Un petit texte parlant d’un sujet pas très fun pour un homme, mais écrit pour le fun et qui pourra peut-être donner des idées…Bonne lecture :)InvitationCe vendredi soir, puisque nous l’avons invité, Luc sonne à la porte. Ce n’est pas la première fois qu’il vient chez nous dîner, surtout depuis le jour où il est redevenu célibataire avec perte et fracas, il y a un an déjà. La plupart du temps, après le repas, nous sortons un jeu de société et nous jouons avec tous nos invités, car souvent nous convions d’autres personnes en même temps, afin de ne pas gêner Luc qui nous a parfois dit de ne pas nous sentir obligés de l’inviter chez nous.Ça ne nous gêne aucunement, ma femme et moi. De plus, ça lui change les idées, ça, j’en suis certain, puisqu’il me l’a avoué plusieurs fois.Aujourd’hui, c’est ma chère épouse qui lui ouvre la porte. Ce soir, elle est habillée classique, mais gentiment sexy. Ses cheveux sont noués en un chignon décontracté, ses paupières fardées de violet, ses ongles sont vernis de rouge, comme ses lèvres. Sa robe noire en laine assez moulante offre à la vue un généreux décolleté, ce qui est toujours très agréable à voir. Sans oublier le fait que ma femme est mignonne, on dirait même une petite souris.À mon tour, je viens le saluer :— Bonjour, Luc.— Bonjour, Daniel. Alors, ça va mieux ? Ton nouveau traitement fait effet ?— Ça va faire maintenant deux mois que je le prends, et celui-ci me réussit mieux que l’autre, c’est certain, mais, hélas, il y a toujours quelques effets secondaires.— Tant mieux pour toi, si ça va mieux, c’est le principal.Voyant que ma femme est partie dans la cuisine, il me glisse en catimini :— Waow, elle est sexy, ta femme !— Céline aime bien être sexy de temps à autre, tu le sais bien.— Elle ne l’était pas autant la dernière fois…— Oui, c’est vrai, mais je te rappelle que la dernière fois, il y avait des enfants. De plus, maintenant, le printemps arrive, et il commence à faire bon, même le soir.— Oui, tu as raison…Je lui propose de venir s’asseoir au salon, autour de la table basse sur laquelle trônent déjà trois verres, des bouteilles et quelques bols remplis de diverses choses à grignoter, mais pas toujours très conseillées pour la ligne. Peu après, ma femme vient se joindre à nous. Avant de s’asseoir face à notre invité, elle me lance :— Mon lapin, n’oublie pas d’aller regarder le four, je ne sais pas évaluer ce genre de choses…— Pas de soucis, ma souris !Elle et moi, nous nous donnons souvent des petits noms affectifs issus de la gent animale.Nous conversons d’un peu de tout et de rien durant l’apéritif. Je remarque que notre invité a parfois quelques difficultés à détacher son regard de ma femme. Il est vrai que sa robe est fort sexy, sa poitrine agréablement moulée, sans oublier le décolleté en V, et enfin une belle vision de ses genoux et parfois aussi de ses cuisses dans l’angle d’attaque le permet.Je sais pertinemment que ma femme plaît à Luc, il suffit de regarder ses ex-copines pour en avoir confirmation. De plus, comme beaucoup de femmes, Céline ne déteste pas susciter le désir, mais elle, elle le reconnaît franchement, sans faire sa mijaurée comme certaines.De temps à autre, je retourne dans la cuisine pour voir si tout se passe bien, laissant Luc face à Céline, afin qu’il puisse mieux la contempler. La quatrième fois (ou la cinquième, je ne sais plus), j’indique à ma femme que j’ai éteint le four et sorti le plat. Je sais qu’elle préfère faire le service à sa façon.Avec souplesse, Céline se relève et propose :— Et si nous passions à table, messieurs ?Puis elle part dans la cuisine, dodinant agréablement du popotin, aidée par ses talons aiguilles. Deux paires d’yeux ne perdent rien de cet agréable balancement. Tandis que nous nous installons. Luc me confie :— Vivement que je me trouve une femme comme la tienne !— Je te le souhaite…Il soupire à fendre l’âme :— Moi aussi, Daniel. Mais ça ne court pas les rues, j’en sais quelque chose.— Pourquoi tu n’élargis pas ton éventail de critères et qu’ils soient moins… restrictifs. Ainsi, tu trouverais plus facilement la femme de tes rêves, non ?— Je conserve l’espoir de dénicher l’oiseau rare.