Son anniversaire – Chapitre 2
Deuxième jour de nĂ´tre week-end de rĂŞve. Deuxième passage au sex-shop. Jusqu’oĂą osera-t-elle aller cette fois-ci ?
BasĂ© sur une histoire vĂ©cue, mais agrĂ©mentĂ©e de phantasme …
Proposée le 7/01/2020 par Hellion Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurismePersonnages: FHHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Fantasme
Une fois arrivĂ©s a dans la chambre d’hĂ´tel, elle s’est jetĂ©e sur moi comme une furie, arracha mes vĂŞtements et me supplia de la baiser, ce que je fis avec grand plaisir vous vous en doutez … Nous avons fait l’amour sur le lit, sous la douche, sur les fauteuils, dans toutes les positions et tous les orifices. Ses cris de jouissances ont dĂ» rĂ©sonner dans tout l’hĂ´tel, et a en croire les Ă©chos, nous avons donnĂ©s des idĂ©es Ă d’autres pensionnaires. En fin d’après-midi elle Ă©tait comblĂ©e et moi complĂ©ment Ă©puisĂ© et « à sec ». Nous avons fait une petite sieste rĂ©paratrice, et nous nous sommes rhabillĂ©s pour aller dĂ®ner en ville. Elle se maquilla très lĂ©gèrement, mit une petite robe noire bien dĂ©colletĂ©e et … rien en dessous?! Un manteau long par-dessus, des chaussures Ă talons et nous voilĂ partis. ArrivĂ© au restaurant le serveur nous mena a notre table et pris nos manteaux. Il ne pouvait que remarquer qu’elle avait les seins libres sous sa robe et ne se gĂŞna pas pour y jeter un Ĺ“il Ă chaque fois qu’il venait s’occuper de notre table. Connaissant ma chère et goĂ»t pour l’exhibitionnisme, je savais qu’elle Ă©tait dans tous ses Ă©tat. Au moment de commander les desserts, elle refusa et ne pris qu’un cafĂ©. — Tu n’as plus faim?? — Si, mais il faut que je garde de la place pour la suite … Je savais très bien de suite il s’agissait, aussi quand nous avons quittĂ© le restaurant vers 22h30 j’ai pris directement la direction du sex-shop. Dès que nous avons passĂ© le seuil de la porte le patron nous lança « Content de vous revoir, je suppose que vous voulez une cabine?? » Les 3 clients prĂ©sents se alors retournĂ© vers nous et dĂ©shabillèrent ma femme de leurs regards lubriques. Ma femme lui rĂ©pondit « oui, bien sĂ»r mais je vais faire un tour dans la boutique d’abord … » Elle dĂ©boutonna son manteau histoire faisant apparaĂ®tre son dĂ©colletĂ© et se dirigea vers le rayons des godes. Elle observa Ă nouveau le gode immense qu’elle avait remarquĂ© la veille, mais pris un modèle de taille infĂ©rieure. Elle demanda au patron : — je crois qu’on va prendre celui-ci, je peux l’essayer d’abord ? — pas le genre de la maison, mais puisque c’est vous … il faudra juste prendre une cabine pour ça … Ni une, ni deux, elle descendit vers les cabines et je lui emboĂ®tais le pas. Elle entra dans la cabine Ă trou et me laissa la porte « non, toi tu prends celle d’à cĂ´tĂ© … ». Je m’installait confortablement et ouvrit la trappe qui donnait sur sa cabine. De son cĂ´tĂ© elle verrouilla sa porte ouvrit l’autre trappe, et enleva son manteau. Elle s’installa dans le fauteuil, remonta sa robe et dĂ©boutonna le haut pour faire sortie ses gros seins. J’aperçus alors un visage dans l’autre trappe. Elle remarqua aussi , me regarda et me fit un grand sourie, puis elle pris le gode et commença Ă ce caresser avec, elle nous fit alors un superbe spectacle s’enfonçant le gode dans la chatte tout en se caressant les seins d’une main. Cela dura un bon quart d’heure, puis elle se releva se mis a genou devant l’autre trappe et fit signe au gars de s’approcher. Il passa son membre, elle l’emboucha et … il lui Ă©jacula dans la bouche instantanĂ©ment. Elle fut tellement surprise qu’elle en avala une bonne partie. Aussi je l’interpellais — hĂ©, la gourmande, il en a ici aussi?! Elle me sourit et se traĂ®na a genou jusqu’à moi. Je passais Ă mon tour ma bite par la trappe et elle me pris en bouche . Heureusement qu’elle m’avait bien vidĂ© dans l’après-midi parce que sinon j’aurais moi aussi joui immĂ©diatement tellement j’étais excitĂ©. Pendant qu’elle me suçait j’entendais des bruits derrière la porte, apparemment il avait du