Séances de sport à la salle et ailleurs…Putain de pubalgie ! Il va falloir me faire à l’idée que le foot, c’est fini pour moi…C’est, quelque part, un deuil du sport de compétition le dimanche après-midi, mais aussi le principe de nous accorder un peu plus de temps, et pourquoi pas une activité sportive commune. En conséquence de quoi, je propose à mon épouse de nous inscrire à un club de fitness de Vélizy, qui nous coûtera une vingtaine d’euros pour un abonnement mensuel individuel.Sandrine, mon épouse, avec qui nous avons eu deux beaux garçons il y a neuf et quatre ans, et dont les prédispositions sexuelles n’ont pas été atténuées par les années, ne pratique aucune activité physique depuis de trop nombreuses années. Au bout de quinze ans, j’aime toujours autant son corps, qui ne trahit pas du tout ses deux grossesses, et son 90C toujours bien ferme. En résumé : un mètre soixante-cinq pour cinquante-quatre kilogrammes de beauté…L’idée ne lui paraît pas saugrenue, mais nécessite une organisation impeccable. Pour cela, nous partons expressément à la salle vélizienne afin d’y trouver tous les éléments dont nous avons besoin pour planifier nos séances communes, et faire garder les enfants. À cet effet, nous déposons préalablement Hugo chez ma belle-mère. Théo étant au foot, nous avons quelques heures pour effectuer les démarches administratives et découvrir les infrastructures de ce qui va être notre futur lieu de « labeur ».La visite se passe pour le mieux, et nous avons les renseignements que nous souhaitions : un membre de la Fitness Team nous conseille et nous accompagnera gratuitement du lundi au vendredi de 10h à 14h et de 17h à 21h, et le samedi de 11h à 18h. Après une courte réflexion, nous décidons que nous nous réserverons 1h30 d’exercices tous les deux chaque mardi midi : ainsi, le problème de garde sera résolu !Nous enregistrons notre dossier d’adhésion et partons ensuite pour une grande surface de sport, où Sandrine s’achète les tenues adéquates à une pratique assidue. Je rigole en la voyant, car elles sont très moulantes et ne cachent aucun détail de son entrejambe ni de ses seins, particulièrement mis en valeur. Bien que gênée par mes moqueries, elle n’hésite pas longtemps et part vers les caisses en me tirant la langue.Nous sommes à la veille de notre première séance d’exercices et Sandrine, organisée, prépare à l’avance son petit sac, puisqu’elle me rejoindra directement du travail. De fait, elle me confirme involontairement ne pas avoir l’habitude d’aller au sport, car elle avait omis d’y mettre ses affaires de toilette. Voilà, elle est prête pour le lendemain !Il est 11h45 ce mardi quand elle me rejoint sur le parking de la salle de sport. Je l’embrasse, et nous partons vers l’entrée du club. Une heure et demie d’efforts nous attendent ! Nous nous séparons momentanément aux vestiaires et nous retrouvons dix minutes plus tard sur le plancher de la salle. Première surprise : seules trois personnes sont présentes. Je m’attendais, étant donnée la tranche horaire, à avoir des difficultés pour trouver des machines disponibles, mais pas du tout…Nos premiers pas sont hésitants, mais très vite un membre de la Fitness Team nous invite à le rejoindre et nous pose quelques questions d’usage, pour nous orienter vers les exercices nous correspondant. La voilà sur le stepper, moi sur le vélo, et nous commençons timidement nos efforts respectifs. Bien que peu peuplée, la salle est vivante. Une femme seule et un autre couple sont occupés à courir, lever de la fonte ou faire du stepper.Nous sommes vite invités dans les conversations déjà entamées, et faisons connaissance des personnes déjà présentes. Comme nous, nos acolytes ont entre trente et trente-cinq ans. L’homme est pompier professionnel à Vélizy, alors que sa femme et leur amie sont cadres commerciales dans une grosse boîte de télécommunication. Loïc, puisque c’est son prénom, est métis aux yeux verts, plutôt bien bâti et assez grand. Le