— Qui sait, tu seras peut-être comblé très prochainement…— Oui, qui sait…À la grande surprise de Luc, Céline revient habillée en soubrette. Perchée sur des talons aiguilles ténébreux, ses jambes gainées de bas obscurs se perdent sous une jupette froufroutante de dentelles blanches chapeautées d’ébène. Au-dessus, une sorte de corset tout aussi noir au décolleté carré au liseré blanc qui fait totalement ressortir la double rondeur de sa poitrine.L’effet général est saisissant, même pour moi qui connais très bien son splendide corps depuis des années ! On dirait que ses seins ont pris au moins deux bonnets ! Je dirais même que c’est de la tricherie !Dandinant sur ses talons, Céline s’approche de Luc, puis, sous son nez, pivote sur elle-même pour bien lui faire admirer sa tenue :— Alors, Luc, qu’est-ce que tu en dis ?— C’est… c’est… magnifique ! Tu es très belle habillée ainsi !Il est évident qu’il mate joyeusement, l’air à la fois très surpris, mais aussi très ravi. On dirait un gamin devant le tout premier train électrique de sa vie. Complice, je me penche vers lui, lui expliquant :— Rappelle-toi, il y a trois semaines, tu as évoqué le fait de pouvoir contempler un jour une soubrette pour de vrai.— Ah oui, je m’en souviens, mais je ne pensais pas que vous me prendriez au mot !Je rigole :— Tu aurais préféré que ce soit moi qui porte cette tenue ?— Ah non, désolé pour toi, Daniel, mais je préfère mille fois que ce soit Céline qui soit habillée en soubrette ! D’ailleurs, ça lui va magnifiquement bien !Ma femme claque dans ses mains :— OK, la cause est entendue. Mettez-vous à table, messieurs, que je serve le plat !Tandis qu’elle repart vers la cuisine dans le cliquetis de ses talons aiguilles, Luc et moi prenons place autour de la table ronde. Notre invité arbore un visage rayonnant, je le comprends parfaitement, je ferais pareil dans le même cas. Quand ma femme revient avec le plat, je constate que Luc ne la quitte pas des yeux. Je reconnais que ma femme est délicieusement sexy en soubrette.En se penchant, elle pose le plat au centre de la table, tout en offrant à Luc une belle vue sur son décolleté. Notre invité est à la fête, il se rince joyeusement et royalement l’œil. Puis Céline repart. Luc se penche sur moi, et lâche le fond de sa pensée :— Putain ! Elle est ultra sexy !C’est bien la première fois qu’il lâche ce genre d’expression. Flegmatique, je réponds :— N’est-ce pas…— Ôte-moi un doute de mon esprit : elle le fait exprès ou quoi ?— Tu avais parlé de soubrette sexy, je précise. De quoi tu te plains ? Ma femme s’amuse à en être une, rien que pour toi.Luc s’étonne franchement :— Ah bon ? Rien que pour moi ?— Je te rappelle qu’elle pratique de temps à autre le cosplay. Jouer la soubrette fait partie de ce qu’elle aime faire…— Ah oui, c’est vrai, je me rappelle d’une photo où elle était déguisée en guerrière sauce Fantasy… au passage, son costume ne cachait pas grand-chose !— C’est l’un des intérêts du cosplay…Ma femme étant revenue, nous commençons le repas. Je vois bien que Luc est nettement plus occupé à regarder sa sexy hôtesse que son assiette. Entre nous, une fois de plus, je le comprends. Moi-même, je glisse souvent un coup d’œil vers ma femme, même si je connais son corps sous toutes les coutures. Il existe des choses dont on ne se lasse pas !Ceci dit, Luc arrive néanmoins à soutenir la conversation, bien que parfois, il laisse échapper un lapsus qui n’échappe pas à Céline qui en sourit d’aise. Elle aime se montrer, s’exhiber gentiment, d’où son inclination pour le cosplay, penchant que je n’interdis pas du tout, mettez-vous à ma place…BifurcationUne fois le plat fini, notre soubrette se relève, cuillère en main. Soudain, elle laisse tomber par terre le couvert qui rebondit sur le carrelage. Tournant délibérément le dos à notre invité et ostensiblement sous son nez, Céline se penche pour ramasser ce qui vient de tomber. C’est alors que Luc découvre stupéfait que ma femme n’a visiblement pas mis de petite culotte, mais qu’en plus, elle porte un rosebud dont l’œil est rouge !Bien sûr, comme il se doit, elle reste penchée de la sorte un certain temps, avant de se redresser lentement. Luc n’en perd pas une seule miette ! Ses yeux sont à la limite de sortir de leurs orbites !C’est alors à mon tour d’intervenir, en me fâchant :— Ah, petite idiote, qu’est-ce que tu viens de faire ?