RĂ©sumĂ© de l’Ă©pisode prĂ©cĂ©dentStĂ©phanie a fait la connaissance d’un homme, Yoann, qui lui a fait dĂ©couvrir de nouveaux plaisirs.Au dĂ©but de la semaine, StĂ©phanie retrouve avec plaisir HĂ©lène et son magasin. La jeune vendeuse a rĂ©alisĂ© d’excellentes ventes, ce qui lui vaut un baiser de StĂ©phanie. Elle ne veut pas parler de son aventure avec Yoann. Pour le moment, c’est son secret Ă elle. D’habitude, elle ne cache rien Ă HĂ©lène, mais dans ce cas prĂ©cis, c’est tout de mĂŞme une affaire d’une autre nature. Toutefois, cela ne change aucunement ses rapports avec HĂ©lène : elles sont toujours si proches et leurs rapports empreints d’une permanente sensualitĂ©.D’ailleurs, les deux femmes s’organisent rapidement une sĂ©ance de gymnastique dans l’appartement de StĂ©phanie. Elles ont dĂ©couvert que cette activitĂ©, lorsqu’elles la partageaient, Ă©tait synonyme de plaisir. Ce soir-lĂ , HĂ©lène est simplement vĂŞtue d’une culotte haute et d’une brassière assortie, confectionnĂ©es dans un tissu très doux de couleur bleu pâle. Quant Ă StĂ©phanie, elle a passĂ© une combinaison qui cache son corps du cou jusqu’aux chevilles. Le fin tissu extensible colle Ă sa peau et rĂ©vèle tous les dĂ©tails de son anatomie. Le bout de ses seins, la toison de son pubis apparaissent en lĂ©ger relief.Les deux partenaires se livrent Ă diffĂ©rents exercices physiques, alternant ceux dont la vocation est de muscler leurs corps, et ceux destinĂ©s Ă dĂ©tendre leurs muscles. Ainsi, elles se serrent mutuellement les pieds et rĂ©alisent quelques sĂ©ances de raffermissement abdominal. Après cela, l’une d’elles s’assied par terre, les jambes jointes, et l’autre pousse sur son dos avec dĂ©licatesse. La première sent ses muscles s’étirer, mais la lĂ©gère douleur est suivie d’un Ă©tat de dĂ©licieuse sĂ©rĂ©nitĂ©. Quant Ă l’autre, elle peut, tout en rĂ©alisant l’exercice, prodiguer quelques baisers sur la nuque de sa partenaire.Au bout d’une heure, HĂ©lène est lasse de torturer son corps, elle demande Ă StĂ©phanie d’arrĂŞter. « Mais je veux me faire pardonner ! », ajoute-t-elle immĂ©diatement. Elle entreprend de retirer la combinaison de sa partenaire, ce qui n’est pas aisĂ©, tant elle serre de près le corps de la jeune femme. HĂ©lène finit tout de mĂŞme par mettre StĂ©phanie Ă nu. Elle s’allonge sur elle, mordille ses seins avec frĂ©nĂ©sie. Elle pose ses mains partout : sur les Ă©paules, sur les hanches, sur les cuisses, sur le ventre de StĂ©phanie.— Je veux te faire jouir ! clame cette dernière Ă HĂ©lène, et elle la renverse sur le dos. DĂ©sormais, c’est elle qui domine sa partenaire. Elle glisse une main dans la culotte et dĂ©couvre le sexe humide de son amante. Elle enserre le clitoris entre ses doigts, le stimule, l’excite, puis glisse un doigt dans le sexe d’HĂ©lène. Après quelques instants, la jeune femme pousse un cri, pour pouvoir supporter la dĂ©charge de l’orgasme Ă travers son corps. StĂ©phanie admire la culotte d’HĂ©lène : l’entrejambe est tout mouillĂ© de la sĂ©crĂ©tion de son sexe.Tous les soirs, StĂ©phanie et Yoann s’appellent au tĂ©lĂ©phone. Ils passent des heures Ă se raconter les dĂ©tails de leurs vies quotidiennes, Ă faire des projets de voyages, de