— Salut Suzy, c’est Max, encore couchée ? … Rappelle-moi quand tu te lèves, on a un concert samedi soir. Accroche toi bien, on joue pour les étudiants de Sup. de Biz. À plus.J’entends ça dans un demi-sommeil comateux : concert, Sup. de Biz … il a bu ou quoi ? . Une heure plus tard, debout, j’écoute à nouveau mon répondeur, j’ai bien compris. Une fois lavée et habillée, je saute su mon scooter pour rejoindre le groupe au local, un peu furax.Ils sont tous là , les Vibrators au complet. Max, le guitariste, grand, maigre, brun, joli gars avec son look de punk tombé du nid ; Théo, le bassiste, étudiant en art, tatoué, le crâne rasé de près, hilare et Filo, le batteur, prof de philo débutant, beau blond avec sa queue de cheval. Ils sont mignons mes «boys», entre 22 et 26 ans, toujours près pour aller prêcher la bonne parole du rock’n’roll. Bien entendu, il manque la chanteuse, moi, Suzy, 22 ans, rousse, cheveux courts toujours en pétard, yeux noisette, 1.65m, 52kg, deux jolies poires (85c), un joli petit cul tout rond et admirée (entre autre) pour la magnifique frise fleurie tatouée entre mes seins et mes clavicules.— Bon alors c’est quoi ce bordel ? Vous êtes ouf ! Vous voulez jouer pour cette bande de petits bourges ?Filo me regarde, sourire aux lèvres— Calme-toi Suzy. Un c’est 1500 euros, deux il y aura au moins 1 000 étudiants, trois tous les frais sont payés, on a bar ouvert et puis c’est ma petite sœur qui m’a demandé.D’un seul coup, tout va mieux, on va pouvoir changer un peu de matos et enfin gagner un peu d’argent.La discussion qui suit tourne autour du concert, des titres à jouer, du classique quoi. J’apprends que la soirée a lieu dans deux jours, dans le vieux théâtre de la ville, que nous jouerons à minuit et que nous devons être sur place à 19 heures.Le samedi arrive, nous sommes prêts, même si ça nous amuse de jouer devant ce public de fils à papa, ils auront droit à un vrai concert. 19 heures, le théâtre est décoré, on se croirait dans un vieux film de Felini, tout est très baroque, colonnes, tentures, bel éclairage. Décidément, ces étudiants ont du goût. Nous sommes accueillis par une délégation du Bureau Des Etudiants, dirigée par une jolie blonde. Nous nous retenons de ne pas rire car ils se sont déguisés rock’n’roll : Jeans déchirés, cuirs, ceintures cloutées. La jolie blonde s’avance— Salut, vous êtes les Vibrators je suppose. Je suis Violaine de R., présidente du BDE, c’est très sympa d’avoir pu vous libérer.Le ton est sec, mais la voix est belle et grave, assez surprenant pour ce petit gabarit.Plutôt mignonne cette Violaine, 1m50 de sex-appeal. 22 ans à tout casser, un carré frisé d’un joli blond doré, de très beaux yeux bleus, la peau d’un blanc laiteux presque transparente. Elle aussi est déguisée avec un débardeur en résille laissant deviner un joli soutien-gorge en dentelles noires qui cache à peine une belle poitrine (plus que moi, la garce) et une minijupe en cuir, courte, pour que l’on voit bien ses dim-up.Je présente le groupe et nous allons au bar prendre des bières, il faut des forces. Elle commence à me plaire cette fille, je m’amuse à l’appeler Blondie, ça l’énerve, elle fait une moue que je trouve craquante. Nous installons la sono, et commençons à jouer pour régler le son. Violaine ne nous quitte pas des yeux, ou, devrais-je dire, ne me quitte pas des yeux, m’en apercevant, je lui envois quelques sourires complices …Une fois la balance terminée, je vais la voir pour qu’elle nous indique nos loges.— Heu vos loges ? j’en avais prévu qu’une …— Dis moi Blondie, tu ne crois pas que je vais me doucher et me changer devant cette bande d’obsédés tout de même ?Je souris en voyant sa mine déconfite. Elle est vraiment mignonne quand elle rougit.— Je vais voir ce que je peux faire, me dit-elle gênée.Nous visitons l’arrière scène, elle montre leur loge aux garçons et nous finissons par trouver une loge pour moi. Je jubile, une vraie loge de star, avec un miroir éclairé, une douche, un canapé. Je lui caresse doucement la joue, « Ben tu vois Blondie, quand tu veux … »Nous entrons, je pose mon sac sur une chaise et sors une bouteille de vodka, tu en veux ? J’en prends une gorgée et lui tends la bouteille qu’elle prend timidement, s’en envoie une belle rasade et me la rend en toussant.