Je m’appelle Emma, je suis une petite blonde d’un mètre soixante pour cinquante kilos avec des formes là où il faut. Je viens tout juste d’avoir 25 ans et je suis en couple depuis mes 18.Janvier 2018 : Sept années de relation avec mon conjoint, et presque autant que je traîne une gêne récurrente au niveau d’un genou. En ce début d’année, nouvelles résolutions obligent; reprise en main de soi, et donc du sport. Mais avant, remise en forme de mon genou droit avec quelques séances de kinésithérapie. Sur prescription de mon médecin généraliste, je prends donc rendez-vous dans un cabinet non loin de chez moi. Au téléphone, la secrétaire m’en fixe un premier, avec celui qu’on appellera ici Romain.
Lors du rendez-vous, assise en salle d’attente, c’est Romain lui-même qui vient me chercher. À première vue, Romain est un charmant trentenaire brun, plutôt petit, et me semble de nature réservée. Il m’appelle de sa voix douce et sensuelle, puis me précède pour aller en salle de soin. Je me surprends alors à observer son joli petit cul bien moulé dans son jeans, en espérant que le couloir s’éternise pour pouvoir en profiter.
Arrivé en salle de soin, il me propose de déposer mes affaires, de lui expliquer la raison pour laquelle je viens consulter, puis me demande d’ôter mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon. Je me retrouve donc en petite culotte devant lui, et je regrette à ce moment d’avoir mis les sous-vêtements les plus banales de ma collection. La séance a durée une petite heure, durant laquelle déjà mon esprit s’égarait. En sortant, des rendez-vous m’ont été fixés pour les 2 mois à venir et à raison de 2 par semaines. La secrétaire me demande ma carte vitale afin de régler la séance du jour. Ce à quoi je lui demande par quel moyen puis-je régler. Carte bancaire, chèque ou espèces me répond-elle. Mon cerveau ou plutôt mon sexe se demande si en nature ce n’était pas possible, et je sens mon visage rosir.
Sur le trajet du retour, je m’imaginais des choses avec lui qui sortaient du contexte professionnel. Ce beau brun au regard de braise m’attirait physiquement, et l’envie de le « décoincer » ne me déplaisait pas. Mais je chassa vite ces idées de mon esprit. C’était mon kiné, j’étais en couple et bel et bien fidèle !
Les matins des rendez-vous qui ont suivis, je ne pouvais m’empêcher de choisir des sous-vêtements un peu plus sexys, et de me préparer presque aussi pointueusement que pour un premier rendez-vous amoureux ou sexuel. Vernis des pieds nickel, épilation irréprochable au niveau des jambes et du maillot. Comme si il allait se passer quelque chose avec mon kiné ! Emma redescend sur terre me disais-je, en me regardant dans le miroir.
Et me voilà arrivée au cabinet, je me présente à la secrétaire, puis m’installe en salle d’attente. Quelques minutes après, toujours très ponctuel, Romain me cherche, me conduit en salle de soin et me demande de m’allonger sur la table de soin, toujours en petite culotte. Il me demande comment ça va et commence à me masser au niveau du genou. Pendant les séances qui durent plus ou moins une vingtaine de minutes, on discutait des choses quotidienne de la vie et Romain restait toujours très professionnel. De mon côté, mes pensées salaces étaient toujours bien présentes. Je sentais mon corps se tendre sous l’effet de ses différents massages, et même parfois mon entre jambe s’humidifer. Il me demandait certaines fois de me tourner et de m’allonger sur le ventre. Offrant alors à sa vue mes fesses moulées dans un petit shorty en dentelle. Je pouvais sentir mes joues rosirent en l’imaginant derrière moi, ayant peut-être les yeux rivés dessus, et tout ce dont on pourrait faire tous les deux. Je me souviens d’une fois où il s’était installé sur sa chaise à roulettes, les jambes écartées et les bras croisés en attendant que je me déshabille. Je me suis alors vu venir le chevaucher et m’empaler sur son membre. Mon cerveau essayait tant bien que mal de chasser cette idée, alors que mon corps entier le désirait. Une autre fois encore, il me dit « qu’on allait faire quelque chose, que nous n’avions pas encore fait ensemble », un exercice bien entendu. Mais moi, oh oui que j’avais envie de faire autre chose avec lui. N’écoutant alors plus ma raison et étant tombé sur sa carte de visite à l’accueil, je prétexta une question qui ne pouvait pas attendre le rendez-vous suivant pour lui envoyer un mail. Il me répondit assez rapidement, mais toujours de manière très professionnelle. Entre les différents rendez-vous je le « cherchais » avec l’envoi de mails assez régulièrement, en rusant à chaque fois avec autre chose. Mais rien n’y fait. Jusqu’au jour, un soir de mars, où il a eu selon ses dires, une dure journée, et où il me demanda ouvertement par mail si je lui plaisais et ce que je cherchais !
