Son patron m’avait indiqué qu’elle était lesbienne…Stéphanie était ma comptable externalisée depuis plusieurs années déjà. Une fille qui avait du chien et de la classe, un mètre soixante-dix environ, brune aux cheveux mi-longs, très mince, et toujours habillée avec goût et un rien de sexy. Et une bonne dizaine d’années de moins que moi.Au début, lorsque j’étais venu voir son patron pour négocier ses services pour ma SARL, il m’avait prévenu :— Pour le moment, je n’ai que Stéphanie de disponible pour votre société, mais c’est provisoire. Dès que je pourrai, je vous basculerai sur une autre comptable.— Pourquoi ? demandai-je.— Écoutez, elle n’aime pas du tout les hommes, toujours des conflits, et je ne lui confie que des clientes femmes. Ceci étant, elle est très efficace.Bon, ça commençait bien, il me mettait avec une femme qui n’aimait pas le relationnel, voire plus, avec les hommes. On verrait bien…— Ok, va pour Stéphanie.S’ensuivit une longue conversation sur le montant de la lettre de mission, les modus operandi, etc.Deux ou trois années passèrent, et je n’eus qu’à me féliciter des services de Stéphanie. Nous nous vouvoyions toujours depuis le temps, bien qu’elle tutoie mes employés, et elle me prenait fortement la tête tous les mois de février et mars, en période de bilan.À deux reprises, son patron me proposa de me changer de comptable, chose que je refusai, car malgré son caractère, elle était vraiment très forte dans son métier.Parfois, même, elle m’engueulait carrément. Un chèque mal dirigé, un oubli de mention d’exonération de TVA, bref, toujours à râler.Puis arriva ce 7 juin mémorable.J’étais allé, comme tous les mois, déposer la compta à Stéphanie.Lorsque la secrétaire la prévint de ma présence, elle sortit de son bureau, et elle était magnifique. Une petite robe d’été assez courte, à mi-chemin de ses genoux et de son sexe, des talons hauts noirs.Comme d’habitude, elle me serra la main, puis m’indiqua le bureau d’accueil. J’entrai, et posai ma sacoche sur le bureau en verre, vierge de tout objet, mis à part le téléphone.Elle entra ensuite, et déposa quatre boîtes d’archives par terre. Je me posai du reste la question du pourquoi elle ne les posait pas sur le bureau.— Asseyez-vous, Olivier, me dit-elle en me désignant le siège situé en face du sien. J’ai un souci sur votre compta du mois dernier, j’ai un montant hors-taxes et ne trouve pas de facture d’export. Vous savez que c’est très réglementé, il faut être hyper vigilant !Tout en commençant ses habituelles remontrances, elle posa les mains sur le bureau, et se pencha vers moi. J’avais une vue plongeante sur sa poitrine maintenue par un magnifique soutien-gorge noir. Bizarrement, plusieurs boutons de sa robe étaient dégrafés…— En cas de contrôle fiscal, il faudra prouver que les marchandises ont bien quitté la France, et je ne trouve rien, pas de preuve d’envoi, pas de facture. C’est quoi, ce montant hors-taxes ?— Justement, Stéphanie, j’ai vu ça, et je voulais vous avertir que c’était une erreur, nous avons par mégarde mis le taux de TVA d’un article à zéro, mais il faut bien mettre la TVA sur ces ventes. C’est un article à 1 € que nous avons vendu cent treize fois, d’où les 113 € HT. En fait, c’est du TTC.— Mais Olivier, comment voulez-vous que je m’en sorte, si vous faites des trucs pareil ? Vous ne vérifiez pas ?Plus elle parlait, plus elle se penchait vers moi. Je voyais non seulement sa poitrine, mais aussi son ventre plat, et je devinais plus ou moins les contours de sa culotte.Noire aussi !Il me revint en mémoire une conversation, l’année précédente, ou elle me demandait pourquoi j’étais toujours habillé en noir. Je lui avais répondu que c’était une couleur que j’aimais, en plus d’être passe-partout.Stéphanie prit la feuille de caisse incriminée, puis fit le tour du bureau pour se mettre juste à côté de moi, toujours assis, elle debout.