Voici un petit texte trouvĂ© sur le site d’un bloggeur « chez AndrĂ© 112 » qui, depuis des annĂ©es, publie certains rĂ©cits anciens trouvĂ©s sur le net. Il m’a autorisĂ© Ă reprendre certaines histoires. Je ne peux que vous conseiller de visiter son blog qui est une mine de photos, vidĂ©os, et rĂ©cits. L’humour de ce bloggeur pour lĂ©gender ce qu’il propose est exceptionnel. Vous pouvez retrouver son blog an tapant « AndrĂ© 112 » dans la barre de recherche Google.Ce rĂ©cit est bien sĂ»r une pure fiction.******La semaine a passĂ© très vite et nous avons fait et refait l’amour en nous excitant de tout…. Samedi matin Serge est venu et nous avons bu un cafĂ© avant de prendre la route…. Serge a prĂ©cisĂ© le contexte de notre sĂ©jour …- Sandra sera ma femme … et toi Alain, tu seras sera son frère, dès que nous aurons franchis la porte … ce sera le jeu. Vous ĂŞtes d’accord?- Oui rĂ©pondit, Sandra- Oui, moi aussi, dis-jeNous avons pris la route. Je vis le panneau barrĂ©, nous sortions de notre petite commune du Val d’Oise. Sandra Ă©tait devant avec Serge et j’Ă©tais Ă l’arrière.Sandra avait un mini robe lĂ©gère, dĂ©colletĂ©e, lui serrant ses seins volumineux et la taille, et lĂ©gèrement Ă©vasĂ©e Ă partir de la taille. Ses cuisses Ă©taient largement dĂ©couvertes. Ses seins gonflĂ©s sortaient Ă moitiĂ©. Je la savais nue en dessous.Qu’elle Ă©tait belle … lĂ©gèrement bronzĂ©e. Sa jeunesse Ă©tait resplendissante.Serge conduisait, une main sur la cuisse gauche de Sandra, comme pour marquer sa possession.Nous sommes enfin arrivĂ©s, après un voyage très agrĂ©able et sympathique. Nous avons passĂ©s ces quelques jours dans une ambiance amicale et extrĂŞmement Ă©rotique. Serge et Sandra Ă©taient … un couple et moi le frère et beau-frère.Les connaissances de Serge le complimentèrent pour la beautĂ© de sa jeune Ă©pouse. Ils dormaient ensemble, bien sĂ»r, et moi dans la chambre d’amis.Durant tout le sĂ©jour, je n’ai eu aucune attention particulière de Sandra. Elle Ă©tait toute Ă son jeu d’Ă©pouse de Serge. Je me masturbais tous les jours d’entendre leurs jouissances dans leur chambre.La journĂ©e, ils Ă©taient toujours nus et Ă©taient très amoureux.Serge nous a laissĂ© devant notre maison.- Quelles merveilleuses vacances, dit Sandra- Une expĂ©rience très bizarre et excitante Ă la fois- C’est vrai, je me suis comportĂ©e comme sa femme Ă lui en t’abandonnant complètement Ă ton rĂ´le, tu as dĂ» en souffrir- Non, j’Ă©tais moi aussi dans ce jeu, j’en ai profitĂ© au-delĂ de ce que je pouvais imaginais, c’Ă©tait terriblement excitant- Tant mieux je me faisais quelques reproches- Tu Ă©tais parfaite, mon amour- Viens laissons les bagages et allons dans la chambre …Je la suivi. Elle s’allongea sur le lit, nue… Je la lĂ©chais de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps…. Mes doigts pĂ©nĂ©traient ses orifices que je constatais ouverts…. Elle m’attira et j’entrais en elle… Je dĂ©couvris combien elle Ă©tait ouverte et disponible.- Alain, je ne sens plus ta petite bite … c’est fou.- Pour moi c’est toujours aussi bon, tu sais, je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large de lui, ouverte par lui. Je me dit qu’il a formĂ© ton vagin Ă sa queue et c’est follement excitant- Tu as raison, moi aussi, j’ai l’impression de lui appartenir en constatant que tu ne me fais plus aucun effet sexuel, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu Ă ce point- Et ton cul?