Résumé de l’épisode 1 : Ma copine Audrey et moi (Charlene) nous sommes inscrites à une compétition sans précédent qui vise à déterminer parmi plus d’une centaine de jeunes femmes laquelle sera la plus impressionnante bombe sexuelle. Tania, une hôtesse chargée de l’accueil, nous a d’abord guidées jusqu’à nos loges, où l’on trouve tout, des plus somptueuses tenues aux maquillages les plus extravagants, puis nous a préparées à une première épreuve de sélection sur des critères physiques, que nous avons passée ce matin.Résumé de l’épisode 2 : En attendant les résultats, Tania nous a montré les différents lieux qu’héberge le magnifique complexe. Audrey et moi allons nous détendre avec une séance de massage avant de passer un peu de temps à la piscine. Puis, au restaurant, nous rencontrons Estelle et Lisa, deux candidates impressionnantes issues du milieu X.Résumé de l’épisode 3 : Vers 15h30 nous sont communiqués les résultats chiffrés de la première évaluation. J’ai eu 93 / 100 et Audrey 86 / 100. Mais c’est encore moins que Lisa et Estelle qui ont eu respectivement 94 et 96. J’ai fait la connaissance de Maï-Linh, une jeune et très belle Asiatique, également qualifiée. Nous attendons toutes les cinq dans ma loge le début de la seconde épreuve, cette fois-ci « pratique », en essayant de convaincre Audrey du bienfait des « gorges profondes ».Tania revint un peu après 17h30. Depuis que les filles étaient parties, nous avions larvé plus ou moins. J’avais pris une longue douche, Audrey aussi. Et nous traînions en peignoir, discutant. Pour cesser de penser à l’épreuve, nous avions réfléchi à ce que nous ferions après ; hammam, restau, ciné…— Vous êtes prêtes ?— Pas du tout, répondit Audrey.— Eh bien, allez ! On se secoue un peu ! fit Tania avec un sourire. Je vois que vous vous êtes douchées. Vous avez fait un lavement ?Audrey écarquilla encore une fois tout grand ses yeux. Notre hôtesse fouilla dans les étagères de l’armoire et en sortit une petite « poire » et un nouveau flacon, qu’elle tendit à ma copine en disant :— Allez ! Aux toilettes !Audrey s’en saisit en soupirant et alla s’enfermer dans la salle de bains voisine. Tania chercha de nouveau quelque chose dans l’armoire en me demandant :— Vous avez pris le spray pour la gorge ?— Ah oui ! Attendez, il est là…Elle se saisit du flacon posé sur la table en me regardant curieusement.— Euh… on s’est un peu entraînées… lui dis-je.— Bon, reprit-elle, il vous faudra aussi du lubrifiant…Elle sortit de l’armoire quatre petits sachets, qui ressemblaient à des échantillons de moutarde qu’on trouve en restaurants.— Hmmm… quoi d’autre ? fit-elle, réfléchissant.— Les habits ? suggérai-je. Qu’est-ce qu’on met ?— Ce que vous voulez, c’est pas très important pour cette épreuve. Mettez-vous à votre aise.— Ça va être qui, nos « partenaires » ? demandai-je, pensive. Des membres du jury ?— Pas vraiment. Ce sont des jeunes hommes et jeunes femmes qui ont reçu une préparation pour pouvoir évaluer vos performances selon plusieurs critères les moins subjectifs possibles.— Mouais…Audrey ressortit et me tendit le flacon et la petite poire, que je regardai avec une légère moue de dégoût.— Je l’ai nettoyée, m’assura-t-elle.Je les lui saisis des mains et pris sa place dans les toilettes. Je dévissai la poire et la remplis du liquide que contenait le flacon, puis m’asseyant sur la cuvette, effectuai avec désolation la délicieuse préparation.Quand je sortis des toilettes, Audrey était en train de passer une petite robe séduisante que Tania finissait de lui ajuster, en lui demandant :— Bon, vous êtes sûre que vous ne voulez pas mettre de soutien-gorge ?— Bah, si c’est pour l’enlever dans dix minutes…— Ça y est, Charlene ?— Oui, c’est fait.— Alors, préparez-vous.— Je peux y aller en peignoir ?