— Euh, je m’excuse, Monsieur, je ne l’ai pas fait exprès.Je vois bien que Luc a été tenté d’intervenir avant de comprendre la situation. Alors, assez intrigué, il reste assis sur sa chaise, attendant la suite des événements. Je continue le petit jeu :— Tu seras néanmoins punie ! Relève ta jupe et agenouille-toi sur cette chaise !— Euh, oui, Monsieur.Céline fait comme j’ai ordonné. Elle défait carrément les boutons pressoirs de sa jupe à froufrou, sa tenue étant en deux parties, ce qui est très pratique ! Puis une fois cul nu, le tissu au sol, elle s’agenouille sur la chaise située près du mur, les fesses manifestement dans la direction de Luc, qui ne perd rien du spectacle qu’elle lui offre.Le cul bien rebondi de ma femme, orné de ce rosebud incongru, est une agréable vision qui vaut le déplacement ! Je ne peux m’empêcher de claquer une fesse qui vibre sous l’impact. Je me dirige vers un vase fleuri situé près de la cheminée, et au grand étonnement de notre invité, j’en ressors une cravache noire.Puis laissant toujours la vue bien dégagée pour Luc, je commence à cingler les fesses qui se zèbrent légèrement, la chair vibrant sous chaque coup, tel un gâteau en gelée. Comme je sais me servir de cet instrument, j’obtiens un claquement assez impressionnant à chaque fois que la cravache touche la peau, mais la douleur reste bénigne. Néanmoins, les fesses rougissent de plus en plus.Puis je me tourne vers notre invité, lui tendant la cravache :— À ton tour de punir cette idiote !— M-moi ?— N’est-ce pas toi qui en parlais, en début d’année ?— Euh… mais de là à le faire vraiment…Il hésite un peu puis ajoute :— OK, je vois, je vois… Vous avez décidé d’associer deux de mes fantasmes, la soubrette et la fessée…— Il y a de ça…— Je veux bien essayer, mais j’ai peur de faire mal…— Je vais te faire voir comment on s’y prend.Je lui fais une petite démonstration, lui expliquant surtout ce qu’il ne faut pas faire. Puis Luc entre en scène, pas très rassuré. Le premier coup qu’il porte est une caresse. Le second l’est un peu moins, le troisième encore moins. La fessée, on s’y fait très vite !Après le quatrième cinglage, je rectifie un peu le maintien de la cravache, ajoutant quelques détails à savoir. Comme Luc est un élève doué, il applique vite mes conseils. Assez vite, il arrive à jouer avec les fesses de ma femme. Ce qui semble le fasciner le plus, c’est de voir le rosebud osciller, tressaillir après chaque coup. Je constate vite que c’est cette vibration que Luc recherche.ConfessionAprès quelques minutes de cinglage bien appliqué dans les règles de l’art, Luc s’arrête, me tendant la cravache :— Merci, mais il vaut mieux que je m’en tienne là. Chaque chose en son temps. Ce que je viens de vivre a été fantastique, mais je préfère m’arrêter avant que je ne fasse une connerie par mégarde.— Comme tu veux…— Céline et Daniel, je vous remercie sincèrement tous les deux de cette délicate attention. Mais le problème est que je ne vais plus pouvoir regarder Céline sans imaginer des tas de choses !Ma femme qui vient de se redresser, mais qui est toujours cul rougi à l’air, lui demande, faussement innocente :— Ah oui ? En quoi est-ce un problème ?— Ben… comment dire ?Sans aucune honte, ma femme est à présent debout devant lui, ses lèvres intimes et lisses bien en évidence. Notre invité n’arrive pas à détacher ses yeux de son entrejambe. Amusée et vicieuse, Céline repose la question :— En quoi est-ce un problème, Luc ?— Ben… maintenant, les prochaines fois que je te verrai, je risque d’imaginer des tas de choses en te voyant !— Bah, je suis au courant que les hommes imaginent plein de choses à mon sujet, et ceci depuis bien des années… Et tu imaginerais quoi comme choses pas nettes ?Écarlate, cramoisi, Luc ne sait plus où se mettre. Venant à son secours, je me penche à l’oreille de mon ami :— Tu peux y aller franco. Nous avons fait la soubrette, la fessée, et je suppose que ça ne se limite pas qu’à ça, non ?Luc respire un grand coup :— J’avoue que je ne comprends plus grand-chose, mais…Avec un petit sourire pervers, ma femme l’asticote :— Mais ?