- Il m’a enculĂ©e, je crois, presque autant qu’il m’a baisĂ©e, alors maintenant il m’encule avec autant de facilitĂ© ..Je fis pĂ©nĂ©trer un doigt dans son cul et constatais effectivement son ouverture et sa souplesse.- Ah oui, tu es bien ouverteJe la baisais avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et dĂ©sespoir …- Tu aimes que je sois salope et pute?- Oui, je te le demande- Tu aimes que je me donne Ă Serge?- Oui, mon amour- Tu aimes que je lui appartienne?- Oh oui, chĂ©rie- Tu voudrais que je sois sa femme autant que la tienne, sinon plus?- Oui, oui, j’aimerais que tu sois sa femme, rien qu’a lui- Rien qu’Ă lui?- Oui je voudrais vivre cette expĂ©rience terrible- C’est ce que tu veux, vraiment?- Je le veuxJ’Ă©tais sur le point d’Ă©clater ma jouissance, mais je me retenais autant que possible.- Alors je vais lui dire que c’est d’accord- Quoi?- Serge veux que je vienne chez lui tous les vendredi soir jusqu’au dimanche soir et les jours fĂ©riĂ©s et toutes les vacances- Oui, chĂ©rie oui c’est super- Oui, mais il exige aussi que je ne fasses plus l’amour avec toi- Pourquoi, pourquoi … Ohhhh que c’est bon, je t’aime- Ben … parce qu’il veut que je sois enceinte de lui …- Oooooohhhhhh oui, oui, oui, ma chĂ©rie, oui je le veux aussi, enceinte, oui, de lui, oui Ohhhhh, jeeee jjjjooooouiiiiiiis AhhhhhhJ’Ă©jaculais en elle…. Quelques minutes plus tard, elle me dit:- Tu as bien saisi ce que je t’ai dit- Tu veux dire que Serge veut que tu sois sa femme t qu’il veut que tu sois enceinte de lui?- Oui- Oui j’ai bien compris et si tu le veux alors, je le veux- Oui je le veux- Et que tu ne me touches plus?- Je jouerais le jeu- Alors soit, on commence dès aujourd’hui, tu sais … j’attends mes règles demain et vendredi je serais avec Serge- Je suis d’accord, mais au fait, pourquoi pas en semaine …- C’est moi qui ai dit qu’il fallait que je sois aussi avec toi …- Ah bon!- Pourquoi, tu voudrais que je vive avec lui-mĂŞme en semaine … Donc tout le temps?- Au moins jusqu’Ă ce que tu sois enceinte- Et tu le supporterais?- J’ai très envie de vivre cette situation de cocu, de cocu content et la vivre pleinement en souffrant- Mais ça peut durer longtemps, car il veut aussi me pervertir avant que je sois enceinte et aussi pendant et après- Je ne comprends pas..- On va faire une chose : Pendant un certain temps on va faire comme ça, je serais ici en semaine et après on verra … Selon notre dĂ©sir de telle ou telle situation, d’accord?- D’accord…La semaine passa et le vendredi soir, Sandra me dit :- Bon je vais chez …. Mon mari, Ă dimancheElle m’embrassa et partie.Le dimanche soir, elle revint et je voulu la prendre.- Non, Alain, pas question, j’ai promis et je respecte la promesse faite Ă mon mari- Mais j’ai envie de toi, chĂ©rie- Non, tu dois accepter … J’appartiens dorĂ©navant Ă Serge, plus Ă toi …- C’est vrai mais c’est dur- Tu le savais et ça ne fait que commencer, alors contrĂ´le toi- Je suis dans un Ă©tat d’excitation en pensant Ă ce qu’il a pu te faire ….