— Écoute pour une fois, on va faire comme j’ai dĂ©cidĂ© et puis c’est tout !— Comment ça, pour une fois ? Qu’est-ce que tu entends par lĂ Â ?— Je veux juste que pour monter cette armoire, on va faire comme j’ai dĂ©cidĂ© et pas comme tu dis !— Non, non, tu ne vas pas t’en tirer comme ça ! je te prĂ©viens, je pose tout et tu m’expliques tout de suite.— S’il te plaĂ®t, pour l’instant, tu vas faire ce que je dis et on en reparle après.Anne se fige, elle n’a pas l’habitude qu’on lui parle comme ça et encore moins Pierre, son homme qui est toujours très tendre et dĂ©licat avec elle. D’accord, elle est petite, mais elle est chef de service dans le supermarchĂ© local et elle a l’habitude de diriger et rarement contredite du fait de son grand professionnalisme. Bien qu’elle n’ait pas encore trente ans, ses supĂ©rieurs lui font une confiance presque aveugle. C’est d’ailleurs comme cela qu’elle a rencontrĂ© Pierre.Il y avait des travaux d’agrandissement dans une rĂ©serve du magasin qui n’avançaient pas correctement. Son directeur lui a demandĂ© de prendre en charge ce dossier pour garantir le niveau de qualitĂ©. Lors d’une rĂ©union de chantier, elle s’est retrouvĂ©e face Ă un homme de son âge, mais bien plus grand. Cet homme, elle l’a tout de suite reconnu, ils se connaissaient depuis très longtemps. Ils Ă©taient allĂ©s en classe ensemble au collège, ensuite, lui avait suivi une voie professionnelle jusqu’au bac plus deux, pendant qu’elle, avait fait de belles Ă©tudes jusqu’en Ă©cole d’ingĂ©nieurs. Mais avec les rĂ©seaux sociaux, ils s’étaient suivis quelques annĂ©es, avant de se perdre de vue.En urgence, il avait Ă©tĂ© nommĂ© responsable de la charpenterie en bois de la nouvelle structure pour sauver l’affaire. Tous deux avaient Ă©tĂ© très efficaces, trouvant rapidement des solutions qui semblaient impossibles pour les anciens responsables, il y a quelques jours.Ils avaient bien rigolĂ© de se retrouver. Pour Ă©viter tous risques de mĂ©disance, ils sont restĂ©s professionnels, au moins jusqu’à la fin du chantier. Mais après, ils se sont vite rapprochĂ©s et de plus en plus près, au point de se marier.Depuis, ils vivent en totale harmonie malgrĂ© ou grâce Ă toutes leurs diffĂ©rences. Ils ont achetĂ© une maison isolĂ©e au bord des bois que Pierre rĂ©nove avec enthousiasme et professionnalisme. De son cĂ´tĂ©, Anne travaille beaucoup en dehors de la maison, mais elle a pris Ă sa charge, avec l’aide de son homme, une petite basse-cour et un beau potager. Cela fait trois ans que leur bonheur dure.Elle a donc Ă©tĂ© choquĂ©e quand son homme a prononcĂ© ces trois mots pourtant si courant, « s’il te plaĂ®t », car il l’a fait en utilisant un ton totalement nouveau. Le « s’il » a Ă©tĂ© dit sur un ton très ferme, presque un cri. Pour le « te », la voix Ă©tait dĂ©jĂ revenue presque normale. Quant au « plaĂ®t », il a Ă©tĂ© presque murmurĂ©. Et ces mots raisonnent encore et encore dans sa tĂŞte.Après qu’elle est restĂ©e complètement figĂ©e un très long moment, Anne baisse la tĂŞte et rĂ©pond Ă Pierre très doucement.— Oui, maĂ®tre, je suis Ă votre disposition.— Excuse-moi, je ne voulais pas ĂŞtre brutal.— Oui, maĂ®tre, je suis Ă votre disposition.Pierre est bien en peine de voir son amour ainsi, mais il faut bien finir de la monter cette foutue armoire qu’il a voulu rĂ©cupĂ©rer. Il dĂ©cide donc de couper court et de diriger l’opĂ©ration, il sera temps d’aborder le problème après. Durant toute l’intervention, elle fera exactement ce que lui demande le chef de chantier, sans ne jamais montrer aucun signe d’agacement. Rapidement, le meuble trouve sa place et il s’autorise une petite moquerie :— Tu vois, quand tu m’écoutes cela va plus vite et bien mieux cĂ´tĂ© bricolage.