pas des questions— Ça t’excite de voir 2 femmes qui se lèchent le minou? Hein, réponds mon chéri (tiens, elle m’a appelé « mon chéri »)Imaginez la torture inhumaine : être nu devant une nana super mignonne qui se caresse les seins en gémissant et en commentant les photos pornos qu’elle regarde avec envie… Tout ça, sans pouvoir faire le moindre geste de masturbation…Quelques minutes de ce traitement, et elle remarque enfin ma « détresse ». Mes couilles me semblent exploser, et je sens que je vais pouvoir jouir sans même me toucher. Elle se lève vers moi, se plante devant moi et retire son pantalon « Il m’embarrasse un peu, et puis il te cache la vue un peu, non? Ce n’est pas trop dur comme traitement médical, mon chéri (2ème fois qu’elle m’appelle mon chéri, je suis aux anges). C’est bien en tout cas, tu résistes bien. Bien sûr, si tu jouis trop vite, j’arrête tout immédiatement et tu pourras toujours attendre pour revivre du « porno live ». Allez, je retourne à mes magazines, il m’en reste encore un. À tout de suite, mon cœur (hou là, je suis passé du statut de chéri à celui de cœur) »Et la voilà qui repart vers le lit, en petite culotte moulant bien ses fesses rondes, musclées et blanches, non sans m’avoir infligé une petite dose supplémentaire en frôlant de ses doigts mon sexe tendu. Ça devient effectivement du « porno live » quand elle reprend sa lecture et qu’elle glisse sa main dans sa culotte, écartant le fin tissu me permettant ainsi d’avoir une splendide vue sur sa chatte que je découvre (lors de nos premières rencontres, je n’avais fait que la toucher…). Ses poils sont déjà bien brillants de son excitation, et ses lèvres roses frémissent de plaisir. Elle reprend sa lecture et ses commentaires, en les personnalisant de plus en plus— Et ça, tu l’as déjà fait toi? Je suis sure qu’il faut des mecs super souples pour y arriver (elle me montre une photo avec une nana prise en sandwich). En tout cas, il faut aimer la sodomie, et personnellement, c’est pas trop mon truc. Et toi, tu aimes enfiler une nana par là?— Je l’ai fait une fois, et je dois dire que je préfère un sexe bien juteux.— Tu l’as déjà fait. Raconte moi donc.Et me voilà piégé, à devoir raconter une histoire passée, à devoir repenser à ces moments qui avaient été fort agréables malgré tout, à devoir m’exciter encore un peu plus. D’autant plus que Sandrine ne chôme pas et continue sa masturbation, ajoutant une petite dose de difficulté. Mais je tiens. Je ne jouis toujours pas, même si ça devient de plus en plus difficile.Ouf, elle a fini sa lecture. Déjà près d’une demi-heure que je suis planté là, le sexe tendu et excité, les mains dans le dos. Ça devient de plus en plus inhumain. Mais si elle a fini sa lecture, l’excitation va peut être retomber un peu… Pensez-vous… Elle a tout prévu, et se levant du lit, quittant la culotte trempée et désormais inutile, elle me dit de l’accompagner, qu’elle veut prendre une douche pour se remettre du voyage. Et bien sûr, elle veut que j’y assiste… Nous voilà donc partis vers la salle de bain. Assez étroite avec les toilettes au fond et une douche de l’autre coté, nous y sommes assez serrés, moi toujours nu les mains dans le dos, et elle nue également mais avec sa trousse de toilettes à la main. Elle se dirige vers le WC et s’assoie dessus. « Excuse moi, mais avant de me doucher, je fais toujours mon petit besoin » et sans plus de formalités, les jambes bien écartées pour que j’en profite bien, là voilà qui fait son pipi. Le jet sortant de son minou ouvert ne fait que réchauffer ma température interne. Se relevant, elle insiste un peu en disant « Dommage que tu aies les mains liées, je suis sure que tu aurais aimé m’essuyer le minou. Ce sera pour une prochaine fois… » Et avec son petit sourire, elle se dirige vers la douche qu’elle commence à actionner, me laissant planté, debout, au milieu de la salle de bain. J’ai l’air malin, avec ma bite qui durcit et enfle de plus en plus sous la pression de l’excitation, et Sandrine qui continue sa thérapie perverse. J’ai peur que la séance ne se termine bientôt : je me vois mal tenir encore bien longtemps à ce rythme là. Je sens déjà la sève qui remonte dans le tuyau. Et ce n’est pas de la voir nue, en train de se doucher qui va arranger les choses, croyez moi. Je dois avoir les joues rouges, tellement elles me chauffent et les yeux tellement brillants. Et Sandrine qui continue sa toilette, passant son gant entre ses cuisses, se tournant pour me montrer son derrière et passer le gant dans la raie de ses fesses blanches. Par pitié, Sandrine!!. Mais je ne dis rien : j’ai trop peur que le spectacle s’arrête.— Quelle heure est il, Sylvain, s’il te plait?— Voilà qu’elle me demande l’heure en prenant sa douche maintenant. Bon un coup d’œil sur l’horloge : C’est 6h15— OK, alors approche toi, s’il te plait. Viens sous la douche.J’entre sous la douche que Sandrine a arrêtée. Mon sexe est à présent à moins d’un centimètre d’elle, et je sens la chaleur de son ventre à proximité.— Je dois reconnaître que tu as fait très fort jusque là. Ça mérite une petite récompense. Je vais te libérer un peu.Pas de fausse joie, j’ai déjà cru à la libération des mains tout à l’heure quand elle m’a « libéré » de mon pantalon). Je la remercie du compliment et la vois se mettre à genoux devant moi. Elle prend mon sexe à deux mains et le branle un ou deux coups. Vous vous en doutez, ça devient de plus en plus difficile à tenir. Heureusement, elle ajoute dans la foulée « Et tu peux jouir à présent. Je t’y autorise. Au delà, ce ne serait plus une thérapie, mais une torture » Elle a des mots je vous jure… Et cette autorisation tant attendue produit son effet. Avec l’action conjuguée de ses caresses sur mon sexe, je me libère violemment, expulsant une quantité incroyable (je ne m’en croyais pas capable en tout cas) de sperme sur son visage et le haut de ses seins. Elle lèche ses babines crémeuses et porte ses mains à son sexe. Elle me rejoint instantanément dans un état de jouissance avancé. Que c’était bon… Mais je sais que le show va se terminer et mes liens se relâcher… Enfin, je crois que…A suivre…