- Oh Oui … et tu ne peux mĂŞme pas imaginer … Il est infatigable, il me fait l’amour en continue. Je dis bien l’amour. Il me fait voir les Ă©toiles, lui …. Il me prend au moins 4 fois par jour, de tous les cĂ´tĂ©s. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois nue toujours. Je suis toujours Ă poil, mĂŞme quand il reçoit, tu te rends compte …- Sandra … comment quand il reçoit?- Oui, il reçoit des amis et je dois ĂŞtre nue devant eux. Tiens justement, hier, le voisin, d’ailleurs nous le connaissons, c’est le boucher de xxxx, est venue, il a Ă©tĂ© très surpris, il m’a bien regardĂ©, puis il a souri- Oh lĂ lĂ - Et encore ce n’est pas tout … hier il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans son site amateur voyeur. Je ne sais plus l’adresse mais je vais lui demander et je te la donnerais. Eh oui … je suis aussi sur InternetJe finis par m’endormir …. Cette semaine j’ai enfin trouvĂ© un travail intĂ©ressant. J’ai signĂ© mon contrat. Sandra est heureuse. Je lui ai donc dit qu’elle pouvait tout arrĂŞter …- Ah non, ce n’est plus une question d’argent, c’est notre vie maintenant … Moi je veux continuer … Et toi aussi d’ailleurs- Moi je suis d’accord avec toi …Ce vendredi soir lĂ , Sandra quitta la maison avec encore plus de joie…Moi aussi j’Ă©tais beaucoup mieux, lundi j’allais travaillerNous voici dĂ©but septembre …. L’automne. J’ai attendu patiemment ma femme …. Tout le week-end…. Elle est rentrĂ©e Ă 23 h 30.Elle n’Ă©tait pas comme d’habitude, je le remarquais aussitĂ´t. Elle se mit Ă pleurer- Que se passe-t-il, chĂ©rie?- Rien, rien … ça va passer …- Mais enfin, tu pleures … explique moi, je suis inquiet- C’est pas grave … mais je suis dĂ©passĂ©e- Comment cela?- Tout ce qui s’est passĂ© pendant ce week-end, j’ai honte de te le dire- Ah bon- Oui et jusqu’Ă ce soir, si tu veux savoir- Oui … j’aimerais bien savoir- Mais il est tard et demain nous travaillons et toi surtout c’est ton premier jour dans ton nouveau travail- Le sommeil est moins important que toi, que tes pleurs et que nous- Tu sais …Sandra Ă©tait hĂ©sitante.- Parle, dis-moi tout- Ok, vendredi soir, je suis arrivĂ©e chez Serge. Tout s’est passĂ© formidablement bien, il m’a baisĂ©e 2 fois en me faisant très bien l’amour et nous avons bien dormi. Puis le samedi matin, vers 9 heures, je me suis rĂ©veillĂ©e et quand j’ai ouvert les yeux, dans la pĂ©nombre de la chambre, j’ai vu 2 hommes. J’ai eu peur, mais j’ai alors entendu la voix de Serge qui me disait de ne pas avoir peur, qu’il Ă©tait lĂ . Puis mes yeux se sont habituĂ©s et j’ai reconnu les 2 hommes. Il y avait, notre boucher et l’autre … (Sandra hĂ©sitait) c’Ă©tait … mon patron. Tu te rends compte, notre boucher et mon patron- Mince, ça alors, il exagère, et alors?- Alors, j’ai dit non … J’ai suppliĂ© Serge de les faire sortir, mais il a dit que je devais obĂ©ir, sinon il ne voudrait plus de moi. Tu comprends, je ne peux plus me passer de lui, maintenant. Alors, mon patron s’est avancĂ© et il m’a caressĂ© la cuisse, le boucher lui est venu me caresser les seins … et j’ai sombrĂ© dans le dĂ©sir. Puis ils m’ont fait sucer leur bite, puis ils m’ont prise chacun leur tour. Serge prenait des photos. Ils m’ont fait jouir, les 2 salauds. Puis ils sont partis- Tu as dĂ» ĂŞtre blessĂ©e dans ton amour propre, ma chĂ©rie?