crâne rasé, il arbore une petite barbe brune de trois jours, impeccablement entretenue. Sa femme Léa a, quant à elle, la même silhouette que Sandrine, avec de jolis cheveux bruns coupés au carré qui font ressortir son bronzage estival et ses grands yeux verts. Elle a une poitrine généreuse, que je ne peux m’empêcher de regarder, et de très jolies fesses de sportive. Enfin, leur amie, Estelle, est une rousse au teint assez pâle, mais qui n’en est pas moins jolie avec ses yeux noisette et ses petites taches de rousseur. Sa poitrine n’est pas vraiment fournie, mais ses fesses n’ont rien à envier à celles de Léa.Après cette première heure trente d’efforts et de bavardages, nous repartons aux vestiaires accompagnés des trois comparses, afin de prendre une bonne douche bien méritée.Le soir venu, assez fatiguée, ma chérie me propose d’aller au lit assez tôt. Nous n’avions pas eu le temps de discuter de cette première journée au club, et c’était effectivement l’occasion de le faire à tête reposée. La première impression a pour ma part été excellente. J’étais quelque peu inquiet à l’idée de me retrouver dans une salle de sport au milieu d’hommes, voire de femmes, bodybuildés, sans cervelle, mais c’est tout le contraire : efforts et plaisir dans une ambiance ludique.Loïc nous a dit que cette tranche horaire du mardi était relativement calme, et que nous nous retrouverions régulièrement tous les quatre ou cinq, en fonction des disponibilités d’Estelle. De son côté, Sandrine est également rassurée dans la mesure où les filles sont très gentilles, et que la séance a été supportable sur un plan purement physique.Alors que je me saisis de mon livre, je ne peux m’empêcher de sourire en repensant aux douches. En effet, ce n’est pas dans ses habitudes de se retrouver nue au milieu d’inconnues, et je me gausse en l’imaginant… Étonnée de mon rire soudain, et après que je m’en sois justifié, Sandrine me répond que bizarrement, elle s’est sentie très à l’aise parmi ces filles, ou tout du moins avec Léa, puisqu’Estelle a dû faire plus vite, ayant un rendez-vous dans la foulée. Léa discutant très naturellement, aucune gêne n’est venue polluer ce moment de détente post-efforts. Un brin taquin, je l’interroge sur les formes de Léa. Il faut quand même avouer que cette fille ne laisserait pas grand monde indifférent, au vu de ses formes plus que mises en valeur dans sa petite tenue de gymnastique. Sandrine me sourit et me répond assez malicieusement :— C’est vrai que son corps est effectivement très joli et que ses seins sont très volumineux…— Et ?— Et elle est toute épilée…— Voilà une vision qui va me revenir lors de nos prochaines sessions d’exercices…— Et Estelle ?— Elle est très mignonne, mais moins pulpeuse.J’ai à peine repris ma lecture qu’elle me lance :— Et Loïc ?— Quoi Loïc ?— Comment est-il ? Tu l’as vu sous la douche ?— Euh… Bah oui !— Et alors ? Comment est-il ?— Tu veux savoir s’il a une grosse bite ?Elle rigole, mais me répond :— Entre autre…— Effectivement, en plus d’être beau mec, il est bien monté, l’enfoiré…Je suis étonné que ma femme puisse me poser ce genre de question, mais mets ça sur le compte de la provocation amoureuse…Cela fait maintenant deux mois que nous allons tous les mardis au club, et aucune lassitude à l’horizon. Sandrine progresse de manière significative, ses fesses se raffermissent, et elle devient plus endurante à l’effort. Aucune allusion à nos envies d’aller voir dans la douche de l’autre. Nos rapports amoureux n’ont jamais fait l’objet de jeux intégrant de manière fictive Léa ou Loïc… Je n’aurais pas été contre le fait d’inviter un deuxième phallus (en plastique) mais bon… Mes tendances actuelles à l’égard d’un sexe masculin y sont peut-être pour quelque chose (j’avoue, sans avoir jamais eu la moindre expérience avec un homme ni souhaiter en vivre une, avoir une certaine attirance vers le sexe masculin, au sens physique du terme)…Ce mardi-là, l’attitude de mon épouse à la sortie des vestiaires est curieuse. Ses joues sont colorées, et je ne pense pas que ce soit le froid ambiant à l’extérieur qui en soit la cause. Elle repart vers Orsay après m’avoir fait un bisou, mais n’est effectivement pas dans son état normal. Le soir venu, je ne manque pas de le lui faire remarquer, car son comportement est bien étrange.