Romance en Normandie
Toute ressemblance avec des personnages existants n’est pas fortuite, car cette histoire n’est pas dystopie, mais vraie, les personnages et les lieux sont rĂ©els, les faits lĂ©gèrement romancĂ©s et les dialogues narrĂ©s au plus près de la rĂ©alitĂ©.
Proposée le 8/02/2018 par Dom80 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: FHHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Préambule:
Nous sommes un couple de plus de cinquante ans, libertaire, marié depuis trente-cinq ans.
Ma femme qui a toujours eu une addiction pour le sexe, a essayé presque toutes les pratiques sexuelles, avec ma bénédiction.
Depuis quelques annĂ©es, une Ă deux fois par mois, on s’offre un week-end «dĂ©tente des sens.»
Je passe des annonces via Internet, site de rencontres, discussion sur les forums, photos, pour trouver chaussures Ă notre pied, avant tout des hommes seuls, de temps en temps des couples ou plus rarement un groupe constituĂ© de trois Ă cinq hommes, si j’ai une bonne proposition.
Si vous aimez les matures bien en chair avec des seins imposants et un gros fessier, alors vous pouvez continuer cette lecture.
Florence connaît bien son corps, ce qui lui permet de pouvoir enchaîner les orgasmes, pendant ses débats sexuels, si elle a un bon feeling avec son partenaire.
J’organise tout et je recherche des partenaires la cinquantaine, dans l’ensemble assez bien montĂ©.
Un scénario est souvent le point de départ de nos histoires.
Florence se laisse toujours guider au fur et à mesure du week-end, sans jamais poser de questions.Préparation:
Avant de partir, d’Amiens elle se prĂ©pare, pas de slip, pas de soutien-gorge, un rosebud de quatre centimètres dans l’anus, jupe courte et haut transparent.
Direction la Normandie, repas puis, visite de Saint Valerie-en-Caux, ponctué de caresses sur son corps et son clitoris, afin de lui réveiller les sens, avant notre arrivée à Dieppe.
A dix-sept heure trente, on dĂ©pose nos bagages Ă l’hĂ´tel Kyriad, afin de se prĂ©parer pour la soirĂ©e.
Commence alors, le jeu sensuel que l’on adore, faire monter le plaisir.
Je la caresse, pelote, lui doigte la vulve, tout en la laissant sur sa faim.
SĂ©ance de maquillage et d’habillage, bas rĂ©sille auto-fixant, bottines Ă talon haut qui mettent en valeur ses jambes bien galbĂ©es.
Le plus dur commence, rentrer dans sa robe noir XL courte, dos nu avec lacet, gentille par-devant, mais, qui se lace dans le dos et sur le côté gauche, laissant à découvert tout le dos, la cuisse et une partie de la fesse gauche.
Les soixante quinze kilogrammes, ses poignĂ©es d’amour, ses larges hanches et son ventre, ayant du mal Ă trouver leurs places dans le morceau de tissu, du coup, ce sont les trois quarts de la fesse que l’on voit.
Vu son large fessier Ă la cambrure bien rebondie, la robe arrive Ă la hauteur du haut des bas, avec ses seins 105D, Ă l’Ă©troit.
Une vraie tenue de catin car si elle se penche, ses fesses sont complètement à découvert.
Je lui Ă©carte son sillon, pour enlever le rosebud, qui est en place depuis huit heures, son trou Ă©tant maintenant bien prĂ©parĂ© pour recevoir les hommages d’un dard. DĂ©but du scĂ©nario:
On descend de notre chambre.
Il est lĂ , Ă nous attendre assis dans le hall, grand, la cinquantaine, assez bel homme, barbe courte, un brin sportif.
Il se lève.
«Bonjour je me présente Luc, je viens pour la réservation toute la soirée, de madame !»
«Vous avez de la chance, madame étant libre pour ce soir.»
«Le tarif, une bouteille de champagne, est-il toujours d’actualitĂ©?»
«Je vois que vous ĂŞtes bien renseignĂ©, oui, c’est le prix Ă payer.»
