Quelque part en Allemagne, je roule vers le sud, un long voyage sur autoroute. La pluie n’a pas cessé depuis ce matin, et même en roulant prudemment j’ai dû redoubler d’attention au milieu d’une marée de camions soulevant un brouillard d’eau Il fait presque nuit et les paupières sont lourdes, il me faut trouver un hôtel, n’importe lequel, enfin se reposer…Je prends une bretelle à droite j’arrive devant un complexe hôtelier comprenant plusieurs établissements, je choisis celui qui me semble le plus chic, au bout d’une allée bordée de sapins, autant passer une nuit confortable et tranquille.La réception est sympathique, je suis accueilli par une jeune femme blonde plutôt jolie, la trentaine, j’ai été seul toute la journée et j’en profite pour bavarder un peu avec elle. Je lui dis bonsoir et je lui demande si elle est de la région, rien que de très banal, mais j’aime son timbre de voix et son regard très doux. Elle est plutôt avenante et elle me répond qu’elle travaille ici de temps en temps comme hôtesse d’accueil. Nous échangeons des phrases convenues, je me débrouille assez bien en allemand mais mieux dans le langage technique et professionnel que pour draguer les dames ! Je lui parle de la France, ce qu’elle apprécie, elle a déjà passé des vacances sur la côte atlantique, elle aime marcher sur les grandes plages des landes , elle et son mari sont naturistes et ils apprécient le climat atlantique, la pluie et la fraîcheur de l’eau leur plaisent. Elle me donne mes clefs en souriant et je vais poser mes affaires dans la chambre puis je redescends à la cafétéria manger un morceau, c’est correct mais sans imagination, de toute manière je ne suis pas ici pour faire du tourisme gastronomique .Je reviens d’un stage professionnel d’un mois et j’ai envie de me détendre après une longue journée de conduite depuis Berlin. En fait je suis fatigué mais je n’ai pas vraiment sommeil, c’est normal, après ce genre d’effort on a envie de décompresser. Depuis ma table j’ai vue sur le hall d’entrée et j’observe l’hôtesse, elle sent mon regard se retourne et me sourit.Durant mon stage, ma solitude forcée ne m’avait pas affecté tant j’étais occupé par mon travail, et le manque de relations sexuelles ne m’avait pas vraiment fait souffrir, en plus je savais que j’allais me retrouver seul chez moi mon épouse étant très souvent absente pour des raisons professionnelles. En fait nous n’avons presque plus aucune attirance, notre vie de couple s’est peu a peu réduite . Je me suis lancé à fond dans ma vie professionnelle pour éviter la déprime. À présent c’est différent, j’ai du temps pour moi et je peux enfin me détendre. Brutalement ma solitude me pèse, et. je trouve la fille de l’accueil tout à coup terriblement attirante. Au début je ne l’avais pas vraiment regardée, mais maintenant je l’observe avec délectation, elle est habillée plutôt classe, sans ostentation, tailleur gris anthracite et corsage blanc boutonné, bas fumés noirs, escarpins vernis avec des talons hauts. Sa tenue chic permet quand même de remarquer de jolies jambes bien dessinées sous la jupe un peu courte du tailleur . Les boutons juste un peu tendus du corsage révèlent une poitrine opulente, je me dis en moi même que j’aimerais bien la caresser et plus, mais allez ! il faut rester sage, demain j’ai encore de la route à faire tout ça n’est qu’un fantasme d’homme seul. Je monte me coucher sans enthousiasme. Je reste un moment à regarder la télé mais rien ne m’intéresse, en fait je pense à cette fille, son sourire me trotte dans la tête : j’ai été bête de ne rien lui dire, peut être qu’elle est seule et qu’elle aussi a envie de compagnie, son joli sourire était il un peu plus que commercial ? je vais au moins – et discrètement- lui proposer de la rencontrer, assez délicatement pour ne pas la choquer mais assez clairement pour qu’elle comprenne mes intentions, si toutefois elle partage mes désirs ; en fait je vais juste lui proposer de prendre un verre, on verra bien pour la suite! Je redescends à l’accueil mais je ne trouve plus ma belle hôtesse, à la place il y a un réceptionniste