RETROUVAILLES SURPRISEPROLOGUECe prologue n’est qu’un prologue. Certains ne vont pas le trouver assez érotique à leur goût (mais il s’y passe des choses…). La suite de l’histoire arrivera un jour prochain. Ne désespérez pas…Avant de vous raconter l’histoire de ces retrouvailles, il faut que je vous dise deux mots sur mon passé pour que vous saisissiez tout.Deux ans avant ces retrouvailles, j’étais étudiant juste après le bac, dans la ville de mes parents et je vivais toujours chez eux. Je bossais comme un malade et seules les soirées étudiantes marquant le début des vacances égayaient ma vie de moine. C’est lors d’une de ces soirées que j’ai rencontré Sandrine. Elle était venue avec une copine de ma classe, mais comme elle faisait ses études ailleurs, elle ne connaissait pas grand monde. Durant les préliminaires de la soirée chez un copain, j’ai rapidement repéré cette petite blonde, pas très élancée, avec des cheveux longs qui descendaient sur les épaules. Elle était habillée de façon assez élégante tout en restant cool mais guère sexy (elle avait un jean noir et un chemisier avec un gilet d’après mes lointains souvenirs). Je suis rapidement rentré en contact avec elle, car elle ne semblait guère farouche et acceptait volontiers la conversation, et nous sommes allés à la soirée en discutant durant tout le chemin. La soirée commençait bien.Et elle a bien continué. Quelques danses où je me ridiculisais allègrement. Quelques pauses où on se rapprochait de plus en plus. Finalement, lors d’un slow, elle prit les devants et m’embrassa à pleine bouche. Que c’était agréable comme baiser. La fin de la soirée se passa en béquotements et quelques attouchements (très légers), car à mon grand désespoir (et au vôtre…), elle refusait d’aller très loin, m’empêchant même de lui caresser les seins qui semblaient pourtant fort accueillants… Quand la soirée se termina, elle me demanda mon numéro de téléphone, me disant qu’elle n’en avait pas mais que je pouvais toujours faire passer des messages par notre copine commune qui se chargerait de transmettre… Pratique comme communication…Les vacances passèrent là dessus (avec quelques séances de plaisir solitaire en repensant à la belle). À la rentrée, je prenais mon courage à 2 mains et j’écrivais un mot à lui faire passer « Sandrine, j’ai pensé à toi pendant toutes les vacances. Je veux te revoir. Lundi prochain, c’est mon anniversaire, je t’invite à prendre un pot. RV… ». 2 jours après, la copine commune me rendait un papier de Sandrine « OK pour moi ». Romantique, n’est il point…Bref, vous aurez compris. Voilà une relation, qui bien que très tentante, s’annonçait fort compliquée (d’autant plus que la vie commune avec mes parents ne facilitaient rien).Heureusement, le lundi suivant était un jour de manifestation des étudiants, les cours avaient donc fini plus tôt et j’ai eu l’agréable surprise de voir Sandrine à la sortie du bahut qui m’attendait. « Je me suis dit que si tu finissais plus tôt, c’était bête de se rater » et nous voilà donc partis vers un bistrot du quartier pour boire à mon anniversaire. Bla, bla et reblabla sans intérêt, elle dit un moment qu’elle trouvait ce bistrot nul et qu’elle m’invitait boire un coup supplémentaire chez elle. Vous vous doutez bien que je ne pouvais que la suivre…Nous voilà donc enfin chez elle (et oui, enfin…). Un petit studio en rez-de-chaussée fort sympathique. Je visite brièvement, et toujours aussi timide, je ne fais rien de plus (on ne s’est pas fait même un baiser depuis le depuis de l’après midi). On s’assoie sur le lit et on parle de choses et d’autres. Après coup, je me dis que son comportement montrait alors un peu d’exaspération et d’impatience, mais à l’époque, je ne connaissais pas grand chose aux réactions des gens. La voilà qui prend Télé Z et commence à le feuilleter.— C’est pas vrai. Toujours pas— Et quoi donc?