Il me donne le magnum et dit Ă l’oreille de Florence:
«Maintenant, que tu m’appartiens pour la soirĂ©e, j’espère que mon investissement en vaudra la chandelle.»
On se retire cinq minutes dans le salon, il en profite pour faire le test du sida, puis il lui demande d’ouvrir pudiquement son manteau, pour dĂ©terminer s’il ne s’est pas fait gruger sur la marchandise.
(Pratiquer sans capote, créampie vaginal et anal, telle est notre devise, d’où la nécessite du test car dans ces conditions, sauf pour les 3 derniers mois, le risque est minime.)
Il lui donne l’ordre de rester debout, ce qui lui permet d’avoir une vue d’ensemble de son achat.
Il lui fait signe de la main d’Ă©carter les cuisses et de soulever sa robe.
Il a la satisfaction de voir qu’elle n’a rien en dessous.
«Tout ça me paraĂ®t parfait, tu es encore plus appĂ©tissante qu’en photo.»
Il passe discrètement sa main entre ses cuisses, ce qui l’a fait frisonner.
On reprend notre discussion de tout et de rien, sur la Normandie et les sites Ă visiter.
A un moment, il lui susurre Ă l’oreille:
«Tu es magnifique, admirer ton plastic après un effeuillage lubrique, me fais dĂ©jĂ rĂŞver, la nuit risque d’ĂŞtre longue et torride».
Avant de partir, je monte la bouteille et le test dans notre chambre. Il faut se nourrir, alors direction le Buffalo-Grill en face d’Auchan.
On sort, il fait froid avec un petit vent glacial.
Il l’assied devant, lui ouvre son manteau et lui entrouvre les cuisses, sa main s’Ă©gare sur son pubis, ses doigts lui asticotent son capuchon bien dĂ©veloppĂ© et lui fouillent son intimitĂ© pourvue de larges grandes lèvres.
Florence ferme les yeux et des soupirs sortent de sa bouche.
Il arrĂŞte et lui dit:
«Pas trop vite et n’oublie pas que j’en veux pour mon argent.»
Sa main est mouillée de cyprine.
Il s’essuie, l’embrasse
«Tu as une superbe chatte, comme je les aime et je suis impatient de voir la suite, le vendeur ma laissé entendre que ton anus est aussi très accueillant.»
Florence ne dit rien, elle sait qu’Ă partir de maintenant, elle est un objet sexuel entre ses mains.On arrive rapidement Ă destination, il se gare et on se dirige vers le restaurant.
On s’installe dans un box pour quatre, avec vue bouchĂ©e sur le dos et le cĂ´tĂ© gauche de Florence, une fois celle-ci assise.
Elle fait alors glisser son manteau le long de son corps.
Luc admire et se prĂ©sente, cadre, libertin divorcĂ©, Ă la recherche d’aventure, amateur de femmes sensuelles, aimant le sexe et les jeux de rĂ´le.
S’ensuit une discussion sur nos pratiques sexuelles, ou, quand, comment …….
Sa main s’attarde, pendant le repas, sur ses cuisses et son bas-ventre.
Le couple de l’autre cĂ´tĂ© de l’allĂ©e part, laissant vacant la table.
AussitĂ´t, Luc plonge sa main entre les cuisses de Florence.
Elle avance son bassin au bord du siège, afin de lui faciliter la tâche et de mieux ouvrir ses cuisses.
Au bout d’un moment, il veut arrĂŞter, mais elle lui bloque le poignet avec sa main.
«Finis-moi.»
Florence ne pense plus qu’a sa jouissance,
Il finit son œuvre et la fait jouir rapidement, elle se mord les lèvres pour ne pas crier dans le resto accroché à la table et à son bras
«Tu es trempĂ© n’attrapes pas un rhume de vagin en sortant.»
«Excuse moi, mais par ta faute, je nage dans ma cyprine.»
Il a un petit sourire de satisfaction.
«Gardes en un peu pour tout Ă l’heure car la nuit risque d’ĂŞtre torride.»
«Ne t’inquiètes pas ma production est proportionnelle au dĂ©sir, alors soit bon.» ScĂ©nario imprĂ©vu :
Le repas fini, on sort du restaurant pour se diriger vers la voiture.
