Rien en dessous…
Retour de soirĂ©e Ă©tudiante, je la vois arriver en cours avec un legging noir plus que moulant. Et surprise, il n’y a rien en dessous… De quoi fantasmer longtemps, et apprĂ©cier le moment !
Proposée le 24/12/2021 par BaronX Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Un legging Nike… en matière bien Ă©lastique pour bien coller Ă la peau et retranscrire au mieux les dĂ©tails du corps… et RIEN en dessous… J’ai pris un sacrĂ© coup de chaud.Cette coquine de Lina Ă©tait arrivĂ©e comme ça, avec un sweat crop-top qui lui montait jusqu’au nombril, alors qu’on Ă©tait en plein hiver et qu’on rentrait de soirĂ©e.Qu’est-ce qu’elle Ă©tait belle… Je ne m’en suis toujours pas remis. Je n’avais qu’une envie, la prendre par la main, la coucher sur un lit et mettre ma tĂŞte entre ses cuisses pour le plus jamais la retirer.Je louchais sur elle quand elle marchait, que ce soit devant moi ou vers moi, je voyais sa vulve s’ouvrir et se fermer au rythme de sa marche c’Ă©tait une chorĂ©graphie magnifique. Ses deux fesses, de la mĂŞme manière, oscillaient tel un pendule, de gauche Ă droite dans une synchronisation parfaite avec sa marche.Ă€ un moment, on s’est retrouvĂ© Ă deux dans le long couloir qui mène Ă toute les classes, elle arrivait en face de moi. Étant obnubilĂ© par la beautĂ© de la scène, j’en ai oubliĂ© le fait que l’on ne soit que deux et ai continuĂ© de lui fixer l’entrecuisse alors que je manquais terriblement de discrĂ©tion… A ce moment, me voyant bien l’observer, elle glissa sa main pile entre ses deux lèvres, ce qui eut pour effet de coincer son legging dans sa vulve le temps de quelques pas, ce qui eut pour effet de me faire encore plus loucher sur elle.Elle finit par m’arrĂŞter sur mon chemin pour me demander si ça allait, et c’est donc le moment oĂą j’ai repris conscience de sa prĂ©sence. Tout perdu dans mes esprits, je lui ai rĂ©pondu qu’elle Ă©tait très belle aujourd’hui. Elle a ri d’un rire de gentillesse et elle est repartie.Quelques minutes après, on s’est retrouvĂ©s en cours, j’avais pris de l’avance et m’Ă©tais mis dans l’angle au fond, et elle s’est jointe Ă moi sans que je ne m’attende Ă quoi que ce soit.Le cours Ă©tait une torture. Elle n’arrĂŞtait pas de glisser sa main dans sa vulve Ă travers son legging, et je ne rĂŞvais que d’une chose, c’Ă©tait de lui caresser gentiment la cuisse, puis petit Ă petit me rapprocher de son antre, pour enfin sentir sa fente chaude et humide frĂ©mir sous mes doigts.On rigolait, tout se passait pour le mieux, et c’est alors que j’ai pris mon courage Ă deux mains, au risque de me faire fusiller du regard, j’ai lâchĂ© par terre mon stylo, et me suis empressĂ© de le ramasser en m’appuyant sur sa cuisse. Elle a immĂ©diatement posĂ© sa main sur la mienne comme une validation. En me relevant, on s’est fixĂ© dans les yeux pendant 5 secondes, et dans ce regard, il y avait comme un Ă©change de consentement. On se disait oui l’un Ă l’autre. Et c’est alors que dĂ©sormais, toute la durĂ©e du cours, ce serait moi qui glisserais dĂ©licatement mes doigts entre ses lèvres, pour la caresser. Plus le cours avançait plus je sentais de la chaleur arriver et une certaine humidification de la zone.Ă€ la sonnerie, on s’est tranquillement sĂ©parĂ©s comme si de rien n’Ă©tait, mais on avait une heure de battement, donc il Ă©tait Ă©vident que nous ne pouvions en rester lĂ … C’est alors que j’ai reçu un message de sa part m’invitant dans sa chambre d’internat. Invitation que je n’ai Ă©videmment pas pu dĂ©cliner.En arrivant, elle Ă©tait lĂ , elle avait retirĂ© son sweat, et avait toujours son legging sous lequel elle semblait bouillir.Une fois que j’ai eu fermĂ© la porte, elle me sauta au cou et commença Ă m’embrasser langoureusement, mon visage dans son entièretĂ© y a eu le droit. De mon nez Ă mon cou en passant par mes oreilles. Elle Ă©tait chaude !Après ça, elle Ă©tait comme une petite chienne, elle respirait vite, me montrait sa langue, et grâce Ă une certaine souplesse, elle se lĂ©chait elle-mĂŞme Ă travers son legging.Je l’ai saisi par les seins, l’ai allongĂ© sur le dos sur son lit, et ensuit s’en est suivi une longue sĂ©ance le lĂ©chouilles, son legging suintait de mouille, elle Ă©tait trempĂ©e….Sa chatte se