— Qu’est-ce que t’as ?— Rien ! Pourquoi ?— T’es bizarre, depuis le retour des vestiaires, tout à l’heure…— C’est juste que…— Que quoi ? Je finis par m’inquiéter.— Pas grand-chose… C’est juste que Léa s’est montrée assez entreprenante à mon égard.— C’est-à-dire ?— Elle m’a touché les fesses, dans les douches.— Et alors ? Elle te taquinait…— Non !— Comment ça, non ?— Elle était dans mon dos quand elle l’a fait, et c’étaient de vraies caresses.— Et tu t’es laissée faire ?— Oui et non…— ?— En fait, j’ai paniqué, parce que je n’ai pas pris ça comme une blague et que je trouvais ça agréable… Je suis partie des vestiaires précipitamment.— Elle t’attire, ou quoi ?— Elle est belle, mais il est hors de question de faire quoi que ce soit.— Et si c’est avec mon consentement ?— N’importe quoi !Elle part dans la chambre, un brin fâchée. Bien que je lui dise que je rigolais, son humeur n’est pas revenue à la normale avant de se coucher. Le lendemain, et le surlendemain rien de bien folichon non plus.Vendredi soir, le moment est venu de se coucher, et enfin son sourire est revenu. Sandrine m’invite à me coller à elle. Et très vite ses envies sont claires : un gros câlin pour se rabibocher. Ses mains viennent au-devant de mon corps et très vite l’une d’elles prend possession de ma queue. Je bande très fort car ses caresses sont très prononcées, alors que son entrejambe trahit ses chaudes dispositions. En effet, mes doigts ayant visité sa fente sont ressortis humides de son excitation.La pipe que Sandrine m’offre est aussi démonstrative de l’engouement qui l’anime. Je suis au bord de jouir par deux fois. Ce n’est qu’après l’avoir pénétrée que je l’inonde après quelques brefs et profonds allers-retours. Son orgasme n’est pas moins fort, après que ma langue a chatouillé de longues secondes son petit bouton rose, et que mes doigts, bien que sales de mon plaisir, ont stimulé sa grotte d’amour.Ce n’est qu’après ce court mais intense rapport qu’enfin elle aborde son trouble. La jolie Léa ne l’a pas laissée indifférente, et c’est justement là que le problème se pose : que faire ?Les jours suivants et jusqu’au mardi, la question était posée, sans qu’aucune réponse n’ait été donnée. Pour la première fois, Sandrine hésite à venir se défouler au club. Néanmoins, et parce que j’ai insisté en lui proposant d’en parler à Loïc, elle me rejoint à Vélizy.La séance se passe pour le mieux, et aucun silence gênant n’est venu déranger la bonne humeur ambiante. Juste quelques chauds regards de Léa dans sa direction montrent que la situation est malgré tout ambigüe. Nous passons à la douche, Loïc et moi, et comme je l’avais proposé à mon épouse, je lui évoque la douche du mardi précédent. Loïc se met aussitôt à rire, en m’indiquant que Léa adore par-dessus tout la provocation, et qu’elle n’est pas insensible au charme des très belles femmes, sans que le paramètre sexe ne rentre en compte. Je m’en tiens là, et ce soir je reporterai à Sandrine les propos de Loïc.Sortie des vestiaires : ma femme est toute souriante, visiblement libérée du poids qui lui polluait l’existence depuis la semaine dernière. Je n’ai pas encore abordé ma conversation avec Loïc qu’elle est visiblement ravie de sa séance. Je ne comprends pas tout sur le coup… Le soir venu, je ne manque pas de lancer le sujet :— Tu as résolu ton problème ?— Oui, Léa a bien vu que j’avais été gênée de la situation, et elle s’est excusée !— Tant mieux ! Loïc a rigolé quand je lui ai parlé du problème. Il sait que Léa provoque toujours les jolies filles.