sans caractère particulier. Je lui demande si je peux joindre la fille, mais il sourit d’un air étrange et me répond qu’elle est repartie, elle n’habite pas à l’hôtel et elle vient seulement de temps en temps…Zut raté ! je remonte, je suis déçu, je m’étais déjà fait pas mal de cinéma ! mais en moi-même cette histoire me paraît bizarre et je me pose tout un tas de questions : est ce qu’elle travaille ici ou non cette fille, quel est son rôle exact dans l’hôtel, pourquoi le type de la réception a t’il eu l’air de se moquer de moi ? tandis que je débouche des escaliers pour prendre le couloir vers ma chambre j’ai une vision surprenante, un moment je crois rêver : ma gracieuse hôtesse est là , elle déambule dans le couloir, mais elle a légèrement modifié sa tenue ! elle a tout simplement enlevé son tailleur qu’elle a remplacé par un short en cuir ; oh mais attention, pas un costume bavarois en gros cuir, non, un petit truc verni noir qui lui moule les fesses et met en valeur ses jolies jambes! elle a toujours ses bas fumés et son chemisier, et comme çà elle est vraiment tout à fait sexy ! Elle frappe à la porte de la chambre voisine de la mienne qui s’ouvre et elle y rentre aussitôt, elle était visiblement attendue. J’ai eu juste un moment pour l’admirer et lui sourire, elle m’a répondu par un clin d’œil plutôt coquin . Je rentre dans ma chambre très perplexe … J’ai le cerveau en ébullition et le cœur qui monte en rythme, la vision du couloir n’a pas résolu mes problèmes de solitude et me plonge dans un océan d’interrogations et d’excitation les plus diverses ! qui est donc cette fille ? une professionnelle, dans un hôtel de ce niveau, ça alors ! l’Europe a encore bien des choses à m’apprendre !Tout à mes pensées je m’assois à la table située contre le mur qui me sépare de la chambre du voisin, les murs en question sont légers et j’entends vaguement une conversation assez animée je tends l’oreille, Quelles sont ses relations exactes à avec cet homme? Pour le moment, je n’entends plus rien, puis à nouveau des bruits et des soupirs qui m’indiquent que les relations de mes voisins sont devenues très intimes. La rencontre devient même très chaude : d’abord étouffés, les soupirs deviennent de plus en plus forts ainsi que les craquements du lit ! ça y est, ils sont en train de baiser comme des bêtes je suis d’abord plutôt surpris, puis brutalement ça m’excite, je suis privé de baise depuis plus d’un mois et j’ai a présent une folle envie de faire l’amour, Le type d’à côté se met à grogner sourdement, les grincements du lit indiquent que les affaires sont en bonne voie, puis le rythme se déchaîne , un vrai tremblement de terre, la conclusion est proche et peu après, un cri rauque et prolongé m’indique que l’homme a atteint son but, la belle hôtesse a eu raison de sa résistance ; ensuite c’est le calme après la tempête. En tous cas, c’est un rapide le gars, cela fait à peine un quart d’heure qu’ils ont commencé !, j’entends ensuite des bruits d’eau- elle doit se rincer la foufoune ! j’écoute avec délices, j’aime les choses simples de la vie et de l’amour ! Mais à côté, la discussion reprend, je ne parviens pas à comprendre mais le ton général est plutôt vif, l’entretien vire à l’aigre, la belle semble plutôt mécontente et l’échange se transforme vite en une altercation peu amène, Il est évident que le monsieur a bâclé son ouvrage- quel manque de savoir vivre- et que madame n’a pas eu ce qu’elle attendait mais il doit y avoir en plus un certain contentieux entre les deux amants pour que le ton soit monté si vite ! En tout cas les choses ne s’arrangent pas, je n’écoute plus car ça ne me regarde vraiment pas mais cela dure à mon avis bien longtemps ! – en attendant je me sens toujours aussi seul et j’en profite pour aller me doucher, ça me détendra avant d’aller dormir. Au moment ou j’étais prêt à aller me coucher il se produit un événement tout à fait imprévu, de ceux qui n’arrivent en général que dans les contes de fées ou les récits de rèvebebe, mais dont la réalité sait quelquefois être prodigue de manière aussi agréable