Elle s’appelle Sandra.Jamais elle n’a été plus heureuse que l’été dernier, car c’est là qu’elle a comprisce qu’était la liberté. Elle a vécu ces moments forts près de Toulouse, pendant ses vacances.Elle n’est pas très âgée, et c’est chez son oncle et sa tante que ce mois d’août s’écoula.C’est un couple paisible, de bons vivants… La tante Magui cuisine magnifiquement,ses tablées sont réputées dans le coin, et chaque dîner est un festin!L’oncle Michel profite intensément de ces fêtes, surtout depuis qu’il est à la retraite…Il se marre tout le temps, d’ailleurs il dit souvent à Sandra: »Dans la vie faut profiter du bon avant qu’le mauvais t’attrape! »Avant ses 18 ans, Sandra, ça l’énervait tout ça, la campagne, les vaches, les paysans,mais elle était bien obligée de supporter, puisque c’est là que ses parents l’envoyaient…Cette année, vu son âge, c’était la dernière fois qu’elle était obligée de passer ses vacances à Pérouset, du coup, elle prit tout bien plus à la légère.Ce fameux soir, c’est comme ça que tout commença…Son oncle et sa tante avaient préparé un dîner à l’occasion de la fin des travaux du voisin.Il s’appelait Jean. Il y avait aussi sa compagne, Camille, et leur ami australien, Gid.Prenant son mal en patience, Sandra s’assit sur le banc de la terrasse, alors que tout le mondeavait déjà en main son apéritif. Ça discutait de partout, riait fort… Elle ne connaissait quetrop ces ambiances, et commençait déjà à s’ennuyer. C’était toujours les mêmes conversations sur la politique, le travail, les travaux, et puis bien sûr, les blagues graveleuses de fin de dîner…Pensant à tout cela, soupirant, elle entreprit de rentrer au salon, mais se fît interpeler par Camille, la femme du voisin: « Alors Sandra, contente de tes vacances? C’est bien la campagne hein? ». Sandra, polie, répondit gentillement: » Mouais, c’est sûr que ça me change de Paris… »Camille était une jolie femme à la quarantaine, qui parlait toujours très doucement…Sandra la connaissait un peu de l’année précédente, mais elles n’avaient jamaisvraiment discuté toutes les deux. »Tu as quel âge maintenant? », demanda tendrement Camille. »Dix-huit ans », lui répondit Sandra.Camille soupira, affichant clairement le regret de ses jeunes années, et sourit. Sandra, en réalité, la trouvait vraiment très belle, et si… douce. »Toi tu n’es pas vieille du tout quand même! », dit-elle maladroitement, ce qui fit rire Camille,flattée par cet élan d’honnêteté.Jean les rejoint. Il avait déjà la pointe des joues rouge, et s’esclama: » Mais dis donc,la p’tite Sandra, elle boit rien du tout là, Magui, ta nièce elle peut bien faire la fête avec nous maintenant, non? », et à quelques mètres de là, d’une autre discussion, la tante Magui répondit: » Bah demande-lui Jean, elle est grande maintenant. » » Alors mademoiselle, tu vas bien goûter un p’tit Kir, non? », s’empressa de demander Jean à Sandra.La couleur légère du verre de Camille et son sourire lui firent répondre que oui.Au moment de passer à table, Sandra était toute souriante; Les deux Kirs servis par Jean l’avaient désinhibée un peu, et elle riait même des blagues de son oncle! Elle se sentait si bien…A table, on commença par manger des avocats aux crevettes. Le soleil les avait fait bien mûrs et si fondants, que Sandra en mangea deux moitiés, elle qui d’habitude se contentait de si peu…Puis les côtes de boeuf arrivèrent, et avec, les bons vins rouges. Elle voulut y goûter, etse surprit même à apprécier… L’un d’eux avait, dit-elle, un petit goût de framboise!Au court du repas, elle but doucement trois verres de vins, qui bien entendu la grisèrent un peu, mais c’était si agréable… Elle se laissait aller à rire, à parler, et tout le monde la découvrit épanouie, heureuse et en paix, la douloureuse adolescence enfin passée…Chacun passait une très bonne soirée, dans une détente certaine, et parfois même Sandra se laissait aller à plonger ses yeux dans ceux de Camille, plus longtemps qu’il n’était convenable…Camille, au début un peu gênée, se prit petit à petit au jeu et se laissa