— C’est ce que Léa m’a dit ! Elle est hétéro mais aime le corps des femmes. Par provocation, elle aime titiller les filles, comme ç’a été le cas avec moi mardi dernier.Rassuré, je la taquine en lui disant que c’est dommage. Elle aurait peut-être pu vivre une superbe aventure avec une bombe sexuelle… Sa réaction n’est pas celle que j’attendais de sa part. Plutôt que d’aller à mon encontre, Sandrine me fait part du regret qu’elle éprouve à l’idée de ne pas avoir été plus loin. Elle trouve Léa très belle, et surtout en considérant l’idée de faire ça avec une demoiselle, ce serait avec ce type de fille.— Pourquoi étais-tu si gênée, alors ?— Tout simplement parce qu’il est inconcevable de passer à l’acte, surtout si tu n’es pas à mes côtés. Maintenant, si j’étais gênée, c’est surtout parce que sa caresse m’a fait mouiller…Coup de tonnerre dans la pièce ! Je pensais à tout sauf à ça…Ma femme émoustillée par une femme ! Mon sexe réagit également à l’information. Il est dur et droit ! Cette réaction purement masculine finit par l’amuser. Coquine, elle le stimule encore un peu plus avec sa main, en m’interrogeant sur ma réaction si elle devait passer à l’acte. Je n’ai pas besoin de lui répondre pour lui dire combien je serais excité. Encore une fois, mon sexe se retrouve dans sa bouche. Mes doigts caressent sa petite chatte complètement trempée. Nous faisons l’amour avec énormément de vigueur dans nos gestes. Aucune douceur… Je jouis très vite profondément en elle, et encore une fois ma langue déclenche un orgasme qui, j’en suis sûr, était parsemé d’images de Léa…Le mardi suivant arrive vite. Nous effectuons nos exercices pendant la traditionnelle heure et demie. À la sortie des vestiaires, je les vois sortir tout sourire et nous aborder, Loïc et moi, en nous disant qu’elles avaient très envie qu’on puisse se faire un petit resto un de ces soirs. L’idée nous a paru très bonne, et nous sommes convenus de se le faire dès ce samedi.C’est très enjoués que nous arrivons à 19h30 au restaurant choisi, à Versailles. Théo et Hugo étant chez mon père, une belle soirée détendue et sans impératif s’offre à nous.Loïc et Léa sont déjà installés et nous attendent. Un apéritif plus tard, le serveur nous amène nos plats. Nous nous régalons et discutons de tout et de rien. Toutefois, l’excellent rosé que nous buvons égaye nos conversations, et les rend un brin plus bas que la ceinture. D’ailleurs, il ne faut pas longtemps à Léa pour évoquer le petit cul de Sandrine, qu’elle a eu plaisir à caresser. Nullement perturbée, mon épouse lui sourit, et manque de me faire recracher la bouchée que je venais de prendre quand elle lui répond qu’avec plus d’assurance, elle aurait été ravie de prolonger cette caresse, et pourquoi pas de la lui rendre.Loïc et moi restons cois devant cet échange hallucinant. D’autant plus que Léa renchérit en soumettant l’idée de l’expérimenter dès mardi. Le sujet se clôt d’un clin d’œil de Léa à l’attention de Sandrine, pendant que cette dernière pose sa main sur ma cuisse.Le repas achevé et la note réglée, Léa nous propose d’aller à un bar sympa, où plus de trois cents cocktails sont proposés à des prix raisonnables. La soirée se prolonge donc avec plaisir autour d’un verre. Il n’est pas si tard que ça, et les discussions vont bon train, malgré le brouhaha ambiant. Encore un peu, et Loïc n’aurait pas entendu son téléphone de fonction sonner. C’est la mine déconfite qu’il nous annonce qu’il va devoir nous abandonner. C’est donc par la force des choses que nous sommes sur le point de nous séparer prématurément, quand Léa nous invite à venir prendre une glace chez eux, en attendant le retour éventuel de Loïc, et lui éviter ainsi un détour par chez lui. Il est à peine 0h30, et ma femme n’est pas fatiguée. Elle prend donc l’initiative d’accepter l’invitation. D’ailleurs, Léa et Loïc habitant Buc, le chemin ne sera pas long pour le retour.Nous voilà à la voiture de Loïc. On se salue quand il me glisse à l’oreille un « petit veinard ! », avec un petit rictus plein de sens. Je prends ses paroles pour du