Ce lundi Jacques ouvre les volets, l’air frais entre dans sa maison. Comme prévu il a quitté sa fille et sa petite famille. En rangeant ses affaires il regarde les vêtements de Jeanne et prend une grande inspiration sans pleurer. En début d’après-midi il frappe à la porte de son ami Bernard.
Jacques !! Comment vas-tu ?
Bien merci Bernard.
Allez viens par-là !
Les deux hommes pénètrent dans le salon, Jacques regarde Marie-Jeanne allongée avec le tuyau transparent dans le nez. Dans l’indifférence il s’assoit tous les deux pour discuter.
Alors le séjour chez ta fille ? Raconte-moi !
Voici d’autres photos, vous allez aimer.
Merci pour les précédentes !
Bernard ouvre l’enveloppe, la bouche ouverte, les lèvres brillantes d’excitation.
Hmmmmm… !! Cette paire de seins ! Ces tes mains qui les caressent ?!
Euhhh… Oui monsieur.
Mais !! C’est son minou, tu as touché son minou ? Elle t’a laissé le toucher ? Son minou ?
Et bien… Elle dormait.
Le coquin !!! Tu ne l’as pas… ? Tu ne l’as quand même pas… ?
Non !! Non !!! Non monsieur !
Tu m’as fait peur.
C’est ma fille quand même, je ne suis pas un…
Oui c’est ta fille quand même. En parlant de cela, si tu veux elle est propre, l’aide-soignante est passée, si tu as envie.
C’est gentil de votre part mais je ne veux pas abuser.
Mais non, mais non vas-y !
Merci Bernard, vous pouvez me prêter les photos de ma fille dans la salle de bain.
Bien sûr ! Tu vois la boite sur la table de chevet ? Elles sont à l’intérieur, tient dépose les nouvelles avec.
Moi aussi je regarde ta fille quand je la baise, d’ailleurs tu vas voir, elle a 70 ans passé et c’est toujours un vrai marais, tu la connais !
Jacques regarde Bernard quitter la pièce. Il s’approche de Marie-Jeanne, elle a les yeux qui le suivent. Il soulève les draps et regarde la vieille femme en chemise de nuit, il relève le vêtement sur son ventre et contemple la grosse vulve poilue.
Jacques laisse tomber son pantalon et son slip, il se positionne entre les cuisses de la vieille femme. Il pose la photo de sa fille nue entre les seins de Marie-Jeanne. Tout en se masturbant il glisse sa main entre les cuisses de la femme à Bernard, il peut rapidement la pénétrer avec un doigt.
Vous mouillez toujours autant.
Jacques se positionne et la pénètre sans aucun problème, il prend madame Drouet tout en regardant la photo de sa fille.
Je baise ta chatte petite salope, prend ma queue !
Pendant plusieurs minutes de va et vient dans le vagin de Marie-Jeanne, il continu à imaginer sa fille allongée sur le lit. Les bruits de succion ne font que l’exciter encore plus.
Tu jouis petite pute, tu aimes la queue à papa, Oh ! Oh ! Oh ! Prend mon jus ma fille !! HAAAaaaa…. !
Jacques regarde son pénis sortir, collant et blanc de jouissance.
Marie-Jeanne vous êtes une coquine, vous m’avez laissé dans un état….
Mardi matin au boulot de Camille :
Un message d’un correspondant inconnu arrive sur son Smartphone.
C’est qui ce numéro ? Encore de la pub ?
« Bonjour Camille, ton Papa ma gentiment donné ton numéro. Tu peux passer me voir aujourd’hui. A tout à l’heure. »
Va te faire foutre vieux bâtard !
Mercredi au supermarché :
« Je suppose que tu as lu mon message trop tard et que tu n’as pas eu le temps de t’organiser, pas facile tous les jours la vie de famille. Je suis disponible aujourd’hui, passe quand tu veux. »
Putain il ne va pas me lâcher le vieux pervers, pourquoi tu lui as donné mon numéro papa.
Ce jeudi matin Camille court dans la maison, elle va être en retard pour l’école et le boulot, son téléphone vibre sur la table. Elle le consulte en regardant Arthur mettre ses chaussures.
Allez ! Presse-toi Art…
« Je t’attends aujourd’hui !! Ma patience n’est pas aussi grande que les méfaits de ton Père ! Si tu ne viens pas aujourd’hui tu sais à quoi t’attendre !