monde qui attendait?! Je fini par lui remplir la bouche et retirais ma queue de la trappe, je me penchais pour la regarder et la vis se diriger vers l’autre cĂ´tĂ© oĂą une bite l’attendait dĂ©jĂ . Je sorti alors de la cabine et je me retrouvais face Ă 6 hommes qui attendaient leur tour. Le gars dans la cabine n’avait pas fermĂ© la porte et commentait Ă voix haute les talents de suceuse de mon Ă©pouse. Tous les superlatifs y passaient  » Pute, salope, chienne.. ». Un des hommes pris ma place et commença Ă se rincer l’œil — putain , c’est vrai qu’elle bonne en plus! Vas-y salope cambre toi bien qu’on puisse voir ton cul?! Apparemment elle s’exĂ©cuta, puisqu’il continua ses ordres. — Branle toi?! Etc. … Celui qu’elle suçait fini par jouir et fut immĂ©diatement remplacĂ© par un autre. Qui ne lui rĂ©sista pas bien longtemps. Et au suivant?! Pendant ce temps elle continuait Ă se donner en spectacle au voyeur. Elle avait mĂŞme remis le gode dans sa chatte et le faisait aller et venir d’une main. La position ne devait ĂŞtre confortable mais elle continuait nĂ©anmoins Ă sucer les queues qui se prĂ©sentaient Ă la trappe… Il lui ordonna de se le mettre dans la cul. Je doutais qu’elle le fasse vu la taille de l’engin mais elle s’exĂ©cuta. Le type Ă©tait comme fou, et se branlait en la regardant. Il finit par jouir tout seul comme grand. Elle fit jouir le dernier, se releva et sorti de cabine les seins Ă l’air, ils Ă©taient aux anges persuadĂ©s qu’ils pourraient en avoir plus. Elle se laissa peloter quelques secondes puis remonta sa robe. Ils insistèrent un peu mais heureusement pour elle tout resta sous contrĂ´le. Elle remonta vers la caisse posa le gode souillĂ© sur le comptoir : — je vous doit combien??
— écoute, je te le donne si tu me suce?!
— hum, d’accord?! Elle passa derrière la caisse et se mis Ă genoux devant lui. Il sortit sa queue et lui enfonça dans la bouche. C’était plus lui qui lui baisait la bouche qu’autre chose mais cela tombait bien puisqu’elle adore ĂŞtre traitĂ© de la sorte. Les mecs des cabines nous avaient suivis et admiraient le spectacle. L’un d’entre eux tendis la main et commença Ă lui Ă©craser un sein. Je sentais bien que je devais prendre le contrĂ´le de la situation parce que sinon tous ces hommes allaient la baiser jusqu’au petit matin. Ce qui Ă©tait une option intĂ©ressante, mais pas vraiment ce qui Ă©tait prĂ©vu. Aussi j’attrapais le gode et le prĂ©sentais contre son cul, elle se cambra Ă fond et je lui enfonçait dans le rectum lentement avant de commencer les vas et viens. Prise par le cul et la bouche, elle se mis Ă 4 pattes et se laissa faire. Je sortis complĂ©ment ses seins pour que les brailleurs autour d’elle puissent profiter du spectacle de cette opulente poitrine ballotant en rythme. Le caissier lui remplit le bouche de son sperme l’obligea Ă avaler, et avant que je puisse intervenir celui qui lui donnait des ordres quelques instants plus tĂ´t dans la cabine se prĂ©senta devant elle « Pars pas salope?! j’ai pas encore pu en profiter moi?!  » Et il s’enfonça dans sa bouche. Il lui baisa la bouche son tour, pendant ce temps j augmentais les va et viens dans son cul, de plus en plus vite de plus en plus fort. Elle finit par partir d’un Ă©norme orgasme, faisant sentir ses dents au passage … Je profitais du moment de flottement pour la retourner et la faire asseoir par terre. Je lui baissait complètement la robe et me branlais au-dessus de ses seins. — Viens lĂ , qu’on t’arrose gourmande?! Elle pencha la tĂŞte en arrière la bouche ouverte en tirant la langue. Comme prĂ©vu, les gars se mirent en cercles autour d’elle et se branlèrent leur tour. Et chacun d’eux lui envoya une giclĂ©e de sperme sur les seins, le cou ou le visage. Elle caressa ses seins recouverts, se lĂ©cha les doigts et me tendit la main pour que je la relève. Elle remonta sa robe, un des type lui pelotait le cul, elle le repoussa gentiment mais fermement. Le caissier mis le gode dans un petit sac : — Voici, Madame, chose promise…
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