chambrage et le regarde s’en aller. Léa et Sandrine rentrent dans le Scénic et nous partons, guidés par Léa, en direction de Buc. Un petit quart d’heure plus tard, nous arrivons chez eux.Installés dans un grand canapé d’angle en velours beige et chocolat, Léa nous propose, au choix, des boules de sorbets ou des cônes chocolat. Nous optons tous les deux pour le cône, alors que Léa se délecte de deux boules de citron et framboise. La lumière tamisée crée une ambiance très intime, et nous savourons nos gourmandises respectives en profitant des sons relaxants de cascade d’eau et de forêt que Léa a chargés sur la chaîne… Bref, une atmosphère calme, très agréable.Ma glace à peine terminée, un besoin pressant vient casser ce paisible moment. Je les laisse quelques instants, après que Léa m’a préalablement guidé vers les toilettes. Quand je reviens parmi elles, aucun bruit… Léa et Sandrine sont côte à côte, je dirais même très proches. Je m’assois à la gauche de ma chérie. Ce faisant, je lui fais remarquer qu’elle a encore plein de chocolat autour de la bouche.Alors que Sandrine cherche un mouchoir pour se nettoyer, le temps s’arrête subitement quand Léa se saisit délicatement de son menton et approche très lentement sa bouche de la sienne. Très délicatement, mais avec énormément de sensualité, Léa la débarrasse du surplus de chocolat avec sa langue. Elle s’attarde autour de sa bouche pendant que sa main droite lui caresse la joue. Sandrine reste inerte, comme paralysée. Ses yeux se ferment et trahissent le bien-être éprouvé à vivre ce moment de tendresse féminine tellement érotique. Sa bouche s’entrouvre et ne fait pas barrage quand Léa cherche à accentuer ce baiser. Maintenant, Léa parcourt de ses doigts fins le crâne et le cou de ma femme, avec une infinie douceur. Sa main descend vers sa poitrine, et je vois à la respiration de Sandrine qu’elle prend beaucoup de plaisir. Quant à moi, je suis à l’étroit dans mon pantalon, mais me délecte du spectacle tellement érotique que les filles m’offrent. Je vais m’assoir sur le second canapé, ce qui me permet de leur faire face.N’ayant plus d’appui, Sandrine se laisse glisser sur le dos. Léa continue de l’embrasser, je dirais même qu’elles continuent de s’embrasser. Les mains de Sandrine sont également parties à l’aventure sur le dos de Léa. La caresse de notre hôte sur le sein droit de Sandrine descend maintenant sur son ventre, puis vient buter sur sa ceinture. Dès lors que leurs bouches ne sont plus en contact, j’entends ma femme gémir. Je vois le corps vêtu de sa partenaire onduler et exercer des pressions sur le sien. La main de Léa n’a pas mis longtemps à glisser sous le jean de ma femme, je vois bien, à la déformation du pantalon de Sandrine, que ses doigts jouent avec son intimité. La posture ne doit cependant pas être des plus pratiques, puisque elles se redressent. C’est en fait un simple repositionnement pour favoriser le retrait de leurs hauts respectifs. J’observe leurs bustes dénudés, leurs poitrines encore cachées. Leurs baisers sont de plus en plus intenses. Leurs mains se baladent allégrement sur le dos de l’une, dans les cheveux de l’autre. Soudain, le premier soutien-gorge tombe enfin. C’est celui de Sandrine… Léa va au-devant de ses seins, en les malaxant très doucement, puis abandonne sa bouche pour venir goûter à ses mamelons fièrement dressés par l’excitation.Quel beau spectacle ! Léa continue de parcourir les seins de Sandrine avec ses lèvres et sa langue, puis prolonge ses langoureux baisers sur son ventre. Encore une fois, la respiration de ma femme trahit son bien-être. Toujours en la bécotant, Léa s’attaque à la ceinture et au bouton de pantalon de Sandrine. Il ne lui faut pas longtemps pour la mettre complètement nue. Bien que l’ayant déjà vue plusieurs fois en tenue d’Ève, c’est la première fois que la situation se prête à tout autre chose que de se laver entre copines à l’issue d’une séance de sport. Le petit cri que Sandrine vient