Julie, jeune chienne de 22 ans, fréquentait régulièrement le milieu libertin depuis sa majorité. Elle était d’une beauté extrême, pulpeuse au cheveux bruns, avec des yeux verts à vous faire tomber.Depuis maintenant plusieurs mois, Julie rêvait secrètement de se soumettre à la volonté d’une maitresse dominatrice, sans jamais oser sauter le pas. Parlant de ces envies à une de ses amies, on lui proposa alors d’être mise en relation avec une très bonne maitresse connue sous le nom de Madame. C’est ainsi que soumise Julie rencontra Madame pour la première fois, à la terrasse d’un café. Elle nous raconte son histoire :Je voyais au loin la silhouette d’une femme se rapprocher d’elle.Je compris que cette femme était ma maitresse au premier regard, un regard glacé et méprisant qui me fut adressé. Madame était une belle femme de 45 ans, avec des rondeurs et une très forte poitrine. Sans dire un mot, Madame s’assit à côté de moi. Elle me regarda longuement et me dit : »-Alors comme ça, petite salope, tu voudrais être ma chienne ?-Ce serait un honneur pour moi, madame de servir vos désirs et vos perversions-Bien. Nous allons établir quelques règles. Tu ne dois jamais me regarder dans les yeux, ne jamais parler sans mon autorisation, ne jamais réclamer, ne jamais te plaindre et SURTOUT ne jamais me dire non. Tu as compris JAMAIS, petit chienne, sinon je t’infligerai une correction digne de ce nom. Tu as compris ?-Oui Madame— Je serai en droit de t’infliger des corrections selon mon bon jugement et tu ne devras pas t’en plaindre. Tes limites ne m’intéressent pas, tes désirs ne m’intéressent pas. La seule chose qui comptera maintenant est ma volonté. Si tu acceptes, tu seras à moi pour un an, avec impossibilité de rompre le contrat. Es-tu prête ?-Oui madame, merci beaucoup d’accepter de prendre en charge mon éducation »Puis madame posé sa main sur ma cuisse. Je portais une petite robe blanche avec des sandales à talon aiguille, et le vent soulevait ma jupe jusqu’à mon entrejambe. Machinalement, j’essaye de rabattre ma jupe sur mes genoux, mais je sens la main de madame qui m’en empêche et me donne une violente claque « Petite pute, je ne t’ai pas autorisé à te rhabiller. D’ailleurs, enlève ta petite culotte, et écarte les jambes »J’exposais ainsi mon intimité aux passants qui regardaient avec insistance, certains plus vicieusement que d’autres. J’étais terriblement gênée de devoir m’exhiber ainsi, mais très excitée en même temps car je savais que madame aimait cela. Puis, madame me traina dans les toilettes du café et m’enferma avec elle. Elle enleva son string et mis ma culotte. Je ne comprenais pas ce qu’elle faisait. Puis je la vis s’asseoir sur les toilettes et uriner dans ma petite culotte. Quand elle eut fini, elle l’enleva et m’ordonna de lécher l’urine qu’il restait sur sa si belle chatte. Une fois ma tâche accomplie, elle me fit remettre ma culotte pleine de son urine en m’insultant de trainée et de chiottes vivantes. Je me sentais humiliée et avais envie de pleurer, mais une force en moi m’empêchait de dire stop. Madame m’ordonna alors de rentrer chez moi avec mes sous vêtements souillés, et de revenir propre et lavée chez elle le lendemain.