— C’est peut-être l’excès, quand même…J’ôtai donc le peignoir que je portais toujours et me vêtis seulement d’une culotte et d’un tee-shirt et d’un short moulants. Quand Audrey et moi fûmes toutes les deux prêtes, Lisa nous rebriefa :— Bon, vous vous rappelez ? Au minimum : fellation, pénétration vaginale, pénétration anale avec le garçon, masturbation et cunnilingus à la fille. Et le tout en moins de dix minutes. Pour le reste, tout ce que vous voudrez.En nous montrant les gels et sprays, elle poursuivit :— Le gel, pour la sodomie ; le spray, si vous voulez pratiquer des gorges profondes ; je vous conseille de les mettre avant de commencer.On acquiesça vaguement. Elle nous tendit le flacon et les sachets.Nous sortîmes et la suivîmes jusque devant la loge voisine portant le numéro 57. Audrey et moi nous regardâmes en souriant. C’était la loge de l’insupportable Cindy avec qui on s’engueulait dès qu’on se croisait. Tania frappa ; la porte s’ouvrit.— Vous êtes prête, Cindy ?— Tiens ? Les greluches ! s’exclama celle-ci en nous apercevant.Elle s’était maquillée plus encore que dans la matinée et portait une minijupe ras-la-moule, une veste rouge et des bottines, le tout en cuir.— On est obligées de se traîner ce boulet ? demanda Audrey à notre guide.— Calmez-vous, mesdemoiselles, répliqua simplement celle-ci.Tania nous guida encore une fois à travers les couloirs jusqu’à une nouvelle salle d’attente où trois autres jeunes femmes attendaient en discutant. Cindy s’approcha d’elles en alléguant d’un ton snobinard :— Salut, les filles ! Alors ? Vous êtes prêtes ?Tania nous regarda avec un très léger sourire. La pouffe se mit à discuter avec les trois autres. Vers le fond de la pièce, trois portes marquées d’un A, d’un B et d’un C, étaient gardées par une hôtesse, encore la même que dans la matinée.— Quelques derniers conseils, les filles…Mon amie et moi nous tournâmes vers Tania.— Ne soyez pas trop passives, pendant les pénétrations. Ne laissez pas le mec mener la danse. Soyez entreprenantes ; gardez à l’esprit que c’est vous qui dirigez. Et surtout, ne cherchez pas à tout prix à faire jouir vos partenaires…Nous approuvâmes d’un hochement de tête.— Je vous laisse ? À tout à l’heure…— À tout à l’heure, et merci.— Et je croise les doigts pour vous, dit-elle avec un sourire et un clin d’œil.Elle partit juste à l’instant où la porte B s’ouvrit.— Candidate numéro 54 ? scanda l’hôtesse.L’une des jeunes femmes s’avança en lançant un dernier regard aux trois autres.— Baise-les bien fort ! l’encouragea notre sympathique Cindy.Une autre fille sortit de la porte qui venait de s’ouvrir et passa près de nous en soupirant.— Alors ? lui demandai-je.— J’sais pas… on verra. Le mec avait l’air content de ce que je lui ai fait, mais la nana ne mouillait presque pas, c’était galère.— Candidate numéro 52 ?La porte A venait de s’ouvrir à son tour et une autre jeune femme en sortit et vint avec un grand sourire rejoindre celle avec qui nous discutions.— T’as l’air contente ? lui fit cette dernière.— Non, c’était n’importe quoi, mais ça m’a fait rire…— Candidate numéro 55 ? fit encore l’hôtesse en s’approchant de la porte C.— Ça c’est du timing… observa Audrey tandis que la dernière compagne de Cindy l’abandonnait sous une ultime harangue de celle-ci :— Allez ! Bonne bourre !Celle qui sortait rejoignit les deux qui nous faisaient face et fit, soupirant :— Ça va vraiment trop vite, dix minutes… Mais bon, voilà… c’est passé ! On va boire un coup ?Les deux autres acquiescèrent et nous abandonnèrent en nous souhaitant bonne chance. Nous nous retrouvâmes seules avec Cindy-la-pouffiasse et l’hôtesse robotisée. Notre aimable concurrente se mit en quête d’un nouveau chewing-gum qu’elle entreprit de mastiquer avec nervosité en nous tournant son derrière.Je sortis le spray d’une poche et en proposai à ma copine. Elle s’en mit un peu, puis me le rendit. Je l’imitai. Puis nous attendîmes, patiemment. Audrey s’était positionnée derrière moi et avait passé ses bras par-dessus mes épaules pour joindre ses mains sous ma poitrine, posant ensuite tendrement sa tête à côté de la mienne.Trois nouvelles arrivantes firent bientôt irruption, guidées par une autre hôtesse. Elles ne discutaient pas et gardèrent soigneusement leur distance. La porte B finit par s’ouvrir. C’était pour moi.