Que son amie Cécile lui propose de sortir entre filles était fréquent, mais la sortie de ce soir était, disons particulière. Ma femme et son amie devaient pour la première fois se rendre à un spectacle de Cheapendales. Elles avaient déjà vu plusieurs fois des affiches pour des spectacles qui passaient dans la région et avaient à plusieurs reprises dit qu’elles s’y rendraient, mais sans jamais franchir le pas. Cette fois, Cécile avait pris les billets pour les deux et une fois les quatre-vingt-dix euros dépensés, elles ne pourraient plus revenir en arrière sans jeter de l’argent par les fenêtres. Elles s’étaient donné rendez-vous à la maison. J’étais en déplacement, son mari aussi. La baby-sitter était prévue pour garder l’ensemble des enfants à la maison. Ainsi entièrement libérées, les deux femmes pouvaient profiter une fois dans leur vie d’un spectacle réservé aux filles. La salle pour le spectacle, elles la connaissaient. On pouvait y accueillir une centaine de spectatrices massées autour d’une scène en arc de cercle posée là pour le spectacle. Car en dehors des shows, la salle servait de restaurant.—oooOooo—Cécile arriva à 20h30 à la maison. La baby-sitter était déjà là. Les enfants étaient déjà en pyjama. Pour l’occasion, Cécile avait mis une jupe courte (pour elle), c’est-à-dire au-dessus du genou. Celle-ci était assez étroite, noire en matière synthétique moulante. Au-dessus, un petit chemisier blanc tout simple sur un soutien-gorge assorti qui soulignait sa poitrine dont le 90C faisait se retourner plus d’un homme sur son passage.— Salut Cécile, ouahhh, cela te va super bien quand tu mets des petites jupes moulantes !— Salut Hélène. Je trouve que cela me fait de grosses fesses.— Tu rigoles, elles sont très bien tes fesses. Par contre, si j’avais une remarque à faire, c’est que tu n’as pas choisi le bon slip.— Pourquoi ? On voit qu’il est blanc ?— Non, mais il te marque la jupe et ce n’est pas ce qu’il y a de plus élégant.En allant se regarder dans la glace du couloir, Cécile s’inspecte sous toutes les coutures pendant que les enfants font déjà une bataille entre eux dans la salle de jeu.— Je ne vais quand même pas y aller sans culotte quand même !— Comme tu veux. Soit tu y vas sans, soit je te passe un string qui ne se verra pas du tout dessous.— Tu en as un blanc ?— Pas de problème, tu sais Éric m’en ramène de toutes les couleurs de ses déplacements. Viens choisir celui qui te plaît le plus.Les deux femmes se dirigent vers la chambre où Hélène découvrant deux tiroirs du dressing, présente sa collection.— Jamais je n’aurais pensé que tu pouvais avoir autant d’ensembles. Tu as déjà compté ?— Oui, quarante-sept actuellement. Plus les dépareillés. Autant dire qu’il vaut mieux que j’évite de trop grossir, car sinon, cela me limitera beaucoup dans mon choix.Tout en regardant différents modèles entre dentelles, lingerie fine, string se limitant à sa plus simple expression, Cécile cherche le modèle qui pourra lui convenir et qui donnera un petit piment supplémentaire à cette soirée. Quitte à changer, autant se lancer, car les strings fins sont peu nombreux dans sa garde-robe. Un modèle lui plaît plus que les autres, un string au V assez étroit, mais pas trop car son rasage n’est pas hyper fin. Certes sa blondeur naturelle et sa faible pilosité ne nécessitent pas un passage trop fréquent chez l’esthéticienne, mais son V naturel faisant malgré tout une dizaine de centimètres en haut, elle a dû éliminer quelques exemplaires de la collection d’Hélène. Elle regarde bien que les enfants ne puissent la voir du couloir et enfile le petit morceau de tissu. Elle se retourne machinalement quand elle remonte sa jupe moulante pour permettre au string d’aller jusqu’à sa position finale. Hélène lui propose de vérifier devant l’une des glaces du dressing le bon positionnement. Cécile se retourne ensuite :— Qu’en penses-tu ? Pas trop petit ?— Non, juste à la bonne taille. Pas de poils qui dépassent, il te fait de superbes fesses. Descends voir la jupe pour voir le final.Pendant que Cécile s’exécute, Hélène lui fait faire un tour sur elle-même.