— Oui, mais maintenant, tu dois me rĂ©pondre, qu’est-ce que tu voulais dire tout Ă l’heure avec ton « Pour une fois » ?— Rien, jusque très souvent tu dĂ©cides et je te suis, car tu as raison, mais pour les travaux manuels, je prĂ©fère utiliser mes techniques.— Mouais, on va dire que tu ne t’en sors pas trop mal, mais fais gaffe !Et elle vient lui faire un joli baiser le fĂ©licitant pour son travail. Le matĂ©riel est rangĂ© et ils se retrouvent dans leur salle de bain pour un bon dĂ©crassage. Pendant qu’elle se lave les mains, il dĂ©cide de revenir sur l’incident.— Excuse-moi encore pour tout Ă l’heure, je n’aurais pas dĂ» de parler comme ça.Machinalement, elle continue de se laver longuement les mains pourtant bien propres maintenant. La tĂŞte baissĂ©e, elle hĂ©site beaucoup avant de rĂ©pondre, mais elle se lance enfin.— Pierre, ne t’excuse pas… j’ai… j’ai adorĂ©Â ! Je ne sais pas ce qui s’est passĂ© dans ma tĂŞte, mais quand j’ai entendu ton « S’il te plaĂ®t », j’ai fondu intĂ©rieurement.— Comment ça ?— Ne complique pas tout !— Je veux bien, mais explique-moi, je ne comprends pas tout !— Écoute et laisse-moi parler, ce n’est pas simple plus moi.Ă€ nouveau le temps se fige, puis elle reprend très doucement.— Quand j’ai entendu ton « s’il te plaĂ®t », au plus profond du plus profond de moi, j’ai senti un chamboulement. J’ai eu subitement envie, pour ne pas dire besoin de me livrer Ă tes dĂ©sirs.— Oui et… ?Mais elle ne rĂ©pond plus, alors au bout d’un très long moment, il dĂ©cide de tenter…— Explique-toi, S’il te plaĂ®t.VoilĂ , il venait cette fois-ci en toute connaissance de cause, de prononcer ces fameux mots. Elle baisse une nouvelle fois la tĂŞte tout en continuant de se laver les mains pour la trentième fois.Pierre coupe l’eau et rĂ©pète :— Explique-toi, S’il te plaĂ®t.Encore une fois, il faut attendre un long moment avant qu’elle se dĂ©cide.— Quand tu prononces ces mots, j’adore… J’ai envie de faire ce que tu m’ordonnes, j’ai envie que tu prennes tout en mains, j’ai envie que tu dĂ©cides pour moi, pour nous !Il veut rĂ©pondre, mais sans savoir pourquoi, il dĂ©cide d’encore une fois de laisser le silence s’installer. Et il a bien raison, car elle cède.— Je me rends compte que j’ai envie d’être ta soumise… parfois… doucement… dans une certaine limite.Pierre se colle dans le dos de sa belle, l’enlace tendrement. Elle agrippe une de ses grandes mains, qu’elle plonge directement dans son pantalon heureusement Ă©lastique et sous la dentelle de sa culotte. Il ne peut que se rendre compte que le lieu est inondĂ©. Le contact des fluides fĂ©minin est un dĂ©clencheur dans la tĂŞte de l’homme. Il ose :— Ouvre ton pantalon, baisse-le ainsi que ta culotte qui ne sert plus Ă grand-chose.Comme elle ne rĂ©agit pas, il se permet :Et comme par magie, après juste cinq secondes d’hĂ©sitation, elle s’exĂ©cute. Prise comme elle est, dans ses grands bras, elle ne peut pas aller bien bas, alors, il la lâche et se recule.— Enlève tout, finalement ! affirme-t-il.Elle s’exĂ©cute lentement, la tĂŞte toujours dirigĂ©e vers le sol. Une fois nue, elle repose ses mains sur le lavabo et attend. De son cĂ´tĂ©, Pierre a tellement mal dans son shorty qu’il dĂ©cide de se mettre nu, lui aussi, et il vient se recoller dans son dos. La diffĂ©rence de taille entre eux, fait que son membre se trouve contre les reins de la jeune femme, il lui empoigne les seins en posant le menton sur sa tĂŞte dĂ©licatement. Il l’admire grâce au miroir face Ă eux et finit par lui ordonner :— Explique-moi prĂ©cisĂ©ment ce que tu veux dire par : « j’ai envie d’être ta soumise »… S’il te plaĂ®t.Cette fois-ci, elle va s’exĂ©cuter rapidement.