Maman on va être en retard !
Oui mon chéri.
Devant l’école elle embrasse Arthur, le visage vide et froid.
Attend ! Donne-moi ton cahier de liaison. Ce soir tu restes au périscolaire, ok ?
Oui maman.
Camille passe sa main sur ses yeux et sert fort son fils : « Je t’aime mon chéri. »
En fin de journée Camille sort de son travail, elle prend la route pour son rendez-vous. Elle se gare dans une rue parallèle au vieux Drouet pour que son Père ne la repère pas. Elle appuie sur l’interphone.
C’est moi !
Je t’ouvre.
Déterminée, elle remonte l’allée bitumée. Elle a pensé toute la journée à ce qu’elle va devoir subir et elle a décidé d’imposer ses conditions. Elle arrive devant la grande porte d’entrée où l’attend le vieux Drouet.
Je suis venue, je vous laisse me toucher mais ensuite je ne veux plus jamais vous revoir !
J’aime les femmes déterminées et qui savent ce qu’elles veulent, entre.
Camille se dirige vers le salon et regarde Marie-Jeanne sur son lit, elle est toujours avec le tuyau d’air dans le nez.
Viens saluer Marie-Jeanne !
Camille s’approche en lui faisant un petit sourire. Quant à Bernard, il soulève le drap et la chemise de nuit de sa femme.
Regarde cette vieille chatte.
Bernard passe ses doigts dans les poils pubiens de sa femme.
Vous êtes dégoutant, pauvre femme.
Le lit de Marie-Jeanne est un lit deux places aménagées avec le matériel médical. Elle est positionnée à gauche et Bernard se déplace du côté droit et il s’assoit sur l’épais matelas.
Camille se positionne devant le vieil homme assis sur le lit. L’angoisse lui fait serrer ses poings, elle tremble quand Bernard caresse son avant-bras.
Calme-toi, tout va bien se passer.
Non tout ne va pas bien se passer ! Vous allez me toucher, me violer !
Non je te l’ais déjà expliqué, c’est pour le bien de tous. Mon silence c’est la quiétude pour ta famille.
Bernard lève les mains et déboutonne le chemisier de Camille. Quand l’interphone a sonné il a pris sa pilule bleue et maintenant il sent avec joie sa queue durcir en regardant le chemisier s’ouvrir doucement. La poitrine de Camille monte et descend sous le stress grandissant.
Ton petit garçon est à l’école ?
Ne me parlez pas de mon enfant !!
Bernard ouvre le dernier bouton et contemple le corps de cette belle proie, il s’avance sur le matelas et pose sa main sur le ventre de Camille, il monte doucement en direction du soutien-gorge, il a une nouvelle question prête lors du contact avec le sein qu’il remonte.
Ton mari, il est au travail ?
Oh mon dieu !!
Camille place ses mains sur sa bouche et les larmes coulent sur ses joues. Xavier, son amour qui lui fait confiance et il y a les mains d’un autre homme qui lui caressent les seins.
Retire-le que je les regarde à nouveau.
La jeune femme dépose son chemisier sur le lit et passe ses mains dans son dos.
Alors, il est où ton mari ?
Camille a la tête baissée, elle dégrafe son soutien-gorge et laisse tomber les bretelles sur ses avant-bras, elle le retire en cachant sa poitrine aux yeux du vieux. Bernard saisit ses poignets et écarte ses bras, il regarde les deux seins et les presse avec douceur.
Tu ne m’as répondu !
Il est à l’étranger pour le travail, il rentre demain.
Bernard malaxe les deux seins en forme de poire avec appétence, sa langue passe sur son dentier, il s’approche et ses dents en céramique mordillent le téton gauche et ensuite le droit.
Ton mari a de la chance de pouvoir jouer avec de si beaux seins. Il te touche hors du lit conjugal ?
Camille est dégouté quand la langue du vieil homme lèche son mamelon, il la regarde avec plaisir. Son sein gauche subit des sussions et des léchages appuyés et son sein droit est pressé fortement. Bernard regarde le maquillage maculé par les larmes.
Après quelques minutes de gourmandise, Bernard se recule en passant sa main sur sa bouche, les seins de Camille sont trempés avec sa salive.
Pourquoi tes mamelons pointent autant ?
Bernard n’attend pas de réponse, il pose ses mains sur la taille de Camille et agrippe la fermeture éclair de sa jupe.
