Quelle chaleur ! Je suis arrivĂ© Ă Sarajevo depuis trois semaines dans le cadre de lâopĂ©ration Salamandre et je crĂšve de chaud sur le bitume du tarmac de lâaĂ©roport. Nous sommes en plein mois dâaoĂ»t de lâannĂ©e 199X et au bas mot, il doit faire au moins 45°C au soleil et mĂȘme si je suis en tenue allĂ©gĂ©e (short et chemisette), câest lâenfer.Moi, câest Laurent, militaire sous contrat avec le grade de sergent et Ă©lectricien dans lâArmĂ©e de lâair. Je suis en Bosnie-HerzĂ©govine pour un mon premier OPEX pour une durĂ©e de quatre mois environ. Jeune sous-officier de vingt-sept ans, jâai en charge, avec mon binĂŽme Enzo, un mĂ©cano, de lâalimentation Ă©lectrique et de lâentretien des matĂ©riels aĂ©ronautiques indispensables aux dĂ©collages et aux atterrissages des aĂ©ronefs civils et militaires. Et lĂ , en ce moment, on a les mains plongĂ©es dans un groupe Ă©lectrogĂšne au fonctionnement rĂ©calcitrant.Plus ĂągĂ© de trois ans, sergent-chef, Enzo barbe de trois jours sur le visage est un beau brun dâorigine italienne qui a toujours le sourire aux lĂšvres. Regard bleu translucide, dotĂ© dâun humour dĂ©capant, câest le chouchou de ces dames dans le camp. Câest aussi pour moi un super camarade, nous nous entendons comme deux larrons en foire et les soirĂ©es aprĂšs le boulot dans les popotes ne sont pas tristes. Quant Ă moi, je suis grand (1,85m), brun aux yeux or. La couleur particuliĂšre de mes yeux captive souvent les gens et me vaut un certain succĂšs auprĂšs de la gent fĂ©minine. CĂ©libataire depuis trois mois aprĂšs que jâeusse dĂ©couvert les infidĂ©litĂ©s de ma copine. Je lâai virĂ©e manu militari sans Ă©tat dâĂąme de mon appartement pour prĂ©parer sereinement mon dĂ©part dans les Balkans. Comme le dit si bien la maxime, une de perdue, bah une de perdue, câest la vie.Ce soir, une relĂšve partielle venant de France arrive pour 18 h et tout le monde se prĂ©pare pour la rĂ©ception des nouveaux arrivants. Les rĂ©frigĂ©rateurs des diffĂ©rentes popotes sont pleins et la biĂšre, ce soir, coulera Ă flots. Avec les journĂ©es pleines que nous faisons, boire une biĂšre Ă la popote tout en jouant aux flĂ©chettes et discuter entre guerriers sont les seuls moments de dĂ©tentes que nous ayons. Avec un couvre-feu Ă 22 h, personne nâa envie de sortir en soirĂ©e pour rentrer si tĂŽt.Enzo, ce soir nâa pas le moral. Les nouvelles venant de France ne sont pas bonnes. Sa femme dĂ©prime et mon ami a fini sa conversation en gueulant et a laissĂ© sa femme au bout du fil en pleurs. Ma mission ce soir si je lâaccepte est de lui redonner le sourire et retrouver lâami boute-en-train qui me fait tant rire.Le C-130 Hercule vient dâatterrir et le personnel attend derriĂšre les barriĂšres que la relĂšve descende de lâavion pour effectuer les formalitĂ©s administratives. Une fois ces derniĂšres effectuĂ©es, les sacs de chacun sont emportĂ©s dans les chambres et les nouveaux sont emmenĂ©s dans les popotes pour le pot des arrivants, accompagnĂ©s de leurs prĂ©dĂ©cesseurs.Parmi les nouvelles tĂȘtes, une dizaine de personnels fĂ©minins composent un petit groupe timide qui se demande Ă quelle sauce elles vont ĂȘtre mangĂ©es. Je repĂšre une petite blonde aux cheveux courts, sergent toute mimi qui regarde tout le monde avec un sourire aux lĂšvres. Je la regarde plus en dĂ©tail. De taille moyenne, en short, ses jambes dĂ©nudĂ©es sont toutes bronzĂ©es et la chemisette me semble bien remplie. Câest un plaisir pour les yeux de la regarder. Sentant mon regard sur elle, je lui fais mon plus beau