Mon sang ne fit qu’un tour, et je me suis retrouvée d’un seul coup complètement déboussolée, ne trouvant rien de mieux que de lui répondre que je le trouvais sympa et que j’aimais bien échanger avec lui, mais rien de plus. C’est alors que la situation s’inversa, quand il me répondit qu’il sentait pourtant qu’il ne me laissait pas indifférente et qu’il voyait bien qu’il me plaisait. Et c’est lui qui insistait alors pour me voir hors du contexte professionnel !
J’étais à cette période en vacances au sport d’hiver en Autriche avec mon conjoint et ma famille, et je rentrais à la fin de la semaine. De ce moment là, le contenu de nos mails à complètement changé de registre. Et ce n’était pas pour me déplaire. Un soir où mon copain était bien trop occupé à regarder un match de foot à la télévision, nous avons discuter par SMS des expériences, des envies et des attentes de l’un et de l’autre jusque tard dans la nuit. Les mails étaient maintenant agrémentés de pièces jointes. Le plus souvent c’était des photos de diverses parties de nos corps. Tantôt subtiles, tantôt carrément provocatrices avec de gros plans principalement de nos torses, fesses et sexes respectifs. Lui adorait mon cul, moi je lui demandais souvent son visage sûrement pour rendre le tout moins bestial. Le lendemain de mon retour en France, un mardi, le 20 mars précisément (je m’en souvient encore car c’était le premier jour du printemps :)) Romain insista un long moment au téléphone pour que j’aille chez lui le soir même. Tiraillée entre la raison qui me rappelait tant bien que mal que j’étais en couple, et lui aussi d’ailleurs, et l’envie d’aller le retrouver pour faire l’amour, voir sûrement me faire baiser. Je fini par capituler et accepter sa proposition indécente. Prétextant une visite surprise chez une copine à mon conjoint.
Après avoir raccroché, il me fit parvenir un SMS avec son adresse. Je pris une petite demi heure pour prendre une douche et me préparer, puis je sautais dans la voiture. Une vingtaine de kilomètres, et me voila devant chez lui, au rez de jardin d’un petit immeuble. Je sonne, il m’ouvre sur un joli petit appartement. On se fait la bise pour se saluer, et il me propose à boire. On discute un peu, puis il s’approche de moi, me prend par les hanches et me colle à lui. On commence à s’embrasser, mhhh que c’est bon de le sentir près de moi après toutes ses promesses virtuelles. J’aime ses lèvres et sa façon de m’embrasser. Nos salives se mêlent et nos langues se cherchent. Nos odeurs se mélangent à un chaud parfum d’excitation. Je peux sentir à travers nos pantalons son sexe se durcir au contact du mien. J’ai d’agréables sensations au niveau du bas ventre. Après un moment d’une durée complètement inconnue, il me souleva pour m’emmener dans sa chambre avant de me jeter sur son lit.