— Impeccable, pas de trace, tu vas les rendre fous, les Cheapendales. Bon, maintenant on y va, sinon on aura du mal à trouver de la place.Après un bisou aux enfants, les deux filles montent dans le petit coupé d’Hélène. Quitte à faire, autant arriver en faisant baver les autres filles. Car ce soir la concurrence est rude. Même si elles n’y ont jamais mis les pieds, les deux copines pensent que ce genre de soirées attire des femmes qui se seront toutes mises sur leur 31 comme elles pour attirer inconsciemment le regard des danseurs, même si ceux-ci sont des blasés, à force de se produire devant des milliers de femmes. Cécile qui n’a pas l’habitude de ce genre de voitures basses, voit sa jupe remonter jusqu’en haut de ses cuisses. Elle a beau essayer de rallonger celle-ci une fois en place, le siège baquet empêche tout mouvement du tissu. Bon de toute façon, il fait nuit maintenant en ce mois de mai et il n’y aura pas beaucoup de routiers à cette heure-là pour profiter du spectacle.—oooOooo—Un quart d’heure plus tard, le coupé arrive sur le parking du restaurant et effectivement, il y a déjà foule. Une cinquantaine de voitures est déjà garée. Cécile remet vite sa jupe moulante à peine extraite de la voiture en vérifiant que personne ne l’a remarquée. Pour Hélène, cela a été plus simple. Elle a mis ce soir un corsaire blanc qui se termine juste sous le genou et à taille basse. Le haut est composé d’un soutien-gorge faisant ressortir son peu de poitrine (85B), le tout étant mis en valeur par un chemisier court noué juste en dessous du soutien-gorge, laissant apparaître son nombril, sa taille et ses hanches qui malgré ses 38 ans n’ont rien à envier à beaucoup de petites jeunettes de la génération MacDo. Elle se trouve d’ailleurs très craquante et fait attention à son physique. Ses cheveux blonds sont ce soir éclatés dans tous les sens par le gel ce qui la grandit encore et lui donne pas loin d’une tête de plus que Cécile. Comme la température est encore de 25°C, elle n’a pas pris de veste et son chemisier sans bouton ne la protégerait pas beaucoup d’un coup de froid en hiver.D’un pas alerte pour éviter de se faire piquer une bonne place, les deux filles accélèrent le rythme au moment où d’autres voitures arrivent. Les filles qui attendent pour entrer se retournent pour comparer qui est la plus élégante. Et à ce jeu, on peut dire que les gagnants seront ce soir les danseurs, car sur la dizaine de filles qui attendent, aucun laideron, aucune faute de goût. Le vigile vérifie chaque ticket avant d’autoriser l’entrée. À l’intérieur, une des serveuses sert de vestiaire, le patron du restaurant aidant au placement avec deux serveuses. C’est le seul homme de la soirée en dehors des danseurs et des trois vigiles. Au moment où il reconnaît ma femme, il vient vers elle pour la saluer et lui demander de mes nouvelles.— Alors ça y est, vous vous êtes enfin décidée à venir au spectacle. Vous ne serez pas déçue. Et pour mieux profiter de celui-ci, je vais vous emmener sur les places VIP.Mon épouse n’a pas encore le temps d’esquisser un mot que celui-ci l’entraîne avec Cécile vers les premiers rangs. Deux rangées ont été marquées « Réservé » et c’est le patron du restaurant qui y place les femmes qu’il estime être les plus à même d’occuper ces places. Elles ne sont que cinq jusqu’à présent, assises sur les quatorze places marquées. Hélène et Cécile préfèrent se mettre au second rang, sait-on jamais, des fois que les danseurs choisissent des volontaires d’office. Elles viennent pour le spectacle, certes, mais il faut malgré tout rester sage. Ne sont-elles pas mariées l’une et l’autre et mères de famille ?La salle étant encore parfaitement éclairée, c’est l’occasion en s’installant de jeter un regard sur les autres femmes de l’assistance afin de vérifier qu’il n’y a pas une voisine, une cliente ou toute femelle du coin qui pourrait jaser sur leur compte. « Pour l’instant, personne que je connaisse », se dit Hélène, puis regardant Cécile qui fait la même chose :— Remarque, on s’en fout ! Si une femme que l’on connaît est présente, elle est là pour la même chose que nous, alors pas de soucis.Dix minutes plus tard, alors qu’elles sont en train d’échanger des banalités, la salle pleine se transforme soudainement en caverne sombre. Premiers cris de la foule. Plus de cent femmes qui attendent pour certaines depuis plusieurs mois, voire plusieurs années de voir des hommes autres que leur mari se déshabiller devant elles. Et quels hommes. D’après les photos à l’entrée, tous beaux, tous bronzés, tous musclés, bref le rêve… Les ultras-violets s’allument, la musique commence sur un rythme soutenu et un projecteur s’allume pour présenter un beau marin en tenue blanche. Casquette sur la tête, gants blancs, le prestige de l’uniforme continue de sévir, surtout avec ce genre