— Candidate numéro 58 ?Audrey me fit un long baiser. Une petite boule dans le ventre et la gorge particulièrement sèche, je m’avançai et, croisant la jeune femme qui sortait avec les cheveux dans tous les sens, entrai vers le jury B. Je parvins dans une pièce vivement éclairée par de puissants néons. Une femme et un homme qui m’avaient déjà jugée dans la matinée étaient installés à un petit bureau sur ma gauche. Au milieu de la salle trônait un immense lit assez haut et vers le fond, il y avait une autre porte. Sur le mur droit, une grosse horloge numérique affichait 10:00.— Rebonjour, mademoiselle. Vous êtes prête ?Sur leur bureau, étaient étalés en vrac plusieurs préservatifs et des petits sachets de gel lubrifiant comme ceux que j’avais apportés. À côté, dans une petite poubelle avaient été jetés une bonne quinzaine de ces sachets et sans doute autant de capotes utilisées. Un petit meuble derrière eux contenait apparemment des draps de rechange et plusieurs serviettes de toilette.— Je pense, oui.— Vous ne préférez pas vous déshabiller ?— Euh… si, bafouillai-je.J’ôtai rapidement tous mes habits et les posai sur une chaise libre, à côté du bureau. La femme prit la parole :— Nous allons faire entrer un homme et une femme. Vous disposerez de dix minutes à partir du moment où ils vous auront rejoints. Ne perdez pas votre temps. Vous n’avez pas de questions ?Je secouai la tête. Ils appuyèrent alors sur un petit bouton et prirent ensuite leurs stylos. La porte du fond s’ouvrit bientôt et le couple entra. Une jeune femme, blonde, assez jolie et élancée s’avança, souriante et me gratifia d’un léger « Bonsoir », suivie d’un jeune homme, très beau et au corps assez musclé qui lui, ne souriait pas du tout en s’approchant, nu également et le sexe pendant.En le voyant, l’homme assis au bureau s’écria :— Eh bien, mademoiselle ? Vous ne deviez pas le préparer ?— Ah, j’ai fait ce que j’ai pu… dit la fille, réaffirmant son sourire.— Que se passe-t-il ? demanda l’évaluatrice au jeune homme.Il ne répondit rien, se contentant de hausser les épaules en regardant son sexe.— Dites-nous si nous devons vous faire remplacer ? insista-t-elle.— Attendez ! m’interposai-je. Laissez-moi faire, nous verrons bien…Le gars me regarda intensément ; je soutins son regard avec défiance et, me cambrant, m’approchai de lui aussi lascivement que possible.— Qu’est-ce qu’on fait ? entendis-je dire à voix basse l’un des jurés.J’embrassai d’abord doucement le jeune homme, qui se laissa faire, puis sa compagne, passionnément, en posant mes mains sur ses joues et en pressant ma poitrine contre la sienne, plus menue.— Allons-y, on verra… répondit à voix basse l’autre juré en déclenchant le chronomètre, que j’aperçus du coin de l’œil commencer à faire défiler les secondes à rebours.Je glissai une main entre les cuisses de la fille et caressai doucement sa vulve, sans cesser de l’embrasser. De l’autre main, je cherchai le sexe du garçon et le trouvai toujours aussi mou. Je le masturbai vivement quelques secondes, puis vins m’agenouiller à ses pieds et m’emparai à deux mains de son organe pour le branler maintenant furieusement, en passant ma langue sur mes lèvres à quelques centimètres de son gland.Je le sentis se gonfler quelque peu, et, encouragée par ce premier résultat, je l’engouffrai dans ma bouche et passai un bras autour de ses hanches pour aller lui caresser les fesses. Je le suçai alors nerveusement, le sentant de nouveau durcir un peu. Et je déglutis bientôt en poussant ma tête vers l’avant, faisant disparaître tout son sexe dans ma bouche et collant presque mes lèvres à son pubis rasé. Il gémit. En essayant de faire jouer ma langue et de contenir mon impression d’étouffement, je caressai de ma main droite ses testicules et