sourire quâelle me retourne. Au bout de quelques secondes, elle baisse la tĂȘte pour regarder ses pieds puis relĂšve la tĂȘte pour me regarder de nouveau. Une bouffĂ©e de chaleur me remonte jusquâau cerveau, mon Dieu, que cette fille est belle !AprĂšs le mot de bienvenue du commandant dâunitĂ©, les Ă©preuves commencent pour faciliter lâintĂ©gration des arrivants dans le service. Tout est fait dans la bonne humeur, la biĂšre se vide rapidement et lâambiance devient de plus en plus bruyante et festive au fur et Ă mesure que les bouteilles se vident.Les yeux brillent sous lâeffet de lâalcool, je suis derriĂšre le comptoir avec Enzo depuis deux heures et nous ne chĂŽmons pas. Il fait chaud, la musique est Ă fond et tout le monde a soif. Enzo, au fur et Ă mesure de lâavancĂ©e de la soirĂ©e, a retrouvĂ© sa bonne humeur et nous faisons hurler de rire les gens autour de nous avec nos conneries. Je suis en train de laver quelques verres Ă la plonge, jâai comme une impression bizarre et quand je relĂšve la tĂȘte, jâai deux yeux verts qui me fixent intensĂ©ment accompagnĂ©s de ce merveilleux sourire. Je vais pour lui parler quand un groupe bruyant passe entre nous deux, elle disparaĂźt de mon champ de vision. Quand les gugusses sont passĂ©s, elle a disparu. Je ne la reverrai pas de la soirĂ©e. Fait chier !Vers une heure du matin, fatiguĂ©s, mais contents, nous fermons la popote et nous partons nous coucher lĂ©gĂšrement euphoriques. RentrĂ© dans la chambre que je partage avec Enzo, je me dĂ©shabille pour aller prendre une douche. Jâentends dĂ©jĂ mon compagnon de chambre ronfler lĂ©gĂšrement. Il sâest Ă©croulĂ© tout habillĂ© sur son lit.Serviette autour de la taille, je sors de la chambre et jâentends un lĂ©ger bruit dans mon dos. Je me retourne et je me retrouve nez Ă nez avec ma jolie petite blonde qui est aussi provisoirement ma voisine de chambre. Elle est aussi en tenue minimaliste avec pour seuls vĂȘtements une serviette Ă©ponge quâelle a passĂ© sous ses aisselles pour la maintenir et des tongs.ââŻSalut, moi câest Laurent. Bienvenue Ă Sarajevo, je dis Ă voix basse avec mon plus beau sourire.ââŻSalut, Sandrine, enchantĂ©e de te connaĂźtre et heureuse dâĂȘtre enfin arrivĂ©e ici, me dit-elle dâune voix douce. Tu peux me dire oĂč se trouvent les douches ?ââŻElles sont Ă lâextĂ©rieur, jây allais justement. Viens, suis-moi. Tu devrais peut-ĂȘtre mettre une tenue plus habillĂ©e, non ?ââŻCâest loin ?ââŻNon, juste Ă cĂŽtĂ©, câest un Algeco accolĂ© Ă notre bĂątiment.ââŻIl nây a pas loin, je reste comme ça. De toute façon, il nây a personne Ă par nous. Ăa craint rien.ââŻOK, comme tu veux.Nous sortons du bĂątiment et nous en profitons pour faire plus ample connaissance. La miss a vingt-cinq ans, vient de Lyon oĂč elle travaille Ă Mont-Verdun comme contrĂŽleuse aĂ©rienne. Moi, je lui explique que je viens dâun centre de dĂ©tection et de contrĂŽle situĂ© Ă une vingtaine de kilomĂštres de Tours et que je suis ici depuis trois semaines.Nous arrivons Ă lâAlgeco amĂ©nagĂ© avec des cabines de douche individuelles. Il est vide, vu lâheure, tout le monde est couchĂ© et nous sommes seuls au monde. Je me tourne vers Sandrine pour lui demander quelle cabine elle veut prendre quand deux lĂšvres chaudes et humides se collent aux miennes. Surpris, je lĂąche mes affaires de toilette et je la prends dans mes bras. Une langue furtive sâengouffre dans ma bouche et vient Ă la rencontre de la mienne. Je sens remonter un mĂ©lange de sueur et dâun lĂ©ger parfum poivrĂ© qui me monte Ă la tĂȘte et mâenflamme. Un moment de luciditĂ© me revient et je la pousse dans la cabine la plus proche. Nous continuons Ă nous embrasser furieusement pendant quelques secondes puis je me dĂ©colle dâelle pour retrouver mon souffle.