de militaires.Après avoir fait le tour de la scène et embrassé du regard la salle, le Cheapendale commence sa danse sous les sifflets des filles. Quand un objet quitte le beau brun sur scène c’est toute la salle qui lance un hourra. Les cris s’amplifient quand le mâle du nom de Tonio se sépare de sa veste et laisse apparaître des muscles saillants, des pectoraux sculptés et des tablettes de chocolat qui n’ont pas fondu au soleil ou aux UV pour obtenir un tel teint. Là, 95% des filles se disent qu’elles aimeraient bien avoir la même chose à la maison, rien que pour toucher, balader leurs mains sur ces muscles durs, poser leurs têtes sur la poitrine et se sentir toutes petites et fragiles entre les mains de cet homme. Voilà ce qui fait le charme et le succès de ces danseurs, plus encore qu’ils finissent nus sur scène.Pour défaire la ceinture du pantalon, Tonio fait monter une première femme sur scène, choisie parmi les places VIP. Tout en se frottant contre elle (une jolie brune aux cheveux longs et à la poitrine généreuse), il la guide pour qu’elle le défasse de l’objet. Faisant dos à la belle brune, il balance son corps de droite à gauche et, posant les mains de la jeune femme sur son torse, l’oblige à le caresser. Mais, très vite, les autres femmes se rendent compte qu’elle ne se sent pas très contrainte et qu’elle profite de l’opportunité pour faire le tour du buste. L’homme guide ensuite une main jusqu’à la fermeture éclair. Là, tout en continuant à onduler pour ne pas lui faciliter le travail, il lui demande de défaire les boutons, un à un. Une fois, fait, il fait demi-tour et elle peut pour la première fois voir le boxer du danseur. Elle doit maintenant faire descendre le pantalon jusqu’en bas. Elle en profite pour passer ses mains sur les fesses fermes et musclées et doit pour accompagner le mouvement se mettre accroupie. Une fois le pantalon enlevé, Tonio raccompagne l’assistante sous les hourras d’une centaine de jalouses.Vient le tour de choisir une deuxième assistante pour finir le travail. Durant trois minutes, elle va se trouver sur scène à tenter d’enlever le boxer pour laisser apparaître un string cachant lui-même un autre string plus petit. Le show de Tonio se termine ainsi sans aller au bout, mais les filles sont quand même réjouies.Le deuxième danseur, un blond aux cheveux longs en tenue de ville avec cravate et costume, poursuit le show. Là aussi, deux filles participent à l’effeuillage qui se termine lui aussi sur un tout petit string. Le troisième danseur est noir, pas loin des deux mètres de haut avec un visage carré inspirant la force. Son strip-tease commence comme pour les autres. Puis il vient chercher Cécile. Elle ne veut pas monter sur scène, mais sa poigne ferme et les encouragements des autres filles ne lui laissent pas vraiment le choix. Cécile se sent toute gauche sur cette estrade. Elle s’aperçoit qu’une fois là, on ne voit quasiment pas la salle, aveuglée par les spots éclairant la scène. Cela la détend un peu de ne pas se sentir finalement épiée par cent paires d’yeux. Avec son mètre soixante-cinq, elle se sent ridiculement petite, encore plus qu’à côté de son mari.Pourquoi d’ailleurs penser à son mari en pareille circonstance ? Tout simplement parce qu’en d’autres circonstances, en face d’un homme en caleçon, à lui ôter celui-ci, cela s’appellerait de l’adultère. Mais là, c’est toute autre chose, un spectacle, et certainement la première et dernière occasion pour elle de se voir dans pareille circonstance. Quittant toutes ces pensées qui assaillent son esprit, elle se rend compte qu’elle a déjà enlevé le boxer et que ses mains sont en train de faire descendre le string. Mais à sa grande surprise, là, il n’y a pas de troisième couche. Certes, elle ne voit que les fesses de sa position, mais les cris de stupeur, de joie du public viennent confirmer sa vision postérieure de la scène. Et quand le danseur se retourne alors qu’elle est encore à genoux, elle se trouve nez à nez avec un sexe dont jamais elle n’aurait pu imaginer l’existence en taille. Celui-ci n’est pas en érection et pourtant, il fait déjà vingt centimètres. Elle ne peut bouger et détacher son regard de ce spectacle et c’est le danseur prénommé Maloum qui la fait se redresser pour la raccompagner à sa place. Rouge comme une pivoine, elle s’assied comme une enfant qui aurait touché un bonbon sur un étalage et qui aurait été surprise par la vendeuse.Alors que le danseur suivant entre en scène, elle se tourne vers Hélène.