explorai la raie de ses fesses de la gauche, forçant doucement d’un doigt l’entrée de son anus. Je fis deux ou trois lents va-et-vient autour de son sexe qui se raidissait encore.La jeune femme se rapprocha de nous et posa une main sur ma tête, m’agrippant presque les cheveux et accompagnant mes mouvements. En essayant de sucer encore un peu, je dirigeai ma main droite entre les cuisses de celle-ci et explorai de nouveau sa raie. Je cherchai son clitoris, très légèrement gonflé et le massai doucement du pouce en enfonçant lentement mon majeur entre ses lèvres encore peu humides.Mais croyant bientôt étouffer, je me reculai, libérant la queue maintenant tendue, où s’accrocha jusqu’à mes lèvres un filet de bave. Je le branlai alors brutalement, en frottant aussi son sexe contre mes seins, sans cesser de faire tournoyer sous mon pouce droit le clitoris durcissant de ma partenaire, qui, extatique, soupirait. Je glissai lentement un deuxième doigt dans sa fente, puis les agitai doucement en refermant une fois encore mes lèvres autour du gland tout dilaté.Un doigt à demi rentré dans le cul du garçon, j’accompagnai de ma bouche les amples mouvements vigoureux de ma main sur sa hampe, l’enserrant toujours plus. Et de l’autre main, j’accentuai les impulsions circulaires sur l’organe dilaté de la jeune femme qui se déhanchait de plus en plus vivement en se caressant les seins. Les deux me regardaient, lui avec des yeux brûlants.Mais je le sentis soudain se contracter et soupirer bestialement, prêt à jouir. J’eus un moment de trouble, hésitant quant à savoir si je devais continuer. Mais il referma sa main à côté de la mienne sur sa queue et se mit à se branler avec vigueur. Je me reculai et restai un instant désemparée, ne sachant que faire.Il se mit à beugler en se crispant. Je me repris aussitôt en repensant aux jurés qui m’observaient. Je devais leur donner la meilleure impression. Alors je tirai la langue et la présentai juste sous son gland où giclèrent soudain jusqu’à ma gorge plusieurs rapides jets chauds tandis qu’il rugissait presque. J’essayai de continuer de caresser la jeune femme, mais elle avait passé une main entre ses cuisses et dirigé un doigt à côté du mien sur son clitoris. Il acheva de jouir sur ma langue ; je refermai les lèvres sur l’extrémité de son sexe et le masturbai encore un peu en faisant glisser ma bouche pleine sur son gland.Puis je me relevai et, dardant sur la jeune femme des yeux enflammés qu’elle soutint d’un regard plutôt inquiet, allai l’embrasser à pleine bouche en recrachant presque tout le sperme qui s’écoula entre nos deux visages, sur nos mentons, puis tomba sur nos seins. Et tandis que ma langue ramenait les filets gluants qui s’échappaient de nos bouches et cherchait ensuite la sienne, j’avais repassé une main entre ses jambes et me remis à caresser sa vulve et son clitoris.— Ouah, la vache ! dit savamment le jeune homme.— Vous êtes un peu décevant, mon garçon… lui dit froidement la femme assise au bureau.Je jetai un œil vers le chronomètre. Il me restait un peu plus de six minutes. C’est vrai que le gars était plutôt un rapide. J’en étais à me demander comment j’allais faire pour mes épreuves imposées, lorsque la femme reprit la parole :— Allez vous chercher un remplaçant et revenez ensuite vous asseoir ici.Je l’aperçus disparaître par où il était entré. Je repris confiance en moi. L’épreuve n’était pas terminée. Décollant mon visage de celui de la jeune femme, je la guidai jusque sur le lit où je la fis s’allonger sur le dos. Sans un mot, je m’accoudai entre ses cuisses écartées tandis que revenait le garçon, suivi d’un autre type.Je ne les regardai pas et plongeai mon visage sur le pubis épilé de ma partenaire puis cherchai de ma langue le haut de sa vulve. Je soulevai légèrement ses fesses ; elle accompagna le mouvement, décollant son bassin du matelas, et je pressai bientôt mes lèvres contre les siennes, immisçant un instant ma langue en