sorties. Quand l’un des deux semble prĂŞt Ă conclure la conversation, l’autre s’empresse de trouver un autre sujet pour prolonger le plaisir de l’écouter. Quand enfin, un agent extĂ©rieur tire les deux amants de leur tendre Ă©change, il faut encore de longues minutes pour envoyer le dernier baiser, le dernier mot d’amour.Comme convenu, Yoann arrive Ă l’aĂ©roport de Blagnac le vendredi en fin de soirĂ©e. Un taxi le conduit jusqu’à l’appartement de StĂ©phanie. ArrivĂ© devant l’entrĂ©e, il actionne la sonnette. La porte s’entrouvre, mais il ne voit que le visage de StĂ©phanie. « Entre vite ! » lui dit-elle, et elle referme immĂ©diatement la porte derrière lui. Quelle n’est pas la surprise de Yoann de dĂ©couvrir StĂ©phanie habillĂ©e d’un slip, d’un soutien-gorge et d’un porte-jarretelles de velours noir. Ses bas, dont la fine maille de nylon noir est transparente Ă la peau de StĂ©phanie, complètent la panoplie sĂ©ductrice que la jeune femme porte Ă l’occasion de la première venue de son amant.Les deux amants s’embrassent longuement. Yoann pose ses mains sur les hanches de StĂ©phanie et la serre contre lui. Il est sĂ©duit par ce corps presque nu qu’il retient fermement. Lorsque les deux amoureux interrompent enfin leur baiser, Yoann cherche Ă dĂ©couvrir l’univers de son amante. Il est persuadĂ© que l’on apprend beaucoup sur quelqu’un en Ă©tudiant le lieu oĂą il vit. Mais StĂ©phanie ne semble pas prĂŞte Ă le laisser regarder indĂ©finiment son appartement :— Bon, puisque tu prĂ©fères regarder le plafond que moi, ce n’est pas la peine que je reste ici !Yoann s’amuse de l’impatience de son amante :— Colle-toi contre moi pendant que je l’admire !— Certainement pas, tu verras cela demain, il fera jour. Il est hors de question que tu me nĂ©gliges plus longtemps. Si tu ne viens pas maintenant, je m’en vais immĂ©diatement mettre une chemise de nuit et des chaussettes ; et tu dors dans le canapé…— Bon, dans ces conditions, il n’est pas impossible que j’attende demain pour faire le tour du propriĂ©taire !— Tu vois que tu sais ĂŞtre raisonnable.Elle le prend par la main et le conduit jusque dans sa chambre. LĂ , elle l’abandonne et s’enfuit dans le lit se cacher sous la couette.— DĂ©shabille-toi, et ne me laisse pas toute seule plus longtemps ! lui ordonne-t-elle.Yoann se plie avec bienveillance Ă cette exigence lĂ©gitime.— Que dois-je garder, mademoiselle ? demande-t-il Ă tout hasard.— Rien ! lui crie-t-elle depuis sa cachette.Il s’exĂ©cute, puis la rejoint dans son lit :— Quelle drĂ´le de manière de m’accueillir !— Cela te dĂ©plaĂ®t ?— Non, je me laisse sĂ©duire.StĂ©phanie s’allonge sur lui. Les deux amants s’embrassent avec aviditĂ©. Leurs langues se croisent, se dĂ©couvrent, se serrent, s’excitent mutuellement. Leur baiser dure longtemps, avant que les mains de Yoann ne se posent sur le dos de StĂ©phanie, glissent sur ses hanches, caressent fermement ses fesses Ă travers le velours. La jeune femme ne fait rien d’autre que de se concentrer sur son baiser. Elle se contente d’exercer une lĂ©gère pression sur le pĂ©nis de Yoann qui durcit rapidement. Elle Ă©carte les jambes pour qu’il se dresse en direction de son sexe. Yoann a ouvert le soutien-gorge et