— Tu as vu cet engin ? Jamais je n’en avais vu comme cela avant !— Moi non plus, répond Hélène, mais bon, je dois t’avouer qu’avant mon mari, je n’en avais touché qu’une autre.— Je n’en ai pas touché beaucoup plus, mais jamais comme cela.Durant cinq minutes les filles continuent leur conversation en jetant des coups d’œil sur le spécimen suivant, un brun aux yeux verts, grand lui aussi avec un type italien. Il fait penser à Hélène qu’il est le genre d’homme qu’elle a toujours recherché sans tomber dessus. Son mari, moi, n’étant pas vraiment dans le même cliché. Hélène est d’autant plus surprise quand c’est elle que le beau mâle vient chercher pour finir l’effeuillage. Il la conduit sur le centre de la scène et pendant qu’il lui fait faire quelques pas de danse, elle se demande si elle aussi va se trouver face à un sexe, ou si cela va se terminer avant. Son déguisement de policier est des plus restreints : un short, une ceinture avec des menottes, un pistolet et une matraque, sans oublier la casquette encore sur la tête. Pendant qu’il fait défaire la ceinture à ma femme, il se saisit des menottes et les passe aux mains de mon épouse. Celle-ci s’en rend compte mais ne peut que constater les liens qui la bloquent dans ses mouvements. Elle qui voulait profiter pour pouvoir caresser le torse et les fesses de l’Italien…Le danseur passe dans le dos d’Hélène, lui fait mettre les mains attachées en l’air et desserre le nœud qui lie son chemisier. Celui-ci s’ouvre et laisse apparaître le soutien-gorge pump-up de mon épouse. Les filles rient et applaudissent. Certaines scandent même « Le soutif, le soutif ». Mais le danseur n’a pas dans ses projets cette partie. Il défait une menotte. Ma femme se dit qu’enfin elle va voir les mains libres, mais c’est pour venir lui attacher les mains dans le dos. Pour défaire le short, ma femme va devoir enlever les boutons avec ses dents. À genoux, à cinq centimètres du sexe d’un autre homme, déséquilibrée par ses mains liées dans son dos, elle bute plusieurs fois contre le ventre du danseur qui en profite pour se frotter dans tous les sens. Une fois les cinq boutons défaits et après avoir frotté maintes fois son nez contre un sexe qu’elle ne peut ignorer, elle se recule pour se mettre sur ses talons. Le danseur, Mario, se dirige vers une fille de l’assistance pour qu’elle lui retire son short.En string, il revient vers Hélène avec sa matraque à la main, l’air menaçant. Puis, tout en relevant mon épouse, il passe sa matraque le long de son corps, devant derrière, sur son soutien-gorge, sur ses fesses, jusqu’entre ses jambes en faisant croire à un engin phallique en saccadant ses allers-retours de mouvements de son corps. Puis donnant à Hélène le bout de la matraque en bouche comme s’il s’agissait d’un sexe, il la détache de ses liens et lui retire la matraque. Ma femme sue à grosses gouttes, autant par la chaleur due aux spots que par la situation érotique. Il est temps pour lui maintenant de finir le show. Se mettant dos au public avec la femme collée à lui dans son dos, il lui prend sa main droite et la fait descendre jusqu’à son string. Il prend ensuite la main gauche de ma femme et fait la même chose. Alors qu’elle pense qu’il va lui faire descendre le slip, il introduit directement ses mains dans celui-ci au contact du sexe. Hélène ne sait quoi faire. Lui entame des allers-retours du bassin alors que les lumières disparaissent et que seule une poursuite éclaire la scène.Personne ne sait dans la salle quelle est la position réelle des mains d’Hélène et c’est ce qui fait le côté excitant de la situation. Une chose est certaine pour Hélène, c’est que depuis dix-huit ans maintenant, c’est le premier sexe qu’elle a dans les mains, autre que le mien. Et celui-ci est de taille plus que généreuse. Pas en érection, mais pas non plus au repos, elle se rend compte que la situation ne laisse pas indifférent non plus le bel étalon italien. À chaque mouvement, elle a l’impression que son phallus grandit. Elle se trouve désormais avec le sexe bien en main, le tout hors du string. Seuls ses testicules sont encore prisonniers du morceau de tissu. Elle accompagne inconsciemment le mouvement de bassin et aide à la masturbation. Elle est en train de faire quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginé. Cela doit faire plus d’une minute qu’elle masturbe Mario et son sexe est désormais parfaitement raide, dépassant de ses deux mains mises l’une au bout de l’autre. La lumière s’éteint complètement et avant que celle-ci ne se rallume, le danseur raccompagne mon épouse en la gratifiant d’un bisou sur la bouche et disparaît dans les coulisses.