elle, tournoyant, virevoltant à l’entrée de son sexe. Et l’instant d’après, je léchai avec acharnement son clitoris ; puis à nouveau sa vulve. La jeune femme gémissait de plaisir à chacune de mes caresses.Mais une main se posa soudain sur ma hanche et je sentis qu’on cherchait à me pénétrer. Sans m’interrompre, je me cambrai, écartai les cuisses et poussai mon bassin en arrière pour faciliter l’intromission. Un sexe masculin recouvert d’un préservatif entra doucement en moi, profondément. Je poussai une longue plainte et remplaçai un instant ma langue par deux doigts. Mais la jeune femme secouait spasmodiquement son bassin et pressa presque sauvagement ma tête contre son entrejambe, m’intimant de poursuivre.Je replongeai ma langue sur sa fente et son clitoris et continuai de les déguster, refermant par instant mes lèvres sur les siennes, coulantes. Je sentis derrière moi l’homme répandre un corps gras autour de mon anus et y immiscer un doigt tournoyant, puis ressortir et recommencer ainsi la manœuvre. L’excitation la plus sauvage me gagnait maintenant. Je glissai encore trois doigts dans le sexe de ma partenaire, frôlant ma langue qui se fatiguait et elle se crispa soudain en m’arrachant presque les cheveux et en poussant un grand cri rauque. J’accompagnai sa jouissance de deux ou trois dernières caresses buccales et l’abandonnai finalement à ses derniers soupirs d’extase.Je me redressai et, libérant le sexe qui me pénétrait, me retournai face au nouvel arrivant. Sans prendre la peine de le regarder, je me précipitai pour le sucer un peu avec férocité et le mordiller au niveau de la hampe en malaxant ses couilles. Il grogna. Je le relâchai et pressai mon torse contre lui, refermant mes seins autour de sa queue et les maintenant aussi serrés que possible le temps de deux ou trois mouvements verticaux.Puis je me levai et, en profitant pour l’observer, le fis rapidement s’allonger à côté de la jeune femme qui ne bougeait presque plus. Il était plus âgé que mon partenaire précédent, les cheveux courts, légèrement grisonnants, avec une barbe de trois jours. Ses yeux marron, rieurs, me pressaient de continuer de m’occuper de lui. Je sautai presque sur lui, avec un regard vers le chronomètre. Il me restait environ trois minutes.Je m’agenouillai de part et d’autre de ses cuisses, relevai sa queue et, en soupirant et dardant mes yeux vers les siens, m’y m’empalai d’un seul coup, avant d’imprimer de sauvages mouvements de mon bassin, appuyés sur mes bras tendus sur son torse.Quand le chronomètre m’indiqua deux minutes restantes, je me soulevai pour extirper son sexe du mien et le repositionnai contre mon sphincter anal. Je poussai et me dandinai doucement pour lui livrer passage entre mes fesses et je geignis lentement tandis qu’il entrait en moi. L’homme fit osciller doucement son bassin pour accompagner les mouvements du mien.Il avait saisi mes hanches et, comme nos mouvements devenaient de plus en plus amples et que s’estompait la légère douleur qui m’avait saisie lorsqu’il s’était enfoncé dans mon anus, je me penchai quelque peu en arrière, m’appuyant sur un bras et passai l’autre main entre mes jambes pour glisser un doigt dans ma vulve. Et en me balançant toujours au-dessus de lui, je me redressai ensuite pour porter mon doigt humecté à sa bouche.Il referma ses mains sur mes seins tout en suçotant et mordillant mon doigt, mais se mit à se déhancher soudain plus fort et à toute allure et, hurlant presque, fut secoué de cinq ou six spasmes rapprochés. J’attendis qu’il fut calmé en regardant le chronomètre qui me promettait encore un peu plus d’une minute.— Mais vous allez tous nous les épuiser, mademoiselle… fit en rigolant la femme assise au bureau.Je me relevai. La queue sortit d’entre mes fesses et retomba mollement sur le ventre de son propriétaire.