— C’est vrai que j’ai divers petits fantasmes, comme la soubrette, l’infirmière, la policière. Céline, je te remercie énormément d’avoir été ma soubrette, comme je te remercie du beau spectacle que tu m’offres, là maintenant. C’était aussi un de mes fantasmes de pouvoir te contempler nue.Avec une pointe d’ironie, ma femme fait remarquer :— Je ne suis pas nue… j’ai encore des bas et un corsage !— Tu es encore plus band… euh… magnifique ainsi que toute nue !Ma femme s’amuse vraiment :— Allez, Luc, dis-le carrément que je suis bandante ! D’ailleurs, t’as une grosse bosse dans le pantalon !— Ah euh, pardon !— Y a pas de mal à bander pour moi, c’est la preuve évidente que je plais toujours !— Ah ça oui ! Pour me plaire, tu me plais !C’est alors que j’ajoute mon petit grain de sel qui risque de beaucoup surprendre Luc qui est déjà assez déboussolé par l’actuelle situation.PropositionD’un ton très calme, je lâche ma petite bombe à la face de notre invité :— Je t’offre ma femme, momentanément, bien sûr.Bien entendu, il n’en croit pas ses oreilles :— Hein !? Pardon ? Tu peux répéter, Daniel ?— Tu as bien entendu : je te prête ma femme.— Tu me prêtes ta femme !? Je sais bien que je n’arrive pas à trouver de femme, mais tu pousses la bonté d’âme un peu loin !Je pose ma main sur son épaule :— Luc, c’est un prêt, pas un don. Je te rassure, il ne s’agit pas d’altruisme forcené de ma part, mais d’une façon de contenter tout le monde ici présent. Je vais t’expliquer ça calmement, mais avant, assieds-toi.— Oui, je sens que je vais avoir besoin d’être assis !Il s’assied, j’en fais de même, ma femme préférant rester debout, ce qui nous offre toujours un beau spectacle. Je me lance dans des explications :— Bon, comme tu le sais, suite à de foutus problèmes de santé, je dois suivre un traitement assez lourd.— Oui, ça, je le sais…— Le nouveau traitement fonctionne nettement mieux que les précédents, mais il y a un sacré effet secondaire très gênant : je ne bande plus, ou si peu.Luc s’exclame :— Ah merde !— Je dois encore prendre ce traitement durant environ quatre-cinq mois. Après, peut-être que je pourrais l’arrêter, ça va dépendre du résultat des examens.— Tu ne peux pas revenir à l’ancien traitement ?J’explique calmement la situation :— Celui-ci fonctionnait moins bien et s’étalait sur des années. Alors que le nouveau est nettement plus limité dans le temps. Mais je ne bande plus, rien, nada, niet.— Eh bé, j’espère pour toi que tu pourras rebander ensuite !— Je te remercie de ta sollicitude. Je ne bande peut-être presque plus, mais je peux toujours contenter ma femme autrement, mais quelque part, ce n’est pas… comment dire… ce n’est pas l’idéal. Alors, j’ai pensé à toi. Céline aussi.Luc ouvre de grands yeux :— À moi ? Comment ça ?Puis il rectifie le tir aussitôt, ayant compris :— Ah OK, je deviens ton remplaçant, c’est ça ?— Exactement. Ainsi tout le monde sera content. Toi, tu pourras faire des galipettes avec Céline. Ma femme aura toujours sa dose d’adrénaline. Et moi, je serais toujours aux premières loges pour contempler la jouissance de ma femme.Luc fronce un peu des sourcils :— Ah, tu souhaites jouer les voyeurs…— Pas toujours, mais quand même de temps à autre. Avoue que ce n’est pas cher payé pour coucher avec Céline.Mon invité regarde avec intensité ma femme :— Non, je dois reconnaître que ce n’est pas cher payé. C’est même inespéré !— Donc tu acceptes ?— Ce… ce n’est pas une blague idiote que tu me fais ?— Tu crois que Céline serait cul et chatte à l’air si c’était une blague ?Il se met à sourire :— Un cosplay particulier, très partie cul, hé hé… Qui sait !Puis il se tourne vers ma femme :— Et toi, Céline… tu penses quoi de tout ça ?— Je suis OK. Il va de soi que Daniel et moi avons discuté de tout ça avant cette soirée. Et que ce n’est pas un caprice de notre part…— Oui, je te crois… Pourquoi moi ?— Parce que tu me plais, c’est aussi simple que ça, Luc.Notre invité ouvre de grands yeux. Céline s’avance lascivement vers Luc, toujours aussi figé, ne réalisant pas encore toute la situation. Impudique, elle pose son index à l’ongle vernis en rouge sur la poitrine :— Sache que le dessert qui est prévu ce soir, c’est moi.— Tu… tu vaux nettement plus que tous les gâteaux de la planète !