- Avant oui, mais après, j’Ă©tais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posĂ©e beaucoup de questions, mais nous en reparlerons … Ă la fin de mon histoire du week-end- Ok chĂ©rie- J’en ai parlĂ© avec Serge et il m’a rappelĂ© qu’il m’avait prĂ©venue qu’il allait me pervertir et que ce matin, c’Ă©tait seulement un avant-goĂ»t. Alors, il m’a allongĂ©e Ă plat ventre sur la table de la salle Ă manger et il m’a enculĂ©e longtemps et j’ai encore jouis. Le soir, il m’a dit que nous attendions de la visite, et vers 22 heures, on sonnait au portail. Serge m’a dit d’aller ouvrir, nue. J’ai traversĂ© je jardin de devant et j’ai ouvert le portillon. Je me suis retrouvĂ©e en face de plusieurs hommes. J’ai immĂ©diatement reconnu le premier et je me suis cachĂ©e derrière le portillon. Ils sont entrĂ©s. J’ai fermĂ© le portillon et tous me regardaient… Il y avait, tiens-toi bien … Jean, le fils de carrossier, Robert … oui, Robert l’employĂ© de Mairie, Albert, le garde-chasse, Romain … le comptable de ma boite, Xavier le pompier et surtout et aussi … notre banquier, le salopard.- C’est pas possible … tous- Oui ils Ă©taient lĂ tous les 6 et Serge les a fait passer dans le jardin de derrière et leur a dit de se foutre Ă poil que la salope Ă©tait impatiente de les satisfaire. Jusqu’au petit matin ça a durĂ©. Je ne te raconte pas, car j’en suis incapable, qui m’a fait quoi et comment mais je suis certaine qu’ils m’ont tous baisĂ©e et enculĂ©e chacun leur tour et que tous ont Ă©jaculĂ© dans ma bouche. Serge a pris d’autres photos et a mĂŞme filmĂ©. Je peux te dire aussi qu’ils riaient et parlaient de nous et de toi.- Ils disaient quoi?- Tu veux savoir?- Ma foi, oui- Bon. Je ne sais pas qui exactement, mais j’entendais :- A la salope, je n’aurais jamais espĂ©rĂ© me faire Sandra, cette belle petite de 19 ans…. Putain qu’elle est belle…. Je ne savais pas que s’Ă©tait une pute, la femme Ă Alain… Alain, merde alors, il est cocu grave…. Eh les mecs, j’encule la femme d’Alain… Eh les cops, elle avale mon sperme la femme d’Alain… Je jouis dans la chatte du cocu Alain …Et j’en passe et des meilleures. J’Ă©tais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormie sur la balancelle … et je me suis rĂ©veillĂ©e vers 13 heures. Serge Ă©tait aux petits soins et m’avait prĂ©parĂ© un dĂ©jeuner copieux- J’en suis tout catastrophĂ© … Donc presque toutes nos connaissances savent?- Oui, mais attend la suite …- Quoi … encore?- Tu sais d’oĂą je sors lĂ , il y a 30 mn?- Ben, non- J’Ă©tais Ă 100 m de la maison, chez Marcel R….- Chez Marcel? Mais pourquoi?- Serge m’y a amenĂ©e vers 18 heures. Marcel avait prĂ©parĂ© un buffet campagnard. Mais curieusement, nous n’Ă©tions que tous les 3. Marcel m’a dĂ©taillĂ© des pieds Ă la tĂŞte et m’a dit que depuis longtemps il rĂŞvait de moi et que de savoir que j’Ă©tais une salope, il n’en revenait pas. Jamais il n’aurait pensĂ© que la femme d’Alain Ă©tait une pute. Puis il m’a touchĂ© les seins en disant que j’avais la paire de nichons la plus belle qu’il n’est jamais vu. Serge a enlevĂ© ma robe et j’Ă©tais Ă nouveau nue. Marcel bavait … Tu le connais cet obsĂ©dĂ© sexuel, ce vieux pervers … Il m’a fait mettre Ă genoux, il a sorti sa queue de dessous son gros ventre et il me la collĂ©e dans la bouche. Il a Ă©jaculĂ© en 30 secondes en me maintenant la tĂŞte pour que j’avale son sperme, ce vieux dĂ©goĂ»tant.