— J’ai envie que tu me prennes en charge, que tu me diriges, que tu exprimes ce que tu attends de moi, mais je refuse toute violence, et tout geste avilissant.— Mais quelles sont tes limites ?— Je viens de te le dire, je veux bien tout tester, mais je ne suis pas un objet.Elle relève enfin les yeux et le fixe Ă travers le miroir. Elle redescend une des mains de l’homme sur son sexe en laissant l’autre main sur ses seins, puis continue son explication.— Tu sens comme je suis trempĂ©e, comment mes seins sont remplis de sang. Ce sont les signes du plaisir que je prends quand tu me parles comme tu viens de le faire. Pour autant, je ne suis pas sans limites. Guide-moi, emmène-nous a la dĂ©couverte de nouvelles sensations, mais sans violence… « Soumise, mais pas esclave ».Plusieurs minutes de rĂ©flexion s’imposent Ă Pierre avant qu’il arrive tout analyser. Ă€ sa grande surprise, il se rend compte que son Ă©rection n’a pas diminuĂ© et le jus fĂ©minin qui coule sur une de ses mains n’arrange rien. Il met en mouvement ses dix doigts et tente d’apporter Ă sa femme le maximum de plaisir. Les tĂ©tons se durcissent comme jamais. Le spectacle dans le miroir l’excite fortement, plus bas, ses deux doigts les plus grands rentrent très facilement dans une caverne visqueuse et brĂ»lante. Il frotte son sexe sur l’arrière du corps qu’il cajole. Il ne faudra pas plus de cinq minutes pour qu’un orgasme les emporte, la tension Ă©tait devenue trop forte. Elle crie violemment son plaisir ce qui dĂ©clenche une immense giclĂ©e de sperme sur son dos. Pierre se frotte de haut en bas pour que son orgasme soit complet.Ils finissent sous la douche, plus amoureux que jamais, et reprennent une vie « comme avant », de bons moments sexuels, des moments de plaisirs, des moments de fatigues, mais rien d’exceptionnel. Il faudra plusieurs semaines pour que, finalement, un jour de fin de printemps magnifique, alors qu’ils sont prĂŞts Ă partir aux courses, qu’il dĂ©cide de faire une nouvelle tentative. Ă€ plusieurs reprises, il a eu envie de jouer, mais Ă chaque fois il s’est retenu, un blocage impossible Ă franchir, mais pas aujourd’hui.Elle s’est habillĂ©e une fois de plus d’un de ses vieux jeans avec ses baskets fatiguĂ©es et un vieux sweat. Sa tenue favorite hors boulot !— Va te changer !— Eh, mais, non, je suis bien comme ça !— Va te changer S’il te plaĂ®t.Froidement, il la fixe. Elle baisse la tĂŞte.— … Heu, oui, maĂ®tre ! Que voulez-vous que je porte ?— Tu mets ta robe rouge boutonnĂ©e sur devant !— Oui, maĂ®tre, j’y vais tout de suite.— Et ne me fais pas trop attendre !Et elle file rapidement dans la chambre.Pierre a tout d’un coup un Ă©norme doute. Il se rend compte qu’il vient de mettre Ă jour une nouvelle face Ă leur couple. Il est surpris de l’attitude de sa femme, mais en mĂŞme temps, il a envie de tenter certaines choses qui occupent ses rĂŞves et pourquoi pas ses fantasmes.Quand elle revient assez rapidement, elle est splendide. On dirait que la robe est faite pour elle et encore plus pour attirer les regards de beaucoup d’hommes et mĂŞme de certaines femmes. Pierre aimerait la prendre dans ses bras et l’embrasser amoureusement pour la remercier des efforts qu’elle fait, mais un « dĂ©clic » l’en empĂŞche.Le ton est sec et froid, alors elle s’exĂ©cute. La face arrière est tout aussi magnifique. Les Ă©paules sont Ă l’air, le dos a aussi le droit Ă un dĂ©colletĂ©. Pierre en veut plus.