Lors de mon récit n°1517, vous avez pu découvrir ma rencontre avec Sophie une petite rousse tout en rondeurs et à la pilosité luxuriante. Sophie partage ma vie aujourd’hui et nous avons trois enfants, ce qui ne nous empêche nullement de continuer à assouvir nos fantasmes les plus pervers. Je vais donc au cours de cette année vous conter certaines de nos aventures j’espère quelles vous plairont.Notre première nuit avait été torride et une odeur de sueur et de sexe emplissait la chambre. À 7h Sophie se réveilla brutalement »Merde je suis en retard, je dois présenter le projet marketing en conseil d’administration ce matin. Tant pis je ne me douche pas, s’il te plait soit gentil va me préparer un café fort pendant que je me prépare. Elle arriva 5 minutes plus tard en tailleur strict le chignon tiré à 4 épingles. Elle but son café d’une traite et me dit. »Tiens Bertrand voilà une clef tu fermeras en partant, là c’est ma carte avec mon numéro direct appelle moi cet après -midi. »Puis elle glissa un morceau de tissu dans ma poche de chemise « cadeau, c’est pour que tu penses à moi »En fait de tissu, il s’agissait de sa petite culotte d’hier soir, je l’enlevai de ma poche et la respirai à plein nez » Mon dieu que cette femme sentait fort et bon de la chatte »Au bureau je n’avais vraiment la tête au travail, je repensais à son corps son regard coquin son sourire gourmand.A 15h je l’appelle » Allo Sophie, c’est Bertrand— Ah j’ai eu peur que tu n’appelles pas— Tu sais, tu vas peut être me trouver con mais il faut absolument que je te parle— Qu’est ce qu’il y a tu ne veux plus que nous ayons des relations.— Non au contraire, au téléphone j’aime pas trop parler, je veux juste te dire que, comment dire, hier c’était super entre nous— Moi aussi j’ai adoooooré— Je sais que c’est très tôt mais il faut que je te dise, que tu me plais énormément. Je ne sais pas, je sens comme quelque chose de magique entre nous. Voilà je crois que je t’aime, tu me trouves peut-être ridicule— Oh non Bertrand, c’est complètement fou dans ma tête, je te jure, j’avais qu’une trouille c’est que tu me quittes en me disant, que sexuellement c’était super mais que ta vie est ailleurs »On arrivait plus à parler, on entendait juste nos souffles. »Bertrand— Oui Sophie— Tu termines à quelle heure.— 18h mais je peux me libérer plus tôt si tu veux— Oh ouiiii je ne pourrai pas attendre si tard— Si on se retrouvait à 16h 30 au café— Je te propose un pâtissier salon de thé, c’est un maître chocolatier— Ok j’adorre le chocolat mon trésor »A 16h30 j’arrivais au salon de thé, Sophie m’attendait. nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre et embrassés fougueusement comme deux collégiens »Oh Bertraaand!— Mmm Sophie je suis heureux— Je suis excitée comme une vrai gamine— Mm moi je plane, mmm « On s’assoit dans un coin discret, Sophie me dit que toute la journée elle a eu peur que ses collègues remarquent qu’elle n’avait pas eut le temps de se doucher. « Tu sais que quand je transpire je sens plutôt fort— Tu sens divinement bon surtout, ma jolie rousseElle sourit – en plus, je ne te dis pas j’avais des remontées d’odeur du sperme avec lequel hier tu avais baptisé mes seins. Je suis même allée me branler aux toilettes à la fin du conseil d’administration.— Moi j’ai pas arrêté de caresser ta culotte dans ma poche de pantalon. Et j’ai profité de son odeur aphrodisiaque dès que je pouvaisLa serveuse, une brune de 50 ans bien en chair, vint prendre la commandeJe demandais « Votre forêt vierge, elle est comment ? »Sophie éclata de rire devant mon lapsus, mais la serveuse sans se démonter me répondit avec un sourire espiègle « Ma forêt vierge est luxuriante mais elle appartient à mon mari j’espère que vous ne serez pas déçus, quant à ma forêt noire je vous la conseille elle est fondante »Sophie en rajouta » nous nous contenterons de la forêt noire et si ca ne lui suffit il pourra goutter de la forêt rousse, elle est crémeuse à souhait— Monsieur a bien de la chance »Elle revint avec nos forêts noires, » je vous ai mis deux grosses parts vous m’avez l’air de deux gourmands, » Elle se passa la langue sur les lèvres et repartit.Pendant que je dégustais ma forêt noire je sentis la main de Sophie se poser sur la bosse de mon pantalon. » Doucement Sophie je suis à la limite de l’explosion— C’est vrai mon pauvre chéri, et bien moi, j’ai la cerise de ma forêt vierge qui baigne dans la crème de chatteElle accéléra ses caresses » Libère ta crème Bertrand, ca te fera du bien » elle frotta encore plus fort, et j’explosais dans mon slip tout en roulant une pelle à ma belle Sophie.Puis elle me dit « Bertrand tu sais, il y a le feu sous ma jupe tu ne pourrais pas glisser discrètement sous la table pour éteindre l’incendie »Je me glissais sous la table et me dirigeais entre ses cuisses gainées de bas couleur chair. Le parfum sauvage de sa touffe me sauta à la figure. Ces essences de jus de chatte, de sueur et d’urine étaient enivrantes. Sophie écarta les cuisses, pour mieux m’offrir son intimité, en fait elle n’avait pas remis de culotte ce matin. Je me jetais alors sur sa grosse moule elle était vraiment trempée ; Je buvais sont jus et lui suçais la cerise et très vite je la sentis se tendre et trembler. Elle avait joui sans dire un mot. En sortant de dessous la table je fus surpris de me trouver nez à nez avec la serveuse qui me demanda » Vous préférez la forêt noire ou la forêt rousse ? » Rouge de confusion je lui répondis que cette forêt rousse était un grand millésime. La serveuse nous souris et Sophie récupéra alors sa petite culotte releva sa jupe s’essuya la chatte avec et dit » Je suis sure que vous mourrez d’envie de goutter » elle lui tendit sa petite culotte souillée et la serveuse la respira et la lécha.Un client entra, elle nous dit « Merci, les gâteaux je vous les offres n’hésitez à revenir au revoir »Une fois dehors en nous dirigeant vers le parking, Sophie me dit » j’ai envie de pisser,— Moi aussi je vais trouver un arbre— T’es gentil, mais t’as pas mieux— Si entre les deux portières de ma voiture »Elle s’accroupit, remonta complètement sa jupe et tout en me fixant relâcha sa vessie, le bruit du jet m’a toujours excité »Bertrand tu n’as pas de papier dans ta voiture ?— Non désolé, mais je peux te nettoyer si tu le désires »Ses yeux brillèrent, elle s’assit sur le bord de mon siège écarta les cuisses et m’offrit sa foune sauvage à lécher. »MMmm mon petit cochon tu aimes ça mes gouttes de pipi ; viens profite mon trésor ; »Après cette petite gâterie Sophie reprit sa voiture et me donna rendez-vous chez elle. Moi je pris juste le temps d’aller chez moi prendre quelques affairesA suivre…