qu’inattendue.J’étais assis sur le bord de mon lit en pyjama et plongé dans mes pensées ou plutôt mes fantasmes, en fait j’essayais d’imaginer ma belle hôtesse déshabillée en dessous sexy et me tendant les bras : j’ai tellement envie d’elle en ce moment…je suis alors surpris par un bruit léger, j’entends gratter doucement à la porte, quelle est cette souris insomniaque qui vient me rendre visite ? je vais ouvrir avec précautions et c’est la surprise, la revoilà ma jolie souris d’hôtel ! Elle est là, encore plus belle que je ne l’imaginais, moulée dans son minuscule short en cuir, le chignon un peu défait et les joues empourprées. Elle a l’air triste, je suis bouche bée d’émotion, j’étais en train de rêver d’elle nue et offerte me tendant les bras sur mon lit les seins gonflés de désir, mais de la voir en chair et en os – plutôt bien en chair je dirais même!- me paraît encore irréel, elle me parle, je suis tellement occupé à l’admirer que je n’écoute pas ce qu’elle dit, petit à petit je réalise qu’elle est vraiment là, elle répète sa phrase et j’atterris enfin, je remarque qu’elle a un léger roulement dans l’intonation (origine bavaroise ?) qui donne un certain charme à sa voix, un côté paysan qui tranche avec sa tenue ! Je réalise qu’elle me demande si elle peut rester quelques instants » parce qu’ elle a besoin de parler à quelqu’un et que ça va mal ! « . Elle est restée sur le pas de la porte et dans ma surprise je ne lui avais même pas proposé de rentrer! » Entrez Mademoiselle, excusez ma tenue, j’allais me coucher, mais moi aussi j’avais envie de vous parler « – » Non, pas Mademoiselle, Madame j’ai deux enfants vous savez, mais je suis divorcée … non, vous ne pouviez pas savoir, mais cela ne fait rien , je vous expliquerai… ». »Si vous le permettez, je crois qu’il y a une petite bouteille de champagne dans le réfrigérateur, si cela vous fait plaisir nous pourrions la boire ensemble. J’ai un peu honte de vous proposer cela, mais vous avez l’air toute retournée et je pense que cela vous remontera » »oui je veux bien , j’adore ça et là j’en ai bien besoin! »Mon cœur se met à battre à toute allure, ce que je peux être sentimental tout de même! Ma réponse me surprend par son audace ! « Oh oui Bien sûr! C’est une excellente idée et j’ai très envie de vous connaître car je vous trouve tout à fait charmante! » -Zut, j’espère que je n’y vais pas trop fort, et qu’elle va accepter, et surtout j’espère qu’elle ne lit pas dans mes pensées ! Si c’était le cas elle aurait entendu ceci: « Oh oui j’ai très envie que tu restes ma chérie, j’aime ton sourire tu es jolie et en plus tu as de belles cuisses et de gros seins qui commencent à me faire bander dur, j’ai très envie de te baiser et de terminer ce que mon voisin vient de gâcher, si tu acceptes tu ne vas pas être déçue! » .Carla – c’est son prénom me déballe alors toute son histoire et il y en a pour un long moment. En fait celle-ci est d’une banalité affligeante: elle s’est mariée très jeune et son mari l’a plaquée quatre ans après en lui laissant les deux enfants à élever, heureusement depuis sa séparation elle habite chez sa mère veuve qui est ravie de s’occuper d’eux ; elle a trouvé ici un travail comme hôtesse d’accueil, c’est assez mal payé mais elle s’en tire bien en faisant des heures de nuit.Cela fait plus d’un an qu’elle est divorcée, son ex mari était originaire d’un pays de l’est ou il est retourné vivre avec une « ex » et depuis elle n’a plus de nouvelles. La procédure de divorce traîne, elle a fait un peu de déprime…pour se consoler, elle a accepté les avances d’un voyageur de commerce, – justement celui de la chambre à côté – qui l’a draguée dans l’hôtel une nuit ou elle était de service. La solitude, la déprime, il l’a baratinée, lui promettant de divorcer pour l’épouser et elle s’est donnée à lui. Ils se voient régulièrement ici car elle ne peut pas décemment l’accueillir chez sa mère! Au début cette liaison était très agréable, Rolf était aux petits soins pour elle et il l’aidait un peu financièrement et puis, il a changé, ou plutôt, il est hélas redevenu