Tu t’es laissé embarquer par ton copain à assister au match de rugby qui oppose en 2ème division le club d’Agen dont vous êtes tous les deux supporters au club de Périgueux. Le match se joue un après-midi de septembre sous un beau soleil. Tu t’es habillée aux couleurs agenaises, t-shirt bleu et blanc et jupette bleue, ton copain aussi, mais lui est en short, et vous vous êtes aussi grimé le visage.Il n’y a pas un monde fou pour un match de ce niveau, mais il y a une bonne ambiance. Il y a là toute la bande des copains de ton mec, et quelques unes de leurs copines. Vous criez beaucoup, et vous buvez aussi pas mal, le service d’ordre n’a pas été trop regardant sur les canettes dans les poches ou le sac.À la mi-temps, ton copain te propose :— Tu viens avec moi, je vais voir mes potes au vestiaire ?— Ça va pas, tu as vu dans quelle tenue je suis, je vais me faire violer !— Mais non, tu sais, les rugbymen, c’est pas des brutes, ils sont super gentils en dehors des matches.— Bon, bon, si tu y tiens.Jusqu’à présent, tu avais toujours laissé ton copain seul pour ses rencarts avec ses potes, ça t’arrangeait de ne pas sortir avec lui, tu en profitais pour te faire un ciné seule ou passer la soirée chez une copine. Mais là , t’avais pas envie de rester sans lui dans les gradins, et puis, tu étais un peu piquée de curiosité, faut bien l’avouer. Un club de 2ème division, c’est pas les dieux du stade, mais enfin, dans les vestiaires, ça devait quand même dégager pas mal de testostérone. Ton copain, lui, n’avait rien d’un gros baraqué, et tu t’es surprise à frissonner d’excitation pendant que tu descendais les escaliers.— Les gars, je vous présente Claire.— Ouah, putain, t’es canon !Les exclamations d’admiration fusent.— T’as de sacrées jolies jambes fait l’un et sans attendre ton accord, il te passe une main caressante dans le pli du genou.Toi, tu lui donnes une tape amicale :— Bas les pattes, t’es pas à la mêlée.Mais il y revient :— Eh, Lionel, tu nous la laisses après le match, ta copine ?Toi, tu réponds :— Perdez pas votre concentration, les gars, si vous gagnez, je reviens vous faire un petit bisou.Ta proposition est saluée d’un concert d’applaudissements et de cris. Vous ne restez pas plus car l’entraîneur vous prie de sortir.Tu ne sais pas vraiment ce qui t’a poussée à faire une proposition pareille, mais pendant la deuxième mi-temps, tu n’es plus la même, tu sens des tas de trucs qui se nouent et se dénouent dans ton ventre, des fourmillements dans les jambes, la vue qui se trouble, et ces bouffées de chaleur qui par moments t’envahissent. Tu n’en as qu’à peine conscience, mais tu ne cesses de te projeter sur ton retour tout à l’heure dans les vestiaires.Ton copain, lui, poursuit le match avec la même ardeur et, quand retentit le coup de sifflet final, il exulte et se démène comme un fauve. Lorsque les joueurs quittent le terrain, il te prend par la main et t’entraîne avec lui une nouvelle fois vers les vestiaires. Dans la pièce principale, c’est un brouhaha indescriptible : des joueurs en train de se déshabiller sur les bancs, une foule de supporters envahissants, ton copain et toi êtes rapidement séparés.Le rugbyman qui t’avait caressé le genou tout à l’heure te pose sa grosse main sur l’épaule.— C’est la première fois que tu entres ici ? Ça te dirait de faire une petite visite ? Je m’appelle Thibault.Tu ne sais trop si tu dois refuser au risque de paraître coincée, alors tu te laisses guider. Le gars est un sacré balaise, tu arrives tout juste à son épaule. Il n’a conservé que son short, et tu considères avec surprise son corps musclé, tu vois la transpiration qui sillonne son torse, par ci par là des ecchymoses ramassées pendant le match, et surtout cette forte odeur de transpiration qui te trouble profondément. Et puis… et puis il te regarde d’un sourire irrésistible.— Ici, ce sont les douches.Il te fait entrer dans la pièce au sol carrelé où les douches s’alignent sans aucune espèce de cloison.— Dans quelques minutes, on sera tous à poil ici, c’est pas trop un endroit pour les filles… à moins que tu n’aies envie de nous savonner.