— Oh, c’est incroyable ! brailla l’autre évaluateur en se levant. Il faut tout faire soi-même…Je m’assis sur le lit, entre mes deux « victimes » qui reprenaient doucement leurs esprits, appuyée en arrière sur mes bras et gonflai ma poitrine en regardant avec un sourire pervers l’homme qui s’approchait en déboutonnant son pantalon et en abaissant sa braguette sous les regards ahuris de sa collègue.— Mais enfin, Jean-Claude ? marmonna celle-ci.— Euh… je crois qu’elle a bien mérité une ou deux minutes supplémentaires… dit bravement l’interpellé en sortant son sexe tendu. Elle n’a pas eu le temps de nous montrer tout ce qu’elle sait faire.Je passai vicieusement ma langue sur mes lèvres. Il vint se camper debout les jambes légèrement écartées près du lit. Le chronomètre retentit en arrivant à zéro. Je regardai quelques secondes le dénommé Jean-Claude se masturber doucement.— Je vous en prie, mademoiselle, reprenons…Je me penchai en avant et m’approchai de lui à quatre pattes en roulant ostensiblement des fesses, puis ouvris la bouche à quelques centimètres de sa queue. Il s’avança un peu, l’enfonçant lentement entre mes lèvres. J’effectuai quelques lents va-et-vient sur sa hampe, en caressant de ma langue son gland tout gonflé. Il gémissait doucement.Mais j’avançai bientôt plus franchement sur son sexe qui vint buter au fond de ma gorge. Malgré un réflexe de renvoi que j’essayai de maîtriser, je parvins à déglutir en continuant d’avancer ma bouche autour de lui. Je retrouvai cette détestable sensation d’étouffement en l’avalant quelque peu. Mais ses gémissements s’accentuèrent et ses yeux brillèrent lorsque la quasi-totalité de sa queue fut entrée dans ma bouche.Je passai une main entre ses cuisses pour lui masser doucement les testicules tout en remuant très légèrement ma tête d’avant en arrière. Puis je reculai franchement pour de nouveau le sucer normalement et doucement, glissant lentement mes lèvres autour de son gland quelques secondes. Je le devinai se retourner quand il s’adressa à sa collègue :— Vous notez, Anna ? Fellation : quinze sur quinze.— Vous n’êtes pas objectif… lui répondit strictement celle-ci.Je me mis à le branler doucement mais fermement en me rasseyant sur le lit et en le regardant d’un air avide.— Lancez-moi une capote, Anna, vous voulez bien ?— Allez vous faire foutre ! répondit-elle aimablement.Il se tourna alors autour de lui, cherchant à qui il pourrait bien demander et tomba finalement sur le premier mec qui m’avait été destiné, assis sur une chaise dans un coin de la pièce :— Jeune homme, s’il vous plaît ?L’interpellé se leva avec un demi-sourire et alla déchirer un préservatif qu’il lui apporta ensuite. Jean-Claude le sortit et le présenta au bout de son sexe. Je le lui pris des mains et le mis rapidement en place, le déroulant avec habileté.— Faites-nous un peu de place, voulez-vous ? dit-il ensuite aux deux qui étaient toujours allongés sur le lit.Ceux-ci se levèrent en soupirant et Jean-Claude monta à genoux sur le matelas et me fit basculer en arrière. Il vint s’allonger par-dessus moi et me pénétra prestement, m’arrachant un long gémissement. Il se mit à me pilonner avec force à toute allure et je savourai un moment ses coups de bassin, mais repensai aux paroles de Tania qui m’avait conseillé : « Ne laissez pas le mec mener la danse. Soyez entreprenante ; gardez à l’esprit que c’est vous qui dirigez. » (Elle m’avait aussi dit : « Ne cherchez pas à tout prix à faire jouir vos partenaires », mais là c’était cuit…)Je parvins à le faire pivoter sur le dos sans qu’il ne s’extraie de mon corps, et ce fut désormais moi qui menai la danse. J’assénai successivement de vives oscillations saccadées, de brefs petits déhanchements rapides et d’amples et puissants coups de bassin. Mon partenaire grognait en dégustant, se contentant de peloter ou de dévorer mes seins gonflés.