— J’avais besoin d’un truc fort, merci.— Si tu veux, j’ai quelque chose de vraiment plus fort …J’ouvre mon sac et sors une petite boite qui, contient un peu de poudre blanche et fine. Je trace deux lignes de cette neige colombienne et lui tend le miroir et une jolie paille en argent.— Tu t’es habillée rock’n’roll, tu organises une soirée rock’n’roll il faut que tu sois rock’n’roll dans ta tête Blondie …— Quoi, de la drogue, mais tu es folle !— Tss tss, un petit rail de coke ne va pas te rendre toxico Blondie, et puis comme ça, on sera dans le même trip … Je lui fais un clin d’œil, regarde, on fait comme ça.J’aspire à pleine narine le trait de coke, et sans hésiter, elle prend le sien. Je vois apparaître dans son regard une nouvelle lueur. La petite fille vient de faire une grosse bêtise, elle le sait et elle a aimé ça !— Si tu n’as rien d’autre a faire, aide-moi à choisir une tenue de scène pour ce soir, j’ai mis plein de fringue, en vrac dans le sac, je vais prendre une douche.Je lui tourne le dos pour me déshabiller, mais je sais qu’elle me regarde dans le miroir, je l’imagine farfouillant dans mon sac et me glisse sous la douche. Je me frotte et me caresse lentement sous l’eau chaude, ça fait du bien. J’adore presser délicatement mes tétons pour les faire dresser. Mes mains glissent sur mon ventre et passent sur mon mont de vénus, autant pour vérifier que je n’ai pas laissé un poil que pour descendre plus bas, sur mes lèvres bombées qui ne demandent qu’à s’ouvrir. J’entrebâille la porte pour lui demander de me passer mon shampooing et la surprend, le nez dans mon string de satin noir. Elle le roule difficilement dans sa main pour le cacher et me tend la bouteille, ses joues sont d’un rouge pivoine qui lui va à ravir.Pudique, je noue ma serviette sur mes seins pour sortir ruisselante de la douche. Ses yeux suivent le dessin du tatouage qui orne ma poitrine. Ce dessin est vraiment très joli dit-elle. Je fais savamment glisser la serviette pour qu’apparaissent mes tétons rouges et tendus par mes caresses aquatiques. Son regard brille d’envie … elle tend une main tremblante, mais je me recule.Comme si de rien n’était, je lui demande la tenue de scène qu’elle m’a choisie. Espiègle, elle me montre un haut en latex noir et sans manche, tellement moulant que je ne peux pas mettre de soutien-gorge dessous, ce que je fais avec plaisir, mais je dois me talquer pour l’enfiler.— Pas mal oui, je réponds d’un sourire et en bas ?Elle sort un jean en cuir, avec des lacets sur les cotés fermant une ouverture qui remonte le long de la jambe, montrant 1 cm de peau de la cheville à la taille.— Choix judicieux, mais on dirait que tu n’as choisi que des fringues avec lesquelles je ne peux pas mettre de dessous …— Comme ça tu seras la fille la plus sexy de la soirée … me répond-elle du tac au tac, la bouche brillante d’envie et le regard pétillant.— J’accepte à une condition. Si je ne mets rien dessous… tu ne mets rien non plusJe la vois hésiter un instant et lancer ses bras dans son dos sous son tee-shirt, dégrafer son soutif et le retirer par sa manche. Ses seins apparaissent sous la moire de la résille fine. Fière, elle tourne sur elle, et je vois les pointes de ses seins tenter de percer l’étoffe noire. Je laisse glisser lentement ma serviette pour que mes seins apparaissent et la retiens sur ma taille.— Nous sommes à égalité … seins nus … mais moi je serai nue sous le jean…Alors ses mains passent sous sa jupe et lentement, très lentement, font rouler une culotte qu’elle ôte et me tend. Dans ma main son string est doux, chaud et définitivement trempé. Je le porte à mon visage, m’enivre de l’odeur de son sexe de blonde. Volontairement je lui montre ma langue qui lèche le tissu à la recherche de gouttes de son nectar de fille que les dentelles ont emprisonnées. Je laisse dégringoler ma serviette et m’offre nue à son regard. Ses yeux me dévorent et se fixent sur l’abricot lisse, rose et juteux niché en haut de mes cuisses. Toujours silencieuse elle dégrafe sa jupe en cuir, la doublure crisse en glissant le long de ses cuisses et je vois enfin son fruit tant attendu. Sous