— Je ne peux pas passer mon temps à chercher à comprendre… La compta, c’est rigoureux, il faut être attentif, soigneux, c’est important, quand même ! Tenez, je vais vous montrer, sur le mois d’avant, je suis sûre de tomber sur une autre anomalie !Tout en disant cela, elle me tourna le dos, s’accroupit, et entreprit de fouiller dans une des boîtes d’archives. Sa robe était tendue sur ses fesses, je distinguais l’empreinte de sa culotte. Un string ! Noir, ça se voyait à travers.Ses fesses étaient à moins de vingt centimètres de mon genou gauche…J’avais chaud, d’un coup. Ce magnifique fessier à portée de main, le fait qu’elle n’arrêtait pas de me faire des remontrances, sa robe soigneusement dégrafée… J’hésitais…Tout en fouillant la boîte d’archives, elle se tortillait de droite à gauche, et je contemplais son magnifique cul, qui semblait m’appeler…Le cœur à 200, je fis tourner le fauteuil pour être bien derrière elle puis, prenant mon courage à deux mains et me penchant vers elle, je lui saisis les fesses.Le temps sembla se figer… Elle ne bougeait plus, moi non plus. J’avais une main sur chacune de ses fesses, et j’attendais plus ou moins qu’elle se retourne et… m’en retourne une dans la figure.Vu qu’elle ne bougeait toujours pas et ne disait rien (ce qui était rare), le cœur à 250 maintenant, j’entrepris de remonter doucement sa robe vers le haut.Elle cambra encore plus ses reins…Je quittais le fauteuil, et me mis à genoux derrière elle. Sa robe était maintenant sur ses reins, j’avais une vue plongeante sur ses fesses, et la petite sangle noire du string qui les séparait.Je lui malaxai les fesses, qui étaient vraiment à mon goût. Mon pouce glissa de haut en bas dans sa raie, le long du string, j’appuyai au passage sur son petit trou, puis commençai des va-et-vient sur son clitoris.— Olivier, fermez la porte à clé, s’il vous plaît.Tiens, plus de remontrance ? Je me relevai, fis demi-tour, et je donnai un tour de clé. Nous étions tous les deux enfermés dans ce petit local, avec ce grand bureau de verre.Je repris ma place, tout en lui mettant une main sur la chatte et en la masturbant à travers le string.— Stéphanie, ça fait trois ans que vous n’arrêtez pas de me reprendre, de me gronder, de critiquer ma façon de travailler. Ça fait aussi trois ans que de temps en temps, je me masturbe en fantasmant sur vous. Aujourd’hui, c’est mon tour, c’est à moi de m’occuper de vous, je vais profiter de vous et vous rendre la monnaie de votre pièce.— Olivier, ça fait trois ans que j’essaye d’attirer votre attention, que je m’habille comme une femme quand je sais que vous venez, et jamais, au grand jamais, vous n’avez eu pour moi une parole autre que concernant le boulot… Pour vous, je n’existe pas, pourtant, j’ai fait des efforts… Alors aujourd’hui, j’ai envie que vous me baisiez, que vous me défonciez, comme un homme prend une femme, sans prendre de gant. Faites-moi tout ce que vous voulez, allez-y, mon corps est à vous, ce matin. Jamais un homme ne m’a fait d’effet, sauf vous, et vous, vous ne me voyiez même pas ! Il a fallu que je vous mette mon cul sous le nez pour qu’enfin, vous réagissiez…— Mais Robert (son patron) m’avait dit que vous aviez des difficultés de communication avec les hommes ?— Oui, c’est vrai. Continuez à me caresser le cul, j’aime ça. Mais vous, je sais pas pourquoi, j’ai envie que vous me preniez. Quand j’ai envie d’être bourrée, je prends un gode, mais là, j’ai envie que ce soit vous qui me défonciez la chatte, et qui me fassiez tout ce que vous voulez, comme vous en avez envie !Quand une femme accroupie, les fesses à l’air, cambrée, vous dit des choses comme ça, il vous vient automatiquement des idées lubriques…Je dégrafai mon pantalon, j’ouvris ma ceinture, et pris mon sexe en main. Il était dur, ce qui n’était guère étonnant. Je me mis tout contre Stéphanie, et mon sexe vint frotter contre son string et donc sa chatte.Pendant ce temps, j’entrepris de lui faire passer sa robe par dessus la tête. Elle m’aida, et se retrouva à quatre pattes, en string et soutien-gorge, et toujours ses talons hauts.Hop, dégrafé, le soutien-gorge. Stéphanie l’enleva et le jeta dans un coin. Elle avait des petits seins, que je m’empressai de prendre en main et de malaxer. Je sentais