— Je suis contente de te l’entendre dire, Luc, très contente.— Euh… que puis-je faire pour ton service ?— Déguste-moi, c’est simple, non ?Il marque un temps d’arrêt avant de répondre :— Tout ? Je peux te déguster entièrement ?— C’est le but de la soirée…— Tu es sûre et certaine ?— Si je te le dis !— Dans ce cas…Ma femme pousse un petit cri quand Luc s’empare d’elle par la taille. Aussitôt, il plonge son nez dans le décollé largement offert de ma femme afin de commencer sur-le-champ sa dégustation…DégustationÇa va faire un certain temps de Luc est en train de dévorer les seins à présent nus de Céline. Elle a ôté son haut afin de lui faciliter la tâche, étant maintenant complètement nue, si on excepte ses bas autofixants et ses chaussures. Ma femme apprécie beaucoup qu’on puisse la désirer de la sorte, mais je sens intuitivement qu’elle souhaite passer à l’étape supérieure. Ce que Luc est en train de lui faire, je le lui fais très souvent. Tandis que Luc éloigne un peu sa bouche des tétons érigés de Céline afin de reprendre son souffle, je me penche sur mon invité pour lui demander :— Au fait, c’est quand la dernière fois que tu as fait un test ?— Un test ? Tu veux dire quoi par là ? Un test de dépistage des MST ?Je lui confirme :— Oui, ce genre de test là.— Ça va faire au moins six mois. Il était négatif. Mais les rares fois où j’ai pu baiser, ce fut toujours avec des capotes.— Si je comprends bien, tu es donc parfaitement sain.— Oui, je suis sain. Pourquoi ?Puis il se fige, venant de comprendre où je veux en venir, ou plutôt ma femme veut en venir. Après avoir cligné des yeux, il demande :— Je peux vraiment tout déguster ? Y compris l’abricot ?C’est ma femme qui lui répond :— Je suppose que tu ne vas pas te contenter que de mes deux framboises…— Elles sont délicieuses, tes deux framboises.— Merci, Luc…— Mais je dois reconnaître que je ne déteste pas les abricots ou les pêches, surtout celles qui sont juteuses…Ses seins arrogants aux tétons mouillés et pointus sous le nez de notre invité, Céline lui décroche un petit sourire entendu :— Il n’y a qu’un moyen de la savoir, Luc…— Oui, en effet, tu as raison.Serrant toujours ma femme contre lui, curieusement, Luc se tourne à nouveau vers moi :— Oui, normalement, je suis clean. Mais, je ne veux faire courir aucun risque à Céline, donc passe-moi une boîte de préservatifs, car je n’en ai pas pris avec moi. Jamais je n’aurais pu imaginer que ce soir…À ces mots, son hôtesse intervient :— Une boîte ? Carrément ?— Attends, depuis le temps que je fantasme sur toi, tu ne vas quand même pas croire que je vais me limiter à un seul coup ! Pas question !— On va voir ça, mon petit Luc !Puis elle se colle contre lui, écrasant ses seins nus contre son torse, bien décidée à profiter de son nouveau jouet. Aussitôt, Luc en profite pour l’embrasser dans le cou. J’ai bien remarqué qu’il a failli s’emparer de ses lèvres et qu’il a bifurqué à la dernière seconde, sans doute gêné par ma présence.Après être allé la prendre dans le buffet, où je l’avais cachée en prévision de la suite du repas, je dépose la boîte de préservatif sur la table basse. Puis je m’éclipse dans un coin de la pièce, et tout de suite, l’ambiance devient plus chaude et électrique. Je constate que Luc a vraiment une folle envie de ma femme, et celle-ci se laisse faire avec une grande complaisance. J’ai l’impression d’assister à un film, sauf que ça se passe sous mes yeux, en direct-live !Les choses s’accélèrent, Luc vient de se déshabiller. Il accuse un peu son âge, mais son corps reste globalement proportionné, mis à part un peu de ventre, mais ça ne se voit pas de trop. En tout cas, ça ne semble pas gêner ma femme qui balade ses mains partout sur sa peau.Très vite ses mains aux ongles rouges s’emparent de son sexe déjà bien dur, puis Céline commence une douce branlette comme elle sait si bien les faire pour me mettre en condition. Enfin, comme avant ma maladie et mon traitement. Il est toujours agréable de sentir la main experte d’une femme qui a envie de vous, c’est très flatteur pour l’ego.Soudain, ma femme s’adresse à son amant du soir :— Ça te dérangerait si on zappait les préliminaires et qu’on entrait tout de suite dans le vif du sujet ?