libĂ©rĂ© les seins de StĂ©phanie. Il aime le contact de ces derniers sur sa poitrine. Pendant que son amante est encore allongĂ©e, il lui retire Ă©galement son slip.La jeune femme se fait plus active. Elle s’agenouille, offrant l’ouverture inondĂ©e de son sexe Ă la verge de Yoann. Elle se laisse pĂ©nĂ©trer. Son partenaire la retient par les hanches pour guider son plaisir. Mais elle apprend vite Ă maĂ®triser les mouvements de son corps de telle sorte que l’un et l’autre en retirent d’intenses sensations, sans provoquer de douleur au pĂ©nis du jeune homme. Mais StĂ©phanie n’y tient plus : elle accĂ©lère son excitation en criant, jusqu’à ce que Yoann Ă©jacule en elle. Avec prĂ©caution, elle s’étend sur lui, sans que la verge de son partenaire ne quitte son sexe, puis les deux amants s’endorment dans cette position.Le lendemain matin, Yoann et StĂ©phanie se rĂ©veillent assez tard. Alors que le jeune homme est toujours prisonnier d’un demi-sommeil, StĂ©phanie rĂ©cupère son slip et son soutien-gorge perdus dans l’immensitĂ© du lit, se lève et les remet aussitĂ´t. Puis elle se dirige vers la porte de la chambre.— OĂą vas-tu ? lui demande Yoann.— Les caresses ne m’intĂ©ressent plus, je vais m’habiller, obtient-il comme seule rĂ©ponse.Alors que StĂ©phanie s’éloigne lentement, son amant se lève d’un bond et court jusqu’à elle. Il la rattrape dans la salle de sĂ©jour :— Qu’est-ce que cela veut dire, ma chĂ©rie ?Ă€ vrai dire, elle n’attendait que cela. Elle se serre contre le corps nu de son partenaire :— Je voulais voir si tu viendrais tout de suite !Yoann qui n’est pas particulièrement vexĂ© d’être tombĂ© dans un piège si sensuel, s’agenouille aux pieds de son amante. Il couvre de baisers le bas de son ventre, le triangle de velours noir qui cache son pubis. Il enlève un Ă un tous les sous-vĂŞtements de StĂ©phanie : tout d’abord les bas, puis le porte-jarretelles, le soutien-gorge et enfin le slip. Ses mains caressent tour Ă tour les seins, les fesses, les hanches, les cuisses de la jeune femme tandis que sa langue excite son sexe.StĂ©phanie Ă©prouve une difficultĂ© croissante Ă rester debout Ă cause du plaisir qui se saisit de son corps. Elle s’assied Ă cĂ´tĂ© de Yoann, puis s’allonge sur le dos, les yeux fermĂ©s. Yoann s’étend entre ses jambes et pĂ©nètre en elle d’un seul coup. StĂ©phanie respire violemment. Le jeune homme va-et-vient en elle avec une vigueur sans prĂ©cĂ©dent. Le jeu inventĂ© par son amante l’a excitĂ© avec une intensitĂ© inconnue jusqu’à prĂ©sent. Des larmes viennent aux yeux de StĂ©phanie qui entoure de ses jambes le bassin de Yoann pour faciliter l’accès de son vagin. Enfin, Yoann n’y tient plus : sa laitance envahit le sexe de la jeune femme. Plusieurs minutes sont nĂ©cessaires aux deux amants pour retrouver leur souffle et leurs esprits.Dans l’après-midi, les deux amoureux font une longue promenade le long des berges de la Garonne, main dans la main. Ils restent parfois un long moment sans dire un mot, goĂ»tant Ă la joie simple d’être ensemble. Ils s’arrĂŞtent pour un rien : une fleur, un enfant qui joue, un oiseau qui passe. Ils ne se sont jamais sentis aussi proches du bonheur absolu. Rien ne perturbe leur vie commune, qu’ils