d’émettre confirme ce que je vois : Léa vient de poser sa langue sur son clitoris. Pour la première fois, mon épouse se fait lécher par une femme. Les doigts de Léa viennent à la rencontre de sa petite chatte, et deux d’entre eux la pénètrent avec une incroyable délicatesse. Encore une fois elle gémit… Ce cunnilingus est soyeux, tellement agréable à regarder, et certainement autant à recevoir. Les mouvements des doigts de Léa se font de plus en plus rapides et énergiques, quand un orgasme fulgurant vient envahir ma chérie. Je connais trop bien sa réaction quand tout devient si sensible qu’il n’est plus possible de la toucher.Son bonheur a atteint un nouveau paroxysme puisque elle ne le connaissait pas sous cette forme, mais son excitation n’est pas redescendue. En effet, Sandrine me regarde, me sourit, m’envoie un baiser, et n’attend pas que je le lui rende puisque elle se jette sur Léa pour l’embrasser et faire sauter son soutif.Ses seins sont magnifiques, un tantinet plus gros que ceux de Sandrine. Ils me semblent fermes et doux. Les aréoles ne sont pas trop grosses et bien brunes. Sandrine les caresse dans les moindres recoins, et finit par apposer sa bouche sur l’un d’entre eux. Comme un enfant, elle tête délicatement ce sein, tout en le malaxant. Me femme en tire visiblement un véritable plaisir. Enfin, elle lâche cette magnifique poitrine pour, à son tour, diriger sa bouche vers le ventre de Léa. Les derniers vêtements de sa maîtresse ne tardent pas à tomber au sol. Le sexe impeccablement épilé de Léa est superbe, ouvert et luisant de son excitation. Sandrine est hésitante, mais la chaleur de la situation lui ôte tout dégoût quant à la future caresse qu’elle va prodiguer à son amante. En effet, et après un bref regard dans ma direction, elle pose délicatement ses lèvres sur son abricot. Elle lui claque quelques bisous, puis la goûte du bout de la langue, avant d’entreprendre un savoureux cunnilingus. Elle connaît enfin l’essence du sexe d’une femme. Cette odeur tellement aphrodisiaque, qui retire toute inhibition… Ses doigts viennent pénétrer également Léa, qui ne tarde pas à jouir à son tour. Les voilà toutes les deux allongées sur le canapé, à se cajoler et se toucher tendrement le visage. Sandrine fait un petit smack à Léa, se redresse et vient me rejoindre.Enfin, la possibilité de l’embrasser m’est donnée. Ses lèvres ont le goût du sexe de Léa, et je me délecte de celui-ci en la couvrant de bisous. Il n’est nullement besoin d’insister pour que Sandrine me dévête. Elle m’enjambe aussitôt, et je me retrouve en elle… Autant elle m’embrasse, autant elle n’abandonne pas Léa puisqu’elle la regarde.Effectivement, elle nous observe, et finit par nous rejoindre après que ma chérie l’y a invitée. Toujours en allant et venant en Sandrine, je regarde les mains de Léa reprendre leurs parcours sur sa poitrine et son visage se perdre dans son cou. Ses seins lourds s’écrasent sur son dos. Deux bouches couvrent ma femme de baisers quand la porte d’entrée s’ouvre… Loïc est rentré !Nous restons tous les quatre immobiles…Cela fait déjà près de deux heures que nous nous sommes séparés à Versailles. L’intervention n’a pas été si longue que ça, et il a pu rentrer chez lui, à des milliers de kilomètres de penser que Cédric et Sandrine seraient encore là, et que sa femme et son amie seraient complètement nues à batifoler avec un mec sous son toit.Après que Léa lui a expliqué ce qu’il s’est passé, Loïc reste prostré et abasourdi. Je me doute quand même que quelque chose se trame – bien que Loïc ne laisse pas paraître une quelconque excitation. Léa s’approche de lui et l’embrasse goulûment. Sa main vient caresser la bosse qui n’a pas tardé à se former dans son pantalon. Aussitôt, Léa se met à genoux et déboutonne le jean de Loïc. Elle baisse son caleçon et fait sortir une queue que j’avais devinée grosse dans les douches, mais là, c’est impressionnant.Léa ne tarde pas à la mettre dans sa bouche tout en nous