— Absolument pas…Luc tend la main vers la boîte de préservatif. Ma femme arrête son geste. Il la regarde, un peu étonné. Céline se met debout devant lui :— Non, je préfère sans capote, c’est mieux.— Mais ce n’est pas prudent…Mais sur les hanches, provocante, son hôtesse le questionne :— T’es clean, non ?— Euh, oui…— J’ai envie de sentir ton sperme en moi, d’être inondée, d’être remplie. Ça me manque !Ma femme a visiblement le feu à la chatte, et elle aime l’éteindre à sa façon. Je peux la comprendre, ça va faire un certain temps que je ne peux plus la souiller de mon sperme, de lui en mettre partout. Céline désigne le rebord du canapé :— Assieds-toi un peu plus vers le bord, s’il te plaît…— Comme ceci ?— Oui, impec !Luc est en position, sa verge bien raide. Céline s’approche de lui, puis arrivée face à notre invité, elle s’agenouille sur les coussins, de part et d’autre des cuisses de Luc. Avide, notre convive saisit les hanches dénudées de ma femme qui lui sourit. Se penchant un peu sur le côté, lançant sa main manucurée dans son propre dos, elle saisit par derrière la verge palpitante et la dirige sans hésitation vers l’entrée de ses lèvres toutes lisses.Luc retient sa respiration, moi aussi.Céline agite un peu son popotin, sans doute pour mieux se positionner. Il est étrange de contempler une queue qui n’est pas la sienne et qui va bientôt s’enfoncer dans des profondeurs qui m’étaient strictement réservées !Soudain, Céline s’affaisse carrément sur le pal de chair, l’engouffrant presque jusqu’au fond, tout en poussant un long soupir de soulagement et d’aise :— Ah, enfin ! Une vraie queue !Il est vrai que ces derniers jours, pour pallier mon manquement, Céline utilisait des godes assez réalistes, tandis que je lui léchais avidement la chatte. Elle y prenait du plaisir, mais elle m’a avoué que ce n’était pas tout à fait ça. C’est alors que nous avons discuté sérieusement de l’éventualité d’un remplaçant, et un nom est très vite sorti du chapeau : Luc.— Ainsi, tu verrais bien Luc dans ce rôle, ma salope de petite souris ?— Et pourquoi pas Luc ? Je sais très bien qu’il en meurt d’envie, et pour ma part, je le trouve pas mal. De plus, toi et moi savons qui il est.— C’est vrai… mais mets-toi à ma place : c’est pas évident d’imaginer qu’un autre homme prenne ma place !Elle avait saisi ma tête entre ses mains :— Tu resteras toujours celui que j’aime. Luc sera juste un sex-toy grandeur nature, c’est tout.— Tu es certaine que je serais toujours ton lapin à toi ?— Bien sûr que oui ! Une queue, ce n’est pas pareil que les sentiments. Toi, je t’aime, sinon, je ne me serais pas mariée avec toi. Et franchement, si c’était à refaire, je le referais à nouveau !Nous nous sommes alors embrassés.Certains me diront que nous avons été un peu trop vite pour adopter cette solution. Mais en réalité, j’avais déjà quelques soucis avant le nouveau traitement. Mais depuis celui-ci, c’est le néant dans mon slip ! Et sachant jusqu’à quand ça risquait de durer, il a bien fallu prendre une décision commune.— Ah que c’est bon !L’exclamation que vient de pousser ma femme me faire revenir à la réalité. Luc la pistonne joyeusement, ses mains rivées sur ses amples hanches. J’en ai des sueurs chaudes, ce que je vois devrait me faire bander comme un âne, mais rien ne se manifeste, alors que ce n’est pas l’envie qui me manque de violer sauvagement ma propre femme.— Ah que c’est bon, mon gros lapin ! Une bonne queue comme la tienne avant !Mais hélas, rien de raide malgré mon immense désir !— Ah oui, Luc ! Mets-la-moi bien profonde ! Laboure-moi, pistonne-moi !Ma femme a toujours été très expressive quand elle fait l’amour. Au moins, elle ne joue pas les carpes et elle ne fait pas semblant, à moins qu’elle ne soit une bonne comédienne, ce qui est une possibilité. Mais je n’y crois pas.