Elle est assise dans la salle d’attente, mais ne prend pas de magazine ; elle attend avec un peu de nervosité que la porte du cabinet s’ouvre. C’est la première fois qu’elle vient ici, c’est une des clientes de l’institut de beauté où elle travaille qui lui a conseillé ce médecin. « Docteur miracle » lui a-t-elle mystérieusement dit en lui glissant son numéro de téléphone.L’endroit est agréable, design et épuré, de grands tableaux abstraits sur les murs. « Il a bon goût, déjà  », pense-t-elle.Le gynécologue ouvre la porte :— Bonjour, Madame, entrez, je vous en prie.Ses yeux sont particulièrement brillants, et elle le trouve plutôt séduisant,  » beau brun typé, sourire en coin, il me plaît bien », se dit-elle.Elle le précède, laissant un sillage épicé flotter derrière elle. Il le respire profondément et plisse les yeux, un demi-sourire aux lèvres, qu’elle ne voit pas.Elle est d’une beauté paisible et plantureuse, ses longs cheveux châtains encadrent un bel ovale, et des grands yeux aux longs cils s’harmonisent avec la douceur de son sourire.En entrant dans son cabinet, elle est assaillie par son parfum qui flotte dans la pièce, mélange de poivre et de réglisse… son cœur accélère en sentant cette odeur, comme si elle avait une charge érotique particulière. Elle n’avait jamais senti ce parfum avant… elle ferme les yeux une brève seconde… Mmmmm…. quelle merveille !— Qu’est-ce qui vous amène, Madame ? demande-t-il en s’asseyant à demi sur l’angle de son grand bureau en bois sombre.— Et bien, disons,… j’ai un problème de lubrification, ça rend douloureux les rapports, vous voyez, dit-elle un peu gênée.— Ça fait longtemps ?— En gros, depuis ma séparation avec mon mari il y a un an ; ça ne m’était jamais arrivé avant. J’ai eu il y a six mois un petit ami mais j’ai vraiment eu trop mal lors de nos rapports sexuels ; d’ailleurs on s’est séparés depuis quelques semaines.— Pas à cause de ça, j’espère ? lui demande-t-il en souriant.— Ben, ça a dû jouer quand même, ça ne doit pas être agréable d’être au lit avec quelqu’un qui se crispe de douleur quand vous voulez lui faire du bien, non ?— Ça devrait s’arranger assez facilement, passons à la table d’examen, propose-t-il en lui montrant le chemin.Elle se dirige vers la table, en face du bureau du médecin. Elle pose son sac sur une jolie console en fer forgé, ôte ses chaussures tout en faisant glisser sa robe fluide. Elle a beau se concentrer sur la déco du cabinet, elle se sent un peu tendue. Elle dégrafe son soutien-gorge couleur chair, et se retrouve en slip, à moitié nue.Elle s’apprête à l’enlever lorsque le téléphone sonne. Le médecin lui fait un signe de la main pour l’inviter à continuer.Elle est donc totalement nue, debout, un peu gênée d’attendre ainsi face à lui. Il continue sa conversation en lui faisant signe de s’allonger. Elle obtempère, mais se retrouve les fesses au bout de la table et se demande que faire de ses jambes : les laisser pendre entre les étriers ou les écarter en position d’examen ?Comme s’il lisait dans ses pensées, il cache le micro du combiné et lui chuchote :— Installez-vous, je vous examine tout de suite.Elle pose donc les jambes dans les étriers, et s’approche au maximum du bord de la table. Elle se rend compte qu’ainsi, elle lui offre le ravissant spectacle de son intimité. Son cœur bat encore plus fort.Il en est visiblement conscient, car il continue sa conversation en regardant fixement entre ses jambes. Elle ne le voit pas faire mais suppose qu’ainsi, il jouit de son exhibition.Effectivement, la conversation se prolonge, et il ne répond plus que par des « hum, oui… » évasifs ; son attention est captée par la vision de ce corps nu, offert, de cette vulve écartée aux lèvres charnues, qui semble l’appeler.Il se lève, en proie à une soudaine chaleur, vient près d’elle, le téléphone toujours en main, et continue de parler, la gorge un peu sèche.Elle écarte ses jambes le plus possible ; elle ferme les yeux et sent que sa main se pose sur sa cuisse ; elle ne peut s’empêcher de tressaillir à ce moment-là , en avalant sa salive – « allez, une grande inspiration et c’est bon », se dit-elle.Mais ça ne suffit pas à la calmer, la main s’est à présent posée sur son ventre, le temps de prendre congé de son interlocuteur et de raccrocher… elle essaie de n’entendre que sa voix à lui et pas ses sensations à elle. Mais son parfum l’envahit, et elle pense que son cœur va éclater.Elle aurait sans doute pu refermer les jambes durant la conversation, mais maintenant, au contraire, elle ouvre du mieux qu’elle peut… Elle se cambre presque, mais très lentement, sans se faire remarquer.