ââŻJâen mourrais dâenvie, dit-elle, je ne sais pas ce qui mâarrive, mais tu mâas trop allumĂ©e avec tes yeux doux et ton sourire charmeur. Jâai trop envie de faire lâamour. Ăa doit ĂȘtre lâalcool, ça mâexcite.ââŻOn va dire ça !Elle approche son visage du mien et me fixe intensĂ©ment. Mes mains remontent vers son visage que je prends tendrement et je me penche pour lâembrasser. Ses lĂšvres sont douces, son haleine a un goĂ»t de « Despé » qui nâest pas pour me dĂ©plaire.ââŻQuâest-ce que tu es belle, je parviens Ă lui susurrer entre deux baisers.Pour toute rĂ©ponse, elle me regarde droit dans les yeux, un nouveau petit sourire sâinstalle sur ses lĂšvres et ses mains rentrent en action. Elle dĂ©fait ma serviette et la pose sur le strapontin. Elle me dĂ©couvre complĂštement nu. Mon sexe en semi-Ă©rection commence Ă prendre de lâampleur. Habilement, de sa main droite, elle mâenserre la bite, et commence un va-et-vient lent et rĂ©gulier qui me fait rapidement durcir. De mon cĂŽtĂ©, je ne reste pas inactif, je lui enlĂšve sa serviette et la pose sur la mienne. Je la reprends dans mes bras et commence Ă la caresser. Sa peau est incroyablement douce. On dirait du satin. Je lui caresse le dos et mes mains descendent pour empaumer des fesses rebondies et bien fermes. Nos regards ne se sont pas quittĂ©s. Elle me pousse au fond de la cabine et se baisse au niveau de ma queue qui maintenant est gonflĂ©e Ă son maximum. Mon gland est Ă©norme, presque violet et me fait mal tellement je suis tendu.Elle approche sa bouche et je sens son souffle chaud et le bout de sa langue venir me titiller le mĂ©at. La sensation est extraordinaire. Ses yeux qui fixaient mon membre remontent vers moi et tout en me regardant, elle avance ses lĂšvres lentement pour enfourner mon gland. Sa bouche mâavale et je sens mon membre toucher le fond de sa gorge. Ses va-et-vient sont rapides et sa langue ne reste pas inactive. Je la sens partout autour de mon gland et les sensations sont Ă©normes. Je ferme les yeux, je suis dans un autre monde, loin de ce pays dĂ©vastĂ© par la guerre.Ma queue hyper tendue ressort de sa bouche avec un bruit de succion, elle me la plaque contre mon ventre. Elle se baisse lĂ©gĂšrement et se met Ă me lĂ©cher les testicules. Chacun leur tour, elle les prend en bouche et joue avec. Câest divin, jâai lâimpression de nâĂȘtre quâune bite qui ne demande quâĂ Ă©clater. En mĂȘme temps, elle me masturbe lentement. Ma respiration est saccadĂ©e, ça devient compliquĂ© pour moi de me retenir. Sandrine relĂąche mes boules et remonte avec sa langue la hampe pour me reprendre en bouche. Elle reprend ses va-et-vient avec une lenteur calculĂ©e qui me donne lâimpression dâĂȘtre dans un fourreau tellement elle serre ses lĂšvres. Sa langue nâest pas non plus inactive. Cette fille est diabolique et je ne vais plus pouvoir me contenir.