ArrivĂ© Ă celle-ci, un individu s’approche de nous et nous exhibe une carte de police sous les yeux.
«Police des mœurs, inspecteur J.C, on nous a signalé un comportement exhibitionniste de votre part sur la voie publique.»
Florence me regarde incrédule et me fait signe, vrai ou faux.
Je lui réponds par gestes, je ne sais pas.
«Monsieur, veuillez ouvrir le manteau de madame.»
Luc écarte délicatement les deux pans de celui-ci.
«Moi, je ne fais qu’accompagner ce couple.»
L’inspecteur soulève alors le petit morceau de tissu qui cache son intimitĂ©.
«On verra plus tard qui fait quoi, en revanche pas de culotte, robe indécente, soupçon de prostitution, humidification anormale du vagin, je suis forcé de vous arrêter, pour vérification des faits suscités, mettez vos mains dans le dos et suivez-moi.»
Il la menotte les deux bras dans le dos et la fait monter Ă l’arrière de sa Mercedes.
«Je dois enquĂŞter votre chambre afin, d’Ă©tablir le dossier Ă charge ou Ă dĂ©charge.»
Il prend place au volant, Luc Ă l’arrière, moi devant et l’on prend la direction de l’hĂ´tel.Au parking, l’inspecteur me montre son test, nĂ©gatif lui aussi.
ArrivĂ© dans le hall vide, car l’hĂ´tel ferme Ă vingt heure, J.C lui Ă´te les menottes.
«J’ai le devoir de confisquer l’objet du dĂ©lit, veuillez me remettre le bout de tissu qui vous sert de robe.»
Il fait glisser son manteau à terre et délace sa robe.
Puis, il la dénude exquisement, lui découvrant son large fessier en faisant passer sa robe doucement par-dessus sa tête, libérant ses gros seins aux tétons qui pointent fièrement, comme pour défier leurs mains baladeuses.
Elle n’est plus vĂŞtue que de ses bas et ses bottines, ce qui fait ressortir son Ă©pilation intĂ©grale.
«Je constate que vous avez des trĂ©sors cachĂ©s, j’ai l’obligation de regarder, si vous n’escamotez rien d’illĂ©gal, avant de perquisitionner votre chambre.»
Ses mains avides de chair fraîche lui parcourt son corps nu.
«Monsieur, j’aimerais avoir votre avis, pour savoir si les bijoux de madame sont vrais?»
Luc, ne se fait pas prier et entreprend de lutiner ses parties sensibles, avec des caresses appuyées sur son clitoris.
«Inspecteur, cette dame nous avait cachĂ© qu’elle avait un bijou, entre les cuisses, très sensible au toucher.»
Après quelques minutes de ce régime, elle est en feu, des gouttelettes, qui tombent au sol, perlent de son entrejambe.
Ils sont interrompus par une voiture qui se gare sur le parking, alors deux mains collées sur son fessier lui font monter les escaliers.Jeu, sexe et soumission:
J’ouvre la porte de la chambre cent-sept et nous rentrons dans celle-ci.
«Mettez-vous dans un coin sans bouger, ni un mot, monsieur, car nous allons poursuive la fouille au corps, comme me l’autorise la loi.»
Même, si je préfère participer aux ébats sexuels, regarder sans toucher, est une autre facette de mon plaisir.
Il a la cinquantaine, n’est pas très beau, chauve, petit et maigre,
«J’ai le droit d’investiguer en profondeur, pour ĂŞtre sĂ»r que vous ne nous dissimulez rien, mais nous ne serons pas trop de deux pour rĂ©aliser cette tâche, Monsieur, Luc, je vous nomme donc inspecteur adjoint.»
Il la menotte le bras droit avec la cheville droite et fait de même pour le côté gauche.
Florence est allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes.
Quatre mains s’abattent sur son corps pour en exploiter chaque recoin, des doigts s’incurvent dans ses intimitĂ©s.
Après quelques minutes, ils se déshabillent.