une bande de poils bien taillés (un ticket de métro dit-on, quelle vilaine expression) ses deux lèvres se dessinent et se dévoilent d’un rose fuscia. On ne voit qu’elles sous cette haie blonde, et oui, Violaine est une vraie blonde, ce qui n’est pas pour me déplaire.Elle se recule et s’assied sur la tablette, écartant un peu les cuisses offrant à ma vue ses lèvres déjà brillantes de mouille. Le tableau est saisissant, ses jambes gainées de noir, son sexe blond dévoilant des nymphes humides et ses seins bien visibles au travers de la résille noire de son tee-shirt. Lentement sa main glisse vers son minou, un doigt dessine ses lèvres, les écarte un peu. Elle le ressort et le porte à sa bouche pour goutter son miel de sa langue rose et pointue. Je masse lentement mes seins en l’admirant, quelle petite salope, c’est elle qui réussit à m’exciter, alors que je faisais tout pour la troubler. Mes seins se dressent tandis qu’elle redescend un doigt vers son sexe pour le mouiller à nouveau et le tendre vers moi.Je m’approche et suce ce doigt avec une envie de chienne affamée, je me colle à elle et je sens son sexe un peu au-dessus du mien, ses poils me caressent le nombril. Elle m’enserre de ses cuisses, je prends sa taille entre me mains. Elle ressort son doigt de ma bouche pour le remplacer par sa langue, enfin nous nous embrassons. Nos langues se mêlent, nos salives se mélangent, nous nous mangeons littéralement. J’embrasse son cou, laissant couler une traîné de salive sur sa joue, sa peau est douce et parfumée, je me recule un peu pour retirer la dernière résille qui sous sépare et pouvoir descendre, plus bas, vers une de ses pointes dressées. J’adore lécher la peau de l’aréole sentir ces petits grumeaux sous ma langue et surtout faire gonfler le téton. Je suis aux anges, son téton prend des proportions inouïes, je suce avec amour au moins 3 cm de chair. Je passe d’un sein à l’autre, les mordille, les suce et les tète avec rage et excitation. Elle halète, ses seins gonflent, son cœur s’accélère au rythme de ma succion.Je me recule pour admirer mon chef d’œuvre, yeux fermés, bouche ouverte, ses deux tétons tendus, elle est l’image même du désir, presque obscène, j’adore. Ma langue glisse entre ses seins, agace son nombril pour commencer à lisser sa bande de poils couleur de blé. D’une main experte j’écarte un peu ses lèvres pour que ma langue puisse continuer son exploration. Je goutte enfin ce coquillage elle a un goût extraordinaire, un mélange léger, salé. À peine effleuré, son clitoris se gonfle, j’espère qu’il sera aussi érectile que ses tétons . Je lape avec passion ce con tant désiré. Plus ma langue la fouille, plus je sens couler dans ma bouche le nectar de son sexe, elle mouille comme une fontaine, et ca tombe bien j’adore ça ! Je remplie ma bouche de son désir pour mieux me relever et l’embrasser. Cette fois c’est elle qui boit mes lèvres et mordille ma langue en buvant sa cyprine, Nos visages brillent de salive et de jus de plaisir mélangés, sous sentons le sexe, nous ne sommes plus que deux sexes. Ma main a remplacé ma bouche et deux doigts commencent à aller et venir en elle, elle gémit.Elle se relève, prenant soin de garder mes doigts en elle, me pousse vers le canapé et me couche sur le dos en écartant mes cuisses. « Tu as le plus beau minou de la création. J’ai jamais léché de fille rasée et Dieu sait que j’en avais envie » me dit-elle avec convoitise, tandis que de ses doigts elle écarte mes lèvres. Je suis aussi trempée qu’elle et sa bouche se colle instantanément à mon sexe. Sa langue me fouille, aspire mes lèvres, les mordille, je coule c’est délirant. Je sens mon coquillage s’ouvrir tandis qu’elle titille mon clito entre ses lèvres. Il gonfle et elle se suce comme une petite bitte. Oui Violaine, continue.Je la regarde, elle a un sourire pervers, elle pose sa main sur mon ventre et la fait glisser sur mon sexe, brillant de mon foutre de fille ; elle laisse glisser un filet de salive pour mieux les mouiller et, sans prévenir, enfonce trois doigts entre mes lèvres. Je pousse un petit cri, de surprise plus que de douleur, lorsqu’elle commence un lent va-et-vient dans ma chatte. Son pouce agace mon clito qui est