les bouts tout durs dans ma paume.Je me relevai, et en quelques secondes, j’enlevai tous mes vêtements, que je posai sur le fauteuil.Ensuite, je me mis à genoux devant Stéphanie, lui pris la tête avec mes deux main, et la guidai vers mon sexe. Immédiatement, elle me prit dans sa bouche. Elle suçait agréablement, lentement, sa langue me caressait le bout du sexe en même temps. Je lui posai une main sur la tête, et appuyai dessus pour qu’elle m’enfourne profond. On resta quelques secondes comme ça, c’était divin.Je repassai derrière elle, et la plaquai contre moi. Ma main droite descendit le long de son ventre, jusqu’à la culotte, et s’insinua dedans. À mon grand plaisir, je découvris que Stéphanie avait une chatte un peu fournie, ce que j’adore. Je n’aime pas les chattes épilées. Je tentai d’introduire un doigt dans son ventre, et vu l’état d’humidité de la demoiselle, il rentra tout seul.De la main gauche, je lui descendis le string derrière, jusqu’aux genoux. Stéphanie m’offrait son cul sans retenue. Elle avait la tête baissée, comme soumise. Cela ne lui ressemblait pas !Passant la main gauche entre ses jambes, je la pénétrai avec mon majeur. J’avais deux doigts en elle, et elle semblait aimer. J’humidifiai soigneusement mon doigt, puis tout en glissant le long de sa peau, je le présentai devant son petit trou.Instinctivement, Stéphanie écarta ses fesses !Je la forçai doucement, mais le doigt rentra facilement. Je l’enfonçai jusqu’à la garde. Pour la première fois, Stéphanie eut un petit gémissement. Douleur ou plaisir ? Pour le savoir, je commençai à faire des allers-retours, dans son cul. Stéphanie gémissait en rythme, de plaisir, manifestement.— Vous savez quoi, Stéphanie ? Pour les remontrances, je vais vous ramoner la chatte. Pour les engueulades, je vais vous enculer, et pour vos critiques permanentes, je vais jouir dans votre bouche !— Vous dites ça car je n’ai pas mon gode ceinture, sinon, c’est moi qui vous ramonerais votre petit cul ! Profitez-en, aujourd’hui, j’ai envie d’être défoncée par un homme, enfin, par vous !Un gode ceinture ? Mais elle voulait m’enculer, en plus ? Ceci dit, à cette évocation, mon sexe durcit encore un peu plus.— Levez-vous, Stéphanie.Je l’aidai à se remettre debout, dos à moi, et je me collai à elle. D’un mouvement de jambe, elle éjecta le string. Elle était nue, sauf ses chaussures. Je la fis pivoter vers le bureau, puis je lui appuyai sur les épaules. Elle comprit, et se mit à plat ventre sur la table. Heureusement qu’il faisait chaud, le verre, ça devait pas être très agréable, comme contact.Une fois Stéphanie allongée sur le bureau, les seins aplatis par la table, je lui écartai les jambes. Je m’accroupis, et commençai à lui lécher le sexe. Il avait un goût très agréable. Ma langue lui titillait le clitoris, puis les grandes lèvres. Je l’enfonçai dans son ventre, c’était chaud, humide, odorant, un vrai bonheur…— Humm, c’est bon… J’aime quand vous me léchez la chatte, Olivier… Continuez, et léchez-moi aussi le cul, je suis très sensible de ce côté-là…Je remontai ma langue, et commençai à lui lécher son petit trou. Je tentai de forcer un peu le passage, et ma langue pénétra ma comptable de quelques centimètres. Je reculai un peu ma tête, j’avais les fesses de Stéphanie à quelques centimètres de mon visage. Quel spectacle sublime.— Stéphanie, vous avez vraiment un cul magnifique, et j’adore le goût de votre chatte !Je me remis debout derrière elle. Je mis mon sexe face au sien, et d’une seule poussée, je la pénétrai.Son ventre était chaud et humide, mes mouvements s’accéléraient. D’une main, je lui tenais les hanches, de l’autre, je la masturbais. Elle commença à haleter, les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres… Comme je sentais que je n’allais pas tarder à jouir à ce rythme, je ralentis un peu la cadence.Son sexe coulait… Avec mon doigt, je prenais sa mouille, et lui enduisais le trou du cul, de plus en plus profondément. Stéphanie haletait de plus en plus. D’un coup, je sortis de son ventre, lui écartai les fesse, et je positionnai mon sexe devant son anus.