À peine assise, ses voisines lui demandent ce qu’elle a fait, mais elle ne répondra pas, même à Cécile, partagée entre honte et satisfaction d’un tabou dépassé. Le verre apporté par la serveuse à toutes les participantes sur scène est le bienvenu, car des émotions, elle vient d’en vivre à plus d’un titre. C’est vraiment une soirée dont elle se souviendra. Le spectacle dure encore une bonne demi-heure, durant laquelle Hélène ne sent aucun changement à son état. Son string est plus que trempé, ses seins pointent, heureusement cachés par le chemisier. Cécile est elle aussi excitée, même si c’est à un niveau un peu moindre, mais elle sent qu’entre ses jambes, la situation n’est pas « normale ». Après une dernière ovation pour tous les acteurs, la salle se vide. Le patron du restaurant vient prévenir les VIP qu’elles peuvent rester, car un pot va être organisé avec les danseurs pour leur participation active au show. Sur les quatorze, onze acceptent de rester, dont Cécile et Hélène. Dix minutes après, tout le monde est réuni autour du bar, cocktails en main à discuter de tout et de rien. Déstressées par le spectacle et l’alcool qui coule à flot, les conversations et les questions des filles se font plus précises sur les motivations des danseurs, leurs tournées, leur vie affective…—oooOooo—Quand, une heure plus tard, tout le monde quitte l’établissement, une camionnette de gendarmerie est sur le parking. Aussi bien Cécile qu’Hélène savent qu’elles sont incapables de prendre le volant sans commettre d’infraction au taux d’alcoolémie. Voyant la maréchaussée devant l’établissement, les danseurs proposent de raccompagner les filles au volant de leur voiture. C’est ainsi que Mario conduit le coupé, alors que Maloum suit avec sa voiture. Le cortège se dirige jusqu’à l’hôtel des danseurs.— Voilà, ici, vous ne risquez plus rien pour reprendre le volant si vous n’habitez pas trop loin. Mais pour vous remercier, si vous le souhaitez, on peut vous laisser des photos dédicacées ?— Oui, cela serait sympa, dit Cécile après avoir consulté Hélène.— Venez avec nous alors, nous allons vous les faire à votre nom.Se dirigeant vers leur chambre au rez-de-chaussée, les deux danseurs encadrent Hélène et Cécile, l’un devant, l’autre fermant la marche. La chambre est plutôt grande, avec des valises noires déposées sur les deux grands lits. Maloum referme la porte derrière lui alors que Mario commence à chercher les photos. Il sort une photo des sept danseurs l’un à côté de l’autre, torses nus, et commence à dédicacer en ayant pris soin de demander le prénom de chacune. Maloum fait ensuite de même. C’est Hélène, totalement transformée par la soirée et l’alcool, qui demande :— Mais vous n’avez pas d’autres photos, disons, plus « fin de spectacle » ?— Euh, si. Mais bon, on le les donne pas comme cela, elles sont très rares.— Et que faut-il faire pour en avoir une ? demande Hélène sous le regard un peu incrédule de Cécile.— Comme vous êtes sympa toutes les deux, on va vous en faire une chacune. On vous dédicace aussi vos sous-vêtements avec !— Euhhhhhhh cela ne va pas être possible pour moi ! dit Cécile.— Pourquoi ? T’as oublié d’en mettre ce soir ? répond Mario.— Non, non, j’en ai, mais…— Elle veut dire qu’elle m’a emprunté un string tout à l’heure, poursuit Hélène qui décidément devient de plus en plus décontractée. Mais tu peux y aller, ma puce, je te le laisserai.— Commençons par le soutien-gorge, enchaîne Maloum avant que Cécile ne sorte une autre objection.Joignant le geste à la parole, il prend son feutre en main et commence à déboutonner le chemisier de Cécile qui l’interrompt de ses mains.— Non, cela va aller, merci.— Tu sais, c’est très rare que nous fassions cela. Si tu veux le revendre ensuite sur Internet, cela vaudra une petite fortune.Pendant ce temps, Mario a défait le chemisier d’Hélène et commence à signer sur l’un des bonnets. Maloum quitte Cécile et signe à son tour sur l’autre bonnet. Cécile ayant toujours ses mains sur ses seins, Maloum use de persuasion.— Ne me dis pas que tu as des seins trop petits et que nous n’avons pas la place pour signer ?— Je crois que le contraire se voit, répond Cécile.