gonflé comme jamais. Elle le reprend dans sa bouche tandis que je sens son petit doigt me forcer. «Oui Violaine, ho putain c’est trop fort, oui je sens tes doigts, c’est pas possible ho non, oui .. » Je suis submergée par une vague de plaisir, je dis n’importe quoi, ne pouvant rien contrôler.Violaine sourit de plus belle en retirant ses doigts, je sens mon sexe rester ouvert un instant, ce qui semble plaire à mon amante. Elle porte ses doigts gluants à ma bouche pour que je me saoule de mon plaisir, elle les ressort les porte à la sienne et les lèche consciencieusement, n’oubliant pas le pouce.Je commence à comprendre ce qu’elle a derrière la tête. Je n’ai jamais été fistée. Je dis non avec la tête mais je ne peux pas empêcher mes cuisses de s’écarter. Elle réunit ses doigts en pointe, plaçant son pouce au milieu et commence à pousser contre mes lèvres.«Laisse-toi aller, petite cochonne, tu vas voir, ton con va m’accueillir. Tu vas être baisée comme jamais tu as été baisée, ouvre-toi».Lentement, je m’ouvre, c’est complètement délirant, mes chairs se distendent, je vois les phalanges disparaître. Violaine se penche et suçote mon bouton gonflé comme un téton. Elle salive pour bien mouiller cette main qui me force. Je n’ai pas mal, je me sens possédée par cette main que mon con aspire. Ma respiration s’accélère, je suffoque, je pleure d’un plaisir qui est en train de m’emporter. Je produis des sons inhumains, et dans un dernier spasme, la main disparaît.« Violaine mais qu’est ce que tu m’as fait, mon Dieu, mais qu’est ce que tu m’as fait ? » Je ne peux que répéter ces mots tandis qu’elle va-et-vient entre mes lèvres. C’est délirant de voir son poignet entrer dans mon ventre, je sens sa main s’ouvrir et se refermer, quand elle serre son poing c’est comme si plusieurs sexes me pilonnaient.Regarde-toi Suzy, dit-elle en retirant sa main, tu n’es qu’un trou, un gouffre à plaisir.Mes lèvres restent béantes, un puits sans fond de plaisir. Je grogne comme une bête en rut, remets-la-moi, mais remets-la-moi. J’attrape son bras et le pose devant ma fente encore ouverte ; pantelante de désir, d ’une envie obscène d’être défoncée, d’être écartelée, obsédée par cette main qui m’a possédée.Mon bassin s’active, s’avance et s’empale sur ce poing. La jouissance déferle en moi, un raz-de-marée m’emporte. Je pleure de plaisir, je bave, je transpire, je ne suis plus qu’une chatte, un sexe coulant de cyprine. Violaine me regarde, ravie, je me coule dans ses yeux, d’un geste sec elle retire sa main. Un flot de mon jus gicle sur son visage. Elle ruisselle de mon plaisir et se couche sur moi . Fougueusement nous nous embrassons, elle lèche mes larmes et je lèche son visage, je bois ma propre mouille, je suis vidée, comblée, encore écartelée de cette main qui m’a fouillée.Dans un demi-coma, cette béatitude qui succède à une étreinte totale, je la regarde en lui faisant de petits baisers sur le visage et les seins. Dans un murmure elle commence à me parler :— Tu ne me croiras jamais, mais je n’avais jamais fait ça avec une fille— Ça quoi ?— Ma main. Entière. Mais je sais pas si c’est ta poudre, la pression ou l’excitation du moment, mais j’ai senti que je pouvais être folle avec toi.— Confidence pour confidence, tu viens de réaliser un de mes fantasmes … Je pensais pas que ce serait si fou … Mais tu m’as tellement excitée, petite cochonne, que je me suis laissée aller … et je le regrette pas dis-je en lui roulant une pelle d’enfer— Dis Suzy ?— Quoi ?— J’ai encore envie de faire l’amour avec toi— La soirée ne fait que commencer …Un coup sourd sur la porte. « Hé Suzy, on joue dans 10 minutes » Je reconnais la grosse voix de Théo, on éclate de rire avec Violaine, le devoir nous appelle. Elle se précipite vers la douche, je la rattrape.Restons comme ca, je veux qu’on garde notre odeur de chienne en chaleur, ca excitera les mecs et ça rendra folles les filles … On s’habille rapidement, et juste avant de sortir de la loge, je passe mai main sous sa jupe pour vérifier qu’elle n’avait pas remis son string. Elle me lance une œillade malicieuse, elle était toujours chaude et mouillée.Décidément, j’allais changer mon avis sur les étudiantes des écoles de commerce.