Si je m’attendais à cela
Derrière le masque, sans la vue, les autres sens se développent, les émotions aussi.
Proposée le 8/06/2017 par Ptinouvo Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je me prénomme Gabriel, Gaby pour ceux qui me connaissent, je partage mon petit bonhomme de chemin avec Agathe, ma compagne depuis plus de trente ans, nous avons la cinquantaine tous les deux.
Pour pimenter légèrement notre libido, parfois, on s’échange des sms coquins, des photos de nous dénudés dans des poses aguicheuses avec des textos assez chauds.
C’est notre petit plus rien qu’à nous.
Trop longtemps bridés par notre éducation, ces petits jeux ont débuté il y a un an environ. On se confie sur nos envies, nos fantasmes et nos souhaits.
Notre sexualité s’est grandement améliorée depuis.
Avant, nous faisions l’amour dans le noir et souvent sans inventivité.
Maintenant, on ne se cache plus et on découvre de nouvelles positions bien plus excitantes.
Parmi les fantasmes d’Agathe, celui qui revient le plus souvent, c’est de me voir faire l’amour avec un homme devant elle, en tant que soumis. Elle me regarde et se caresse en se délectant de la vision que je lui offre.
Pour être honnête, je ne suis pas chaud pour qu’un mec me fasse cela.
Mon fantasme récurrent, c’est de la voir lécher un sexe de femme, je ne suis pas trop inventif.Et puis un jour, il y a un mois environ, c’est devenu chaud.
Rentrant un peu sur les nerfs de mon travail au sein d’une entreprise sociale, Agathe, comme à son habitude, m’attendait avec l’apéro servi et petits fours.
La discussion principale tournait autour de ma journée stressante.
Afin de me calmer un peu, Agathe me proposa une petite séance câlins, mais à sa manière. Je ne savais pas ce que voulaient dire ses mots: « à sa manière »Elle m’a fait la suivre jusqu’à la chambre.
Sur le lit, une paire de menottes avec de la fourrure et un masque pour les yeux. « Tiens, c’est nouveau ça !! » lui lançais-je.
« Oh! Tu ne devineras pas tout ce que je t’ai préparé »
Elle m’a ensuite demandé, presque supplié de rentrer dans son jeu, « d’accord ! », j’avais besoin de décompresser et oublier cette mauvaise journée passée.
Agathe me demanda ensuite de me mettre nu, ce que j’effectué rapidement en ne sachant pas ce qu’elle me réservait.
« Mets tes mains derrière le dos », ah ? Les menottes sont pour moi !
Franchement, la fourrure sur les menottes c’est agréable.
« Assis-toi sur le bord du lit », euh oui !
S’en suivi le masque sur les yeux, je n’étais pas trop fier à ce moment là. Je l’entends se déshabiller, elle me pousse pour que je bascule en arrière sur le lit, avec les mains dans le dos, c’est un peu douloureux. Me voilà couché sur le lit, les pieds qui touchent le sol.
Elle m’enjambe et au doux parfum qui arrive à mes narines, je sais que son sexe n’est pas loin de ma bouche. Je sors ma langue le plus loin possible et, gagné, ma langue tombe sur son velours, drôlement trempé. Elle est excitée comme une puce, ma parole.
Il faut l’avouer, j’adore quand elle mouille.
De son côté, quelques bisous sur mes cuisses mais elle semble se désintéresser de mon sexe. Pendant que je la caresse de ma langue, elle saisie mes deux cuisses par en dessous et les replient vers moi. Je ne vois toujours rien mais c’est gênant d’avoir le cul ainsi exposé.
Me voilà donc emprisonné, les jambes bloquées à l’intérieur de ses bras, les mains menottées dans le dos et ma tête plaquée par son sexe.
Ses mains écartent mes fesses, je sens son souffle chaud sur mon anus, ça me trouble un peu.
La douceur de sa langue sur ma rondelle me surprend et calme mon appréhension. Agréables sensations dont j’ai tant rêvé sans trop osé le demander.