— Olivier, allez-y, enculez-moi, mais promettez-moi qu’après, c’est moi qui vous sodomiserai. D’accord ?Je faillis jouir quand elle dit ça…— Mais comment ferez-vous, Stéphanie, sans gode ?— Il est dans mon sac, dans la pièce à coté. Allez-y, défoncez-moi, faites-vous du bien, ne pensez pas à moi, prenez votre pied ! Et après, c’est moi qui vous ramonerai. Promis ? Ça fait deux ans que je me branle et que je me doigte en fantasmant que vous m’enculez et qu’ensuite c’est moi, alors aujourd’hui, on le fait. D’accord ?— D’accord, Stéphanie, je vous encule, puis ensuite, vous me défoncez le cul avec votre gode.Je guidai mon sexe entre ses reins. Il rentra difficilement, Stéphanie était un peu serrée, et je ne voulais pas lui faire mal non plus.Enfin, au bout d’une minute, j’étais enfoncé en elle.— Ça va, Stéphanie, je ne vous fais pas mal ?— Non, c’est bon, votre bite n’est pas trop grosse, elle est juste comme j’aime… Allez-y doucement au début. Après, quand je vous enculerai, je vous promets que je vais aussi vous vider les couilles, vous verrez !Quelle langage surprenant, je n’imaginais pas Stéphanie comme ça !Je commençai mes va-et-vient, de plus en plus vite… La jouissance n’était pas loin… Tout à coup, juste avant de jouir, je sortis mon sexe des reins de Stéphanie, la redressai et la retournai face à moi. Je lui appuyai sur les épaules, elle comprit et se mit à genoux devant moi. Mon sexe était au niveau de sa figure…— Je vous l’avais promis, Stéphanie, je vais vous jouir dessus, je veux vous asperger de mon sperme, pour toutes les fois où vous m’avez réprimandé, alors que c’est moi qui paye vos services…— Allez-y, aspergez-moi, je n’attends que ça…Elle ouvrit la bouche, la tête un peu inclinée en arrière, et elle me regarda dans les yeux. Je me masturbai rapidement, et je jouis, mon sperme gicla droit dans sa figure…Elle ne bougea pas, tout au plus ferma-t-elle les yeux…Je me vidai sur elle. Elle avait du sperme sur son front, ses joues, il coulait le long de son nez. Elle en avait aussi un peu dans la bouche.Elle prit mon sexe dans sa main, et le masturba un peu, histoire d’en extraire tout le jus. Puis, elle l’emboucha, et le lécha des bourses jusqu’au gland, comme pour le laver. Ensuite, elle se releva, prit son string par terre, et s’essuya la figure avec, soigneusement.Elle revint devant moi, face à face. Elle prit à nouveau mon sexe, plus particulièrement mes testicules, les serra juste un peu. Elle avança son visage vers moi, et m’embrassa sur les lèvres, un tout petit baiser, à peine effleuré…— Merci Olivier… Merci ! Ne bougez pas, je reviens.Elle prit sa robe, l’enfila, ferma les trois boutons ouverts en mon honneur. Arrivée devant la porte, elle se retourna, me sourit, un doigt sur les lèvres…— Je reviens de suite, ne bougez pas, restez à poil, c’est à mon tour.— Stéphanie, avez-vous joui ?— Oui, au moins trois fois… C’est génial. Je reviens.Rapidement, elle sortit de la pièce en refermant la porte. J’étais un peu inquiet, si quelqu’un rentrait… La poignée pivota, et Stéphanie refit son apparition, un sac à la main. Elle ferma la porte, donna un tour de clé.— Olivier, vous m’avez bien baisée, vous m’avez bien ramoné la chatte et le cul, et j’ai beaucoup apprécié. Vous êtes à la fois dur et doux, c’est extra. Maintenant, c’est à moi.Mettez-vous à ma place !— Euh, je sais pas si…— Silence, à plat ventre sur le bureau !Tout en me donnant ses ordres, elle enleva sa robe, ouvrit son sac, et en sortit un gode ceinture de couleur bleue. Quelle drôle de couleur pour un gode ! Heureusement, il n’était pas très gros, la moitié de mon sexe, qui n’est déjà pas une référence… Je regardai Stéphanie enfiler le gode comme un slip, puis serrer les sangles.— J’ai du gel, Olivier, vous voulez que je vous en fourre dans le cul ?— Euh, oui, avec plaisiiiiiiiiiiiiirrrrrrrrrrrr !Stéphanie venait de m’enfiler profondément un de ses doigts. J’entendais les bruits du flacon de gel, et sentais son doigt qui rentrait et sortait, la sensation de frais du gel…Tout à coup, j’eus un mouvement d’esquive…— Olivier, ne bougez pas, laissez-moi faire.Elle venait de me mettre deux doigts dans le cul… Enfin, je sentis quelque chose de doux, rond, contre mon œillet. C’était le gode.