— Allez, enculez-la, qu’on en finisse… dit soudain la femme assise au bureau.Mais je pris les devants et me relevai quelque peu en maintenant son sexe d’une main pour le diriger vers mon sphincter anal, qui s’écarta assez facilement lorsque je me laissai glisser sur lui. En quelques secondes, sa queue était entrée entre mes fesses et je me dandinais au-dessus de lui, toujours agenouillée et caressant nerveusement mon clitoris. Je ne cessai de le regarder avec malice tandis qu’il râlait toujours plus fort.Et comme avec mon partenaire précédent, me balançant et couinant toujours plus fort, je glissai bientôt deux doigts dans ma vulve et les lui tendis ensuite à sucer, puis recommençai quand il les eut bien nettoyés. Au bout de deux ou trois minutes de ce traitement, il se raidit, penchant la tête en arrière et fermant les yeux et se mit à hurler puissamment en m’assénant une dizaine d’ultimes coups saccadés libérateurs.Mais moi, malgré mes caresses insistantes sur mon clitoris, je n’avais toujours pas joui. Je me redressai bientôt et m’assis à côté de lui sur le canapé, observant obstinément la dernière personne valide de la pièce, la femme assise à son bureau. Elle soutint mon regard provocateur un court instant mais détourna finalement les yeux en disant :— Bon, ça y est ? Tout le monde est satisfait ?— Non… fis-je doucement.Les deux premiers jeunes hommes et la jeune fille sourirent, mais la dénommée Anna fit mine de ne pas m’avoir entendue et continua :— Nous sommes très en retard, Jean-Claude…L’interpellé se releva avec peine et m’adressa un discret clin d’œil en ôtant son préservatif et remontant son pantalon. Il alla jeter sa capote et rejoignit sa place.— Bien… Merci mademoiselle, vous pouvez vous rhabiller, dit-il ensuite, très professionnel.Je souris en descendant du lit pour aller récupérer mes fringues.— Jeunes gens ? dit-il, s’adressant à mes trois premiers partenaires. Il est temps de passer à l’évaluation…La fille, toujours nue, et les deux gars, qui avaient passé une serviette autour de leur taille, s’approchèrent du bureau. Je repassai ma culotte, puis mon tee-shirt et mon short et renfilai mes chaussures, tandis qu’ils débattaient à voix très basse sur l’un quelconque des points à évaluer.— Bon, ben… à la prochaine ! fis-je bêtement.— À plus tard, mademoiselle, me répondit Jean-Claude. Et encore bravo ! Vous avez été très impressionnante…Les deux autres hommes et la jeune femme m’adressèrent un discret salut en souriant. Je sortis, relativement fière de moi. Dehors, l’hôtesse m’accueillit en braillant :Mais la voix de Jean-Claude s’éleva de derrière moi :Une jeune femme s’approcha pour prendre ma place, mais l’hôtesse, gardienne, concierge et videuse à la fois, l’arrêta en lui répétant promptement sur un ton militaire :— Deux minutes, mademoiselle !Et j’aperçus Audrey, qui avait l’air de tourner en rond en m’attendant, seule avec à côté d’elle Cindy qui discutait dignement avec deux autres pouffes de son espèce.— Alors ? Qu’est-ce que tu foutais ? me demanda-t-elle.— Il y a eu quelques complications… rigolai-je en m’approchant.En faisant d’une main le chiffre 4, je lui racontai, parlant suffisamment fort pour que l’affreuse Cindy m’entende :— Je me suis tapée trois mecs et une nana, et je les ai tous les quatre fait jouir !— Hein ? me fit ma copine.Je l’embrassai à pleine bouche en arrivant à sa hauteur. Cindy et ses copines nous toisaient avec mépris.— Beuh… tu sens pas très bon… me fit Audrey.— Je te raconterai en détails. Et toi, comment ça s’est passé ?— J’sais pas trop… ça s’est passé, voilà. Enfin, si, je crois que la nana a bien apprécié. Mais pour le reste…— Bah, on est tranquille, maintenant. Pour ce soir c’est fini.— Alors ? Qu’est-ce qu’on fait ? me demanda-t-elle.— Viens, j’ai besoin de toi… lui répondis-je à voix basse en lui prenant la main.Nous sortîmes et reprîmes le dédale de couloirs jusqu’à ma loge, et, une fois entrées, je me jetai littéralement sur ma copine. Nous nous embrassâmes avec fougue ; elle pressait sa poitrine contre la mienne et avait plaqué ses mains sur mes fesses. Elle me poussa bientôt sur la banquette et s’approcha avec un sourire passionné…