— T’as pas oublié quelque chose.Un autre gars vient d’entrer et tend à ton guide du moment gel douche et serviette, et lui jette un clin d’œil complice, puis il ressort en fermant la porte derrière lui.— Ça te fait envie, de frictionner un corps d’athlète ?Tu ne réponds pas, mais tu regardes désespérée les murs, ce qu’il interprète à sa façon.Il te prend la main et t’entraîne dans l’angle où seule une douche dispose d’une porte, il l’ouvre et tu ne protestes pas, tu entres derrière lui. À peine entrée, il referme la porte et te plaque contre elle. Tu te sens si petite, tu te demandes s’il ne va pas t’écraser mais non, il penche sa tête vers toi, cherche tes lèvres. Tu n’es pas sûre de vouloir l’en empêcher, tu essayes de balbutier quelques protestations, et puis tes lèvres sans attendre ton avis répondent au baiser. Sa langue vient à la recherche de la tienne, fouille ta bouche, et ta langue elle aussi participe maintenant au ballet.Une de tes mains agrippe sa nuque, s’accroche dans ses cheveux bouclés. Ses mains à lui sont partout, sur tes cheveux, tes joues, tes épaules. Elles descendent rapidement le long de ton dos et s’emparent de tes fesses. Il te plaque désormais contre son bassin, et tu peux sentir contre ton ventre son sexe qui palpite. Sa main est passée sous la jupette, et le contact sur ta peau t’électrise.Il s’écarte maintenant de toi, plonge ses yeux dans les tiens, et tes yeux à toi lui répondent : « Fais de moi ce que tu veux ». Alors il fait passer par-dessus ta tête le t-shirt, te débarrasse de ton soutien-gorge. Il se met à genoux pour te gober les seins. Tu as de jolis petits seins en poire qui plaisent beaucoup aux hommes, et lui aussi a l’air d’apprécier. Il les caresse, en pince les tétons qui se sont tendus, les reprend dans sa bouche et les vrille de délicieux coups de langue. Tu as l’impression que ça te descend dans le ventre que tu sens inondé de chaleur, que ça descend aussi jusqu’à ta chatte qui est en train de se liquéfier.Et puis sa bouche descend, glisse avec une lenteur atroce, s’arrête un instant au nombril et titille le piercing. Ses mains ont dégrafé la jupe qui tombe au sol, et le string ne tarde pas à la rejoindre. Il te fait te retourner et t’appuyer contre la porte. Ses mains reviennent à tes fesses, descendent à l’intérieur des cuisses et les invitent à s’écarter. Alors, il se glisse accroupi derrière toi et vient poser sa langue sur ton minou, pendant qu’une main par-devant vient à la rencontre de ton clitoris. Il aime te sentir inondée de plaisir, il te le dit.Il te lèche la vulve avec application, et quand sa langue, écartant les lèvres, s’introduit dans le vagin, tu laisses aller un gémissement de plaisir. Bientôt, sa deuxième main vient en renfort de la langue, un doigt, puis deux, puis trois s’introduisent dans ta chatte et te prodiguent des sensations délicieuses. Sa langue s’est simplement un peu déplacée et s’occupe maintenant de ton petit trou. Il commence par tourner autour, et puis s’attarde de plus en plus à l’entrée. Tu sens la tension de l’orgasme bientôt à son paroxysme, et quand sa langue un peu plus insistante pénètre finalement dans l’orifice, tu exploses de plaisir et couines sans aucune retenueToi, tu as désormais abandonné toute réserve, tu te retournes, le fais se relever et lui enlèves le short et le boxer qu’il porte en dessous, libérant son membre, un véritable pieu déjà formidablement dressé. Tu le prends dans tes deux mains, le caresses et t’agenouilles, posant pour commencer tes lèvres sur le gland gorgé de sang, y déposant de petits bisous avant de commencer à y promener ta langue. Tu aimes son odeur, son goût, aussi c’est sans aucune hésitation que tu finis par l’introduire dans ta bouche, à le faire coulisser entre tes lèvres. Ta main a saisi ses bourses que tu malaxes nerveusement. Tu sens l’excitation qui monte en lui aux spasmes qui agitent son sexe. Lui, sans doute, ne veut pas venir tout de suite, il se retire et t’entraîne sous la douche.Vous faites une courte pause, tout à la curiosité de vous procurer l’un à l’autre ces caresses si fluides que permet le gel douche. Tu aimes sentir tes mains glisser sur son torse, sur