Non monsieur ! S’il vous plait.
Camille retient sa jupe pour qu’il ne le la lui retire.
Mon pénis est dur et tu as dit que je te toucherai.
Vous pouvez vous masturber en touchant mes seins.
C’est une bonne idée mais je veux que tu retires ta jupe.
Camille relâche sa jupe et reste immobile quelques secondes. Un grand sourire se dessine sur le visage du vieux quand Camille descend la fermeture éclair de sa jupe et la laisse tomber au sol. Il regarde la culotte de la jeune femme.
Viens t’assoir à côté de moi.
Bernard caresse de nouveau les seins de sa proie, il prend la main de Camille et la pose sur son pantalon.
Regarde comme je suis dur.
Bernard se lève devant Camille le pantalon tendu, il ouvre sa ceinture et le déboutonne puis le laisse tomber sur ses chevilles, comme le reste de son corps, ses jambes sont squelettiques. Camille voit le slip noir qui est tendu.
Elle pose ses mains sur le devant du slip et l’écarte pour sortir le pénis en érection, le slip glisse le long des maigres jambes de Bernard. Elle est face cette queue disproportionnée, la queue est longue mais fine avec un gros gland spongieux et de gros testicules pendent sous le champignon.
Bernard prend sa queue en main et se masturbe devant Camille, quand il se décalotte elle voit avec dégout le dépôt blanc séché sur son gros gland.
Ma femme mouille beaucoup et me laisse des tâches et des mucosités sur ma queue, regarde.
Bernard tire sur sa peau et une bague épaisse jaunâtre entoure le dessous de son gland.
Vous êtes dégoutant !
Tu vas me laver. Suce-moi !!
Hors de question que je mette votre pénis dégoutant dans ma bouche !
Je vais te convaincre, ouvre la boite sur le chevet.
Pendant que Camille se déplace, Bernard s’assoit de nouveau sur le lit en continuant à se masturber. Camille ouvre la boite et en sort les photos qu’elle a déjà vu quand elle est sous la douche et le choc est terrible quand elle voit la photo avec une main sur ses seins et le pénis s’introduisant dans son vagin.
Non ! Ce n’est pas lui ! Non !! Non !
Qui veux-tu que ce soit ? Regarde ce sont tes seins et sa main.
Comment a-t-il pu me faire ça ?
Ce sont ses pulsions, il ne peut se contrôler. Maintenant il serait dommageable que ton mari les reçoit ? Suce-moi !
Bernard se lève et ouvre le tiroir du chevet et en sort un préservatif, il le déchire et le tend à Camille, il s’assoit à ses côtés.
Tu vois je suis gentil, mets-le-moi et tu me suces.
Camille se sent vide et abandonnée, tel un robot elle déroule le préservatif sur le pénis du vieil homme. Bernard pose sa main sur la nuque de la jeune femme et n’a aucun mal à lui donner la direction de sa queue.
Elle vient de découvrir que son propre père la violée, elle n’est qu’une prostituée. Bernard sent la chaleur entourer son pénis et les lèvres pincer son membre. Il s’allonge sur le lit en regardant le visage de Camille monter et descendre sur sa queue. Après quelques secondes de flottement il se redresse et passe sa main sur le dos de la suceuse.
Regarde Marie-Jeanne ce beau corps.
La main de vieux Bernard descend sur les fesses de Camille et s’immisce dans la culotte en dentelle. Elle essaie de se relever quand il passe le bout de ses doigts sur sa vulve mais il maintient ferment sa tête sur sa queue.
Reste tranquille, continue à me pomper. Après je vais te donner du plaisir.
Elle tente désespérément de repousser la main qui joue avec son minou.
Je suis content de voir que tu aies suivi mon souhait, ta chatte recommence à être velue.
Bernard relâche sa pression sur la tête de Camille et elle se relève en repositionnant sa culotte et cachant ses seins, elle s’écarte du vieil homme tout en restant assise sur le lit.
Je veux rentrer chez moi, je dois récupérer mon fils à l’école.
Tout d’abord je vais manger ton minou et après tu pourras partir, d’accord ?
Mr Drouet, laissez-moi partir, s’il vous plait.
Allonge-toi sur le lit, laisse-moi te donner du plaisir, ensuite tu pars.
Bernard s’approche et lui saisit le bras et la force à s’allonger.
Tu pars après ! Tu vas retrouver ton fils.