— Dimanche soir sur M6, il n’y a toujours pas de film érotique. L’an dernier, il y en avait pleins et je ne pouvais pas les voir à cause de mes vieux et depuis que je suis tranquille chez moi, il n’y en a plus. Ça craintCette fille me parlant de films érotiques balaye enfin ma timidité et je me jette sur elle pour l’embrasser. Bien entendu, elle n’attendait que ça et elle répond volontiers à mon baiser, et nous voilà partis pour un baiser digne des films américains des années 50. Ma main s’aventure vers ses seins, et là , pas de réactions (alors qu’à la soirée, elle m’avait refusé toute avance de ce type). Elle m’invite même à relever son t-shirt et je découvre son soutif bien rempli par deux seins plutôt volumineux et très tentants. Je finis de les dévoiler pendant qu’elle s’occupe de ma chemise et me met moi aussi torse nu. Et le baiser reprend. Nos mains parcourent notre corps. Je sens ses tétons se raidir sous les caresses de mes doigts. Mes mains découvrent son ventre. Les siennes s’amusent des poils de mon torse. J’arrive à son jean et je marque une pause. N’allons pas trop vite. Hop, je remonte m’occuper de ses superbes seins; puis de son cou et de sa nuque. « Hummm… un peu lent au démarrage mais très caressant » me murmure t elle en faisant sa chatte. Nos bouches ne se quittent que pour gémir des caresses de l’autre. Je me décide qu’il est temps d’essayer d’aller plus loin, et redescendant vers son jean, je fais sauter un bouton pour tenter de passer ma main. Pas de résistance. Me voilà au contact de sa petite culotte. Je passe dessus ou dessous? Allez, un petit tour dessus pour tester les envies de ma belle. Ce que je sens à travers la culotte me paraît fort appétissant et fort chaud. Je tente de passer un doigt par le côté sous l’élastique. Non seulement Sandrine ne râle pas (à ma surprise quand même), mais elle écarte les cuisses pour que j’ai un accès plus facile à son petit trésor. Voyant la tournure que prend les choses, elle n’hésite pas à m’imiter et, détachant les boutons de mon pantalon, fait sortir mon sexe bien tendu de son étui. Elle commence un lent mouvement de va-et-vient qui ne me laissent pas insensibles et qui m’incitent à l’imiter.Mon doigt part donc à la découverte de nouveaux horizons et se fraye un chemin entre les poils de son pubis en direction de sa grotte débordante de plaisir. Pendant un long moment, on va rester ainsi, se masturbant mutuellement, nos bouches réunies. Nos souffles se font de plus en plus courts et je sens mon excitation augmenter de plus en plus. Malheureusement, Sandrine est la première à jouir, et je la sens se contracter en même temps que mes doigts s’humidifient. Game Over, on se sépare l’un de l’autre et je lis dans ses yeux (comme elle doit lire dans les miens) une bonne dose de plaisir. On reste là encore un bon moment, sans dire un mot, à se caresser doucement du bout des doigts les épaules ou les bras. Elle est belle et désirable…. Mais cela restera un vain mot, car l’heure tourne et je dois rentrer… J’en suis quitte pour une séance solitaire le soir dans mon lit pour me calmer. Ma « performance » lors de cette après midi fera en sorte que mis à part un coup de téléphone 2 jours plus tard, je n’aurais plus aucune nouvelle de Sandrine pendant 2 ans… Jusqu’au jour où…Mais je dois présenter l’autre personnage important pour la suite au cours de cette deuxième partie de prologue. Durant ces 2 ans, j’ai vécu quelques aventures. J’ai surtout quitté ma ville d’origine pour poursuivre mes études dans une grande ville du Sud Ouest et j’ai enfin pu avoir une vie plus libre, loin des questions embarrassantes de mes parents. Et je me suis rattrapé. Ça faisait quelques mois que je vivais cette nouvelle vie quand j’ai rencontré Stéphanie au cours d’une soirée étudiante. Mon sens de l’observation ne pouvait rater cette petite blonde menue, qui semblait seule à la soirée. Quelques mots bateau. Une conversation qui s’allonge, un visage qui sourit, et me voilà embarqué dans une nouvelle aventure. La soirée inaugurale s’est terminée par des pelotages en règle dans ma voiture, et la promesse de se revoir. Et que c’est facile de se revoir quand les 2 personnes sont libres et facilement contactables. La semaine suivant cette soirée, malgré les partiels qui avaient envahi mon emploi du temps, j’ai passé quelques moments coquins (mais sans plus…) avec Stéphanie. Moments qui m’ont permis de découvrir certaines facettes de sa personnalité et ses petits seins tout pointus. Et puis au retour d’une semaine de vacances au ski, plus de nouvelles. La dite Stéphanie semblait avoir disparu de la circulation. Pas de réponse au téléphone, pas de réponse à mes lettres. Juste une rose le jour de la St Valentin au retour de mes vacances…Bref, quand le téléphone sonna ce samedi après midi d’avril, j’étais célibataire depuis 2 mois et je devais bosser comme un malade pour rattraper les mauvaises notes que j’avais eu aux 1ers partiels (à cause de ma relation avec Stéphanie)… Et je ne m’attendais pas à ce que le téléphone m’annonce de telles choses… A suivre…