faire.Jusqu’au dessert, et même après, elles échangèrent de longs regards, coupées des autres, sans vraiment savoir ce que cela voulait dire… Seulement, à ces moments intenses, Sandra se sentait flotter sur du coton et des frissons de plaisir la parcouraient…Après ce long repas, les amis s’installèrent confortablement dans le salon de jardin, qui à cette période de l’année était toujours placé au pied de la terrasse, sur l’herbe…La lumière tamisée de l’intérieur de la maison venait juste frôler les visages, et on servait là les digestifs, cafés, infusions… Sandra et Camille s’étaient assises sans hésiter l’une à côté de l’autre au milieu des coussins du petit canapé en toile, et sous prétexte de son jeune âge, Sandra avait allongé le haut de son corps sur les cuisses de Camille, qui instinctivement se mit à lui caresser les cheveux…Dans la douceur du soir, l’amitié ambiante, et les aventures incroyables que racontait Gid, rien ne semblait plus naturel…Jusque tard dans la soirée tout le monde écouta attentivement les histoires australiennes, puis les premiers baillements se firent entendre. C’était l’oncle et la tante de Sandra, qui bientôt se levèrent, souhaitèrent une bonne nuit à tout le monde, et demandèrent à leur nièce de bien tout éteindre quand elle irait se coucher.Le fond de l’air était devenu plus frais, et Jean proposa de poursuivre la séance d’histoires chez lui, dans la maison juste à côté, afin de ne pas déranger le sommeil de Magui et Michel.Ainsi, Gid, Camille, et Sandra, le suivirent au salon de la deuxième maison. Elle sentait encore un peu la peinture, toute fraîche des travaux à peine terminés, mais Jean fît un feu dans la cheminée, et l’odeur du bois se consumant couvrit bientôt toute autre…Camille et Sandra s’étaient de nouveau collées l’une à l’autre, et Jean servit à tous un alcool de prunes très fort et très parfumé.Il coula dans la gorge de Sandra comme du sirop, chauffant jusque dans sa poitrine.La lumière du feu brûlait ses paumettes, et elle regarda Camille plus intensément encore que pendant le dîner. Gid avait reprit la parole, mais elle ne l’écoutait plus. Elle était maintenant envahie par une autre envie que celle de juste se blottir contre Camille. Elle voulait la regarder, puis la caresser, l’embrasser… ce qu’elle fit! Un baiser au coin de la bouche, à la fois tendre et provoquant, qui jeta un grand silence dans l’assemblée. Jean cessa net de remplir son verre, Gid se tût, et Camille expira…Après ces quelques secondes figées, Jean fît signe à Gid, d’un geste circulaire, de surtout continuer à parler, comme pour ne pas déstabiliser Sandra. Ho, qu’il raconta cequ’il voulait, ça n’avait plus vraiment d’importance. C’était le son de sa voix grave et vibrante qui suffisait maintenant à poser l’ambiance…Camille ne décrochait plus son regard de Sandra. Cette dernière s’approcha encore d’elle et cette fois l’embrassa vraiment, sur la bouche. Elle passa même un peu sa langue sur ses lèvres, plus longtemps.Camille fût débordée par une vague de plaisir qui fît son souffle sonore, et elle en redemanda.Cette fois le baiser fût humide et langoureux, et leurs langues s’entrelacèrent…Jean, perdu entre la surprise et l’excitation, but un autre verre, cul sec, et s’assit face aux deux femmes. Leurs têtes collées, elles se caressaient les cheveux, les épaules et le dos avec fougue, et bientôt, Sandra passa une de ses jambes entre celles de Camille, qui les referma fortement autour, pour s’appuyer contre elle. Elles ondulaient, se frottaient l’une à l’autre, et froissaient leurs vêtements légers.Leurs respirations devenaient de doux gémissements, plus rien n’existait autour… Camille voulut voir les seins de Sandra, et lui ôta son tee-shirt. Elle portait une lingerie de coton des plus simples, et au moment où Camille voulut aussi la lui enlever, Sandra se souvint de la présence de Gid et Jean.Elle pût alors se refermer si Camille, si douce et rassurante ne lui avait pas dit: » Tout va bien, c’est juste Jean, c’est juste Gid, il nous aiment bien, ils nous trouvent jolies tu