L’homme qui m’a rendu folle à lierAyant pris connaissance de ce site, je sens un besoin immense de vous raconter ce récit d’une période de ma vie qui est véridique. Ce qui s’est passé les trois dernières années de ma vie est totalement incroyable et je ne veux rien oublier de ce qui s’est produit durant cette période. Il est totalement incroyable de constater comment seulement la présence d’un homme dans sa vie peut tout changer. Maintenant que j’ai 23 ans et que je commence ma vie professionnelle ainsi que familiale; je vais avoir de quoi fantasmer et avoir des plaisirs solitaires jusqu’à la fin de mes jours. Je viens de me marier avec un homme de mon âge qui se nomme Antoine, et je compte bien avoir des enfants avec lui. Cependant, jamais cet homme ne va me donner des orgasmes comme ceux j’ai eus ces trois dernières années. Alors je vais vous raconter en trois parties cette histoire incroyable.Sa rencontrePour que les lecteurs puissent bien imager dans leur tête cette histoire, je vais vous donner une bonne description de moi. À l’époque où a commencé cette histoire, j’avais 19 ans et je commençais mes études universitaires en psychologie. Je m’appelle Émilie ; voici ma description physique : je mesure 5 pieds 6 pouces (environ 1,68 m), mes cheveux bruns sont courts / mi-longs et mes yeux de couleur noisette. Ma taille est fine et je n’ai aucun kilo en trop. Il est vrai que j’ai de tout petits seins et que cela peut déplaire à certains hommes, mais j’ai en contrepartie un très beau visage qui est agréable à regarder. D’ailleurs, dès que je sors dans les discothèques avec mes amis, il n’est pas rare que des hommes viennent me faire la cour.Enfin, pour être claire, même si je ne suis pas une beauté de magazines, je sais que j’ai tout pour faire fantasmer plusieurs hommes. La preuve est que je n’ai jamais eu de problèmes pour me faire des compagnons. Maintenant que vous avez de quoi m’imaginer, je vais pouvoir vous raconter mon histoire.La série de péripéties qui va suivre a commencé le premier jour à l’université après l’obtention de mon baccalauréat. Pour entreprendre mes études universitaires, j’ai dû laisser mon village natal (qui est à une heure de route) et emménager avec une colocataire nommée Julie, qui est ma meilleure amie. Ce qui était formidable, c’est que Julie était inscrite au même programme que moi. Malheureusement, mon copain Antoine n’a pu me suivre car il est resté au village pour travailler dans le bureau de comptabilité de son père.Je me rappelle de cette journée comme si c’était hier. On était fin août et il faisait encore très chaud. Pour cette première journée à l’université, j’avais décidé d’être sur mon trente-et-un. En fait – je dois l’avouer – je voulais pour cette première journée attirer le regard des étudiants masculins et rendre jalouses plusieurs de mes collègues. Alors j’ai choisi une petite jupe beige qui dévoilait mes jambes fines et j’ai mis un petit chemisier blanc sans manches. En fait, j’étais très sexy sans avoir l’air d’une putain. Une fois prête, je partis avec ma colocataire. Nous étions très énervées parce que nous ne savions pas de quoi allaient avoir l’air les autres étudiants, et nous espérions que les cours se passeraient bien.Sous l’effet de l’adrénaline, nous rentrâmes dans la classe vingt minutes avant le cours. Nous étions les premières, et nous sommes allées nous asseoir dans le fond de la classe pour bien observer et analyser les étudiants qui allaient y entrer. Alors que les minutes s’écoulaient, je vis plusieurs étudiants défiler. De manière générale, il n’y avait pas grand-chose à signaler ; la majorité des étudiants étaient des filles dans la vingtaine, et les quelques jeunes hommes étaient soit pas très beaux, soit très efféminés. C’est connu que, dans ce genre de filière, les homosexuels sont nombreux. Parmi cette gent masculine, aucun n’était – de prime abord – plus attirant que mon copain.J’avoue que j’étais très déçue par ce que j’observais. Toutefois, une surprise de taille : un homme dans la fin de la vingtaine entra dans la classe. Il mesurait environ six pieds (environ 1,83 m) et était physiquement très bien ; il devait pratiquer la musculation régulièrement. Ses cheveux noirs étaient courts, et il avait de très beaux yeux bleus. Même s’il était très beau, ce n’était rien en comparaison de son regard très perçant, comme un mélange des yeux de Yul Brynner et de Clark Gable. Il dégageait beaucoup de charisme. Cet homme dégageait un tel magnétisme animal que dès que je l’aperçus, je sentis mon clitoris se durcir. Jamais une telle réaction ne m’était arrivée aussi rapidement. Je demandai immédiatement à ma copine son avis sur le beau mâle qui venait d’entrer ; elle me répondit qu’en effet il était