— Oh oui ! Oh oui ! Comme ça ! Oui, là ! Oui, oui, oui !!Haletante, Céline se penche en arrière, je sais ce que cela signifie : elle est proche de la jouissance. Déjà ? De son côté, Luc délaisse les hanches de ma femme pour s’attaquer à ses seins. Il s’offre un grand déballage, et admire quelques instants les oscillations des nichons qui dansent sous ses yeux. Puis, n’y tenant plus, il capture à pleines mains ces seins qui le narguent, puis sa bouche croque carrément dedans, comme s’il s’agissait de deux énormes chamallows !Mais hélas, rien de raide malgré mon immense envie d’être à sa place ! La chevauchée devient de plus en plus effrénée, fantastique. Ma femme sautille carrément sur les cuisses de son amant, coulissant avec fureur le long de sa verge droite comme une colonne. Elle se déchaîne, il n’y a pas d’autres mots ! Ayant délaissé les lolos de ma femme, révulsé, la tête en arrière, Luc semble être à deux doigts de l’explosion.— Ah putain que c’est bon !Il a craqué, il est en train d’éjaculer dans ma femme, tout en la pistonnant sans relâche. Déjà, je vois couler un liquide blanchâtre hors de ma souris, liquide qui souille un peu ses fesses, et qui se répand sur les couilles bien gonflées de son amant. À son tour, ma femme décolle dans mille petits cris. Et ce n’est que le commencement de la soirée.ConclusionLuc ne mentait pas quand il disait qu’il avait de la réserve. Lui et ma femme ont baisé des tas de fois, je n’ai pas compté, mais en me souvenant des positions, je pourrais obtenir un nombre proche de la réalité. J’ai bien cru à un moment qu’ils voulaient tous les deux passer en revue toutes les positions du Kâma-Sûtra ! Je ne dis pas qu’il a éjaculé à chaque fois, mais côté raideur, Luc a vraiment assumé !Il est vrai que, depuis un certain temps, il avait envie de s’offrir ma femme, mais il a eu beaucoup de vigueur à revendre. J’espère qu’il se calmera par la suite, où sinon, je vais m’inquiéter pour ma place d’époux légitime auprès de Céline ! En tout cas, ma femme a beaucoup apprécié ce dur et long témoignage de cette passion enfin assouvie envers elle. De son côté, elle a démontré à Luc qu’elle n’était pas tombée de la dernière pluie, ce qui a ravi son amant.De plus, impudique, ma femme n’a pas nettoyé, ou si peu, le sperme dont notre invité l’a gratifié plusieurs fois. Je sais qu’elle aime être maculée de foutre, et ce soir, elle a été servie, ses cuisses en sont la preuve évidente ! Sans compter ses lèvres intimes et son pubis ! Quand nous faisions longtemps l’amour, un des petits plaisirs consistait à laisser ma semence s’écouler hors de sa chatte, lentement, visqueusement, en fines rigoles. Ce qu’elle a pu faire aussi avec Luc. Ils sont tous les deux affalés sur le canapé, Luc tripotant un sein tout en taquinant un téton, Céline branlant sa bite bien poisseuse. C’est son amant qui rompt le silence :— Eh bé, Céline, je ne te savais pas si… euh… experte !— Avec moi, il faut dire les choses franchement, Luc.— Je savais que tu n’étais pas une oie blanche, mais te savoir si salope, ce fut une réelle découverte !— Une bonne découverte ?Luc presse le sein dans sa main, un peu de chair tendre déborde entre ses doigts rapaces :— Une très bonne découverte, une magnifique découverte ! Je comprends mieux certaines petites choses maintenant.— Lesquelles ?— Comme tu as le sang chaud, je comprends mieux cette histoire de remplaçant. À moins que, comme moi, tu avais du temps à rattraper, c’est-à-dire des années !— Comment ça, des années ? Ta dernière copine ne date même pas de quelques mois !— Ça va faire des années que j’ai envie de m’envoyer en l’air avec toi !— C’est vrai, ce mensonge ?À cette question, Luc change d’intonation :— Ha la la, ces gonzesses ! Suce ma bite, ça t’évitera de douter de moi !— Oh le gros macho !Ce qui ne l’empêche pas de s’exécuter, ses lèvres bien rouges enserrant un pieu de chair. Tout en caressant les cheveux de ma femme, Luc soupire d’aise, se laissant aller. Puis il se souvient de ma présence. Alors se tournant vers moi, il dit :— Daniel, je ne te remercierai jamais assez pour cette soirée…— J’espère pour toi qu’à la prochaine soirée, tu seras dans les mêmes bonnes dispositions que ce soir !— Pour ça, tu peux compter sur moi ! C’est quand tu veux, où tu veux !Amusé, je fais remarquer un point de détail :— C’est plutôt quand elle veut et où elle veut.