vois.. »Alors il n’y avait plus de barrière, et à ce moment précis, Sandra comprit le mot « liberté ».A son tour elle dénuda son amie, jusqu’à ne lui laisser que sa culotte.Puis Camille lui enleva son soutien-gorge, et embrassa ses seins dressés. Elle glissa les mains entre ses genoux, puis remonta le long de ses cuisses lisses, jusqu’à son entre-jambe. Même à travers le tissus la chaleur de son désir était forte. Elle déboutonna son short et le fît descendre jusqu’à ses chevilles. Sandra s’en débarrassa vivement. Elle était tellement excitée… Plus encore que la première fois où un gars l’avait touchée, plus encore que ces nuits où, seule, elle avait apprivoisé le plaisir..!Camille regarda le corps de Sandra, haletant, et l’installa confortablement dans le grand sofa gris.Elle vit sa culotte toute humide, et, passant les doigts entre ses jambes, par dessus le tissu, sentit qu’elle était en fait trempée..! Sandra mouillait, abondament, maintenant elle voulait quelque chose de plus intense, et Camille le savait. Elle l’excita en passant ses doigts sur son sexe, de plus en plus fort, mais toujours par dessus sa culotte, attisant encore son impatience. Elle finit par glisser son majeur par le côté de la lingerie, se jouant de l’élastique, et atteignit les lèvres brûlantes de la jeune femme. Cette dernière émit un son profond et incontrôlé, qui plut énormément aux « spectateurs ».Camille n’en pouvait plus non plus. Elle voulait manger cette beauté, la sublimer, mais freinait ses ardeurs.Elle passa ses doigts sur le sexe de Sandra, étalant tout ce qu’elle mouillait, de son vagin à son clitoris, et profita de la confusion pour avancer jusqu’entre ses fesses… Sandra aimait aussi cela, ce qui n’échappa pas à Jean.Gid, lui, n’avait pu contenir sa verge dans son pantalon, et commençait à se masturber, mais lentement, afin de freiner son excitation… Il continuait à marmoner; Ce n’était plusdu tout ses aventures australes, mais plutôt quelques mots en anglais, liés à la tension ambiante…Camille avait enfin retiré à Sandra sa culotte, et était désormais en train de la lècher. Plus que la lècher en fait, elle la dévorait! Elle s’abreuvait de sa chatte frémissante, la goûtait et la connaissait de mieux en mieux à chaque lampée, passant finement la langue autour de son clitoris, et la passant dessus avec le controle de chaque pression, puis la descendant dans son vagin, avec l’épaisseur d’un sexe d’homme.A chaque changement, Sandra devenait plus folle encore, gigotant, se cambrant, comme pour supporter à tout prix l’insupportable…Camille lui écarta les lèvres des deux mains, et après une dernière lampée, lui enfonça deux doigts au fond du vagin! La réaction de Sandra fût immédiate. Elle abandonna un petit jet d’urine sur le sofa!Camille appela de suite son homme à la rescousse: » Je t’en prie Jean, reste pas comme ça, fais quelque chose, baise-moi! ». Aussitôt dit, aussitôt fait, Jean s’approcha derrière sa femme, qui était à genoux au pied du sofa, écarta son slip et la pénétra très fort.Pour la première fois Sandra entendit le son de la voix de Camille bien plus fort qu’il ne l’avait été durant toute la soirée. »Ho, dis-moi, c’est bon dis, c’est bon? », lui demanda-t-elle, presque jalouse.Et Camille répondit: « Ho, oui, ho, je voudrais que tu ressentes ce que je ressens en ce moment…hoo… »Alors Sandra jeta son regard sur Gid, se branlant seul dans son fauteuil près du feu…Elle s’approcha de lui, et se pencha sur sa belle queue, pas très grande, mais d’une largeur honorable, promettant de combler toutes ses intimes chairs. À vrai dire, les garçons qu’elle avait jusqu’alors rencontrés l’avaient toujours timidement prise, mais jamais vraiment baisée!Ce soir elle avait cette envie là, et ferait tout pour que Gid le fasse bien!Le prenant à pleine main, elle le serra d’abord très fort et remonta sa poigne vers le gland, doucement, afin que son lubrifiant naturel coule hors de sa verge. Elle même coulait depuis qu’elle s’était levée du sofa, si bien que tout l’intérieur de ses cuisses, jusqu’aux