regardant. Bien que Loïc ne paraisse pas à l’aise, je n’arrive plus à croire que ces gens ne sont pas habitués à ce genre de situations. Nous regardons malgré tout ce couple prendre du plaisir, alors que Sandrine cajole délicatement mon sexe inactif depuis le retour de notre hôte. Cependant, il m’est très difficile d’accepter cette caresse plus longtemps dans la mesure où les spectacles actuel et passé, ainsi que le début de nos ébats à trois, m’ont mis dans tous mes états. Voyant ça, Léa a encore une réaction surprenante, elle invite Sandrine à la rejoindre. Surprise, elle me regarde sans trop savoir comment réagir. Mon hochement de tête a valeur d’accord. Hésitante, elle m’embrasse et part à leur niveau. Elle est perdue dans ses pensées, et visiblement pas certaine de vouloir y aller car elle fait demi-tour et me rejoint à nouveau :— Je ne sais pas si je dois y aller, bébé !— Mais vas-y, mon cœur. Profitons du moment et n’ayons pas de regret.— T’es sûr ? Et toi ?— T’inquiète ! Je te regarde… Pour le moment c’est trop sensible. Je te rejoins après.— Je t’aime !— Moi aussi, mon amour !Cette fois-ci, Sandrine repart sans se retourner. Elle s’agenouille à côté de Léa. C’est incroyablement excitant : Léa, qui suçait Loïc, sort la queue de son conjoint et la lui propose. Ma femme n’est pas hésitante très longtemps, et se saisit du sexe de Loïc. Elle le touche, l’observe et le branle subtilement, puis finit par l’approcher de sa bouche. Sa langue vient titiller son gland, puis elle finit par la mettre petit à petit dans sa bouche, jusqu’à l’avoir pleine. Léa caresse à nouveau les seins de Sandrine, puis son sexe. Mon épouse est à nouveau trempée de désir… Quant à moi, tout en les contemplant, et au risque de jouir tout seul, je me touche, en essayant de ne pas faire le mouvement de trop.L’une après l’autre, elles se délectent du phallus de Loïc. Je sais que nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde à ce sujet, mais je les envie presque… La tige de chair de notre hôte disparaît successivement dans la bouche de sa femme et celle de la mienne, quand elle ne se fait pas lécher par leurs langues, simultanément.Alors que Léa les laisse tous les deux, Loïc s’accroupit aux côtés de Sandrine et l’embrasse. Elle ne refuse pas son baiser, et je vois à nouveau sa langue se mêler à une autre. Les doigts de Loïc sont très baladeurs, et bientôt deux d’entre eux disparaissent dans sa chatte. Sandrine bouge astucieusement son bassin pour accentuer la profondeur de la pénétration. C’est super à voir, mais tellement troublant. Avec énormément de force et de maîtrise, Loïc la positionne tête-bêche et vient poser sa bouche sur son minou. Sandrine écrase son sexe sur son visage pour bien profiter à nouveau de ce plaisir.Enfin, elle se baisse pour regoûter au sexe de son amant, quand Léa revient avec une boîte de préservatifs. Elle en sort un et interrompt la fellation pour dérouler le latex sur la tige de son chéri. Elle glisse quelque chose à l’oreille de ma femme. Sandrine se retourne et me fait un clin d’œil.Elle change à nouveau de position et vient se positionner face à moi. Ainsi, Loïc la pénètre et elle me regarde en même temps. La pénétration a l’air d’être difficile mais pas douloureuse. Une fois bien remplie, je la vois entamer des mouvements de bas en haut avec beaucoup d’entrain, et à nouveau ses gémissements retentissent dans la pièce.C’est alors que l’inimaginable survient : Léa s’approche de moi. Je suis stressé, ne sachant pas quoi faire.— Calme-toi et laisse-moi faire ! me dit-elle.— Mais…— Chut ! C’est ta femme qui m’envoie !Et bien soit ! Je laisse Léa se pencher vers moi et me prodiguer une pipe incroyable. Une autre bouche sur ma queue, pendant que j’observe mon amour se faire sauter face à moi. C’est succulent ! Nous nous regardons prendre notre pied avec un autre partenaire… C’est tellement bon que je suis obligé d’arrêter Léa, au risque de jouir dans sa bouche. J’ai envie de la prendre, mais pour ça il me faut une capote. Je me dirige alors vers le couple illégitime, là où Léa les a laissées. Je suis dès lors juste à côté de Sandrine, et je ne peux me retenir de l’embrasser.