— Lève ta robe.— Oui, maĂ®tre, tout de suite.Le cul qui apparaĂ®t est très lĂ©gèrement recouvert d’un très joli voilage marquant le haut des hanches.— MĂŞme s’il est très joli et qu’il te fait un cul fantastique, je le trouve de trop pour aujourd’hui ! Alors, enlève-moi ce string.Elle ne bouge pas, mais lui rĂ©pond très doucement tout en gardant la tĂŞte baissĂ©e :— Je ne vais pas aller aux courses sans culotte, sur mon lieu de travail, en plus !Il lui arrive rĂ©gulièrement de se retrouver sans culotte Ă la maison ou au jardin, au maximum dans le bois attenant lors de leurs balades quand il dĂ©cide de lui enlever, mais jamais elle est sortie en public sans culotte et alors ,sur son lieu de travail, c’est inenvisageable. Pierre ne l’entend pas comme ça, il dĂ©cide de s’imposer et de voir jusqu’oĂą elle est prĂŞte Ă aller !— DĂ©pĂŞche-toi, S’il te plaĂ®t.Et elle s’exĂ©cute ! Les gestes sont lents, gracieux pour ne pas dire sensuels. C’est beau, il bande, mais ne veut surtout pas lui montrer.— Donne ! affirme-t-il.Et une fois de plus, elle fait ce que son homme lui demande sans rechigner en Ă©vitant de le regarder dans les yeux. Il met le voilage dans sa poche et ils rejoignent sa voiture. Ă€ cause de sa taille, Pierre n’aime pas les berlines, il serait bien dans un gros 4×4, mais ce n’est pas son truc puis, surtout avec les travaux de la maison, un utilitaire est bien plus pratique. Un vĂ©hicule de taille moyenne aussi confortable et Ă©quipĂ© que beaucoup de voitures, boĂ®te auto, rĂ©gulateur, limiteur, GPS, sans fil et tout et tout. Le sien Ă tous ces Ă©quipements et une banquette trois places.Une fois dans la voiture, Pierre veut pousser un peu le jeu. Au premier feu, il lui demande de venir sur la place Ă cĂ´tĂ© de lui. Elle n’a pas hĂ©sitĂ© une seconde, il la force mĂŞme Ă poser une cuisse sur la sienne pour laisser pendre sa jambe entre les siennes. La voiture redĂ©marre et il pose sa main sur la belle cuisse qui s’ouvre encore plus immĂ©diatement. Bien entendu, il remonte dĂ©licatement et tendrement jusqu’à ce que ses doigts entrent en contact avec des muqueuses trempĂ©es.— Lève ta robe sous tes fesses, autrement elle va avoir une sacrĂ©e tache, tu mouilles follement.Jamais il ne lui avait parlĂ© comme ça, il commence Ă douter. Mais, non seulement, il n’y a aucune rĂ©action nĂ©gative de la part de la jeune femme, au contraire, elle s’exĂ©cute rapidement. En soulevant le bassin pour obĂ©ir, elle projette son pubis vers la main qui la caresse et un doigt entre en elle très facilement. Pierre devra redoubler de prudence pour garantir sa conduite et en mĂŞme temps tenter de faire jouir sa femme. Heureusement, il va arriver Ă combiner les deux avant d’arriver sur le parking, merci la boĂ®te automatique. Le gros problème maintenant, c’est qu’il a mal dans son pantalon.Il se gare un peu Ă l’écart des autres voitures avec une idĂ©e bien en tĂŞte. Il monte Ă l’arrière par une porte latĂ©rale pour s’assoit sur une caisse Ă outils puis au sol une grosse couverture de dĂ©mĂ©nagement qui traĂ®ne lĂ .— Monte et ferme la porte ! S’il te plaĂ®t.— Oui, maĂ®tre, tout de suite.Une fois sa femme installĂ©e Ă genoux entre ses cuisses, il verrouille les portes, ouvre son pantalon et sort son sexe dur comme du bois.— Il faut que tu me soulages, autrement je ne vais pas rĂ©ussir Ă marcher.— Mais tout de suite, maĂ®tre, vos dĂ©sirs sont des ordres.Elle empoigne la belle queue de son homme et la branle tendrement.