- Donc … mĂŞme Marcel?- Marcel, oui … Marcel et les autres …- Quels autres?- Je continue …. Et Serge a tĂ©lĂ©phonĂ©, il a dit Ă son interlocuteur qu’il pouvait envoyer les suivants …. Alors il m’a dit d’aller m’allonger sur la table basse du salon sur laquelle il y avait un tapis d’ailleurs. Puis Marcel est venu, m’a Ă©cartĂ© les cuisses et il m’a sucĂ© la chatte pendant 5 mn. Je commençais Ă jouir quand il s’est arrĂŞtĂ© et a rejoint Serge. Moins de 2 mn après, quelqu’un est entrĂ©. J’ai entendu Marcel lui dire de se foutre Ă poil, que j’Ă©tais disponible pour lui dans le salon. Je n’Ă©tais mĂŞme plus inquiète, mais curieuse de savoir qui c’Ă©tait. Il est entrĂ© et j’ai reconnu Daniel B… Lui aussi a semblĂ© surpris, mais il a dit que Serge n’avait pas menti, que c’Ă©tait bien Sandra, la belle Sandra qui se trouvait lĂ devant lui, offerte. Il ne cessait de rĂ©pĂ©ter … c’est pas possible, Sandra … Il s’est jetĂ© entre mes cuisses et il m’a pĂ©nĂ©trĂ© d’un seul coup. Il m’a baisĂ©e Ă sa guise et il a joui. Il s’est relevĂ© et il est venu m’embrasser Ă pleine bouche puis il est sorti du salon.- Daniel B… Merde!- Je n’ai mĂŞme pas joui, tant il a Ă©tĂ© rapide, ce con- Et après?- Après il y a eu le dĂ©filĂ©, Serge a choisi toutes nos connaissances, dont je me souviens parfaitement … Je commence, dans l’ordre :Kamel, le jardinier arabe, lui il m’a baisĂ© la bouche et il a joui, plantĂ© au fond de ma gorge… Jean, notre voisin de la maison en face, lui il m’a baisĂ©e normalement… RenĂ©, notre voisin, le mari de Laure, il m’a baisĂ©e aussi et j’ai joui une première fois… Serge, l’autre, le patron du cafĂ© tabac, qui m’a baisĂ©e avec sa petite queue… Yann, le jeune qui travaille Ă la station. Lui il m’a enculĂ©e… Roland G… qui m’a aussi enculĂ©e… David, le frère de Jany, il s’est branlĂ© et il m’a arrosĂ©e de son sperme… Franck, le chef de la bande de jeune qui sont souvent sur la place, qui m’a enculĂ©e… Et enfin le meilleur pour la fin, mon oncle … Jean Yves … Il a simplement dit que jamais il n’avait osĂ© espĂ©rer baiser sa nièce. Il m’a baisĂ©e…. Et je peux te dire que lĂ encore les commentaires qu’ils faisaient, soit quand ils Ă©taient seuls avec moi ou quand ils Ă©taient entre eux dans la salle Ă manger, Ă©taient du mĂŞme genre que les autres de la veille. Mais celui de mon oncle c’Ă©tait le pire. Il a dit qu’il viendrait souvent chez sa nièce pour faire te faire cocu dans ton propre lit. Enfin Serge m’a dit de rentrer. En passant devant tout le monde, ils m’ont encore touchĂ© les seins et les fesses et certains m’ont embrassĂ©e avec leur langue baveuse. Ils m’ont dit d’aller te dire qu’ils venaient de prendre ta pute de femme. Et me voilĂ .Je ne parlais plus, je ne savais pas quoi dire… Alors, Sandra enleva sa robe et je vis son corps si beau, je vis les traces de sperme sur elle et celui qui coulait entre ses cuisses. Elle comprit mon dĂ©sir. Elle vint sur moi, enjamba mon visage et plaqua sa chatte sur ma bouche.