lui-même, plutôt égoïste et surtout pas du tout décidé à quitter son épouse. Il vient de plus en plus rarement et en coup de vent. Elle n’était pas naïve, mais la déprime l’avait rendue terriblement vulnérable. Là elle venait de s’emplâtrer une fois de plus avec lui sur le même sujet, il refusait bien entendu toujours de divorcer. En plus elle m’avoue qu’il n’est plus très gentil avec elle, contrairement au débuts de leur liaison, il a tendance à présent à lui faire l’amour comme un lapin ce qui n’arrange pas leurs relations. En fait il lui a avoué qu’il fréquentait de plus en plus les eros center et qu’il se satisfaisait de faire l’amour avec des putes vite fait mal fait! Je pose une question qui n’est pas très à propos mais qui me brûle les lèvres: « Dis moi Carla, explique moi pourquoi tu es habillée comme ça? » – » Ah, la petite tenue sexy, ça c’est pour faire plaisir à Rolf, ça l’excite – et moi aussi tu sais je me sens belle habillée comme ça, mais j’en ai assez de lui et de ses fausses promesses je sens qu’il m’abandonne et à présent j’ai décidé de le larguer pour de bon. Mais toi, qui es tu, parle moi un peu de toi, tu es marié bien sûr? Un type gentil comme toi doit être nécessairement marié pas vrai? »Je lui parle de moi en toute franchise, effectivement je suis marié, j’ai deux enfants, mon couple est un peu à la dérive mais je ne tiens pas à le détruire à cause des enfants ». » Je sais, j’ai vu ton alliance mais j’ai aussi deviné à la manière dont tu m’as parlé que tu étais un chic type, c’est pour ça que je suis venue te voir, tu as l’air sympa, j’ai besoin de tendresse ce soir, rassure toi, je n’ai pas envie de me marier avec toi enfin pas pour tout de suite!… peut être juste un peu pour ce soir! Cela ne te gène pas j’espère? »-petit clin d’œil de la jolie Carla!- , mon cœur bondit dans ma poitrine ouf, là elle m’a touché, pan, direct! je suis presque KO! Je ne réfléchis pas, il y a dans la vie des situations ou il faut se lancer sans hésiter, voici un cadeau merveilleux et inespéré, il faut l’accepter et le mériter , courage Etienne! D’un autre côté j’hésite un peu, elle est venue me voir pour se consoler du comportement désolant de son amant, au fond, si cela avait été n’importe qui d’autre à ma place elle aurait agi de la même manière, je n’ai vraiment aucun mérite à la séduire! Mes scrupules ne résistent pas longtemps aux charmes épanouis de Carla! Elle a des arguments qui m’encouragent vivement à accepter ses douces propositions! mais en fait j’ai toujours un peu peur de la choquer avec ses manières de mère de famille bon chic bon genre qui contrastent singulièrement avec sa tenue! Tout en parlant avec moi, elle s’est assise en tailleur sur le bord du lit cette position jambes croisées met en valeur ses belles cuisses rondes, elle est très cambrée et fait ressortir sa poitrine, les boutons de son chemisier sont tellement tendus que j’ai peur d’en prendre un dans l’œil à tout moment si le fil venait à craquer! Cela fait un moment que je mate ses seins et je me suis mis à bander de plus en plus dur et ma queue tend à présent mon pantalon de pyjama en avant . En fait je ne fais rien pour cacher mon érection, j’ai très envie qu’elle remarque l’excitation qu’elle provoque en moi. Effectivement ça a l’air de fonctionner comme je l’espérais: bien que Carla ne semble pas tombée de la dernière pluie, ses joues se sont légèrement empourprées lorsque son regard s’est posé sur moi, quand elle a vu mes yeux briller et le reste! Son attitude semble alors changer complètement et elle n’hésite pas à se montrer nettement plus entreprenante! Elle m’invite à venir près d’elle, elle semble regarder la pluie qui bat la fenêtre – il n’y a pas de volets- mais elle me laisse m’approcher et la prendre par les épaules, son chignon laisse son cou gracieux à disposition de mes baisers, elle rit, elle glousse, je sens que nous partons vers un entretien qui n’a vraiment plus rien de protocolaire, les mains et les lèvres succèdent aux mots et la communication se fait aussitôt avec beaucoup plus d’intensité. Je me mets contre elle et