Résumé des épisodes précédents : Après avoir posé pour son voisin Laurent et Francis, Séverine les a rencontrés pour évoquer leurs souvenirs de modèles.Je vais donc être modèle pour la seconde fois, je suis fière car c’est à la demande de Francis et je suis un peu troublée car Laurent sera à mes côtés. Francis est assez simple à comprendre, artiste, esthète, un peu voyeur, direct avec une grande empathie. Laurent est très réservé, esthète aussi, sûrement un peu voyeur comme tous les hommes mais il ne le montre pas clairement. Je le trouve par moment mystérieux et c’est peut-être cette facette qui m’attire. Oui, clairement, Laurent est un bel homme qui me plaît et être nus tous les deux dans des poses dont Francis a dit que nous les découvririons au fur et à mesure m’angoisse et m’excite tout à la fois.Je suis évidemment passé chez l’esthéticienne car je veux être sûre que mes lèvres seront lisses et ma petite toison bien taillée. J’aime beaucoup quand elle me fait lever haut les jambes pour faire disparaître les quelques derniers poils réfractaires, j’ai vraiment un penchant exhibitionniste, je rêve qu’à ce moment, un homme ouvre la porte et me découvre ainsi.Je suis aussi voyeuse/curieuse, comment est le sexe de Laurent ? Grand, petit, large ? Et puis, se développera-t-il devant moi ?Je suis toute chose en arrivant chez Francis.Ils sont là tous les deux, Laurent est en peignoir, il s’est déjà déshabillé, je lui fais la bise, j’ai envie de passer ma main sous le peignoir pour savoir s’il est déjà nu.Francis me tend un peignoir.— Tu peux te changer dans ma chambre et nous rejoindre, c’est la porte au fond à droite.Je me déshabille assez rapidement, un coup d’œil dans la glace avant de mettre le peignoir… je me trouve assez désirable.Je les rejoins à l’atelier, c’est une pièce assez grande et lumineuse avec une table, des chaises, des tabourets, un canapé et même un matelas.Francis annonce le programme :— Six poses au programme et du temps entre chaque, je descendrai rapidement chaque toile à la cave dans la pièce prévue pour qu’elle sèche à bonne température car je vais travailler avec une peinture spéciale. Vous serez nus, bien sûr, mais je vais faire en sorte que vos sexes soient le moins visibles sur le tableau. Allez, en tenue, d’Ève pour Séverine, et d’Adam pour Laurent.J’ôte mon peignoir très naturellement, Laurent a regardé furtivement, je jette un œil quand il ouvre son peignoir, son sexe est de bonne taille au repos. J’ai envie de faire travailler son appendice pendant la séance, je me sens vraiment à l’aise.Francis lance la première pose :— Debout et côte à côte face à moi, Séverine, tu mets ton bras droit sur ta poitrine et ta main gauche cache le sexe de Laurent.— Laurent, tu mets ta main droite devant le sexe de Séverine et ta main gauche sur la main gauche de Séverine.Je mets mon bras pour cacher mes tétons et pose ma main sur la verge de Laurent, douce sensation, j’ai comme senti une réaction de Laurent. Il recouvre ma main puis je sens sa main frôler mes poils. J’aimerais que sa main se referme pour sentir un doigt entre mes lèvres mais il reste correct. Francis nous regarde sans nous voir, il est plongé dans sa toile, un artiste passionné, c’est un vrai spectacle… rien de sexuel ou de malsain dans ses attitudes.La main de Laurent a un peu bougé, il touche mes poils, je vais en faire autant.J’approche ma main et touche vraiment son sexe, je sens ses poils sur mes doigts. Son sexe est endormi, comment fait-il pour ne pas le laisser se gonfler ? J’aimerais saisir sa tige entre mon majeur et mon pouce et lentement la faire coulisser.Sa main s’est un peu refermée et a touché une lèvre, j’ai eu une petite décharge électrique, Laurent a vite réouvert sa main. La séance va être très dure pour ne pas craquer. Connaissant Francis, chaque pose sera de plus en plus sensuelle.Fin de la première pose, et comme prévu, Francis quitte la pièce pour mettre son tableau à sécher. Ni l’un ni l’autre ne remettons notre peignoir, c’est une sensation étrange de nous retrouver nus avec Laurent. Nous osons à peine nous tourner l’un vers l’autre.