J.C est pourvu d’une queue longue et Ă©paisse, ce qui surprend vu le gabarit du personnage.
Je comprends pourquoi il la fait venir, avec lui, l’Ă©quipage est bien pourvu pour voyager loin.
«Il est temps d’Ă©valuer le nombre de carats des bijoux de madame.»
Ils lui sucent les tétons, tout en la caressant, puis Luc embraye avec un cunnilingus, une main sur ses seins.
J.C, écarte sa fossette fessière pour débuter un anulingus.
Elle ferme les yeux et gémit de plaisir.
«Notez inspecteur que madame a un trop-plein de cyprine qui déborde largement du vagin.»
«Je note aussi que le frémissement procuré par ma langue dans son anus, appelle à un approfondissement de la chose.»
Après quelques minutes, J.C prĂ©sente sa queue, Ă l’entrĂ©e de son vagin et la pĂ©nètre sans mĂ©nagement, suivi de va-et-vient assez brutaux qui font couiner Florence.
«Monsieur l’adjoint, je suis obligĂ© de vous faire consommer, afin de dĂ©terminer si la marchandise vendue est bien en rapport avec le prix d’achat et donc qu’un dĂ©lit n’est pas constituĂ©.»
Luc prend alors la place laissée vacante et la pistonne à grands coups de verge.
Puis, ils inversent les rĂ´les plusieurs fois.
«Je vous en supplie finissez-moi, finissez-moi.»
Ils la libèrent de ses menottes et lui commandent de se mettre en levrette sur le lit.
Luc devant ce fait sucĂ© et J.C s’embouque de nouveau dans sa cheminĂ©e et la dĂ©fonce de son dard puissant.
Le plaisir montant inexorablement dans son bas-ventre, Florence se touche le clitoris d’une main experte pour se finir.
Un orgasme la ravage, en même temps Luc décharge dans sa bouche.
Son corps secouĂ© de soubresaut, elle s’Ă©tale sur le lit , son visage inondĂ© du foutre, qui coule encore de sa bouche.
Toujours bien enfoncĂ© dans sa vulve, J.C attend qu’elle se calme pour se finir, en inondant son vagin de sperme, qui sort maintenant de son trou bĂ©ant.Pour ma part, je suis toujours dans mon coin me branlant doucement.
Luc me regarde et dit Ă Florence:
«Tu le soulages avec ta bouche, faite pour sucer.»
Elle me prend en bouche,mais je ne peux rĂ©sister longtemps Ă ce traitement.Â
«Oh, putain, tu sens la sèvre monter dans ma tige.» et je me répands abondamment dans sa bouche.
«Belle prestation, n’en perds pas une goutte, avale tout et nettoie le bien.» «Passons aux choses sĂ©rieuses, l’Ă©valuation n’est pas terminĂ©e, je dois quantifier s’il y la suspicion de vĂ©nalitĂ© dans vos rapports luxurieux.»
Ils la remettent en levrette, chacun fourre deux doigts dans l’anus et lui Ă©carte son trou bien prĂ©parĂ© par le rosebud.
Son anus s’agrandit Ă vue d’œil.
Elle est maintenant, couchée sur J.C qui lui rentre sa queue dans son anus offert.
Luc debout le long du lit, lui pénètre la chatte, penché sur elle.
Puis, après plusieurs minutes, mĂŞme si techniquement ce n’est pas simple, il prĂ©sente, lui aussi sa bitte Ă l’entrĂ©e de son petit trou, en tenant fermement sa queue dans sa main.
«Non, non, arrĂŞte cela n’est pas possible, non pas ça.»
Sa verge ripe et il se retrouve dans son vagin, alors il recommence malgré les protestations timides de Florence.
Enfin le gland disparaĂ®t dans sa rondelle et peu Ă peu sa tige s’enfonce.
Il est maintenant engoncĂ© jusqu’aux couilles.
Les non, non, de Monique sont devenus des râles, alors que progressivement l’un après l’autre, ils commencent Ă la pistonner en alternance, un :
«Plus fort, prenez-moi plus fort.» sort de sa bouche
Ils sont surpris par ces mots, mais ne se font pas prier pour la pistonner violemment dans un duo d’enfer.