je l’embrasse à présent sur les joues en lui caressant les fesses, elle est parfumée comme un matin de printemps, parfum discret avec un soupçon de vanille. Je suis trop bien et elle aussi je crois, je sens qu’elle se laisse aller, elle se tourne vers moi, nos lèvres se cherchent, et se trouvent merveilleusement, on s’embrasse à pleine bouche langues mêlées haletants, je la serre contre moi, je sens sa poitrine pointer contre mon torse, je bande à présent comme un fou. Je commence a la caresser, sans hâte. Nous sommes assis sur le bord du lit, je la prends par les épaules et je l’enlace en lui embrassant tendrement le cou et les oreilles puis les joues le rebord des lèvres, elle ferme les yeux, elle se laisse aller, la tête en arrière, je l’embrasse sur le front j’ai empaumé un de ses seins et je commence à la peloter à travers son corsage, elle a la poitrine ferme ses tétons se dressent et durcissent …Nous basculons, allongés sur le lit et je l’embrasse de nouveau goulûment en lui pelotant ses gros nibards, de son côté elle a introduit sa jolie main potelée dans mon pyjama et elle me caresse la queue avec une douceur experte! La conversation est réduite à des soupirs et à des froissements de tissu, le désir monte, au bout de quelques minutes je sens ma queue prête à éclater, j’ai faufilé ma main sous le petit short en cuir et écarté le string de dentelle pour caresser la moule pulpeuse de ma belle compagne, elle est de plus en plus humide et nous avons tous les deux envie d’aller plus loin! »J’ai envie de me mettre à l’aise, si tu permets une minute! » et la coquine retire son short en cuir et sa culotte puis déboutonne son joli chemisier en dentelle, une superbe poitrine apparaît, à la fois généreuse et ferme encore moulée dans la dentelle mauve de son balconnet, le spectacle est éblouissant , je me suis dénudé en un instant, ma queue est dressée au garde à vous pour saluer la belle!, nous buvons le reste de nos coupes de champagne et nous continuons notre entretien tout à fait intime. Carla a tout de suite vu que j’admirais ses seins avec avidité, elle se prête au jeu avec une certaine fierté: » ils te plaisent mes deux trésors! » et alors elle se tourne d’un côté puis de l’autre faisant passer et repasser le balconnet d’ou débordent ses seins pigeonnants, je n’ai jamais vu plus beau spectacles et je la félicite « très bien, mais attends, je vais les libérer pour toi puisque tu aimes ça, mais tu vas être surpris! » joignant le geste à la parole, elle passe ses mains dans son dos et dégrafe le soutien-gorge, ses seins jaillissent comme deux obus dont ils ont d’ailleurs la forme, la surprise c’est qu’ils tiennent bien droits même sans soutien-gorge et la cerise sur le gâteau si j’ose cette image, ce sont les tétons qui pointent au milieu des larges aréoles a peine plus foncée que sa peau, ils sont gros comme des fraises et exceptionnellement longs; je me jette dessus avec beaucoup de douceur et d’empressement, je suce les jolis tétons je flatte, je caresse , je malaxe tendrement ses deux obus à la fois tendres et élastiques, un vrai bonheur.A présent je n’ai plus qu’une idée, l’allonger et la baiser comme elle semble en avoir furieusement envie! Le moment tant attendu des caresses et du plaisir sont venus Je suis en admiration devant autant de beauté, elle a défait ses cheveux qui lui coulent à présent sur les épaules comme une fontaine blonde, ses seins aux tétons gonflés sont dressés fièrement, elle me sourit, un sourire qui est aussi un encouragement. Je la prends par la taille et je l’entraîne sur le lit, elle s’allonge jambes écartées j’ai trop envie de lui lécher la chatte, elle a un merveilleux abricot tout rose sa fente est pulpeuse et humide, délicieusement parfumée, elle a bon goût dans tous les sens du terme! Carla est très sensible et elle se met à gémir et à soupirer! Je la lèche très soigneusement durant près d’un quart d’heure, alternant les coups rapides sur les lèvres et le bouton et les longues pénétrations, langue pointée dans son vagin. Pour varier l’opération je lui mets le doigt dans la fente