prennent soin de soustraire Ă toute influence extĂ©rieure.Au retour de leur promenade, StĂ©phanie s’assoit dans le canapĂ©. Yoann prend place Ă cĂ´tĂ© d’elle. Il passe son bras droit autour du cou de la jeune femme et se tourne vers elle. Sa main gauche se pose sur les genoux de StĂ©phanie, dont elle n’est sĂ©parĂ©e que par un fin collant. La courte jupe ne cache qu’en partie ses cuisses. Yoann tente de sortir maladroitement son amante du silence heureux dans lequel elle est plongĂ©e depuis leur arrivĂ©e dans l’appartement :— Toulouse est vraiment une ville agrĂ©able ! Je resterais bien ici quelque temps pour la dĂ©couvrir.Mais StĂ©phanie ne se laisse pas abuser par cette diversion mal camouflĂ©e :— Toi, tu as une idĂ©e derrière la tĂŞte et tu ne veux pas me la livrer !Yoann sourit :— Tu devrais plutĂ´t dire que je n’ose pas, car j’ai une question très indiscrète Ă te poser. Est-ce que je peux ?— Je n’ai pas grand-chose Ă te cacher, je crois…— Alors, rĂ©ponds-moi : est-ce que tu te caresses parfois ?— Que veux-tu dire par lĂ Â ?— Eh bien, est-ce que tu te donnes du plaisir en caressant ton sexe ?— Cela arrive… oui…— Souvent ?— De temps en temps.— Montre-moi !— Ouh ! Je ne le fais que quand je suis seule.— Je veux voir quand mĂŞme. Cela me fait rĂŞver. Je veux voir comment tu fais.— De toute façon, cela ne marchera pas, tu vas me dĂ©concentrer. Je n’éprouverai rien Ă me caresser devant toi.Mais Yoann n’entend pas cĂ©der aussi facilement. Il a rĂ©ussi Ă parler de son fantasme Ă StĂ©phanie et cela lui paraissait l’obstacle le plus difficile Ă franchir. Sa main, posĂ©e jusqu’ici sur les genoux de la jeune femme, remonte vers le bas de son ventre, emportant avec elle la petite jupe. Elle Ă©carte doucement les cuisses de la jeune femme, puis se saisit de la main droite de StĂ©phanie. Cette dernière veut rĂ©sister Ă l’idĂ©e saugrenue de son amant :— ArrĂŞte, tu es fou, ça ne sert Ă rien ! Ça ne me fera rien !Mais, Yoann persiste. Il a amenĂ© la main de StĂ©phanie sur son pubis et la presse fermement contre celui-ci, tout en lui donnant un mouvement imperceptible. Pendant ce temps, il embrasse avec passion la jeune femme, dont la dĂ©termination commence de flĂ©chir. DĂ©jĂ , elle ferme les yeux.La main de Yoann a quittĂ© l’entrejambe et entreprend d’exciter les seins de son amante Ă travers son vĂŞtement. Dans un premier temps, StĂ©phanie ne fait rien. Ou plutĂ´t, elle se contente de conserver la pression sur son sexe. Puis, alors que Yoann a glissĂ© sous le chemisier pour sentir la peau brĂ»lante du ventre de la jeune femme, cette dernière attise le dĂ©sir de son corps par de timides stimulations Ă travers son collant. Mais, quand les doigts de Yoann entrent sous son soutien-gorge, entreprennent de saturer de plaisir l’extrĂ©mitĂ© de ses seins, elle n’y tient plus. Elle est gagnĂ©e par le jeu auquel l’a invitĂ©e Yoann. Elle en oublie d’ailleurs sa demande et pour tout dire presque sa prĂ©sence. Mais n’était-ce pas son vĹ“u ? Il veut la voir se caresser avec le mĂŞme savoir-faire et le mĂŞme succès que quand elle est seule.StĂ©phanie remonte sa jupe sur ses hanches. Sa main rentre dans le collant, hĂ©site quelques instants sur la dentelle