— Tu connais la pose suivante ? J’ose enfin tutoyer Laurent.— Ni la suivante ni les autres, Francis aime voir la surprise des modèles, nous les découvrirons ensemble.— Et ce sera sûrement avec plaisir, renchéris-je.Francis revient et nous décrit la pose suivante :— Séverine face à moi, les deux mains l’une sur l’autre cachant ta jolie petite toison, et Laurent derrière toi, t’enlaçant et recouvrant tes seins avec chacune de ses mains.À peine ai-je posé mes mains sur mon sexe que je sens Laurent dans mon dos, il se colle à mes fesses et ses mains se posent sur mes seins, mes tétons frissonnent.Son sexe est dans la raie de mes fesses, je fais exprès de les remuer un peu, il me semble que son sexe durcit.« Bouge tes mains, caresse mes tétons », je le pense si fort que je l’imagine.« Entre ton gland dans ma fente », je commence à mouiller.Francis a bien choisi comment mettre mes mains, je peux bouger un doigt sur mon clito sans qu’il le voie car mon autre main cache ma caresse. Mon petit appendice durcit sous mon doigt et je frotte subrepticement mes fesses sur Laurent, son sexe s’allonge, j’en suis certaine, je passerai bien la main derrière mon dos pour le branler délicatement.Sa main droite appuie sur mon sein, il doit percevoir mon téton réagir, son bras touche le mien, devine-t-il que mon doigt explore ma fente… ?Je sens son sexe de plus en plus dur dans mon dos, c’est réel ou c’est mon imagination.— Fin de la pose, je reviens dans cinq minutes.Pendant que Laurent ôte ses mains ou plutôt les laisse glisser sur ma poitrine, je me retourne et constate que Laurent n’a pas été indifférent. Il n’est pas au garde-à-vous, mais l’allongement est significatif.Laurent me souffle :— J’ai beaucoup aimé cette seconde pose, Il me semble que toi aussi, tu as apprécié.— Oui, j’ai aimé la sensualité du toucher. Voyons maintenant ce que nous réserve la suite.— Avec Francis, on est rarement déçu.Mon sexe est tout excité, je n’aurais pas dû me toucher, je crains la suite.Retour de Francis.— Prochaine pose, la vue de l’autre sera mise en valeur. Vous allez vous allonger et vous mettre tête-bêche, vous mettre votre visage à environ trente centimètres du sexe de l’autre. Mettez-vous dans le sens de la longueur, la tête de Laurent vers moi. Vous mettrez les bras le long de votre corps.Laurent aura une vue « zoom » sur mon anatomie, et moi, je pourrai détailler son appareil génital, une inspection visuelle avant usage, au cas où.Je suis à portée de main et presque de bouche de son sexe, je le trouve joli.Il est au repos car il n’ose pas me saluer de toute sa splendeur…Laurent doit lui aussi détailler mon sexe.Je fais exprès de desserrer mes cuisses, juste pour sentir l’air sur mes lèvres.Une idée me vient, coquine bien sûr, je vais souffler sur les petites boules de Laurent. Je souffle deux, trois fois et j’attends de voir si le membre de Laurent va frissonner sous la brise. Un courant d’air glisse sur mes lèvres, je regarde la bouche de Laurent, elle forme un « o » et lui aussi souffle. Nous avons un regard complice. Nos sexes respectifs ne nous laissent pas indifférents. Il fait bouger légèrement son sexe et m’adresse un sourire, je ne peux répondre qu’à son sourire car il m’est impossible de lui montrer mon clito. Je ferme les yeux et je nous imagine en 69, nos sexes sur nos langues. Je souffle et j’ouvre les yeux, son sexe a grossi, j’écarte un peu les cuisses pour lui faire profiter du spectacle, son sexe grossit encore, il souffle et l’air frais m’excite…— Fin de la pose, je reviens.Alors que Laurent commence à se relever, j’approche rapidement mon visage vers son sexe et je fais un bisou rapide sur ce dernier, je me relève aussitôt.Laurent a l’air à la fois surpris et heureux et avant qu’il ne puisse dire quelque chose, Francis est revenu dans la pièce.