très mignon. Nous nous sommes mises à rire, et nous avons pensé qu’il allait être difficile de rester concentrées pour ce cours.Durant la première heure de cours, mon clitoris resta contracté ; j’étais incapable de me concentrer durant cette première heure de formation. J’avais vraiment le coup de foudre pour cet inconnu et je ne pouvais écouter le cours, obnubilée par mes fantasmes sur ce bel étalon. J’avais tout simplement la tête ailleurs. À l’heure de la pause, je me précipitai aux toilettes pour me masturber. En à peine une minute j’eus un orgasme, et sans pouvoir me retenir j’ai poussé un petit cri de jouissance. Suite à cela j’étais très mal à l’aise et j’espérais que personne ne m’avait entendue. Je sortis des toilettes : personne n’était à proximité. J’en fus soulagée.De retour en classe pour la deuxième partie du cours, je dis tout de suite à mon amie que j’aimerais bien savoir le nom du jeune homme. Julie, qui s’était informée durant la pause, m’apprit que le nom du beau garçon en question était Édouard. Je répondis à mon amie que c’était un très beau nom, et qu’un nom de prince lui allait très bien car il ressemblait à un prince. Ensuite, il me fut plus facile de me concentrer : mes pulsions sexuelles étant éteintes, j’étais en meilleure condition pour suivre le cours. Toutefois mon cœur battait à pleine mesure pour cet homme, et il était clair qu’il n’allait pas s’éteindre de sitôt. Durant le cours, je ne cessais de le regarder du coin de l’œil.Une fois le cours terminé, je retournai à notre appartement avec mon amie car nous n’avions rien d’autre à faire durant le reste de la journée. Je dis à mon amie qu’il fallait absolument que cet homme devienne un de mes proches amis car je voulais le connaître davantage. Julie me répondit :— T’a pas peur que de flirter avec Édouard va rendre jaloux ton copain qui est resté au village ?— Il n’y aura pas de problèmes s’il ne s’en rend pas compte ; de toute façon, je suis prête à courir le risque de perdre mon copain car Édouard serait un meilleur parti pour moi.— C’est comme tu veux ; mais tu sais qu’avec tout ça tu peux te retrouver célibataire ?— De toute façon, je ne veux pas me marier avec Antoine : il n’est pas l’homme de ma vie.Lorsque j’allai me coucher à la fin de cette première journée, j’étais incapable de me dissocier de l’image d’Édouard. C’est alors que j’ai eu deux autres orgasmes durant la nuit en fantasmant sur cet homme aux beaux yeux. Jamais mes fantasmes érotiques n’avaient été aussi hard. Lors de mon premier orgasme de la soirée, j’imaginais Édouard me prenant en levrette dans les toilettes où je m’étais masturbée ce matin. Il me baisait vraiment comme si j’étais sa chose. Je n’étais qu’une proie entre ses mains. Il ne cessait pas de m’insulter en me criant des injures comme « Prends ça, salope ! », « T’as ce que tu mérites, » et « Je vais te faire mouiller, pas comme ton copain efféminé… » Pour ce deuxième orgasme de la journée, jamais mon désir n’avait été aussi fort. Jamais Antoine ne m’aurait fait jouir comme ça. Jamais je n’aurais toléré que mon copain me dise ce genre de chose ; mais venant de mon Édouard, il n’y avait pas de problème. En réalité je dois le dire : même s’il ne s’agissait que d’un orgasme issu de mon imaginaire, jamais de ma vie je n’avais ressenti un orgasme aussi puissant. Je ne voulais qu’une chose : être son esclave sexuelle.Après ce premier orgasme, je me suis endormie car j’étais vraiment épuisé après cette première journée. Durant la nuit, je me suis réveillée une fois car j’étais tendue et j’ai encore fantasmé sur Édouard. Cette fois, durant ce fantasme, j’étais la servante d’Édouard qui était prêtre d’une paroisse. J’étais une fille vierge, issue d’une bonne famille très pieuse qui m’avait envoyée exercer ce métier car ils n’avaient pas d’argent pour payer mes études et ils trouvaient que c’était une bonne façon d’honorer Dieu. De mon côté, je n’avais pas d’objections car j’étais tombé follement amoureuse du curé. Pour ma première journée de travail, je me suis présentée à mon supérieur, Monseigneur Édouard. J’étais habillé de manière très propre avec une longue jupe qui couvrait mes genoux, ainsi que d’un tablier décoré avec des fleurs en relief ; j’étais très bien peignée avec mes cheveux ramenés en arrière avec un chignon comme boucle : j’avais vraiment l’air d’une fille de bonne vertu prête à servir le serviteur de Dieu.À mon arrivée au presbytère, j’étais très stressée car je voulais être sûre que Monseigneur allait apprécier l’ensemble des tâches que j’allais avoir à faire et qu’il allait être très content de mon travail. Je suis donc venue me présenter à mon supérieur.