de son slip, puis franchit l’ultime barrière qui la sĂ©pare de son objectif. Elle se dirige presque instantanĂ©ment vers le clitoris qu’elle commence d’exciter. De temps Ă autre, elle descend jusqu’à l’ouverture de son sexe, parcourt du bout des doigts la muqueuse humide.Lorsque Yoann estime que StĂ©phanie s’est complètement abandonnĂ©e Ă sa quĂŞte solitaire du plaisir, il interrompt ses caresses pour regarder son amante. Après de longues minutes de stimulation, elle exulte dans un cri. Ses deux mains, qui ont cessĂ© leur action, se rejoignent dans l’entrejambe et serrent le pubis pour l’aider Ă contenir l’intensitĂ© des sensations qui l’animent. Quand StĂ©phanie retrouve enfin ses esprits, elle ouvre les yeux et se noie dans le regard de son amant. Il lui sourit, pose un baiser sur ses lèvres :— Tu Ă©tais belle, ma chĂ©rie !Les deux amoureux ont dĂ©cidĂ© de passer la soirĂ©e au cinĂ©ma. La salle n’est guère remplie : le film ne connaĂ®t pas un succès flagrant. Tout au bout de la rangĂ©e dans laquelle ils sont assis se trouve un couple relativement âgĂ©. Une vingtaine de personnes au plus se rĂ©partissent dans le reste de la pièce. Yoann et StĂ©phanie suivent avec attention le dĂ©but du film. La jeune femme a posĂ© sa tĂŞte sur l’épaule de son amant, qui a passĂ© son bras autour de son cou. Alors que le film n’a pas encore atteint son premier tiers, l’intĂ©rĂŞt de Yoann pour celui-ci semble dĂ©croĂ®tre vertigineusement. En revanche, sa main libre se pose sur les cuisses de StĂ©phanie et glisse sous la jupe dans l’entrejambe.— ArrĂŞte, on va nous voir ! lui murmure StĂ©phanie ;— Mon pull est vert très foncĂ©Â ; tes collants et ta jupe sont noirs ; et ma main est cachĂ©e dessous : il n’y a pas de risque !StĂ©phanie repose sa tĂŞte oĂą elle Ă©tait si bien. Après tout, elle est bien plus prĂ©occupĂ©e par leur bonheur commun que par le regard hypothĂ©tique des deux personnes au bout de la rangĂ©e. Pendant ce temps, Yoann excite le sexe de StĂ©phanie Ă travers ses sous-vĂŞtements. Il sent la chaleur de sa substance gagner le slip, puis le collant. Les caresses du jeune homme viennent Ă bout de la rĂ©sistance de sa partenaire. Elle lui mord violemment l’épaule :— ArrĂŞte ! Je n’en peux plus, je vais crier !La main de Yoann se retire sur les genoux de son amante. Il pose un baiser sur ses cheveux.Le dimanche matin, les deux jeunes gens sont rĂ©veillĂ©s de très bonne heure par la lumière du soleil qui envahit la pièce : ils ont oubliĂ© de fermer les volets de la chambre. StĂ©phanie est une fois encore la plus active. Exceptionnellement, elle a dormi nue, tout comme Yoann d’ailleurs. Elle s’allonge sur son amant et commence Ă le combler de caresses, de baisers. Elle dĂ©couvre une nouvelle manière de l’exciter : elle recule de telle sorte que ses seins caressent son pĂ©nis. Le contact de la peau particulièrement douce produit un effet incomparable sur la verge de son partenaire. La rigiditĂ© de celle-ci contraste avec l’uniforme tendresse des seins de la jeune femme.L’étape suivante consiste Ă couvrir de baisers le sexe de son amant sur toute sa longueur, Ă rehausser l’effet de ses lèvres par de petits coups de langue. Quand StĂ©phanie estime qu’elle