— Pose suivante : Laurent debout et de profil, Séverine à genoux, les fesses tournées vers moi. Tu mets ta main droite devant le sexe de Laurent.Laurent debout, je me mets à genoux, et si je lui faisais une petite pipe discrète puisque je suis de dos.Je ressors un peu mes fesses pour que Laurent ait une vue sur mes deux collines, cette position m’excite. Je souffle délicatement sur sa verge et ses bourses. La vue de son sexe qui gonfle est un spectacle auquel je suis très friande, et de friande à friandise, mon cerveau fait des étincelles de bonheur.Francis ne peut rien voir de ce que je manigance, ma tête le cachera.Je prends délicatement le sexe de Laurent dans la main et j’exécute un va-et-vient sur sa hampe. Je dirige son sexe encore mou vers ma bouche et je l’avale tout entier, je veux avoir la sensation de le sentir grossir sur ma langue. L’effet est immédiat, j’ouvre plus grand la bouche, je mets ma main sous ses petites boules et je les caresse. Ma tête ne bouge pas car un va-et-vient pourrait le faire venir. Par moment, son gland cogne sur mon palais, ce doit être insupportable de plaisir pour lui.Je dandine un peu mes fesses pour l’exciter encore plus.— Ce doit être inconfortable pour tes genoux, Séverine, tu aurais dû mettre un coussin. Encore deux ou trois minutes de souffrance.J’ai envie de rire, ma souffrance n’est rien à côté de celle de Laurent. Je me permets un ou deux coups de langue, un peu de liquide coule de son méat, j’aimerais qu’il explose dans la bouche.— Fin du calvaire, les positions vont être inversées, tu mettras un coussin, Laurent, je ne voudrais pas que tu souffres. Mettez-vous en place, je reviens tout de suite.Je retire de ma bouche le sexe de Laurent et lui donne un dernier coup de langue avant de me lever. Je jette un coup d’œil sur son sexe dressé et fier et je me dis : « Quelle bite, j’aimerais qu’elle remplisse ma petite chatte ».Laurent se met vite à genoux et tourne le dos au chevalet, il ne doit pas avoir envie que Francis le voie dans cet état.À mon tour d’être debout et Laurent à genoux à portée de mes lèvres et de mon clito.Contre toute attente, Laurent reste sage, son visage touche ma cuisse et sa main recouvre mes poils.Nous sommes à la moitié de la pose et Laurent n’a toujours fait preuve d’aucune initiative. Je ne lui plais pas, je suis allée trop loin, il me considère comme une salope, je me sens mal. Pourtant, tout à l’heure, il me semblait qu’il soufflait entre mes cuisses, mon sexe ne lui convient pas, ou alors, je l’ai mal pris dans ma bouche. Bande-t-il encore ? D’où je suis, je ne peux pas le voir. Je remue mon bassin, je veux lui montrer que j’aimerais un petit signe, une caresse de ses doigts ou, pourquoi pas, de sa langue. J’aime la douceur d’une langue sur mes lèvres lisses, j’aime que la langue fouille dans mon sillon pour trouver mon petit clito. Rien, toujours rien, et le temps passe, bientôt la fin de la pose.Tout à coup, comme par enchantement, son pouce se glisse entre les lèvres et appuie progressivement sur mon clito, j’ai envie de crier, de stupéfaction, de douleur et de plaisir. Il appuie encore, je suis comme paralysé, c’est la réponse du berger à la bergère, il ne pouvait bouger dans la bouche, je ne peux fuir sous son doigt.— Fin de la pose, à tout de suite pour la sixième et dernière que j’adore !Laurent retire son pouce et délicatement me fait une bise sur mon sexe, je crois même qu’il a mis la langue. Ouf, je l’excite !