— Ta tâche sera d’entretenir le presbytère et de préparer les repas.C’est ainsi que je me mis à faire du ménage dans le début de l’après-midi pour ensuite commencer à préparer le souper. Toutefois ma nervosité était si grande que je fis tomber une assiette par terre. Suite à cela, Édouard – qui était dans l’autre pièce – est venu voir ce qu’il se passait.— Ce n’est rien ; je vais ramasser les morceaux cassés et je vous paierai l’assiette.— Ne t’inquiète pas, dit-il d’une voix rassurante, il y a beaucoup d’assiettes ici, au presbytère. Mais tu me sembles bien nerveuse… il n’y a aucune raison à cela. Viens dans ma chambre, j’ai quelque chose à te montrer.Je le suivis dans sa chambre à coucher, où il déclara sur un ton calme :— Ne t’inquiète pas de ce que vais faire ; il faut que tu te sentes comme chez toi.— Très bien, Monseigneur.Il posa sa main sur mes cuisses et me dit doucement à l’oreille que j’étais très belle, puis il m’allongea tranquillement sur son lit et commença à me toucher partout sur mon corps de façon très délicate. Ses mains étaient très chaudes, je sentais une puissante énergie parcourir l’ensemble de mon corps. Je me sentais légère et je fermai les yeux ; tous mes muscles étaient décontractés et je me sentais en complète harmonie avec mon corps et mon âme. En fait, j’oubliais complètement la présence de Monseigneur Édouard. Puis je me suis endormie, et durant mon sommeil j’ai eu un orgasme. En me réveillant, j’étais seule dans le lit et je m’aperçus que j’étais complètement mouillée. Je sortis alors de la chambre ; j’étais très confuse car je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Je retournai préparer le repas d’Édouard, mais je constatai qu’il était 8 heures du soir et que l’heure du repas était passée. J’étais vraiment confuse car je ne savais pas ce qui s’était passé et je n’avais plus la notion du temps. Je me sentais encore comme en transe. C’est alors que je partis à la recherche du curé pour savoir si je pouvais faire le souper un peu plus tard. Je le trouvai assis dans son bureau en train d’écrire quelque chose dans un cahier. Il s’aperçut de ma présence et leva la tête.— Alors, tu as bien dormi ?— Oui, mais que je m’excuse de ne pas avoir préparé le souper.— Il n’y a pas de problème : c’est tout à fait normal que tu aies dormi pendant deux heures après ce qu’il vient de se passer. Pendant ton sommeil, je t’ai fait un massage pour que tu reprennes des forces car tu semblais très stressée de ta journée. Après le massage, je t’ai laissée dormir, et moi aussi je suis allé faire une sieste. De toute façon, je ne mange pas beaucoup le soir ; et lorsque je me suis réveillé, je suis allez manger un morceau de tarte au sucre qu’une de mes paroissiennes m’a donnée. D’ailleurs, il reste plusieurs morceaux de tarte ; alors ne te gêne pas, Émilie : tu peux aller manger un morceau si tu as faim. Tu n’auras qu’à mettre l’emphase sur le déjeuner de demain matin. Alors, dis-moi, est-ce que le massage t’a plu ?— En effet, maintenant je me sens en parfaite forme ; quant à mon stress de la journée, il a complètement disparu.— Très bien : cela signifie que tu vas sûrement apprécier que je t’en donne d’autres.— En effet…— Alors retourne à tes obligations ; et lorsque tu vas aller te coucher, je vais te donner une petite surprise dans ta chambre.— Pas de problème, répondis-je avec un sourire.Je suis revenue à mes obligations en me disant que ce séjour au presbytère n’allait pas être aussi ennuyant qu’il me semblait, et que plusieurs péripéties risquaient de survenir durant ce séjour.Après ce deuxième fantasme, j’ai eu un autre orgasme aussi fort que celui que j’avais eu au cours de cette même nuit ; je me dis qu’il était temps de dormir et que le lendemain soir j’allais pouvoir continuer ce fantasme là où j’en étais arrivée.Le lendemain matin, je me réveillai et je me sentis complètement chavirée : j’étais en fait tombée follement amoureuse de mon Édouard. Lors du petit déjeuner, j’en discutai avec Julie.— Je suis prête à tout pour qu’Édouard devienne mon homme.— Tu sais, cet homme a probablement une copine ; et c’est peut-être un type avec beaucoup de problèmes.— Cela ne change rien ; s’il a une copine, elle ne le restera pas longtemps car je vais faire ce qu’il faut pour qu’il la quitte. Et s’il a des problèmes de comportement, cela m’importe peu car je sais qu’il sera l’homme de ma vie.— En effet ; cet homme semble t’avoir piquée en plein cœur ! Je te connais depuis que je suis toute petite, et jamais je t’ai vue ainsi. Peut-être est-ce ta destinée de rencontrer cet homme ? Je vais t’offrir mon aide pour t’aider à le conquérir.Dans la deuxième partie de mon récit, vous verrez ce que j’ai fait pour mettre le grappin sur Édouard. J’ai fait des choses extrêmes, et aujourd’hui je ne suis pas nécessairement fière de ces actions.