a suffisamment prĂ©parĂ© Yoann Ă la satisfaire, elle s’étend sur le dos Ă cĂ´tĂ© de lui et l’invite Ă venir se placer entre ses jambes. « Viens en moi ! » le supplie-t-elle. Le jeune homme n’est pas dĂ©cidĂ© Ă cĂ©der si facilement. L’extrĂ©mitĂ© de son pĂ©nis reste durablement dans la fente humide. Il remonte jusqu’au clitoris, accroĂ®t sa pression sur le petit morceau de chair si sensible. StĂ©phanie, qui apprĂ©cie cette caresse au plus haut point, se rĂ©vèle du coup moins impatiente. Yoann entre doucement en elle, puis ressort et revient. Il ne veut pas l’exciter intensĂ©ment, pas tout de suite du moins.Le sexe de StĂ©phanie se remplit de sa substance, ce qui facilite l’action progressive de Yoann. Petit Ă petit, ses mouvements se font plus fermes, plus intenses, plus rapides. Parallèlement, la respiration de StĂ©phanie devient plus vive. Puis, Yoann se dĂ©cide enfin Ă la prendre complètement, Ă lui donner tout ce Ă quoi elle aspire. Il relève lĂ©gèrement le torse pour pouvoir entrer plus profondĂ©ment en elle. Elle exulte, elle crie son plaisir. Il va-et-vient en elle, puis libère sa laitance dans un long jet saccadĂ©. Il s’allonge sur son amante, l’embrasse tendrement :— C’était merveilleux, ma chĂ©rie !Les deux amoureux restent un long moment couchĂ©s l’un sur l’autre, profitant du calme et de la fĂ©licitĂ© de la situation. Puis, StĂ©phanie invite son amant Ă se lever :— Je vais prĂ©parer le petit-dĂ©jeuner, tu viens avec moi ?Elle ouvre l’armoire, se saisit d’un petit ensemble de coton blanc et d’une courte chemise de nuit, qu’elle enfile aussitĂ´t. L’étoffe de cette dernière recouvre Ă peine la totalitĂ© de la culotte. Yoann regarde avec envie la jeune femme. La vue de ce corps si dĂ©licatement suggĂ©rĂ© le remplit de bonheur, et il en vient Ă se demander s’il a vraiment besoin de le caresser. Mais StĂ©phanie le tire de sa rĂŞverie :— Le cafĂ© est servi ! Tu viens ?Yoann ne s’était mĂŞme pas rendu compte que son amante avait quittĂ© la pièce. Elle a eu le temps de faire chauffer le cafĂ© pendant que son image restait imprimĂ©e dans l’esprit du jeune homme. Cette dĂ©couverte le remplit d’émotion. Il se lève et rejoint StĂ©phanie dans la cuisine.— Tu pourrais t’habiller, quand mĂŞme, c’est indĂ©cent ! fait-elle en feignant d’être choquĂ©e.— Euh, oui, pardon, je vais chercher quelque chose.Les deux jeunes gens savourent longuement leur petit-dĂ©jeuner. Ils discutent d’une grande variĂ©tĂ© de sujets, puis rangent la table et font la vaisselle sans cesser de parler. Yoann ne manque pas de prodiguer une lĂ©gère caresse Ă StĂ©phanie de temps Ă autre. Elle lui rĂ©pond par un baiser.Puis, ils se dirigent vers la salle de bain. StĂ©phanie propose Ă Yoann de prendre son bain le premier. Ce n’est pas qu’elle dĂ©sire faire quoi que ce soit de particulier, mais elle aime dĂ©ambuler en chemise de nuit, fouiller dans ses nombreuses petites boĂ®tes et bouteilles. Elle se brosse les dents, remplit un gobelet d’eau froide ; mais, au lieu de l’avaler, elle jette le liquide glacial dans la baignoire. Yoann, Ă moitiĂ© assoupi dans le bain chaud, se contracte violemment sous l’effet de la diffĂ©rence de tempĂ©rature. Bien Ă©videmment, de l’eau jaillit en dehors de la baignoire.