genoux, semblait huilé… Elle se mit à sa hauteur devant lui, le regarda fixement, et chercha au fond de ses yeux toute sa perversité, toutce qu’elle voulait extirper de lui…Elle se pencha sur sa bite tendue, et commença par lui donner des petits coups de langues, et puis de grands, jusqu’à la mettre dans sa bouche. Bientôt, elle suçait Gid comme si sa vie en dépendait et comme si elle avait fait cela toute sa vie! L’australien ne savait plus que dire à part: » Ho yes baby, suck my dick.. yes, suck it..hoo.. », et elle continuait, encore plus fort, salivant dessus et autour, comme une vrai garce, celle qu’elle voulait profondément être cette nuit-là, parce que cette liberté la portait au delà de toute barrière…Tout à coup, Gid l’arrêta, et elle, la bouche ouverte, la langue sortie, comprit qu’il allait jouir. Mais Gid avait bien trop envie de la baiser pour en finir tout de suite!Camille et Jean n’avaient bien sûr pas loupé une miette de la scène, et prenaient un plaisir terrible à en juger par leurs râles…D’ailleurs, la première à jouir fût Camille. Elle trembla de partout, longuement, et Jean la serra fort…Sandra s’allongea au sol, sur le dos, son visage sous celui de Camille, qui l’embrassa de suite goulument.Elle se sourirent. Gid arriva au-dessus de Sandra, et glissa d’abord sa queue entre ses fesses, puis remonta entre ses lèvres. Enfin, il entra en elle. Comme promis, la largeur de son sexe était parfaite, et elle gémit de suite. Il allait et venait déjà profondément, tant que l’on se demandait comment il allait pouvoir tenir plus longtemps. »Doucement mon vieux! », dit même Jean.Effectivement, Gid allait vite et fort, ce qui donnait énormément de plaisir à Sandra. Pour ne pas crier, elle préfèrait parler: » Vas-y, tu peux me baiser, tu peux me baiser même plus fort..hoo…hoo.. », ce qui motivait encore plus l’australien, presque en bout de course.Le flot de plaisir monta en lui, alors il se retira d’elle, approcha la queue de sa bouche, et le lâcha en cinq ou six raffales sur sa langue qui l’attendait…Elle le laissa s’apaiser, puis étalla le sperme qui était sur sa langue tout autour de sa bouche, sur son cou, sur sa poitrine…Ainsi toute barbouillée, Sandra gémisait encore de plaisir, mais insatisfaite, alors Camille la tourna sur le ventre, emmena son homme derrière elle, et le fît la prendre dans le but de la faire jouir.Jean ne faisait pas dans la dentelle, et bien que profondément amoureux de Camille, il débordait d’envie pour Sandra. Aussi dès ses premiers « aller-retour » Sandra sentit qu’elle allait jouir très vite! Jean savait vraiment baiser!Elle le ressentait à chacun de ses mouvements, tout en détail. Son gland, et toute sa longueur l’emplissait réellement. Il y mettait non seulement la puissance, mais aussi l’intention, et l’assurance, comme si chacun de ses coups disait: » T’inquiète pas ma p’tite, tu vas gueuler! ». Et elle monta, monta, si haut et si fort qu’elle pensa en mourir!Elle jouit comme jamais, et pendant son long orgasme, Jean, la voyant dilatée de partout, enfonça sa queue dans son anus, mit trois violents coups de rein, et éjacula en elle, très fort..! Elle jouit à nouveau dans ce moment d’inconscience, et plus rien n’était réel, et tout son corps battait si fort…Il lui fallut longtemps avant de reprendre ses esprits. Quand elle revint à elle, Sandra regarda ses partenaires de plaisir… Tout le monde souriait, un peu gêné, un peu étonné, mais heureux. »Vous leur dîtes rien hein, à Magui et Michel… », dit Sandra. » Bien sûr que non ma chérie, t’inquiète pas,répondit Camille, c’est notre petite histoire… » Elles se prirent dans les bras l’une de l’autre une dernière fois, puis Sandra se rhabilla, leur souhaita une bonne nuit, traversa le jardin dans la nuit, et alla se coucher dans sa chambre, tout doucement.Elle eut un peu de mal à s’endormir…Ce qu’elle venait de découvrir était si merveilleux. Cette sensation de liberté, plus jamais elle ne voudrait s’en éloigner, et toujours elle se souviendrait de cette nuit magique où elle l’avait vraiment rencontrée.