- Bois le sperme bien chaud de mes amants qui viennent de se vider dans moi, bois cocuJ’avais la bouche remplie du foutre qui coulait et je m’en rĂ©galais. Elle se leva, je voulu l’attraper …- Ah non … pas toi. Serge ne veut pas. Il me pervertit pour lui, pas pour toi. Je lui appartiens et je fais ce qu’il me dit de faire avec qui il veut. Je vais ĂŞtre gentille avec toi, je vais branler ta petite queueElle prit mon sexe dans sa main et me masturba et je jouis en 1 mn, tant j’Ă©tais plein d’excitation.- C’Ă©tait bon, chĂ©rie d’amour?- Oui, surtout après ce que tu viens de me raconter, presque tous ceux qui te regardaient en te dĂ©sirant t’ont eue. Tous ceux qui me jalousaient ma merveilleuse Ă©pouse l’ont baisĂ©e ou enculĂ©e- Et ça te plait d’ĂŞtre cocu Ă ce point?- C’est excitant, très excitant de savoir que sa femme est une salope, la pute du village, la femme publique, en quelque sorte, mais au fait, pourquoi pleurais-tu- Je me fais beaucoup de soucis, je me suis avilie avec tous ces hommes, et maintenant je ne sais pas ce qui va se passer, et en plus, il y a mon patron et mon oncle. Et il y a Serge …. Dont je ne peux plus me passer, il me rend folle, je crois … que je l’aime …. DiffĂ©remment de toi, mais je l’aime. Je suis dĂ©solĂ© de te l’avouer, Alain. Tu vois, mĂŞme en ce moment, je voudrais ĂŞtre avec lui, dans ses bras. VoilĂ pourquoi je pleurais.- Je comprends, chĂ©rie, je comprends.- Tu comprends quoi?- Je comprends pourquoi tu pleurais- Ah … et est-ce que tu comprends que nous sommes allĂ©s très loin, que nous avons dĂ©passĂ© le point de non-retour, que nous ignorons, toi et moi, ce qui va se passer demain, après demain, avec tous ceux qui m’ont prise. Ils vont se parler entre eux et en parler aux autres, ça ne va qu’empirer. J’espère que Serge dominera la situationLâchement, je ne rĂ©pondis pas. Le matin nous nous sommes très peu parlĂ©, nous sommes partis chacun de notre cĂ´tĂ© Ă notre travail respectif.Le soir, je suis rentrĂ© avant elle Ă 19 heures. Elle est rentrĂ©e Ă 20 h 30.En dĂ®nant elle m’a expliquĂ© son arrivĂ©e tardive. Serge lui a tĂ©lĂ©phonĂ© et lui a demandĂ© de passer chez lui au sortir du bureau. Il lui a dit qu’elle n’avait rien Ă craindre de son patron, ni du comptable, ni d’aucun de ceux qui m’avaient prise, qu’il gĂ©rait la situation.Il l’a informĂ©e que c’est lui qui provoquerait les situations qu’il voudrait et que je saurais que ça vient de lui… Je fus un peu rassurĂ©.Le mois passa très vite … chaque jour Sandra avait une nouveautĂ© Ă me raconter. »… Un jour c’Ă©tait untel qui l’appelait sur son portable en disant que Serge lui avait donnĂ© son n° de tĂ©lĂ©phone et lui disait de venir Ă tel endroit. Et bien sĂ»r il la prenait. Elle se faisait baiser et/ou enculer ou elle devait sucer et avaler le sperme. Elle rentrait souvent après 22 heures…… Un autre jour, c’Ă©tait son patron ou le comptable qui après l’avoir convoquĂ©e la prenait dans leur bureau……. Elle me dit aussi qu’un soir, Kamel l’avait emmenĂ©e dans les bois. Il l’enculait lorsque 3 de ses copains arabes sont apparus et elle a dĂ» les sucer et boire leur sperme Ă tour de rĂ´le…. Mais la chose la plus terrible pour elle, c’est que tous les week-ends, elle ne les passait plus avec Serge, mais avec son oncle qui ne se lassait plus de la prendre plusieurs fois par jour.