— HĂ©, fais attention ! Il va falloir Ă©ponger toute l’eau que tu as mise sur le carrelage ! s’empresse-t-elle de dire dans un fou rire.Yoann ne trouve pas de rĂ©ponse plus appropriĂ©e que de s’emparer Ă son tour d’un rĂ©cipient, de le remplir et d’en propulser le contenu sur StĂ©phanie. Elle riposte par une nouvelle salve d’eau glaciale et l’échange dure ainsi quelques secondes. Lorsque les deux amants reviennent Ă plus de sagesse, le sol de la salle de bain est recouvert d’eau, et la chemise de nuit de StĂ©phanie, complètement dĂ©trempĂ©e, colle Ă sa peau et laisse transparaĂ®tre son slip et son soutien-gorge tout aussi humides. Yoann est sous le charme :— C’est mignon comme tenue !Cette bataille de gamins a excitĂ© le dĂ©sir de la jeune femme. Elle franchit le bord de la baignoire et s’étend tant bien que mal sur son amant. Les deux amoureux, qui regrettent de ne pouvoir s’allonger tous les deux complètement dans l’eau bien chaude par manque de place, prĂ©fèrent se lever. Leurs corps se serrent l’un contre l’autre. Yoann retire avec difficultĂ© la chemise de nuit et les sous-vĂŞtements de StĂ©phanie. Son pĂ©nis se dresse fermement sur le ventre de la jeune femme. Elle s’agenouille pour le prendre un court instant dans sa bouche, en goĂ»ter la force, accroĂ®tre son dĂ©sir.Puis, StĂ©phanie passe ses mains autour du cou de Yoann ; celui-ci la saisit par les hanches. Elle l’aide de son mieux Ă la soulever et Ă pĂ©nĂ©trer en elle. Elle jouit dĂ©jĂ intensĂ©ment. Les deux amants sont immobiles. La prĂ©sence de la verge gonflĂ©e dans le corps de StĂ©phanie suffit Ă la combler de plaisir. Quant Ă Yoann, la chaleur liquide qui se dĂ©verse du vagin brĂ»lant de son amante excite son sexe au-delĂ des limites de sa rĂ©sistance. Un long moment passe ainsi, avant que quelques judicieux mouvements du bassin de StĂ©phanie ne libèrent en elle la semence de son amant.Le lundi, StĂ©phanie est seule dans le magasin. Elle a laissĂ© dormir Yoann qui a obtenu quelques jours de son employeur et qui les passe, bien entendu, Ă Toulouse. D’autre part, HĂ©lène est Ă son tour en congĂ©. StĂ©phanie retrouve ainsi une situation qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps, mais qui ne lui manquait pas. Elle prend plaisir Ă servir ses clientes, sans cesse plus nombreuses. Elle se dit que, vraiment, la prĂ©sence d’HĂ©lène a du bon. Pour redonner un peu de sa personnalitĂ© Ă la boutique, dont la prĂ©sentation doit tout Ă HĂ©lène depuis un long moment dĂ©jĂ , StĂ©phanie modifie la place de quelques modèles, change les dessous exposĂ©s en vitrine, ceux que portent les bustes.Sans que cela ne la surprenne particulièrement, Yoann la rejoint dans la matinĂ©e. Il veut dĂ©couvrir l’« Amour de femme » dans d’autres conditions que la première fois. StĂ©phanie lui montre tous les dĂ©tails de son magasin, et surtout son atelier, la table oĂą elle coud. Yoann se laisse aller Ă quelques caresses. « Sois sage ! » lui demande StĂ©phanie sans grande conviction. Elle cherche tant bien que mal Ă continuer sa prĂ©sentation :— Tu n’es vraiment pas raisonnable ! croit-elle utile d’ajouter.Ce qui n’a comme effet que de dĂ©clencher une irrĂ©sistible envie chez le jeune homme. StĂ©phanie tourne le dos au plan de travail, les fesses posĂ©es sur le bord de celui-ci. Yoann s’approche d’elle, l’embrasse amoureusement.