ââŻArrĂȘte sâil te plaĂźt, je vais venir si tu continues. Laisse-moi mâoccuper de toi maintenant.Sandrine se relĂšve. Un filet de bave sâĂ©tire entre sa bouche et ma queue, elle vient de nouveau mâembrasser tendrement. Je me dĂ©colle dâelle, la retourne et empoigne de mes mains ses deux seins lourds qui sans ĂȘtre Ă©normes dĂ©bordent de mes mains. Je les malaxe tendrement, elle passe ses mains derriĂšre sa tĂȘte et mâagrippe les cheveux. Elle se penche en arriĂšre et je profite pour poser mes lĂšvres sur son cou oĂč son parfum mâenivre. Je lui pince doucement les tĂ©tons et je sens ses bouts durcir. Ma bouche enfouie au creux de son cou, je la mitraille de tendres bisous qui la font gĂ©mir. Elle tourne sa tĂȘte vers moi et je lui happe la bouche pour un nouveau baiser. Ma main droite lĂąche son sein et je la descends pour venir caresser son ventre et atteindre son mont de VĂ©nus. Au bout de mes doigts, jâaccĂšde Ă une douce toison que je caresse tendrement.ââŻVas-y, continue, câest trop bon, me dit-elle, les lĂšvres collĂ©es aux miennes.Je descends quelques centimĂštres plus bas et mes doigts rencontrent une fontaine. Sa chatte est tout inondĂ©e de ses liqueurs, preuve que la demoiselle est plus quâexcitĂ©e. Je rentre deux doigts dans son vagin et commence Ă la branler. Sa respiration devient plus rapide au fur et Ă mesure que je la masturbe. Son sein est dur comme de la pierre, une de ses mains rejoint la mienne entre ses jambes et elle met lâautre Ă sa bouche pour Ă©touffer ses cris qui montent. Elle ferme ses yeux, flĂ©chie sur ses jambes, elle nâest plus quâune boule de plaisir.ââŻMets ta bouche, arrive-t-elle Ă me dire. Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue.Je ressors mes doigts poisseux de sa chatte. Pour mieux faire ressortir son cul, elle plie lĂ©gĂšrement les jambes et avec ses deux mains Ă©carte dâune façon indĂ©cente ses globes jumeaux. Le spectacle offert est magnifique. Certainement sportive, car son cul est un rĂ©gal pour les yeux. Son petit trou striĂ© est devant mes yeux et mâattire comme un aimant. Je le contemple quelques secondes afin de le fixer dans ma mĂ©moire puis jâapproche ma tĂȘte afin de venir faire sa connaissance. ComplĂštement offerte, je me retrouve nez Ă nez avec son Ă©toile. Son anus fripĂ© me fixe et jâapproche ma bouche pour lui dĂ©poser un baiser. Je sors ma langue et je viens goĂ»ter son muscle anal dont la petite odeur musquĂ©e me remonte aux narines et mâexcite comme un fou. LĂ©gĂšrement ouvert, ma langue sâinvite et pĂ©nĂštre lâantre offert Ă mes caresses buccales. Jâessaie de faire rentrer mon appendice au maximum de ses possibilitĂ©s en lâarrondissant. Je bave comme un malade et ma salive sâĂ©coule lentement dans le dĂ©licat conduit de chair.ââŻVa plus bas, mâordonne-t-elle, je veux jouir avec ta bouche sur mon clito.Je descends lĂ©gĂšrement et nâĂ©coutant que mon courage, je mâattaque Ă son puits dâamour qui ruisselle de sa mouille. Je mâaide des deux mains pour Ă©carter sa chatte au maximum. Mes doigts maintiennent ses petites lĂšvres grandes ouvertes et plus bas mâapparaĂźt son petit bouton qui ne demande quâĂ ĂȘtre cueilli. Jây dĂ©pose ma bouche et ma langue entre en action. Jâaspire, je suce, enfin je mets toute ma science en action pour atteindre mon but. Un cri rauque sort de sa bouche, son corps se tend comme un arc et soudain les vannes lĂąchent. Sandrine est prise de tremblements, elle crie sa jouissance dans un grand rĂąle alors que jâai toujours en bouche son clito et sa mouille qui dĂ©gouline. Je continue de la sucer jusquâĂ ce quâelle tombe Ă genoux sur le sol. Ă quatre pattes, les yeux fermĂ©s, les bras sur le strapontin et le cul en lâair, elle rĂ©cupĂšre lentement. Jâai lâimpression que ma partenaire est sur son petit nuage et quâelle est ailleurs. Elle a du mal Ă retoucher terre. Je la regarde, câest beau une femme qui a joui.