— Je te prĂ©viens, je ne veux pas une goutte au sol ni sur moi !— Je vais faire de mon mieux, maĂ®tre.— Non, je viens de dire pas une goutte dans mon vĂ©hicule, si tu n’avales pas tout, tu recracheras dans les toilettes dans la galerie marchande.Anne ne rechigne pas Ă recevoir du sperme dans la bouche, elle adore mĂŞme cette sensation, mais elle n’arrive pas Ă avaler. Parfois juste les restes, après avoir recrachĂ© la plus grosse partie. Elle se penche et prend le gland en pleine bouche puis sa main va-et-vient de plus en plus vite. Pierre s’est lĂ©gèrement allongĂ© contre la cloison pour bien profiter du moment. Les sensations sont si intenses que Pierre ne cherche pas Ă faire durer le plaisir et il se dĂ©verse Ă grands jets entre les lèves qui l’enveloppent.Une fois la dernière goutte rĂ©cupĂ©rĂ©e, elle se redresse et regarde son homme droit dans les yeux, fière d’elle. Elle avale une première petite gorgĂ©e, mais n’arrive pas Ă tout ingurgiter, au risque de vomir. Pour autant, il est hors de question qu’elle ne fasse pas ce que son homme lui a ordonnĂ©. Elle veut l’épater, il veut jouer, elle veut lui faire ce plaisir.Une fois rajustĂ©s, ils sortent du vĂ©hicule, traversent le parking et entrent dans la galerie pour se rendre aux toilettes. Avant d’entrer, elle lui fait un baiser sur les lèvres laissant passer un peu du liquide crĂ©meux qu’elle a encore dans la bouche. Il n’a pas le temps de rĂ©agir qu’elle se sauve. Par rĂ©flexe, il passe la langue pour rĂ©cupĂ©rer les traces sur ses lèvres avant que quelqu’un le remarque.Ils se retrouvent tous les deux comme si de rien n’était et ils suivent leur programme comme convenu. Le jeu est terminĂ© pour l’instant, seuls les courants d’air rĂ©guliers sur ses lèvres sexuelles rappellent Ă Anne que, pour la première fois, elle ne porte pas de culotte sur son lieu de travail, mĂŞme si elle est lĂ pour des raisons privĂ©es. RĂ©gulièrement Pierre la prend par les hanches et lui caresse les fesses pour en profiter au maximum. Elle accentue son dĂ©hanchement quand il est dans son dos, elle se baisse pour lui exposer ses cuisses minant de regarder les articles les plus bas. Elle fait tout pour l’aguicher. Connaissant le magasin et la galerie comme sa poche, elle sait oĂą sont les angles morts des camĂ©ras de surveillance, elle ne prend donc aucun risque vis-Ă -vis de ses collègues.Une fois revenue dans la voiture, elle se rĂ©installe d’office Ă cĂ´tĂ© de lui et repose sa cuisse comme avant lui exposant ses charmes les plus privĂ©s en se lovant contre lui elle demande :— Comme j’ai Ă©tĂ© très sage et obĂ©issante, tu nous paies le restau ?— Ha oui, c’est une bonne idĂ©e, mais es-tu certaine de le mĂ©riter ?— Bah oui, j’ai fait tout ce que tu m’as demandĂ©, mĂŞme encore plus, que veux-tu de plus ?— Ton soutien-gorge !— Ha ! Quelle cruche je fais, et toi, tu ne perds jamais une occasion.Autant, elle n’avait jamais osĂ© sortir sans culotte, autant elle aime durant ses temps libres ne pas mettre de « barbelĂ©s » comme elle dit. Avec des gestes que seules les femmes savent faire, en quelques secondes le sous-vĂŞtement arrive sur les genoux du demandeur sans qu’elle se dĂ©voile.— VoilĂ , Monsieur, mais je te prĂ©viens, je veux un chouette restaurant, pas un routier. Sans sous-vĂŞtement, je ne voudrais pas provoquer une Ă©meute.