Après mes récits 1517 et 1602, je vais vous conter un autre épisode plutôt humide.Donc, après l’épisode du salon de thé je rejoignis Sophie chez elle avec mes affaires. En arrivant de l’hôtel avec mes valises, elle m’ouvrit. Sophie avait détaché son chignon strict, libérant sa merveilleuse chevelure rousse qui descend jusqu’au bas du dos. Vous savez, cette limite où commence un sillon sublime partageant deux magnifiques rondeurs.Elle avait remplacé son tailleur par un simple tee-shirt blanc et un panti noir qui moulait admirablement sont gros cul bien rond. Elle me montra les armoires pour ranger mes affaires et me dit : » Mets-toi à l’aise mon chéri. Après si tu veux on ira prendre un bain ensemble— Avec plaisir Sophie. « Elle revint 5 minutes plus tard, et pendant que j’accrochais une chemise dans l’armoire elle vint se coller contre mon dos et me caressa le torse, elle fit sauter deux boutons de ma chemise et glissa sa main contre mon poitrail velu » Mmmm Bertrand, tu rangeras plus tard »Elle défit mon pantalon me laissa juste mon slip et commença à me lécher sur le ventre. Je la fis relever et lui ôtai son tee-shirt découvrant ses deux gros seins libres qui, malgré leur taille, se tenaient superbement.Nous allâmes dans la salle de bain, où un bain nous attendait. Sophie s’agenouilla et embrassa mon slip déformé par l’excitation. Elle mordillait mon sexe à travers le tissu. » Tu aimes ça Bertrand que je t’excite— Oh oui Sophie continue c’est bon— Mm ça pue le sperme mon salop, t’as gardé ton slip après la pâtisserie Bertrand— Je sais parfaitement que tu adores les odeurs de sexe ma chérie, je suis sûr que ton panti doit être trempé de désir ma grosse cochonne— Viens le vérifier mon petit porc, je suis sûr que tu vas te régaler— Mmm c’est tout trempé cochonne, tu aimes ça que je te traite de salope;— Oh oui je suis ta grosse chienne en chaleur »Je lui retirai son panti découvrant sa grosse touffe rousse et odorante ; Sophie ne s’épile jamais au-dessus du genou, et sa toison est très développée. Aussitôt je frottais mon visage contre ce gazon humide aux délicieuses senteurs de sueur, de mouille et d’urine. »Tu aimes ça la touffe de ta grosse Sophie,— Oh ouiii elle est merveilleuse, ta grosse touffe— Viens prends-moi en levrette j’en peux plus mon chéri »Elle se positionna de côté par rapport à l’armoire à glace fit saillir ses grosses fesses dont la raie était ourlée de poils frisés. Je me plaçais derrière elle, et Sophie attrapa ma queue et la guida vers sa grotte humide. » Fais-moi jouir Bertrand »Je la pris d’un coup sec, et commençais un va-et-vient rapide. (Dans la glace, je voyais ses nibards ballotter dans tous les sens sous mes coups de rein). Sophie me regardait à travers la glace en criant des « oh oui » et des « mmmmm ». Elle fixait aussi ma queue qui lui pilonnait la chatte. »Oh c’est bon, ouii je viens mmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii » et elle s’écroula par terre. J’avais réussi à me retenir, mais c’était juste. Elle me regarda et me dit « MM je t’aime et en plus tu ne peux pas savoir à quel point tu me fais jouir Bertrand. Je vais te faire un cadeau mon trésor. Je parie que tu as toujours rêvé d’enculer une femme, mais que tu ne l’as jamais fait. J’ai raison ?— Oui effectivement c’est un phantasme— Eh bien je te promets de réaliser tous tes phantasmes, sauf la violence. mais tu devras aussi réaliser les miens— Avec plaisir »Sophie se mit deux doigts dans la chatte et enduit sa rondelle de mouille »Viens Bertrand, je suis sur que mon gros cul t’excite— Tu parles c’est un pousse au crime un pareil dessert— Vas-y mon chéri pousse fort »J’appuyai mon gland sur sa rondelle, fou d’excitation. Je la saisis par les hanches et commençai à la pénétrer. Elle poussait en même temps. Je commençais des vas et viens dans ce conduit serré. Et étant au bord de l’explosion je dis : » Oh Sophie je viens c’est trop bon mmm ouiiiA ce moment Sophie contracta ses sphincters ce qui me fit hurler de plaisir »Mmm c’était bon mon chéri hein— Sublime mais toi— Oh j’avais déjà pris mon pied, et je ne jouis jamais du cul, ça augmente mon plaisir quand on s’en occupe, c’est déjà pas mal. Je crois que l’on a besoin d’un bon bain— EffectivementNous rentrâmes dans le bain encore tiède ; après une dizaine de minutes de détente Sophie me dit : »Je sors, j’ai envie de pisser— Tu n’as qu’à pisser dans le bain mon trésor— Oh je sais ce qui va te plaire, j’ai bien vu tout à l’heure dans le parking, espèce de cochon »Elle monta sur le bord de la baignoire s’accroupit en écartant les cuisses. »Profite mon petit voyeur regarde ma chatte, il va en sortir du champagne »Sophie contracta sa vessie et lâcha un jet d’urine qui vint rebondir sur mon ventre. » Ca t’excite de me voir pisser salop, allez viens goûter mon champagne, je suis sûr que tu en meurres d’envie.— Oh oui, je suis ton gros cochon, »J’ouvre ma bouche et commence à sentir le liquide chaud et sous pression rebondir sur ma langue »Avale salop, obéis à ta Sophie— Oh oui maîtresse je bois votre urine »Le goût était bizarre mais pas désagréable et j’en bus plusieurs gorgées avant de nettoyer la chatte de Sophie avec ma langue. »Mmm merci Sophie, mais je suis sûr que tu as soif aussi— Mm ouii Bertrand fais-moi goûter ta bière pression »La suite au prochain épisode