— Tu n’as pas tort…Sans cesser de caresser la chevelure de Céline, il se penche vers elle :— C’est quand tu veux, où tu veux ! Et s’il faut dormir à la cave, pas de souci !Elle ôte la verge à moitié flasque de sa bouche, et annonce sur le ton de la plaisanterie :— Si tu dois dormir ici, je préfère que ce soit avec moi dans le même lit ! Mais je te préviens, tu ne vas pas beaucoup te reposer !Ma femme aurait pu me demander mon avis, concernant le lit. J’ose espérer qu’elle fait allusion à celui de la chambre d’amis, et non au nôtre ! Je veux bien partager un peu, mais pas tout ! Luc s’abandonne les yeux fermés à la douche caresse de la langue de ma femme. Il savoure cet instant suspendu. Je suppose qu’il retiendra pendant longtemps la date de cette soirée. J’essaye de m’imaginer à sa place, il y a des surprises auxquelles on ne s’attend pas du tout, même si parfois on fantasme. Mais entre rêve et réalité, il y a un gros fossé.Au bout d’un certain temps, voyant que notre invité est totalement vidé, Céline arrête sa longue et suave fellation. Je la vois qui fait des grimaces pour reprendre pleinement le contrôle de sa mâchoire. Puis elle s’affale à côté de Luc qui la serre contre lui. Les minutes s’écoulent… lentement… Je regarde le tableau qu’ils forment tous les deux dans le canapé. Dans ma tête, je me refais le film de cette soirée. Quelle étrange situation que de voir sa femme vous faire l’amour par procuration, par substitution… Revenant à lui, émergeant des brumes, Luc semble avoir eu sa dose pour la soirée :— Un grand merci pour toute cette merveilleuse soirée, mais il ne faut pas abuser des bonnes choses. Néanmoins, je suis parfaitement dispo pour recommencer le plus tôt possible, si toutefois vous n’y voyez pas d’inconvénient…Ma femme répond spontanément :— Pour ma part, je ne vois aucun inconvénient à ce que tu reviennes. Et toi, mon lapin, tu en dis quoi ?— Si tu es OK, ma souris, je suis aussi OK.Notre invité ne cache pas sa satisfaction :— Dans ce cas, je me ferai un plaisir d’honorer comme il se doit ma délicieuse hôtesse !— Je n’en attendais pas moins de toi…Alors qu’il s’apprête à répondre, il semble hésiter quelques instants, avant d’annoncer un peu incertain :— Si ce n’est pas trop abuser, j’aimerais beaucoup pouvoir vraiment passer prochainement une nuit avec Céline… comme si elle et moi, on était… enfin, vous comprenez…— Dans le même lit, je suppose… pas en discothèque…— Oh, on peut s’offrir les deux en même temps, en faisant d’abord un petit tour en boîte puis en allant faire des galipettes sous la couette !Mi-rieuse, mi-sérieuse, ma femme pose sa main sur la joue de Luc, lui disant :— Nous allons y réfléchir…Puis elle l’embrasse sur les lèvres. Une très bonne façon de se dire au revoir avec plein de promesses futures, si j’ai bien compris.ProjectionLuc est parti depuis un quart d’heure. Ma femme et moi faisons un petit câlin bien mérité. Nous discutons de ce qui vient de se passer. Ma femme me confie :— Luc est quand même un peu bourrin, mais ce n’est pas désagréable. Mais je te rassure, mon lapin, je n’ai absolument pas l’intention de te remplacer par ton copain.— Je l’espère bien, ma souris adorée !Elle me câline :— Ne t’inquiète pas, Luc est pour moi un sex-toy vivant, sans plus. As-tu déjà une femme s’enticher d’un godemiché ?— Pas à ma connaissance… Mais tu as joui comme une petite folle, ce soir !— Ne t’inquiète pas, mon gros lapin. Tu es mon mari, tu resteras mon mari.Je soupire :— Je sais bien, mais je ne peux pas m’empêcher d’être quand même inquiet ! Jamais, je n’aurais cru devoir te partager un jour !— Moi non plus… mais on ne peut pas toujours prévoir les aléas de la vie.— Oh que non ! Saloperie de maladie et saloperie de traitement !Céline devient songeuse :— J’espère bien que ton traitement sera efficace, et que tu redeviendras aussi vaillant qu’avant !— Je l’espère bien ! Voir te faire baiser par un autre m’a donné une furieuse envie de rattraper le temps perdu !— Furieusement ? Je demande à voir !— Tu verras, tu verras ! Une fois le traitement fini, je compte bien y aller de bon cœur, même si je dois frôler la crise cardiaque !Doigt sur la bouche, elle devient encore plus songeuse :— Je me demande ce que ça pourrait donner deux hommes fougueux en même temps… Oui, ça me dirait bien de tester ça un jour, peut-être dans pas très longtemps…Quand on s’aventure sur certaines pentes glissantes, il faut s’attendre à certaines surprises…