— Allez, on y va, déclare-t-il en posant le combiné sur une tablette.La lampe s’allume, braquée sur son sexe ; il l’approche, ça chauffe agréablement.Il fredonne en enfilant des gants en latex.Elle est brûlante.Il s’installe entre ses jambes et approche ses deux mains : l’une écarte les grandes lèvres, l’autre les petites ; elle a l’impression que son clitoris va exploser tellement il est dur.Mais lui ne semble pas se rendre compte de son émoi.— Vous êtes tendue, non ? dit-il en souriant.Il prend un tube de vaseline à côté de lui et en sort une grosse noix :— Ça passera mieux comme ça.Glups…Il commence à la tartiner doucement, grandes lèvres, petites lèvres, l’orée du vagin, en rajoute encore une bonne quantité. Quand il déborde sur son clitoris, elle pense s’évanouir ; il la masse doucement, sous prétexte de lubrifier la zone…Puis il enfonce un doigt, doucement, très lentement, et le ressort pour l’enduire de nouveau ; il recommence avec deux doigts, les enfonce aussi loin que possible.— Là , c’est bien, dit-il.Il appuie d’une main sur son ventre, et de l’autre la fouille lentement. « Que cherche-t-il ? » se demande-t-elle…Il a dû trouver son point G car elle se met soudain à mouiller comme jamais, ça coule même entre ses fesses maintenant. Une flaque se forme sur le papier qui recouvre la table. « Il ne peut pas ne rien remarquer », se dit-elle, morte de honte mais aussi de désir.Il appuie sa main contre son sexe en enfonçant ses doigts, et applique directement le tube de vaseline contre son périnée.— Je voudrais vérifier quelque chose…De son autre main, il commence un massage qui descend peu à peu vers son anus ; va-t-il s’y introduire ?Elle ne pense plus, elle n’est plus qu’une sensation refermée autour des doigts du médecin.Il appuie de plus en plus ses explorations, et accélère légèrement la cadence ; elle remonte instinctivement le bassin, et l’autre main du gynéco glisse très naturellement vers son petit trou. « Ça y est, on y est » pense-t-elle le cœur battant à tout rompre au moment où il s’enfonce dans son cul.— Ça va ? demande-t-il, je ne vous fais pas mal ?Elle n’ose rien répondre, mais entrouvre la bouche et un gémissement s’en échappe.— Voilà , détendez-vous, madame, on dirait que ça s’arrange très bien.Il a maintenant trois doigts dans sa chatte en ébullition et lui travaille le cul avec deux autres doigts.Il la fait tourner sur le côté en la manipulant ainsi, puis lui demande de se mettre à genoux :— Pourriez-vous bien écarter vos fesses, s’il vous plaît ?Comment refuser ? Elle s’écarte des deux mains au maximum, et lui n’a plus qu’à insérer deux doigts dans son anus, qu’il a de nouveau abondamment enduit de vaseline.C’est la première fois qu’on s’occupe de son cul comme ça, elle est estomaquée et en a presque le tournis.Il rentre et sort ses doigts de plus en plus vite, et s’arrête d’un coup :— Retournez-vous à présent, je vous prie, madame.Elle s’exécute, le souffle court, ne sait plus si elle souhaite qu’il la prenne ou que tout s’arrête comme si de rien n’était.Il lui fait plier et remonter les jambes au maximum, elle se sent totalement écartelée.— Il faudrait aussi vérifier les seins, je crois, lui dit-il en plantant son regard brillant dans ses yeux.Il ôte ses gants et, des deux mains, il englobe ses seins chauds et tendus, les palpe, étire les mamelons, frotte les tétons de la paume de la main, les presse et les écrase. Elle ne peut que fermer les yeux, et se tordre de désir.Machinalement, elle dirige une de ses mains entre ses jambes pour soulager cette extrême tension ; ouverte comme elle est, ses doigts glissent sans peine au plus profond d’elle-même.Bien sûr, il s’est rendu compte à présent qu’elle ne pouvait plus tenir. En souriant, il redescend ses mains vers son sexe, et joint ses doigts à ceux de sa patiente. Leurs deux mains se mélangent à présent dans sa vulve trempée, elle se mord les lèvres pour ne pas crier tellement c’est bon.C’est le moment qu’il choisit pour réintroduire un doigt puis deux dans son anus. Elle est submergée de sensations fantastiques, et environnée du parfum excitant de son gynéco mélangé aux effluves salées de sa mouille.Il retire ses mains et écarte les siennes, et se place entre ses jambes, assis sur son tabouret. Il approche sa bouche de son sexe dégoulinant et passe sa langue de bas en haut, aspire son clitoris, joue avec ses petites lèvres, les lape goulûment puis glisse dans son tunnel en feu. Il recommence à lécher son petit bouton rouge et saillant, et au troisième coup de langue, elle est emportée par l’orgasme qui explose comme un feu d’artifice.Il se retourne vers un petit meuble à tiroirs, en ouvre un et en sort un superbe gode hyper réaliste, de près de 20 centimètres, et d’une belle circonférence.Il le lui passe sur les lèvres ; elle sort sa langue pour le caresser au passage. Il enfonce l’engin dans sa bouche et le lui fait sucer comme une vraie queue.Sa chatte va hurler de désir d’être prise