Agathe doit deviner que j’apprécie son roulage de pelle sur ma rosette car j’ai arrêté mon exploration de son écrin.
Malgré moi, mon pénis commence à se raidir, trahissant ainsi mon excitation.
Se rendant compte de mon érection, ma douce caresse avec son majeur, du moins je le suppose, les pourtours de mon trou du cul en dessinant des cercles de plus en plus petits.
Involontairement, mes fesses s’avancent vers ce doigt, trahissant mon envie.
Son doigt continue de tourner et en même temps, appuie pour forcer en douceur mon entrée. Je m’ouvre un peu, son majeur est en moi jusqu’à sa première phalange.
Sa langue m’humidifie les bords simultanément, c’est divin.
Maintenant, sans s’aventurer plus profondément, elle fait tourner son doigt dans mon cul, j’imagine qu’elle désire que mon trou s’élargisse.
Echauffé comme je le suis, j’en oublie de lui rendre la pareille, je repris donc l’exploration de sa vulve avec ma langue. Une vraie fontaine, mon Agathe.
Mon cul se soulève par soubresauts, voulant avaler son doigt, cependant, rien n’y fit, la séance agrandissement continue son bonhomme de chemin, avec un deuxième invité, son index formant un duo avec son majeur.
Je savoure les mouvements de ses doigts s’écartant l’un de l’autre dans mon intimité. Mon trou s’assoupli, mes muscles se relâchent, elle enfonce doucement ses doigts plus profond.
Maintenant, la voici qui caresse un point sensible, une boursoufflure en mon intérieur. J’ai appris depuis que c’était ma prostate, le point G de l’homme.
Elle la caresse, tourne autour, tapote dessus sur un tempo qu’elle s’est mise à générer, suivant je ne sais quelle mélodie.
Mon érection s’est évaporée, le plaisir que je ressens vient de l’intérieur, bizarrement.
Je suis sous le point de jouir, malgré que mon sexe est devenu tout mou, étrange sensation, illogique !!!
Puis tout s’arrête, plus de mouvements de doigts, je ne comprends pas.
Agathe retire ses doigts lentement, son sexe s’éloigne de moi. J’ai loupé une ligne ou quoi ?
« Ne bouges pas d’ici, je reviens bientôt ! ». « Ah? Surement une pause pipi ou cigarette. » pensai-je.
Je me remis assis, les bras endormis par mon inconfortable position. Elle aurait pu au moins me retirer les menottes.
Je suis toujours dans le noir, je repense à ces nouvelles sensations que j’ai découvert, j’ai une grosse envie de me masturber mais, sans mains libres, mission impossible.
L’attente devient longue, le silence de la chambre, dont la porte a été fermée par ma dulcinée, est étouffant. J’essai de capter des bruits, mais rien.
J’entends juste les battements de mon cœur qui reviennent à un rythme normal. L’instant magique s’évanouit peu à peu.
Enfin, la porte s’ouvre, va t’elle me libérer pour que je lui fasse l’amour?
Elle me pousse à nouveau en arrière, « Aie! Rebelote! »
Elle m’enjambe encore une fois, son sexe sur ma bouche, tout mouillé. C’est de la mouille, ouf!
Enfin, elle s’intéresse à mon sexe, elle l’embrasse langoureusement. Descend ensuite sur mes couilles et remonte tout le long de mon pénis qui durcit de plus en plus.
La chaleur de sa bouche entourant mon gland et le lent va et vient qu’elle effectue m’emporte. De nouveau, mes cuisses sont soulevées et mes jambes prises en étaux sous ses bras.
De ses deux mains, elle m’écarte les fesses, arrête sa gâterie, et me crache littéralement sur le cul. Ben v’là autre chose !!!
Son doigt étale sa salive sur mon anus toujours aussi réceptif. Maintenant, c’est un doigt qui s’enfonce à fond accompagné d’une pipe majestueuse.
Elle me suce divinement, de mon côté, ma langue joue avec son petit trou.