Le visage terne, elle se déplace. Elle regarde Marie-Jeanne qui la suit du regard quand elle s’allonge, elle cherche de l’empathie dans les yeux de la vieille femme. Bernard, content d’avoir réussi à la faire obéir, se place entre ses cuisses et lui retire sa culotte rapidement, Camille n’a pas le temps de protester qu’il a déjà passé ses genoux. Elle essaie de se relever pour remettre sa culotte.
Reste en place !! Ensuite tu pourras rentrer chez toi.
Quel plaisir d’avoir cette femme soumise entre ses mains, il la regarde s’allonger de nouveau. Elle a les cuisses serrées et les seins cachés par ses bras. Il place une main sur chaque genou et écarte les cuisses de son beau jouet sexuel. La résistance cède rapidement, Camille sait qu’elle doit céder pour que ce supplice cesse rapidement et le laisse ouvrir son jardin caché. Elle pose sa tête sur le lit et décide de le laisser faire dans l’indifférence.
Bernard salive devant la jeune chatte qui lui est offerte, ses mains descendent des genoux sur les cuisses. Il regarde le visage de Camille, elle a les yeux fixes, la tête tournée sur le côté. Il prend son poignet et écarte ses bras pour les déposer sur le côté. C’est parfait, il peut caresser les beaux seins tout en explorant le minou poilu. Du bout des doigts il masse les lèvres, les écartes. Avec son pouce, il joue avec le petit clitoris. Il est content de voir qu’elle a de nouveau les mamelons gonflés.
Petite salope tu aimes être pelotée sous la contrainte.
Il n’a aucunement envie d’éjaculer dans ce morceau de plastique et doit préparer le final. Bernard se recule, il s’allonge et place son visage entre les cuisses de Camille. Elle contracte son corps quand la langue du vieil homme s’introduit entre ses lèvres et remonte sur son clitoris. Le bassin de la jeune femme réagit à la langue inquisitrice.
Bernard crache sur la vulve, il pousse sa langue dans le vagin. Elle essaie de repousser le visage de Bernard pour stopper la pénétration. Sa vulve est souillée par le vieil homme, il aspire les lèvres gonflées. Il ne veut pas la pénétrer avec un doigt par peur qu’elle se braque et ne parte.
Il se relève et ôte son pull fin et son maillot de corps, il est nu comme Camille. Il se place de nouveau entre ses cuisses et sa langue remonte entre ses lèvres poilues, il continue son chemin et embrasse son ventre avec un petit sourire, il continu sa prospection pour finir sur ses seins qu’il gobe tour à tour, aspirant les mamelons gonflés.
Camille s’est de nouveau relâchée, les cuisses écartées, les bras sur le côté.
C’est bientôt fini ma petite.
Bernard baisse la tête et regarde sa main saisir sa queue, il se positionne au plus près et d’un coup sec pénètre le vagin de Camille.
Noooooo !!!!Arrêtez !! Non ! Non !…
Ne t’inquiète pas j’ai toujours le plastique.
Bernard pousse son pénis au plus profond, il a bien préparé la chatte qui est bien humide. Camille est coincé la queue du vieux dans son vagin.
Arrêtez c’est un viol, je n’ai pas voulu ça.
Aide-moi à me vider et c’est fini.
Je ne veux pas être violée. Noooon !!!!
Bernard la pilonne fort en faisant de petit aller-retour pour que sa queue reste au plus profond. Il tient les bras de Camille pour qu’elle ne puisse se retirer de son sexe.
Calme-toi, laisse-toi faire, laisse-moi éjaculer et tu seras libre. Laisse-moi éjaculer !!!!
Camille s’effondre, les mains sur le visage, les larmes ne cessent de couler. Bernard peut enfin profiter de la baise, il lui écarte les cuisses et regarde sa queue entrer et sortir de cette jeune chatte, il lui saisit un sein.
Que t’es bonne. C’est bien, reste tranquille que je puisse te baiser. Demain ton mari va être à ma place, dans ta chatte juteuse.
Maintenant qu’elle se laisse prendre, il prend plaisir à l’humilier.
Tu sais ton père ne ta pas pénétré, il me l’a dit. Il n’a pas osé faire cela à sa fille, pas comme moi maintenant qui te baise.
Bernard se recule et regarde sa queue sortir, il voit son gland maintenir les lèvres écartées. Il pousse doucement et son pénis s’introduit doucement dans le vagin de Camille.