— Ben alors, tu as vu cela prend trente secondes.Finalement, Cécile enlève ses mains et laisse Maloum défaire les deux boutons qui manquent pour ouvrir entièrement le chemisier. Sur une surface plus grande, ils écrivent l’un et l’autre, lentement, en appuyant bien et en tenant le tissu de l’autre main tout en massant légèrement le sein de Cécile. Maloum se met alors à genoux pour signer sur le string de Cécile.— Tu remontes la jupe ou je dois le faire ? C’est comme tu veux.Là, sans répondre, Cécile se dit que plus vite cela sera fait, plus vite elles rentreront chez elles. Elle remonte juste ce qu’il faut, pas un centimètre de plus pour laisser apparaître le petit triangle du string. Les deux hommes se rendent compte en signant que celui-ci est bien humide sur la partie inférieure, mais n’en font pas plus. Au tour d’Hélène. Elle dégrafe elle-même son pantalon et le fait tomber jusqu’à ses genoux.— Ah ! Cela va être plus compliqué, disent en même temps les deux hommes.En effet, Hélène a mis un string en dentelle ajourée. Très esthétique, mais impossible à signer. Se tournant et se penchant, elle leur répond.— Vous n’avez qu’à signer sur mes fesses.Cécile n’en revient pas. Elle regarde les deux hommes faire, mais ne se rend pas compte pendant qu’elle redescend sa jupe, qu’en même temps qu’ils signent, ils posent l’autre main sur le string pour constater là aussi qu’il est trempé. Une petite claque sur les fesses signifie que la signature est terminée et qu’elle peut se redresser. Les hommes sortent alors deux photos des sept danseurs nus qu’ils dédicacent.— Eh les gars, on a été super sympa avec vous, vous pourriez nous donner un de vos strings aussi, en souvenir.Cécile craignait un tel débordement d’Hélène vu son comportement évolutif au sein de la soirée. Et effectivement, Hélène n’a plus aucune retenue. Ce n’est pas du tout la femme qu’elle connait. L’alcool a ses effets, mais quand même. Alors, elle se dit qu’elle devrait intervenir, mais elle aussi a bu et ses temps de réflexion sont allongés, si bien qu’elle n’a pas le temps de réagir avant que Maloum commence par enlever son jean.— OK et cela sera en plus celui que je porte, dit Maloum.Revoir de nouveau ce grand noir nu devant elle avec son sexe impressionnant figea totalement Cécile qui ne put que garder le regard porté sur le slip de Maloum. Quand celui-ci fit tomber son jean, une grosse bosse marqua le boxer. Son sexe était en train de passer en mode érection et Cécile ouvrit la bouche quand celui-ci sortit du caleçon mais aucun son ne sortit. Trente centimètres en train de devenir aussi raide que son sexe était noir. Mario faisait de même et cette fois Hélène put voir ce qu’elle avait senti entre ses mains quelques heures avant et la vue lui fit le même effet que le toucher. Le sexe de Maloum lui paraissait bien trop gros pour elle, mais celui de Mario, un peu plus gros et plus long que celui de son mari lui semblait tout à fait approprié. Elle aurait estimé la bête à vingt-deux centimètres de long et cinq de diamètre. Le bel Italien s’approcha d’elle et, lui prenant la main, la posa sur son sexe bien droit. Celui-ci était chaud avec un gland plus gros que le reste du phallus. En appuyant sur la tige, elle réussit encore à le faire grossir et se dit : « Comment peut-il rentrer dans une bouche avec un tel volume ? » De toute façon, elle ne voulait pas essayer, estimant qu’elle, de toute façon, n’y parviendrait pas.Maloum avait réussi par la taille de son sexe à subjuguer Cécile et si près d’elle à la faire toucher le monstre. C’est à peine si elle osait parcourir de ses doigts la longueur du sexe, de peur de le voir encore grossir. Une autre appréhension aussi, celle de la promesse faite au curé de nombreuses années plus tôt de respecter le devoir de fidélité. Mais ce soir, ce qu’elle avait entre les mains, plus jamais de sa vie elle ne le reverrait. Et de toute façon, en dehors d’Hélène et elle, personne ne serait au courant de cet épisode et pour faire fuir ses derniers remords, elle repensa à une phrase de l’un de ses clients : « Nous ne sommes sur Terre que pour un court passage, il faut que celui-ci soit le plus agréable possible. » Alors quel mal y avait-il pour elle de se faire du bien en caressant cet énorme sexe, sans savoir la suite qui en découlerait, mais qui lui ferait des souvenirs pour toute sa vie le soir quand elle irait au lit seule ?Le chemisier de Cécile était toujours ouvert. Pendant que celle-ci était en train de s’enhardir sur le sexe de Maloum, les bras du danseur passèrent dans son dos pour