— Pour la dernière pose, je vais peindre trois toiles en même temps, vos deux visages et l’ensemble de la scène. Comme vous vous en doutez peut-être, j’aime la dernière pose des modèles, Séverine l’a aimée aussi, je crois. La différence, toi, Séverine, tu es face à moi et Laurent à genoux derrière toi, très proche, vos bassins doivent presque se toucher, une main de Laurent sur tes fesses et l’autre entre vos deux sexes. Bien sûr, Séverine, tu te mets sur les coudes et tu te cambres un maximum, et surtout, écarte bien tes genoux !— Une levrette, tout simplement ! je l’ai exprimé et Laurent a acquiescé.Je prends un malin plaisir à me mettre sur les coudes, écarter les genoux et me cambrer pour offrir à Laurent une vue imprenable sur mes deux intimités, c’est plus fort sexuellement que l’autre jour, cette fois-ci, je fais corps avec mon corps, je ne me dissocie pas. Je sens Laurent approcher, nos cuisses se touchent, sa main se pose sur mes fesses, j’aimerais qu’il me caresse chaque fesse, un massage de fesses, j’adore ça, surtout quand, au fur à mesure, la main et les doigts passent entre mes deux collines pour frôler ma vallée.Son autre main se glisse entre nous, il va sûrement tenter quelque chose, j’en rêve. Il doit me mater, mon petit trou lui est offert, ma chatte a les lèvres ouvertes, je pense dans des mots vulgaires, je me lâche et Laurent n’entend rien, il me croit timide et réservée et dans un sens, il a raison, jamais je n’aurais pensé pouvoir poser nue ni même mimer un acte sexuel, pourtant, s’est éveillée en moi un nouveau plaisir : s’exhiber, diriger et s’offrir.Je crois sentir le sexe de Laurent contre le mien, une surface beaucoup plus douce que des doigts. Je bouge mon fessier légèrement de haut en bas, la surface grossit, Laurent bande et ose me le suggérer, je continue pour lui donner mon accord. Il fait glisser son gland sur mes lèvres et réussit d’un doigt à titiller mon clito. Je pourrais jouir dans la minute si je le voulais tellement cette caresse est agréable, il parvient à toucher mon petit trou avec son gland mais pour l’instant, je ne suis pas prête à m’offrir de la sorte.Laurent a dû percevoir une petite retenue car il retourne à mon humidité vaginale.Son sexe est dur et il lui suffirait d’un léger coup de reins pour pénétrer mon intimité.Je sais qu’il va me pénétrer, mais quand ?Va-t-il attendre la fin de la pose et le départ de Francis de la pièce ou pousser maintenant sa chair dans ma chair ?— Montre l’expression d’une surprise, Séverine, je veux fixer ce moment sur ma toile.Laurent m’aide à montrer cette émotion en enfonçant d’un coup sec son engin dans mon antre de jouissance. Mon visage se crispe et un petit cri s’échappe de ma bouche.— Bravo, Séverine, j’ai bientôt fini, cette toile va être magnifique.Laurent se maintient raide sans bouger, je sens sa colonne en moi, elle est dure et je voudrais qu’elle coulisse. Les coups de pinceau de Francis sont interminables, Laurent est prêt à se déchaîner, il a serré ma fesse si fort que je vais avoir des marques.— Je descends vite, à tout à l’heure, je serai long, car trois toiles plus les autres à ranger, je ne veux pas perdre mon travail.Francis sort et Laurent rentre encore plus fort. Il est au plus profond de moi, je me retiens pour ne pas crier, je serre les dents. Laurent commence son va-et-vient, puissant et doux sur mes lèvres, je l’accompagne pour synchroniser nos rythmes, je jouis et serre son sexe de toutes mes forces. Je ne veux pas qu’il jouisse en moi et je veux goûter sa semence, je me retourne, attrape son sexe, le mets dans ma bouche pour le sucer. Je passe une main sous ses boules et je le branle de l’autre, ma tête fait un va-et-vient, je sens une contraction, Laurent se lâche et éjacule dans ma bouche, je prends un énorme plaisir à avaler sa liqueur.Nous nous regardons, nous sommes complices, mais je ne ressens pas d’amour, j’ai réalisé un désir, c’est tout.Je sais que je recréerais ces situations, elles me font plaisir et jouir.J’ai déjà en tête une nouvelle expérience à mettre en œuvre. À bientôt…