C’est la première fois qu’un pénis s’introduit aussi profond dans son vagin, elle a rencontré Xavier jeune et personne ne l’a exploré aussi profond. Malgré le viol qu’elle subit, son corps ne reste pas indifférent à cette nouvelle expérience.
Bernard a relevé les jambes de Camille, il regarde son pénis donner de petit à coups. Camille sent la tête de champignon s’enfoncer au plus profond.
Bernard se retire et donne des claques sur les fesses de Camille.
Mets-toi à genoux et dans une minute c’est fini !
Stop ! S’il-vous-plait arrêtez ! Je veux retrouver mon fils, pitié !!
Dans une minute tu te rhabilles et tu rejoins ta famille.
Fatiguée physiquement et moralement, Camille s’exécute et se met à genoux sur le lit. Elle tremble une nouvelle fois quand le vieux passe sa queue entre ses lèvres. Elle regarde Marie-Jeanne qui a à son étonnement les yeux vitreux, les larmes lui coulent sur les joues. Le monitoring de la vieille femme s’affole. Qu’est ce qui se passe ?
Camille baisse la tête et voit les deux testicules qui pendent entre ses cuisses. Ses yeux s’écarquillent et sa mâchoire tremble quand elle découvre le préservatif posé sur les draps.
Bernard pousse sa queue qui s’introduit d’un trait dans le vagin non protégé, il tient fermement les hanches de la jeune femme et la pilonne avec vigueur.
Non !! Stop !!! Arrêtez, je ne peux pas !!! Non !!!
Ahh ! Que c’est bon de sentir ton vagin ! Je vais bientôt venir !
Camille tente de s’extirper de la situation. Bernard la retient comme un chien collé à sa chienne. Elle tombe la tête dans l’oreiller et Bernard la pilonne. Elle essaie de se relever en prenant le bras de Marie-Jeanne qui assiste au viol, impuissante.
Bordel que t’es bonne, ton père aimerait être à ma place.
Bernard a envie de lui attraper un sein mais c’est trop risqué, elle pourrait réussir à s’extirper.
Tu penseras à moi demain quand ton mari glissera sa queue dans ton antre pour te mettre enceinte.
Non !!! Non !!! Ne faites pas ça je ne suis pas…
Haaaaaa !!! Haaa !!! Prend mon jus sale garce ! Haaaaaaa…
Bernard se verrouille sur son bassin et donne des coups de queue pour projeter son sperme au plus profond. Camille sent le flot de sperme chaud se déverser dans son ventre ouvert.
Sale bâtard, sale bâtard vous n’avez pas le droit.
Bernard tombe assis et épuisé sur le lit avec un grand sourire.
Ne t’inquiète pas, ils sont comme moi, ils sont vieux. Tu ne risques rien ; ton bébé ne sera pas de moi, dommage.
Bernard se lève la queue toujours tendue et quitte la pièce. Camille est devant le lit les cuisses écartées, le sperme s’écoule et tombe au sol. Elle se rhabille la vue troublée par les larmes.
Bernard revient avec un grand verre d’eau qu’il tend à Camille, il est toujours nu la queue pendante entre les jambes et décalottée. Stéphanie le regarde et voit une tache sur son bas ventre une petite tache en forme de botte, comme l’Italie.
Elle boit le verre d’eau et quitte la maison en se rhabillant.
Tu souhaiteras le bonjour à ton mari et ton père.
Camille monte dans sa voiture et craque, les larmes ne cessent de couler. Pendant le trajet elle respire pour arrêter son sanglot. Devant l’école elle se regarde dans le rétro, elle descend avec ses lunettes de soleil.
Arrivée à la maison une douleur forte au ventre la pousse aux toilettes ou elle vomit et s’effondre contre le mur.
Les yeux de Camille s’ouvrent, elle est hagarde et fatiguée.
Assise sur le canapé, elle regarde Arthur manger en naviguant sur le web sur son téléphone. Elle cherche des informations sur la fertilité des personnes âgées. Le vieux avait raison, plus on est âgé plus il est dur de procréer.
Cette vieille peau a bientôt 80 ans je crois ?
L’angoisse s’atténue et le viol passe au second plan en lisant les articles. Elle réussit à manger un morceau et appelle Xavier pour se réconforter. Le sourire revient quand il lui annonce qu’il rentre dans la matinée du lendemain.
Blois