par ce braquemart ; il doit avoir des antennes, car à ce moment précis, il sort le gode trempé de sa bouche et le descend entre ses jambes. Il s’installe entre elles pour profiter du spectacle qui va s’offrir à lui : la vulve cramoisie de sa patiente, qui frémit encore de plaisir, engloutit, centimètre par centimètre, ce merveilleux pieu.Elle ne sait pas qu’elle inaugure le moulage de sa queue à lui, qu’il s’est offert, il y a quelques semaines.L’objet rentre et ressort, à un rythme maîtrisé qui va la faire défaillir ; il se régale à la faire se contorsionner ainsi avec sa propre queue en latex. En même temps il se penche sur son clitoris et le suce comme si c’était une mini-queue, il le fait coulisser dans son capuchon et l’aspire avec délectation. Elle est de nouveau emportée par un tourbillon de plaisir, se contractant autour de la queue de latex, la bouche de son médecin collée à son sexe.Il retire le gode doucement et le fait glisser quelques centimètres en dessous, l’appuyant contre son petit trou déjà bien assoupli par le massage qu’il vient de subir. Elle est affolée à l’idée de voir ce monstre lui défoncer le cul, mais en même temps prête à tout pour se sentir remplie dans tous ses orifices brûlants.Elle n’a pas le temps de s’inquiéter bien longtemps, car d’une main, il lui remonte les jambes au maximum et de l’autre appuie plus fort, jusqu’à ce que le gland soit entré. Ensuite, de pression en pression, le reste de la hampe suit et disparaît jusqu’au bout ; il le fait ressortir, et entrer de nouveau, de plus en plus vite, écartelant ce petit trou qui atteint un diamètre.Elle le regarde tout d’un coup, le suppliant silencieusement de la prendre en même temps. Il comprend le message à merveille, car il ouvre d’une main sa braguette et en sort la réplique exacte du merveilleux engin qu’elle a dans le cul.Elle reste bouche bée en comprenant qu’elle va être prise par la même queue dans ses deux trous en même temps. Il en profite pour y fourrer sa queue, encore plus douce et chaude que sa reproduction.Elle le prend aussi profondément qu’elle peut, le pompe et l’engloutit voracement. Elle lèche ses couilles et passe un doigt entre ses fesses, il doit serrer les dents pour ne pas tout lâcher à ce moment-là .Il se retire et la fait se retourner, genoux écartés, cul tendu ; Sans un mot, il lui fait écarter les fesses de ses mains, et pendant qu’elle s’ouvre autant que possible il se place derrière elle, enfonce de nouveau le gode dans son trou du cul lisse et affamé, et, enfin, glisse son énorme queue au plus profond de sa chatte.D’une main, elle tient le gode et le fait aller et venir elle-même dans son cul ; il a la vision de ces deux bites qui la prennent en chœur et là , en quelques minutes de va-et-vient déchaîné, ils se retrouvent au 7ème ciel, croyant mourir sous les vagues de plaisir qui les submergent.Il se retire d’elle et la fait de nouveau se retourner sur le dos, place ses jambes sur les étriers et entre quatre doigts, puis cinq, dans sa chatte remplie de son jus.Il farfouille et patauge dedans, et sort ses doigts pour les plonger dans la bouche de sa patiente. Elle aspire et lèche ce mélange savoureux et plonge à son tour ses doigts pour les enduire de cette mixture qu’elle lui donne aussi à sucer.Ils s’embrassent profondément, mêlant leurs langues, et il caresse de nouveau ses seins, tire les tétons, les roule entre ses doigts ; Elle déguste ces délicieuses sensations en fermant les yeux.Il enfonce ses doigts dans sa chatte pour une dernière exploration, appuyant ses doigts sur la paroi de son vagin, ce qui la fait mouiller comme une fontaine. On n’entend que le clapotis de sa chatte et sa respiration haletante. Elle sent une ultime onde de plaisir monter et déferler, se cabre et jouit encore, les doigts agiles de son médecin déclenchant un puissant jet brûlant de cyprine qui inonde la table d’examen.Il lui dit alors :— C’est bon, je pense que la visite est terminée, vous pouvez vous rhabiller. Je souhaite tout de même vous revoir d’ici une dizaine de jours.Elle se relève en chancelant, et se rhabille, trempée, tremblante de plaisir et d’excitation pendant qu’il se met à son bureau et rédige une ordonnance.Il se relève et la lui remet en souriant :— Deux fois par jour au minimum, de préférence matin et soir, aux endroits qui le nécessitent.Il glisse le papier dans un sac en plastique et y met également… le tube de vaseline et le gode.— Tenez, madame, rapportez-le mois à la prochaine visite, nous vérifierons si le traitement a été efficace.— D’accord, docteur, je suivrai votre prescription sans problème, lui dit-elle et, respirant une dernière fois son parfum magique.Elle traverse la salle d’attente sous le regard complice de deux patientes, et sent alors une délicieuse chaleur l’envahir.