À force d’imaginer les choses lors de nos ébats à deux, on finit par avoir des idées assez précises de ce que l’on veut, car elle se repositionne face à moi, toujours le sexe de Loïc en elle. Je sais ce qu’elle attend. Le fait de voir l’énorme queue de son partenaire d’un soir lui dilater le sexe est enchanteur et troublant. Je regarde tout en me dirigeant vers son clitoris, les coups de reins de Loïc sont retenus pour que je puisse la lécher en même temps. Je suce son intimité avec un plaisir indescriptible : un phantasme enfin assouvi ! Alors que de temps en temps la bite de Loïc sort de son intimité, du fait de la position pas forcément optimisée pour un coït serein, c’est moi qui la rentre en elle. Un symbole de plus : la pénétrer par procuration.Léa, qui était toute seule, nous rejoint. Il est vrai que je l’ai abandonnée alors que j’allais chercher une capote. Nous voilà à quatre ! À nouveau, Léa me suce. Sandrine lui glisse encore quelque chose à l’oreille, ce qui a pour conséquence de pousser Léa à me titiller l’anus. C’en est trop, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps et achève à nouveau sa délicieuse caresse buccale.Je m’équipe d’un préservatif tout en regardant Loïc continuer à pilonner ma femme. Il est vraiment doué, car ses gémissements sont forts et constants. Je me trouve aux confins d’une situation incroyable et tellement insensée. Je vais pénétrer une femme autre que la mienne devant elle. Je suis aux abords de sa chatte. Je pousse petit à petit et me trouve enfin en elle. Nos positions respectives nous permettent de nous embrasser. Je suis en train de baiser Léa pendant que Loïc saute ma chérie. Il ne me faut pas longtemps pour remplir mon préservatif. Je me retire et ôte la capote souillée.Je m’approche de cette petite chatte que ma femme a honorée peu de temps auparavant, et me délecte à mon tour de son jus. Quant à Sandrine, elle m’observe, les yeux à moitié dans le vague. Elle est maintenant à quatre pattes, et Loïc la prend en levrette. Une main sur ses hanches, une autre sur un sein, son amant va-et-vient en elle à un rythme que je ne saurais lui administrer. Pour la première fois, et je m’en réjouis, elle parvient à jouir remplie d’un sexe de chair. Son orgasme est particulièrement sonore et nous les regardons pendant que Loïc la rejoint aussitôt au septième ciel.Loïc retire son préservatif et vient dans la foulée profiter de la bouche de Léa. Celle-ci se délectant dès lors de la bite souillée de son conjoint, n’est pas longue à jouir non plus. Ma langue et mes doigts auront fait ce que ma queue ne pouvait plus assurer…Nous sommes tous les quatre allongés sur un tapis moelleux. Fatigués des efforts fournis mais tellement heureux d’avoir vécu cette expérience. Nous nous endormons enlacés et nus, sales de nos plaisirs.Nous nous réveillons le lendemain matin, et l’odeur de sexe régnant dans la pièce nous rappelle au bon souvenir de la nuit passée.La raison aura pris le dessus, car nous rentrons à la maison, non sans avoir été tentés de recommencer. D’un commun accord, nous convenons que nous réitérerons cette intimité particulière à l’occasion, mais privilégierons notre amitié naissante au club, ici ou là… Il sera toujours temps de vivre d’autres expériences, et de découvrir toutes les opportunités du sexe à quatre entre bons amis de cette salle de sport de Vélizy, une fois de temps en temps…En partant, Léa et Sandrine s’embrassent tendrement, comme deux amantes se quittant pour un long moment, et sourient en évoquant la douche de mardi prochain…Seuls à la maison, avant d’aller chercher les enfants, et après une bonne toilette, nous rediscutons de ce moment unique, et ma chérie m’évoque ses sentiments quant à ces expériences vécues à deux, à trois et à quatre…