et je la ramone doucement puis de plus en plus franchement, elle se détend et se laisse faire, haletant de plus en plus fort: manifestement elle adore ça! J’en profite un max pour bien la chauffer et je la masturbe doucement, je suis à présent nu, Carla admire ma queue qui bande bien, arquée avec le gros gland qui lui fait bonjour! Sa jolie main potelée vient me caresser a nouveau avec douceur et adresse. En échange de mes caresses elle me prend par les fesses et me fait pivoter pour que je vienne l’enjamber, je suis à genoux sur elle en lui suçant la fente, mon membre pointé vers sa bouche, sans hésiter elle commence à me sucer goulûment le membre, ça m’excite doublement de la voir me prendre la queue dans ses jolies lèvres et de voir trembloter sa superbe poitrine, les tétons bien gonflés montrent qu’elle est déjà haut dans le plaisir! La fellation est divine elle me lèche bien le gland puis me pompe et m’engloutit à fond je sens ses lèvres douces c’est très progressif et très jouissif!notre séance de 69 m’a semblé durer très longtemps, le plaisir se répandant en nous doucement , nous savourons pleinement nos sensations mais brutalement notre excitation monte…A partir d’un certain degré, on a trop envie de baiser tout le deux, elle se remet en position sur le dos jambes écartées au maximum et dans un râle elle murmure d’une voix grave déformée par le désir: « Oh viens mon chéri vas y mets moi ta grosse queue enfonce toi en moi je veux te sentir en moi » Et là je m’approche je l’embrasse et je la pénètre doucement…A ce moment là Carla tressaille, le contact du gland contre sa fente lui fait éprouver un spasme de plaisir, elle gémit et m’attire plus étroitement contre elle, C’est tellement bon! Carla me serre bien la queue, je la lime longtemps je sens une douce chaleur m’envahir, ça commence à venir j’accélère et je baise plus profond , elle se met à crier de plaisir alternant ses petits cris avec des halètements, elle adore baiser elle est super chaude, qu’est ce qu’elle me fait jouir! J’en profite un maximum, dès que je bouge un peu plus fort elle crie me signalant que les mouvements de ma queue lui procurent un surcroît de plaisir, si au contraire je ralentis mes coups de bite, aussitôt elle m’invective « allez chéri, vas y baise moi plus fort encore vas y ne t’arrête pas… ».On est tellement bien ensemble, on se devine bien on a l’impression d’être amants depuis des années…Carla a de l’expérience et elle a envie de faire durer l’opération! alors on change de position. Elle relève ses cuisses très haut pour me monter son cul superbe et bien potelé, moi ça me fait durcir le gland un max et je me mets au bord du lit je lui mets le membre contre sa fente et je pousse doucement , ça rentre facilement tellement elle est lubrifiée. On est super excités, je lui prends une cheville dans chaque main, je suis debout et je m’enfonce profondément en elle, ses gros seins ballottent sous mes coups de pine, je sens que Carla a envie de jouir, elle gémit « je viens chéri ça y est je viens, oh encore, je veux sentir la giclée chéri! » elle remue pour me faire jouir, je résiste un moment on est tous les deux au paroxysme, déchaînés haletants et en sueur elle a envie de l’orgasme et moi je veux encore la baiser, on se traite de tout, on est trop excités tous les deux! « Ah toi salaud, maintenant tu vas me juter dans ma chatte, allez oui tout de suite , je veux ton jus , allez gicle moi dedans et mets moi tout, oh je jouis trop allez viens viens! » . Mais là je sais qu’elle est soumise elle a un besoin infini de moi et je m’amuse a ralentir mes mouvements malgré ses protestations. D’ailleurs elle ne proteste plus, chaque coup de mon membre dans sa chatte hypersensible lui arrache tantôt des cris tantôt des gémissements elle me prend par les fesses pour m’attirer contre elle dans une pénétration profonde son visage grimace de plaisir, elle remue alors son cul comme une folle pour bien frotter son vagin sur ma queue et elle ne tarde pas à se faire jouir sans retenue! Je sens les contractions du vagin , tout son bas ventre est parcouru de