gonflait Ă travers son legging et plus elle gonflait plus elle gonflait plus elle suintait. Plus elle commençait Ă gĂ©mir. Tout allait crescendo.Elle commençait Ă ĂŞtre aussi chaude que moi et lĂ , dieu sait que j’aimerai la voir tous les jours avec le mĂŞme legging, dans le mĂŞme Ă©tat. TrempĂ©, et le legging rentrĂ© dans sa fente pour frayer le chemin Ă ma langue. Pendant que je la lĂ©chais sauvagement, ma belle elle se suçait les doigts et les baladais ensuite sur ses seins qui commençaient Ă montrer de forts signes d’excitationJe lui ai alors retirĂ© d’un coup son legging, je l’ai lancĂ©, il est arrivĂ© sur mon sac, comme pour que je garde un souvenir de cette après-midi mĂ©morable.Après cela, elle s’est relevĂ©e, m’a prĂ©sentĂ© ses deux seins trempĂ©s de salive en me demandant de les lui lĂ©cher, et ensuite, après m’avoir fougueusement arrachĂ© un baiser, elle s’est retournĂ©e en levrette, et m’a ouvert sa chatte de ses mains.Je suis rentrĂ© en elle comme dans du beurre. C’Ă©tait serrĂ© Ă souhait, mais tellement alimentĂ© de sa mouille que s’en Ă©tait presque glissant. Je lui donnais des grands coups de bassin parce qu’elle ne demandait que ça, et au fur et Ă mesure que je lui enfonçais mon gland dans sa chatte toute humide, elle s’Ă©crasai de plus en plus sur son lit.Elle a fini complètement couchĂ©e, allongĂ©e sur le ventre, les jambes Ă©cartĂ©s, la tĂŞte tournĂ©e vers moi, avec des yeux qui luisaient le bonheur et la soumission. Elle s’abandonnait Ă moi.Je la voyais tirer la langue, et celle-ci commencer sĂ©rieusement Ă tacher de sa salive ses draps. Je me suis donc couchĂ© sur elle pour aller sucer cette langue qui hurlait d’envie d’ĂŞtre avalĂ©. Je l’ai donc longuement embrassĂ©e, puis, je l’ai retournĂ©e sur le dos pour lui manger les seins. Je n’ai pas arrĂŞtĂ© de lui cracher dessus, ce qu’elle a eu l’air d’apprĂ©cier puisqu’elle me faisait cracher sur ses mains pour ensuite s’en enduire le corps, et finir par se lĂ©cher les doigts.Après cela, je l’ai tranquillement installĂ© en 69, pour lui brouter le minou. Cette coquine hurlait et en mĂŞme temps insĂ©rait ma queue au plus profond d’elle-mĂŞme, ce qui donnait un son majestueux, et excitant au point que je lui ai crachĂ© tout mon jus en pleine gorge, ce qui l’a surprise, mais qui aura au moins eu pour effet de ne pas lui en faire perdre une seule goutte, parce que la coquine l’a avalĂ© dans la seconde.Après ça, elle m’a lessivĂ© la queue de tout ce qu’elle pouvait, tandis que je m’affairais Ă la faire hurler de jouissance.Quand enfin elle lâcha prise, elle me projeta un jet de liquide chaud dans la bouche, comme par vengeance. Je n’ai, Ă son image, pas gâchĂ© une seule goutte de cette prĂ©cieuse mixture, et me suis empressĂ©e de lui lĂ©cher jusqu’Ă l’intĂ©rieur de la vulve pour m’assurer qu’il n’en reste pas une seule goutte.Cette coquine a kiffĂ©, parce qu’au moment de repartir en cours, elle m’a Ă©videmment embrassĂ©e, mais elle m’a Ă©galement laissĂ© son legging trempĂ© pour le weekend, en me disant que soit elle passerait le chercher, soit elle le rĂ©cupèrerait plus tard. Dans les deux cas, c’Ă©tait une invitation Ă recommencer et ça m’a fortement plu.On est repartis en cours pour la fin de la journĂ©e, elle dans un autre legging, qui me permettait encore de jouer avec sa vulve, qui cette fois-ci a beaucoup plus vite mouillĂ© le legging.Le petit plus sur cette fin de journĂ©e, c’est qu’elle m’a donnĂ©e une tĂ©lĂ©commande qui me donnait accès Ă un petit vibromasseur discret, bien fourrĂ© dans sa chatte, et j’avais donc de quoi la faire s’agiter un peu pendant tout le restant de la journĂ©e.Ă€ la fin de celle-ci, elle avait le legging complètement trempĂ©… ce n’Ă©tait plus très discret mais elle m’a lancĂ© un regard plein d’envie de remettre ça, j’en ai conclu que je ne l’avais pas vexĂ©, au contraire, elle Ă adorĂ© !!© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires érotiques choisies :
Ma voisine du dessous
MalgrĂ© son âge, Louise n’a rien perdu de sa force de persuasion !
MalgrĂ© son âge, Louise n’a rien perdu de sa force de persuasion ! (fin)
Julie 1 – Ma meilleure amie est une salope – A quatre, sinon rien
MalgrĂ© son âge, Louise n’a rien perdu de sa force de persuasion ! (suite)