— Ça marche, je crois que j’ai une idĂ©e, tu me laisses quelques minutes.Alors que Pierre sort de la voiture passer un coup de fils derrière la portière, elle se dĂ©place sur le siège contre la portière, mais laisse sa cuisse grande ouverte sur la banquette lui exposant son intimitĂ© luisante. Elle s’amuse mĂŞme Ă enlever quelques boutons de son dĂ©colletĂ© pour lui offrir le galbe d’un sein puis tirer sur le tissu pour lui exposer un tĂ©ton fortement tendu, qu’elle titille du bout d’un doit. Elle est heureuse de s’amuser de son homme qui a bien du mal Ă se concentrer.Il grimpe dans la voiture, elle se rajuste rapidement.— Allez, c’est parti, j’ai trouvĂ© notre bonheur, dĂ©clare-t-il fièrement.Moins d’une demi-heure après, ils se retrouvent devant une petite auberge en campagne. Durant la route, Pierre lui a expliquĂ© qu’il a fait des travaux de rĂ©novation et que le patron lui a promis une bonne table pour le remercier du professionnalisme. Ils passent un très agrĂ©able moment en amoureux. Le lieu est très convivial et ils ont droit Ă une table dans une petite alcĂ´ve discrète. Anne en profitera pour continuer Ă exciter son homme Ă distance en lui dĂ©voilant ses trĂ©sors discrètement et mĂŞme en lui massant l’entrecuisse avec son pied.Au dessert, elle profite de vouloir goĂ»ter le sien pour venir s’asseoir Ă cĂ´tĂ© de lui sur une banquette. Ils sont tous les deux excitĂ©s comme rarement. Comme ils sont cachĂ©s par la nappe, elle ouvre son pantalon et dĂ©cide de le branler tendrement. De son cĂ´tĂ©, il n’est pas en reste et s’attarde sur son clitoris ardemment. Ils jouiront tous les deux avant que leurs cafĂ©s soient froids. Heureusement qu’il y avait des serviettes en papier en plus de celle en tissu sur la table pour faire disparaĂ®tre les traces du dĂ©lit.En quittant l’établissement, ils savent qu’ils reviendront, le moment Ă©tait tellement agrĂ©able. Le retour se fait en silence, il règne dans l’habitacle une douce ambiance de sexe, mais surtout si un appareil pouvait mesurer les sentiments, il serait hors calibre. C’est deux-lĂ , sont amoureux plus que jamais.ArrivĂ©s chez eux, il reprend la main.— Laisse-moi faire, S’il te plaĂ®t !— Oh, oui, maĂ®tre.Il s’approche d’elle et lui enlève sa robe le plus dĂ©licatement possible. Bien que la nuit soit tombĂ©e, la tempĂ©rature est encore très agrĂ©able. Il l’entraĂ®ne sur leur terrasse et l’allonge sur un transat. Elle est très gĂŞnĂ©e, mal Ă l’aise pas habituĂ©e Ă s’exposer ainsi, mais elle se laisse faire. Nue sur sa terrasse offerte aux regards de son homme, c’est bien encore une première, mais son cerveau n’est plus rationnel. Elle veut qu’il s’occupe d’elle et demain on verra bien.Ă€ son tour, il se dĂ©shabille entièrement. Il se positionne entre ses cuisses et entame un cunnilingus très efficace. Elle ne cherche pas Ă se retenir, elle dĂ©croche et jouit dans un râle très profond. Ravi de la voir ainsi, il vient sur elle en gardant appui sur ses bras et l’embroche dans le mĂŞme mouvement. ImmĂ©diatement, elle crochète ses jambes dans le dos de Pierre.Ă€ tour de rĂ´le, ils vont prendre des initiatives, variant les positions et les plaisirs. Plus d’une heure après, ils sont tous les deux totalement Ă©puisĂ©s. Elle a tellement joui qu’elle est incapable de faire les comptes, aussi bien en nombre qu’en qualitĂ©. Il a pris un plaisir jamais atteint Ă la faire et la voir jouir avant de l’inonder dans un violent orgasme.Cette journĂ©e a Ă©tĂ© pour eux une dĂ©couverte. Depuis, rĂ©gulièrement ils reprennent leurs jeux. Ils ont amĂ©liorĂ© leur communication en mettant en place un code de fin quand Anne a atteint ses limites par exemple. Mais avec le temps, ils ont trouvĂ© un Ă©quilibre. Seul petit bĂ©mol, Pierre aurait apprĂ©ciĂ© parfois inverser les rĂ´les, mais pour Anne, c’est hors de question, elle s’y refuse.FIN