spasmes qui serrent délicieusement mon membre, c’est trop, je n’arrive plus à résister, je suis en train de venir moi aussi, j’ai trop envie de me laisser aller et aussitôt je jouis aussi! « Oh que c’est bon oh ouii, Ah Carla! tu me fais jouir tu es une pute, tu as réussi a me faire juter salope je vais me faire jouir en regardant bouger tes gros nibards tu m’as trop excité tiens prends ma grosse queue prends ma giclée prends moi tout! Et je jouis longtemps avec de longues saccades, je sens mon jus partir en gros jets dans l’étui de Carla, j’ai envie de cette libération et je pousse ma queue en avant au maximum, mon gland s’agite dans sa chatte et la fait encore une fois trembler de jouissance! Je reste un moment tellement c’est bon d’être ainsi apaisés l’un dans l’autre. Elle me repousse mais pour mieux apprécier mon reste d’érection, elle me prend la queue et m’enlève le préservatif pour sucer le sperme qui macule mon gland! Elle est trop bandante, ma queue se redresse bien vite, assez pour qu’elle me branle , en même temps elle se caresse la fente, décidément cette fille est une furie insatiable, mais c’est tellement bon! Et puis c’est la surprise, elle se retourne et se met a genoux, la vue de son cul avec ses jolies fossettes me fait rebander au maximum, le minou rasé encore baveux de ses secrétions m’attend, je viens et je l’enfile facilement , au début je me sens au large et puis au fur et à mesure que je la lime ses muscles se contractent, elle me serre, c’est divin elle gémit de nouveau elle a encore envie et moi aussi , je commence a accélérer, ça vient et là encore une surprise, la meilleure: elle passe sa main entre ses cuisses et me prend la queue et la sort de sa chatte.Je me laisse faire, elle frotte mon gland contre sa rosette, oh ouii, la porte étroite! c’est vrai que les allemandes aiment bien ça, mais moi aussi. Je pousse doucement mon gland contre le petit trou, elle remue, se frotte, manifestement ça lui fait du bien et puis tout va très vite, elle donne un petit mouvement des fesses, je pousse doucement et soudain mon gland pénètre, beaucoup plus facilement que prévu, elle gémit et m’encourage, « viens chéri vas y, viens doucement en moi , j’aime bien ça tu sais! » j’enfonce le gland très doucement et j’attends quelques instants sans oser bouger . Puis je pousse un peu en la tenant par les hanches et la hampe pénètre de quelques millimètres, ça glisse lentement mais je rentre peu à peu, alors c’est elle qui remue et tend ses fesses vers mon membre le faisant tout d’un coup rentrer complètement, je lui demande « ça va chérie, tu n’as pas mal? » « Oh non, viens , tu me fais du bien, allez encule moi à fond »; je la ramone doucement et assez longtemps; je suis un peu indécis, je n’ai pas trop l’habitude, j’ai peur de lui faire mal. Finalement c’est elle qui se déchaîne et bouge sa croupe dans tous les sens, je lui malaxe les seins et j’enfile un doigt dans sa vulve elle gémit sa voix rauque m’enivre elle se contracte une fois deux fois puis elle a des contractions en série, elle jouit de nouveau et plus fort, je pars moi aussi, elle me sent et crie de jouissance on reste un bon moment enfilés l’un dans l’autre, savourant notre intimité. Un peu plus tard on se sépare et on s’embrasse … Je m’endors à moitié, puis je vois Carla se rhabiller. Je me réveille, on s’enlace encore, elle me remercie chaleureusement « Tu sais, ça fait longtemps que je n’ai pas joui comme ça, et tu m’as bien baisée j’avais très envie, j’espère que nous nous reverrons, je te laisse mon numéro de portable, comme ça quand tu reviens, tu appelles avant de partir d’accord! »- » Oui Carla, d’accord et puis si tu viens en vacances en France , on essaiera de se voir, je te ferai du bien mon trésor, ma jolie petite bourgeoise coquine! ».Carla m’a envoyé une carte à mon travail en me disant qu’elle revenait en vacances en France l’an prochain, elle me prévient qu’elle sera seule durant 15 jours avant de recevoir sa mère et ses enfants, je suis parti aussitôt au secrétariat de la boîte pour prendre 15 jours de vacances à cette date là…