lui dégrafer son soutien-gorge. Le mouvement fit se rapprocher un peu plus les deux corps, si bien que maintenant, le gland de Maloum touchait la peau du ventre de Cécile au-dessus de son nombril. Avec leur différence de taille, si Maloum redressait à la verticale son sexe, celui-ci arrivait au menton de Cécile. Et en relevant les bonnets de son soutien-gorge pour caresser ses seins durcis par le désir, tout son sexe se cambra et remonta entre les seins de Cécile, passant sous l’armature du soutien-gorge, et vint buter sous son menton. Elle n’avait toujours pas lâché sa prise sur le sexe de Maloum et elle guida la suite des événements en inclinant la tête pour prendre son sexe en bouche. Du moins son prépuce, car pour le reste, cela serait bien difficile à tout entrer sans atteindre son estomac. Montrant qu’il souhaitait débarrasser Cécile de son haut, elle lâcha prise et l’aida de son mieux tout en commençant une fellation experte.Hélène de son côté masturbait Mario qui appréciait la situation. Elle sentait couler entre ses cuisses un liquide qu’elle n’imaginait pas pouvoir venir d’elle tellement celui-ci était abondant. En expert, Mario s’en rendit compte et quand sa main vint s’appliquer contre la vulve d’Hélène, celle-ci se cambra prise d’un orgasme fulgurant. Son corps se raidit et plusieurs saccades secouèrent tout son corps tandis qu’elle serrait le sexe de Mario plus que nécessaire sans s’en rendre compte. Elle se colla contre lui pour récupérer des forces. Dix secondes plus tard, elle redressa la tête et lui demanda :— As-tu un préservatif ? J’ai envie que tu me prennes !Un petit geste fit sortir de la poche de sa chemisette une capsule carrée entourant une forme ronde. Il déchira celui-ci et tendit le préservatif à Hélène. Celle-ci déroula la protection sur le maximum qu’elle put sans recouvrir entièrement le sexe puis se débarrassa le plus rapidement possible de ses habits avant d’envoyer promener la valise qui occupait le lit. Mario coucha ma femme sur le lit et sans attendre s’introduisit dans son vagin plus qu’accueillant. Malgré la taille de son sexe, celui-ci n’eut aucune difficulté à entrer, tellement le degré d’excitation avait préparé le chemin. Par contre, quand il arriva au bout, elle ne put s’empêcher de faire un « Ouh » de douleur et de surprise.— Tu vas trop loin, j’ai l’impression que tu remontes jusque dans mon estomac.Généralement, ce genre de commentaire est perçu par l’homme plutôt comme une incitation à continuer et une flatterie que comme une remarque demandant un peu de retenue. Et Mario qui commençait sérieusement à entrer dans le sujet, si l’on peut dire, accéléra ses mouvements et donna des coups de bassin de plus en plus fort. Mon épouse qui avait largement écarté les jambes, les regroupa autour du bassin de Mario afin d’essayer de contrôler sa fougue et sa longueur. Mais le fait de se coller à lui le fit entrer encore plus loin. À chaque coup de boutoir, un « Hannn » sortait de sa bouche. Le plaisir d’Hélène commençait malgré tout à revenir et ce, plus vite qu’elle ne l’imaginait. En se relâchant, elle allait jouir dans les minutes qui suivraient.La jouissance, Cécile n’y était pas encore, mais Maloum lui, n’allait plus pouvoir se retenir très longtemps. Depuis dix bonnes minutes, maintenant, Cécile s’appliquait à faire montre de tout son savoir en terme de fellation. Alternant léchage, succions, masturbation, elle était devenue experte sur son mari de ces pratiques. Elle pouvait voir enfin sur un autre homme si les effets étaient identiques. Maloum prit la tête de Cécile entre ses mains puissantes pour la fixer quand la première giclée de sperme entra dans sa gorge. Cécile eut un mouvement de recul, mais Maloum la tenait bien. Il poussa même encore en avant quand la deuxième salve partit. Si bien que le sexe de Maloum était entré jusqu’à la luette et que le sperme entra directement dans l’œsophage. Elle eut l’impression d’étouffer et qu’elle allait vomir, réaction d’un corps étranger entrant dans la gorge. Mais à son grand étonnement, passé ce premier sentiment, elle se rendit compte qu’elle continuait à respirer avec le nez, celui-ci utilisant un petit espace encore disponible au fond de la gorge. Elle ne sentit pas la dernière éjaculation, mais seulement ce sexe immense qui continuait sa progression dans son corps. En ouvrant les yeux, elle se rendit compte qu’elle avait réussi à avaler plus des deux tiers de la verge de Maloum. Celui-ci