— Comme tu es lĂ , tu vas faire des bĂŞtises ! lui fait-elle remarquer.Yoann la fait chavirer et l’aide Ă allonger dĂ©licatement son dos sur la table.— Ce que tu vas faire n’est pas bien ! lance-t-elle Ă tout hasard.Mais Yoann n’est vraiment pas disposĂ© Ă abandonner si promptement son projet. Il relève la courte jupe de StĂ©phanie sur son ventre. Ce matin-lĂ , elle a revĂŞtu un porte-jarretelles, des bas blancs, et par-dessus un slip de dentelle blanche qui cache bien peu la toison noire de son pubis. Yoann parcourt les motifs de la dentelle, les attaches des bas. Le contact des doigts de son amant excite la peau de la jeune femme. DĂ©sormais, elle n’est plus capable de prononcer un mot pour feindre de repousser son partenaire. Yoann retire le sous-vĂŞtement qui barre l’entrĂ©e du sexe de StĂ©phanie. Les bas et le porte-jarretelles forment un cadre admirable Ă la toison sombre de son pubis.Le regard de Yoann s’attarde sur l’objet de son dĂ©sir. Puis il Ă©carte les jambes de la jeune femme tout en caressant sa poitrine Ă travers le chemisier. Pendant ce temps, StĂ©phanie a discrètement dĂ©boutonnĂ© le pantalon de Yoann, l’a fait glisser, ainsi que le caleçon sur ses cuisses, et libĂ©rĂ© le pĂ©nis dĂ©jĂ bien gonflĂ©. « Prends-moi maintenant ! » exige-t-elle de son amant. Yoann s’exĂ©cute avec prĂ©caution. Pendant de longues minutes, il va-et-vient en elle, jusqu’à ce que l’orgasme Ă©treigne les deux partenaires. Alors, il rĂ©pand en elle sa blanche laitance par de longues saccades.StĂ©phanie ne rĂ©cupère ses esprits qu’après un long moment. « J’ai joui comme jamais ! » annonce-t-elle Ă Yoann. Celui-ci l’aide Ă s’asseoir sur la table. Elle remet Ă sa place le pantalon qu’elle a dĂ©fait. Plus rien ne transparaĂ®t de la scène d’amour qui vient de se dĂ©rouler. On ne saurait l’imaginer si le slip de StĂ©phanie n’était pas posĂ© nĂ©gligemment Ă cĂ´tĂ© d’elle. Mais, alors que la jeune femme hisse son regard par-dessus l’épaule de son amant, elle dĂ©couvre avec stupeur HĂ©lène qui les observe.— Ne dis rien ! crie cette dernière, j’ai tout vu. Je n’aurais jamais dĂ» venir te rendre visite. Je ne veux plus te voir. Adieu !Une immense tristesse envahit le visage de StĂ©phanie.— Mais pourquoi est-elle tant en colère ? s’enquiert Yoann.La jeune femme n’hĂ©site pas une seconde, elle prend le parti de la franchise :— Avant de te connaĂ®tre, et encore la semaine dernière, nous avons souvent fait l’amour, HĂ©lène et moi. Nous adorions, et j’aime toujours, le contact de nos deux corps.Elle est assez surprise par la rĂ©ponse de Yoann :— Quelle merveille ! L’amour entre deux femmes est quelque chose de si Ă©rotique. Quel dommage que tout ceci soit brisĂ©Â ! J’aurais tant voulu pouvoir assister Ă vos Ă©treintes…Mais l’expression de StĂ©phanie modère rapidement l’enthousiasme de Yoann, qui tente de consoler son amante par de douces paroles. C’est alors que l’on entre dans la boutique.— Je te laisse travailler, dĂ©cide Yoann, je t’attendrai Ă l’appartement. Bon courage, mon amour, reviens-moi vite !