— Olivier, rien que de voir ce gode prêt à vous enculer, je jouis comme une folle… Je n’ai jamais connu ça ! Vous êtes gentil, intelligent, respectueux, sympa, vous avez du fric, et moi, je vais vous enculer profond, et vous l’acceptez pour me faire plaisir ! Si je devais être avec un homme, ça ne pourrait être que vous, tous les autres, je les abhorre…Et en disant cela, elle me pénétra d’une seule poussée. La sensation n’était pas, mais alors pas du tout, désagréable. Stéphanie me saisit les hanches d’une main, et mon sexe de l’autre. Elle me prenait comme je l’avais prise avant !Ses va-et-vient devinrent de plus en plus rapides et gagnèrent en amplitude, et je commençai à trouver ça agréable. Mais que m’arrivait-il ? Je n’avais jamais eu de pulsion homosexuelle avant ? Enfin, homosexuelle, avec une magnifique brune que vous venez de baiser avant… Mouai.Stéphanie me branlait de plus en plus, en serrant mon sexe dans sa main. Celui-ci, à ma grande surprise, reprenait de la vigueur.— Olivier, je vous baise, je vous encule, je vous… Je vous… Je…— Oui, vous m’enculez, vous me branlez, c’est bon… Vous quoi, Stéphanie ?— Je…— Stéphanie, hum, je viens de vous baiser, de vous enculer, de vous jouir sur la figure, vous êtes en train de m’enculer à fond et de me masturber les couilles, et pour une fois, vous ne savez plus que me dire ?— Olivier, je vous… Ahhh…— Quoi Stéphaniiiiiiiiiiiiiiie (elle venait de me serrer très fort le sexe, j’allais éjaculer encore, ça venait) ?— Olivier, je rêve de vous, vous partagez mes fantasme, je pense à vous tous les jours, je me masturbe en imaginant que vous me baisez, sous la douche, dans la voiture, partout, vous m’avez fait vibrer et jouir comme jamais, je vous… Je vous aime, Olivier !Et en disant cela, elle m’enfonça le gode à fond, et s’affala sur moi, en me serrant très fort de son bras libre, l’autre main me masturbant toujours…Cela me fit jouir, mon sperme gicla par terre. Stéphanie me fit un anneau avec ses doigts, et me serra la base des testicules fortement, ce qui vida complètement mon sexe.Pendant deux minutes, nous restâmes dans la même position, Stéphanie collée contre moi, plantée en moi, ses doigts serrés autour de mon sexe…Enfin, elle se redressa, sortit doucement le gode de mes reins. Je me redressai, me retournai. Je la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Je sentais le gode sous mes couilles… Ma bouche s’approcha de la sienne, elle pencha un peu sa tête, et nous échangeâmes un long baiser, très tendre et très passionné.— Stéphanie, vous venez de me faire vivre le meilleur moment sexuel de mon existence, et je vous jure que c’est vrai. Vous êtes jolie, belle, même, vous avez un corps de rêve, un cul pas possible, vous êtes chaude, humide, profonde, vous êtes aussi dominatrice ? C’est fantastique !— Excusez-moi pour ce que j’ai dit en jouissant, c’était très bête…— Non, ce n’était pas bête, c’était… fort. Je vis seul, Stéphanie, depuis mon divorce. Vous, vous avez plutôt des penchants pour les femmes, non ?— Euh, oui, mais surtout pour… vous, en fait. Ne me demandez pas pourquoi, mais c’est ainsi !— Vous voulez qu’on essaye de faire un bout de chemin ensemble, pour voir ?— Et qu’on s’encule comme on vient de le faire, Olivier ? J’adorerais… J’aime ça, avec vous. J’ai envie de faire l’amour avec vous, de manger avec vous, de sortir aussi, tout, quoi…— Mais je vous préviens, le soir, il m’arrive très fréquemment de travailler, vu qu’au magasin, c’est assez difficile avec les clients.— Rassurez-vous, c’est aussi mon cas, on fera des longues soirées travail, ponctuées de pauses câlines…— Au passage, Stéphanie, vous ne croyez pas qu’on pourrait se tutoyer ? Cela fait maintenant trois ans que l’on se connaît ?— Vous avez… Tu as raison ! Mais avant que j’emménage chez toi, on fait un test sur un mois, ok ?— Ça me va !Quelle journée !