relâcha son emprise et s’asseyant sur le lit, elle put prendre une grande respiration. Ce n’est qu’après qu’elle se dit que son sperme était sucré et qu’elle ne connaissait pas ce genre de sensation.En tournant la tête, Hélène vit Cécile sur le lit d’à côté et que Maloum après lui avoir enlevé son string commençait à lui lécher le sexe. C’est la première fois de sa vie qu’elle voyait une femme faire l’amour en direct à côté d’elle. Elle avait vu des films pornos, mais là, c’était tout autre chose. Son amie, nue ou presque (la jupe étant roulée en boudin sur ses hanches), commençait à pousser des soupirs de plus en plus fort et cela l’excitait elle aussi. C’est à ce moment qu’elle s’entendit dire :— Vas-y, défonce-moi, vas-y plus fort, fais-moi jouir. Je te veux !À ces mots incitatifs, Mario se déchaîna et les claquements de ses hanches sur les fesses de ma femme firent aussi monter le plaisir chez Cécile. Les deux femmes prenaient plaisir à entendre l’autre jouir. C’est ensemble qu’elles crièrent, l’une avec une voix rauque, l’autre par des oui-oui de plus en plus forts et rapides. Une fois encore pour Hélène les frissons parcoururent tout son corps de la tête aux pieds. Elle avait l’impression que son sexe brûlait tellement elle avait chaud. Mario ne faisait désormais que quelques allers-retours pour rester en érection en attendant que sa partenaire récupère ses esprits. En voyant Maloum se redresser, le sexe en érection, elle se dit qu’elle avait joui deux fois et que Mario était toujours en attente. Elle lui tapa sur l’épaule et lui susurra à l’oreille :— Je veux que tu jouisses sur moi, vas-y lâche-toi.Mario qui avait été bien excité par la soirée n’attendait que cette invitation pour jouir. Il sortit du sexe d’Hélène qui défit ses jambes pour qu’il puisse remonter sur son corps. Il se mit sur les genoux au niveau des hanches de ma femme et enleva la capote. Hélène commença la masturbation pour le voir jouir sur elle et sentir son corps recouvert de sperme. Placée dans cette position, le gland à trente centimètres de sa tête, elle le trouva encore plus gros que tout à l’heure. Avec sa main droite, elle masturba le prépuce, alors que de la gauche, elle lui caressait les testicules. Sentant que ses caresses allaient aboutir, elle mit sa main gauche devant le sexe de Mario pour éviter à celui-ci de viser son visage. Elle voulait s’asperger les seins et le ventre pour ensuite se coller contre lui. Mais Mario reprit les affaires en main, voulant contrôler SA jouissance. De son gland violacé par l’afflux de sang, un jet de près d’un décilitre partit en direction du visage d’Hélène, sans que celle-ci ne puisse intercepter le liquide. Heureusement elle ferma les yeux qui furent couverts ainsi que le nez, le front et les cheveux. Le deuxième jet tout aussi puissant et volumineux couvrit le menton et la bouche. Un troisième, plus fin, arriva sur les cheveux. Mario dirigea les trois suivants sur les seins d’Hélène. Cécile qui avait recouvré ses esprits, n’en revenait pas qu’un homme puisse envoyer autant de sperme en une seule jouissance. Et Mario était un cas à part, ou alors, il avait des réserves depuis des mois. Elle avait pu voir chacune des projections et instinctivement, compter les salves. Mario se pressa le prépuce comme s’il voulait arrêter une nouvelle jouissance. Mais bon, cela n’était quand même pas possible.Celui-ci se releva et se mit entre les deux lits, certainement pour aller chercher une serviette pour cette pauvre Hélène qui avait dû jouir encore une fois tellement son corps était pris de soubresauts. Cécile regardait son amie, ses doigts pressant violemment ses tétons et vibrant comme si elle avait été branchée au 220V. Nul doute elle était en train de jouir et ce, juste en recevant du sperme sur elle. Concentrée sur cette vision, elle ne vit pas, mais sentit le sperme arriver sur elle. Mario avait décidé de garder sa dernière salve pour la petite Cécile. La surprise fut totale pour elle de sentir un trait chaud la couvrir du dessous de son sein gauche, jusqu’à la gorge et qu’une partie avait dû dépasser sa cible et couvrir le lit. C’est en regardant le sexe de Mario qu’elle constata son énorme gland, beaucoup plus gros que celui de Maloum, même si son sexe était moins long d’une dizaine de centimètres.Fin de la première partie…Que va-t-il se passer dans la deuxième partie de soirée ?Les filles ont-elles osé aller plus loin encore ?Vous le saurez dans le prochain épisode…