Elle retire son doigt, pour bien écarter mon cul qui effectue des mouvements de succions, se contractant et décontractant par saccades. « Encore!!! » murmurais-je.
Enfin, je sentis sa langue agréable.
« Hein!!!! », mais sa bouche est autour de mon sexe, qu’est ce que ça signifie?
« Ca, c’est le petit plus que je t’ai préparé mon chéri! » me lance t’elle tendrement.
Pleins de choses tourne dans ma tête, elle a osé me cacher son plan. Je ne suis pas trop pour. Quoique ce n’est pas mauvais du tout.
« Ce n’est pas un homme, rassures-toi! Et je constate que tu bandes toujours! Laisses-toi faire! » me lance Agathe.
Donc, c’est une femme, mais qui? Sa langue est très entreprenante et essaie de me pénétrer, purée que c’est bon, surtout avec la turlute de ma chérie.
Cette langue qui appartient à une femme qui m’est inconnue, ou pire, que je connais, remonte vers mes testicules et lèche la hampe de ma queue. Agathe effectue le même geste.
Elles se roulent carrément un patin le long de mon sexe, waouh!
Retour sur mon auréole pour un léchage intense et reprise de la pipe. Maintenant, quatre mains écartent mes fesses. C’est très fort comme sensations.
Cette langue me quitte, ainsi que ces mains étrangères. Un petit bruit de quelque chose que l’on ouvre. Un truc froid est badigeonné sur mon orifice, ca à l’air épais, genre vaseline.
Je suis étonné par la facilité qu’a son doigt, je dirais même, ses doigts, pour m’explorer le fondement, j’en veux encore et encore.
Mon cul est encore une fois laissé à l’abandon! Et non, une nouvelle pression sur mon entrée. Vache, c’est plus gros qu’un doigt, un gode?
J’entends Agathe dire « Doucement, c’est sa première. » à sa secrète complice.
La pénétration se fait en douceur, il est long ce gode. Des cuisses se plaquent sur mes fesses, wow, quelqu’un m’encule avec un gode ceinture!
Agathe arrête sa fellation, je suppose qu’elle admire le tableau. De son doigt, elle caresse les replis de mon trou en faisant des cercles autour du gode, c’est doux.
Ma violeuse commence alors un lent va et vient, je savoure la longueur de ce faux pénis. Des mains empoignent mes chevilles, les mouvements du jouet s’accélèrent.
« Vas-y maintenant, défonces-le! » crie Agathe.
C’est dans un bruit de mouille que je me fais limer le cul. Même moi je n’irai pas si vite avec Agathe mais putain que c’est agréable.
Je jouis dans la bouche d’Agathe, une nouveauté, et elle ne se retire pas, elle me boit, elle aspire tout mon jus.
Ma défonceuse ne s’arrête pas pour autant, et Agathe qui décharge sur ma figure, une vraie fontaine.
Pour ma part, c’est un orgasme, je dirai anal, que je viens d’expérimenter. Très fort et violent, je suis exténué.
Agathe se lève du lit, m’embrasse tendrement .
Je devine qu’en ce moment, les femmes s’embrassent puis la porte de la chambre se ferme. Je suis seul de nouveau.
Quelqu’un revient, c’est Agathe « Tu as aimé? ». Si je disais non, je mentirai, j’ai adoré.
« C’était qui? » demandais-je.
« Un secret… » qu’elle répond.
Elle m’enlève le bandeau, les menottes, purée ça fait du bien.
Sur la table de nuit, son téléphone. « Je t’ai filmé en prenant soin d’éviter le visage de ta maîtresse!, tu ne sauras pas qui t’as si bien enculé!!! »Cette expérience a renforcé notre amour, quelle belle preuve de confiance d’Agathe.
Elle a assouvi son fantasme à moitié, en tenant compte de mes réticences, je l’aime pour cela aussi.
Peut-être qu’elle renouvellera l’expérience, m’a-t’elle confié. Je l’espère…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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