Une longue liturgie de, oh! non, oh! non, ce n’est pas possible, sort en permanence de sa bouche.
En mode pute, elle est vraiment la pire des salopes du cul.
Ils la taraudent d’un balancement rythmĂ©, quand d’un coup Florence est prise d’une vague de plaisir incommensurable, son corps est secouĂ© dans tous les sens, occasionnĂ© par un orgasme intense et profond, comme seule une sodomie est capable de lui procurer.
Elle est hébétée, le souffle coupé, affalé sur JC, tel un pantin désarticulé.
Luc se retire, la retourne en levrette et jute dans son vagin, avant que JC n’en fasse autant.
Le sperme, qui jaillit de son intimité, se répand sur ses cuisses et le lit.
«Comme un aimant attire la ferraille, ton cul attire les bittes, j’avais dĂ©jĂ fait des doubles vaginaux, mais, c’est ma première double anale, comme le reste de ton corps, ton cul est fabuleux et ta jouissance est inoubliable.»
«Merci, mais c’est parce que j’ai de bons amants.»
Après un repos du guerrier bien mérité, de nouveau les deux dards recommencent à pointer vers le ciel.
JC Ĺ“uvre alors pour qu’elle le chevauche et lui enfile, dans sa fente grande ouverte, sa queue redevenue dure, tout en lui tripotant les seins.
Au bout d’un moment elle change de cavalier et c’est Ă Luc de se faire chevaucher.
JC se place derrière elle et s’engage dans un double vaginal.
Florence adore avoir la chatte fourrée au maximum, par deux grosses matraques qui la dilatent.
Ils la pilonnent brutalement pendant un long moment pour faire monter sa jouissance, mais ils comprennent qu’elle aura beaucoup de mal Ă jouir une quatrième fois.
Alors ils arrĂŞtent, JC la menotte de nouveau poignĂ©es-chevilles, la tĂŞte dans l’oreiller, puis ils lui dĂ©foncent ses trous dilatĂ©s, a tour de rĂ´le avant de juter le peu de foutres qui leur restent au fond de sa vulve, qui ressemble Ă une grotte bĂ©ante d’oĂą sort un flot de sperme.Épilogue :
«MĂŞme, si la marchandise n’est que d’occasion, elle est bien conservĂ©e, avec une belle carrosserie, munie d’un moteur au fonctionnement parfait et au rendement exceptionnel, Ă consommer sans modĂ©ration.
Je suis bien obligĂ© de constater qu’il n’y a pas de tromperie, que les faits d’exhibition et de vĂ©nalitĂ© ne sont pas dĂ©montrĂ©s, il n’y a donc pas d’infraction Ă la loi, en consĂ©quence, il n’y aura pas de poursuites Ă votre en-compte, il vous faudra juste signer le PV du rapport de l’incident une autrefois.»
«Je suis d’accord avec vos conclusions monsieur l’inspecteur, je pense par contre, que madame devra revenir pour la signature et que nous puissions voir s’il n’y a pas eu d’Ă©volution par rapport Ă la situation actuelle.»
«Je suis heureuse de voir que je suis blanchi de tous les soupçons qui pesaient sur moi et je suis à votre disposition pour signer votre compte rendu et faire un nouveau test.»
Minuit passĂ©, ils l’embrassent, la quitte avec un:
«A bientôt ma chérie.»
Dès qu’ils ont franchi la porte, je me prĂ©cipite sur elle pour la possĂ©der Ă mon tour.
«Mon chĂ©ri, tu m’as fait passer une soirĂ©e inoubliable, ton scĂ©nario Ă©tait parfait, va-y fais-toi plaisir, ma vulve est dilatĂ©e comme tu l’aimes.»
«Tu es vraiment une grosse salope, mais tu me fais trop bander pour que je puisse m’en passer.»
Je suis au fond de son puits et quelques allers-retours ont raison de ma résistance.
Après, une petite douche, on tombe dans le lit pour une bonne nuit de récupération et demain direction Etretat. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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