ses fesses, et tu ne t’en prives pas. Lui joue avec tes tétons, tes seins, tu empoignes sa queue et t’amuses de la faire coulisser dans tes mains. Et puis il te soulève en t’attrapant sous les fesses et amène sa bite au contact de ta chatte. Toi, tu scelles ton accord en écrasant tes lèvres sur les siennes, en croisant tes jambes dans son dos, pendant que sa queue s’introduit progressivement en toi et que ton ventre rayonne de chaleur pour l’accueillir.Dans le même temps, tu n’as rien remarqué, mais la porte de la douche s’est un instant ouverte puis refermée et quand tu t’attends à sentir dans ton dos le contact du carrelage, c’est sur une autre poitrine que ton dos vient s’appuyer. Tu le réalises surtout parce que forcément, les mains qui te soutiennent sous les fesses ne sont pas celles qui viennent d’empaumer tes seins.Tu ouvres de grands yeux surpris, tu n’es pas loin de céder à la panique, mais ce que tu lis dans les yeux de ton amant est d’une telle douceur, tu sais que là encore, tu ne vas rien lui refuser.Le ballet des mains savonneuses reprend alors, Thibault qui te porte te fait monter et descendre doucement sur son mandrin, te tenant un peu écartée de lui pour que l’autre ait tout le loisir de promener ses mains, titillant tes tétons, et puis glissant sur ton ventre pour venir fouiller à la recherche de ton bouton d’amour. À peine a-t-il commencé de te le caresser que tu jouis d’un second orgasme tout aussi fort que le premier, ponctué de gémissements tout aussi sonores.L’autre main profite traîtreusement des spasmes qui te secouent pour investir ton anus. Un doigt savonné y pénètre comme dans du beurre, et lui prodigue de savantes caresses circulaires qui ont tôt fait de le détendre, autorisant la pénétration d’un deuxième, puis d’un troisième doigt.Tu n’as encore jamais été prise de cette façon, mais tu es tellement dans la recherche du plaisir que tu acceptes sans broncher, plutôt même avec une secrète satisfaction. C’est pas ton Lionel qui te fera connaître un septième ciel comme celui-là .Quand les doigts abandonnent ton œillet et que tu sens le gland venir s’y appuyer, tu le saisis d’une main pour lui indiquer que tu veux de la délicatesse et tu lui souffles :— Ne me fais pas mal.Mais tu n’auras pas mal, bien au contraire. Le gland s’attarde le temps qu’il faut dans le passage, les doigts s’affairent tout autour à te caresser et te détendre, et ton sphincter soudain laisse pénétrer la queue. Le gars est effectivement délicat, et ton appréhension s’envole. Tu es toute entière à la perception de cette sensation étonnante de deux bites qui te pénètrent en même temps. Il s’engage avec une lenteur qui se transforme bientôt pour toi en un supplice d’attente du plaisir.Tu veux les sentir à fond, tu veux soudain être défoncée, tu veux que toute la violence du rugby te laboure, te maltraite et te fasse gueuler. Tu commences à bouger, tu cherches à te faire coulisser mais la posture n’est pas aisée, alors tu leurs dis :— Allez-y les gars, dérouillez-moi.Il ne faut pas tant leur en demander, tu ne saurais dire combien de temps a duré un orgasme qui semblait ne jamais devoir s’arrêter, et quand les deux rugbymen déchargent en même temps, je ne suis pas sûr que tu réalises ce qui t’arrive, tellement la vague de plaisir t’a emmenée loin.Quand les deux types te déposent à terre, ils te font chacun un bisou sur une joue et te disent :— T’en fais pas, on va te ménager ta sortie.Rhabillée, tu sors de la douche entre les deux malabars qui te dissimulent partiellement derrière leurs serviettes, et qui imposent aux quelques uns qui sont sous les douches le silence.Te voici de nouveau dans le vestiaire, toujours aussi bruyant et bondé et tu cherches la sortie. Tu y tombes fatalement sur Lionel qui te regarde d’un œil noir :— Où étais-tu passée, ça fait un quart d’heure que je te cherche ?— Mais c’est irrespirable ici, pouah, quelle horreur. Je me sentais tellement mal que j’ai dû me passer la tête sous l’eau, et je suis ressortie presque aussitôt pour t’attendre dehors. Je viens juste de rentrer te chercher, on a dû se manquer. C’était un super beau match, non ?