Stéphane me fit alors quelques bisous sur le visage, dans le cou… Je sentais son sexe en moi qui mollissait jusqu’à sortir. Il prit un sein dans la main puis vint embrasser ma poitrine, légèrement, avec douceur, avant de se rasseoir sur la chaise, nu. J’étais en état d’apesanteur, heureuse du moment passé et surprise par sa douceur. J’enfilai ma robe avant de m’asseoir à mon tour. Je fus soulagée qu’il ne dise rien quand je me suis rhabillée, comprenant sans doute que je n’étais pas à l’aise nue devant lui. Je pris une cigarette.— Tu en veux une ?— Avec plaisir Michèle… et je vais goûter le gâteau maintenant, il a l’air succulent.— Je confirme, je suis très douée pour faire les gâteaux, il ne peut qu’être excellent.— Vous n’avez que des qualités alors, me dit-il en souriant, me fixant dans les yeux, puis laissant tomber son regard.Ha oui, son regard, je vois bien où il porte maintenant. J’ai remis ma robe, mais ne l’ai pas boutonnée. Il doit apercevoir ma poitrine libre dessous…mais je suis bien comme ça. On peut dire que j’ai un beau décolleté très profond, le dernier bouton attaché au niveau de mon ventre.— Tu es un ami de Christophe ?— Non pas vraiment, je suis un ami de Baptiste, et comme je ne faisais rien ce soir il a appelé Christophe pour lui demander si je pouvais venir à soirée.— Et tu es venu !— Pour mon plus grand bonheur, je dois l’avouer. Il y avait une très belle femme à cette soirée, je ne pouvais plus détacher mon regard d’elle.— Vraiment ?— Oui, absolument. Elle était habillée d’une belle robe mettant en valeur une poitrine magnifique.— Je n’ai pas remarqué, fis-je en souriant, et alors ?— Ses yeux bleus me fixaient parfois, enfin il m’a semblé. Tout son corps m’attirait, je ne rêvais plus que de pouvoir dévoiler ses trésors. J’imaginais même ses dessous.Ce disant, il sourit encore. Il est très beau, très naturel. Je le dévisage à loisir et à ma surprise, je vois son sexe à nouveau en érection. Je ne peux m’empêcher de lui sourire aussi, lui montrant ainsi que j’avais vu.— Et donc, que s’est-il passé alors ? Tu veux un autre verre ?— Oui, avec plaisir.Je me lève pour le resservir. Comme j’étais debout près de lui, il passe la main sous ma jupe et me caresse les fesses. Oula, s’il me touche encore, je ne réponds de rien, moi. Mais je me suis levé, ce n’est pas par hasard. J’ai encore quelques envies. Le verre servi, il m’attire à lui, je m’assois sur le bras de la chaise.— Et alors donc, que s’est-il passé ?— À un moment, je l’ai vue partir discrètement, en oubliant son gilet. Je ne suis pas très fier, mais j’ai pris son gilet et l’ai suivie.Ma tête commence à bourdonner, il me caresse maintenant la poitrine, calmement. Il est dans mon dos, je ne vois de lui que ses jambes, son ventre et son sexe tendu.— Tu l’as suivie ? Mais c’est très mal ça, dis-je en me retournant et le fixant dans les yeux.— Oui je sais, je le regrette sincèrement, dit-il en faisant descendre sa main sur mon ventre.Il penche alors le buste vers moi. Je prends sa tête dans les mains pour l’embrasser, cherchant sa langue. Mes seins gonflés sont devenus maintenant une source de plaisir à chaque caresse. Il défait les derniers boutons de ma robe encore attachés pendant que je l’embrasse dans le cou, sur la poitrine, que j’aspire ses petits tétons. Ma main caresse son ventre, sa poitrine, descend le long de ses hanches, sur ses cuisses en évitant soigneusement de toucher son sexe.Oups il vient d’effleurer mon clitoris, je tressaille. Sa main me caresse le sexe, je suis déjà ailleurs. J’ai trop envie de sentir son sexe dans ma main, fini les contournements. Je prends son sexe dans ma main et le serre, sans rien faire d’autre, seulement le plaisir de sentir ses palpitations. Il glisse un doigt dans mon intimité, je sursaute presque en me penchant légèrement en arrière.Je lâche son sexe dans mon mouvement. Il profite de mon recul pour embrasser mes seins, mon autre main descend le long de sa poitrine, sur son ventre et vient empoigner son sexe. Je le prends fermement et joue avec effectuant des mouvements de rotation. Mon plaisir monte de plus en plus, il a un doigt en moi, son autre main me caresse le dos et descend entre mes fesses, sa bouche m’embrasse les seins, mordille mes tétons…Je ne vais tenir comme ça longtemps. Le traitement qu’il m’inflige est trop bon.Je me lève alors légèrement pour venir à genoux entre ses jambes. J’embrasse sa cuisse, puis remonte légèrement, passe ma bouche sur son sexe et remonte lui embrasser le ventre. Je sens son sexe sur ma poitrine, je me balance légèrement pour le caresser encore de ma poitrine. Il me caresse la tête quand j’embrasse son ventre, son autre main caressant mon dos, la naissance de mes seins. J’écrase mon corps contre son sexe, il est chaud entre mes seins. Je relève la tête et serre mes seins contre son sexe. Je fais des mouvements de va-et-vient avec ma poitrine sur son sexe emprisonné. J’aime sentir son sexe palpiter entre mes seins. Je lui souris en faisant cela, il me le rend avec des yeux pleins de plaisir.Je ne veux pas le faire jouir comme ça, enfin je voudrais bien, si, mais j’ai envie de jouir moi aussi.Je me relève alors, et avec surprise, je me vois lui prendre la tête pour l’amener sur mon sexe. J’ai trop envie qu’il me lèche. Il ne se fait pas prier, glisse sa langue sur ma petite chatte. Rapidement un doigt s’introduit en moi, pendant que sa langue titille, affole mon clitoris… là, c’est bon, le point de non-retour approche. Je jouis rapidement sous sa bouche. J’agrippe le rebord du fauteuil pour ne pas tomber, humm il me retient aussi pendant mon spasme.Je reprends très légèrement mes esprits, juste assez pour venir m’empaler sur son sexe. Je ne bouge pas d’abord, récupérant quelque peu, puis je me mets à onduler du bassin, sentant son sexe en moi. Calmement d’abord… j’ai encore trop envie. Je ne peux pas trop bouger, alors je me penche vers lui, m’agrippant aux bras du fauteuil, et le laisse faire. Il fait aller et venir son sexe en moi… de plus en plus vite… je sens son sexe grossir encore en moi. Je vais jouir encore, lui aussi. Je sens venir sa jouissance, je contrôle encore un peu. Je sens maintenant, il jouit, il m’inonde, je me laisse aller complètement et jouis avec lui.Je m’affale contre lui, il reste en moi sans bouger. Sans rien faire moi non plus, je suis bien comme ça. Quelques minutes comme ça…— J’ai soif.— Moi aussi.Je me relève, mets ma robe ouverte et pars chercher de l’eau. Je boutonne ma robe dans la cuisine, je suis plus à l’aise habillée.