ââŻPutain, câest trop bon, aprĂšs le stress du voyage, je ne connais pas de meilleure mĂ©thode pour dĂ©compresser. Viens, prends-moi en levrette, jâadore me faire prendre comme ça. TâinquiĂšte, je prends la pilule.ââŻTes dĂ©sirs sont des ordres, ma belle. Mais il ne faut pas que lâon fasse trop de bruit. Les coĂŻsâœÂč⟠font des rondes et je nâai pas envie de me retrouver avec la truffe de leur clĂ©bard Ă me renifler les fesses.Sandrine Ă©clate de rire et elle me dit :ââŻAu lieu de perdre du temps Ă parler, dĂ©pĂȘche-toi de ma la mettre, me dit-elle avec un grand sourire. Jâai trop envie de te sentir en moi.Je prends mon engin en main, fais couler un peu de salive sur mon gland que jâĂ©tale puis je me mets en position de tir Ă genoux. Je prĂ©sente mon gland Ă lâentrĂ©e de sa chatte et dâune poussĂ©e franche, jâinvestis son antre qui ne demande que ça.ââŻWow, trop bon. Vas-y, bourre-moi bien.Et lĂ jây vais franco. Mes allers et retours sont puissants et mon rythme rĂ©gulier. Son Ćillet me fixe encore et me nargue. Jây glisse discrĂštement et malicieusement mon pouce qui est totalement absorbĂ©. La belle serait-elle une adepte de la sodomie ? Sandrine ahane de plus en plus fort. Quel bonheur, sa petite chatte Ă©pouse parfaitement ma bite et lâenserre Ă merveille. Je commence Ă suer Ă grosses gouttes sous lâeffort soutenu que je lui prodigue depuis quelques minutes. JâaccĂ©lĂšre encore le rythme et câest en pensant Ă Enzo que je la pistonne pour faire durer notre plaisir plus longtemps.Perdue dans son monde, Sandrine, qui a du mal Ă contenir ses cris, vient Ă chacune de mes poussĂ©es Ă mon encontre pour que la pĂ©nĂ©tration soit plus profonde. Dans un ultime mouvement, elle redresse la tĂȘte, se fige et jouit longuement avec un cri de bĂȘte blessĂ©e. Sa jouissance dure et dure encore. Jâen profite pour lui assĂ©ner de grands coups de bite qui mâamĂšnent Ă mon tour au point de non-retour. Mon cerveau vrille et dans un rĂąle, jâexpulse mon sperme en plusieurs saccades qui nâen finissent plus. Mes semaines dâabstinence se dĂ©versent dans son vagin. Ma bite pulse en elle comme si elle Ă©tait douĂ©e dâune propre existence. JâenlĂšve mon pouce de son cul puis je rĂ©cupĂšre Sandrine par les Ă©paules pour la coller contre mon torse. Sa tĂȘte se tourne lĂ©gĂšrement vers moi et je bise tendrement sa tempe perlĂ©e de sueur.Nos respirations sont saccadĂ©es, nous sommes trempĂ©s et nous dĂ©goulinons de sueur. Je ferme les yeux et je respire profondĂ©ment pour rĂ©cupĂ©rer. Mon sexe est toujours profondĂ©ment fichĂ© en elle et je nâai pas envie que ce moment de communion sâarrĂȘte.ââŻCâest bon, vous avez fini vos cochonneries ? Je peux enfin prendre ma douche ?Sandrine me regarde, paniquĂ©e, et commence Ă se relever.ââŻDoucement, je dis Ă Sandrine, câest Enzo, mon colocataire de chambre. Il nây a pas de souci.ââŻĂa y est, tu as fini ton dodo ? Tu peux me glisser mon gel douche, sâil te plaĂźt, je lâai perdu.ââŻPas de problĂšme, et me le passe sous la porte.Sandrine se tient devant moi, du sperme coule le long de ses jambes. Son regard Ă©meraude me transperce, je crois que je vais devenir dingue de cette femme. Je peux enfin lâadmirer entiĂšrement, elle a un corps sublime, fait pour lâamour. Une Ćuvre dâart.Elle commence Ă faire couler de lâeau tiĂšde sur son corps, je viens vers elle, la prends dans mes bras et nous nous embrassons comme si rien autour de nous nâexistait. Nous sommes seuls au monde, et cette nuit, la vie est belle.__________________________________________(1) â CoĂŻ (prononcer coille) : commando de lâArmĂ©e de lâair. On lâappelle aussi COCOĂ