De retour chez Martine et Jean-Luc, Christine et moi allons dĂ©poser notre sac dans la chambre qu’ils mettent Ă notre disposition. C’est au rez-de-chaussĂ©e, cĂ´tĂ© jardin. La porte-fenĂŞtre donne directement sur la terrasse et la piscine. Nous y avons dĂ©jĂ sĂ©journĂ© quelquefois et nous aimons bien l’ambiance de leur maison. Après une bonne douche, nous les retrouvons au salon. Instinctivement, je m’assois Ă cĂ´tĂ© de Martine et Christine s’installe sur un grand canapĂ©, face Ă nous, de l’autre cĂ´tĂ© de la table basse. Jean-Luc fait le service et nous sert l’apĂ©ritif – en fait un excellent champagne – ainsi que quelques amuse-gueule. Je le rejoins dans la cuisine.— Tu es toujours Ok pour Ă©changer nos petites femmes jusqu’à demain ? Lui demandais-je.— Bien sĂ»r !— On leur en parle maintenant ou on attend un peu ?— Je ne sais pas quelle est la meilleure solution. On attend un peu et on verra bien comment ça Ă©volue ?— Je suis d’accord sur ce point.Nous revenons avec quelques plats et nos Ă©pouses nous accueillent avec des compliments quant Ă la prĂ©sentation de ce que nous leur offrons. Petits fours pour l’une, mĂ©lange de fruits secs pour la seconde, etc.Nous discutons de choses et d’autres en frĂ´lant Ă peine nos charmantes compagnes. C’est Ă©tonnant, vu ce qui s’est passĂ© auparavant ! De notre sortie en forĂŞt, oĂą elles nous ont fait un strip-tease dans une clairière, oĂą nous leur avons fait l’amour en les Ă©changeant, oĂą elles ont pris du plaisir ensemble et oĂą nous, les hommes, nous sommes sucĂ©s pour les exciter, la complicitĂ© qui s’était installĂ©e est comme Ă©vanouie ! Il faut relancer nos Ă©bats d’une manière ou d’une autre… Toujours Ă cĂ´tĂ© de Martine, je passe le bras autour de ses Ă©paules, tandis que de mon autre main, je caresse sa cuisse en lui parlant Ă voix basse.— Notre petite aventure en forĂŞt, m’a ouvert l’appĂ©tit ! J’ai encore plus envie de toi maintenant !— Confidence pour confidence, moi aussi, mon chĂ©ri !— Je sens que la nuit va ĂŞtre chaude…— Tu ne crois pas si bien dire, regarde ta femme et mon Jean-Luc ! Ils n’ont pas l’air de s’ennuyer !— Effectivement, combien crois-tu qu’il va se passer de temps avant qu’il lui passe la main sous la jupe ?— Moins qu’à toi apparemment !— Oh ! Crois-tu ?— Oui je pense ! Je sens dĂ©jĂ tes doigts près de ma culotte, c’est donc, mon cher, que tu as dĂ©jĂ ta main sous ma jupe !— Je leur donne encore deux minutes et il passe sa main dans son string !— Pari tenu !Moins d’une minute après, Jean-Luc avait sa main et la moitiĂ© de l’avant bras entre les cuisses de ma femme !— Tu vois mon chĂ©ri, mon mari est un rapide !— Je vois ça, je vois ça !— Combien de temps donnes-tu Ă ta femme pour lui ouvrir la braguette et lui faire une pipe ?— Connaissant Christine, ça ne va pas ĂŞtre long !— 5 minutes ?— Et toi, combien de temps pour m’en faire une ?— Dix secondes, le temps d’ouvrir ta braguette !— Chiche !— Descend un peu sur le canapĂ©, voila le zip est dĂ©jĂ en bas !Effectivement, en quelques secondes, Martine m’a ouvert la braguette, passĂ© sa main dans l’ouverture puis dans mon slip et sorti mon sexe dĂ©jĂ dur pour l’engloutir dans sa bouche…— Eh les jeunes ! Doucement ! Nous lance Jean-Luc.— Nous nous demandions Martine et moi, si nous arriverions Ă vous prendre de vitesse sur ces caresses ? – Oh ! Ben lĂ , nous sommes battus !Martine, Ă genoux sur le canapĂ©, toujours mon sexe en bouche, monte et descend dans un rythme endiablĂ©. Sa jupe est un peu remontĂ©e et j’en profite pour lui relever entièrement et lui caresser les fesses. Je peux voir ma petite femme faire une magnifique fellation Ă son amant du jour. Celui-ci Ă l’air aux anges ! Il commence Ă lui baisser son string, jusqu’aux genoux. Il lui caresse le sexe et je peux deviner, d’oĂą je suis, qu’il la pĂ©nètre un peu avec ses doigts, aux mouvements de va-et-vient de sa main. Pendant que Martine me suce, je la vois baisser sa culotte, soulever un genou, la passer, puis faire la mĂŞme manĹ“uvre avec l’autre genou toujours sans faire sortir ma queue d’entre ses lèvres. Je peux lui passer les doigts dans la raie des fesses en m’attardant sur son petit trou, puis descendre jusqu’à son vagin dĂ©jĂ ruisselant oĂą finalement, je lui entre deux doigts… Elle se relève enfin, se met debout et finalement vient s’empaler sur ma bite. De sa main glissĂ©e entre nous, elle guide ma queue dans son sexe et quand le gland est entrĂ©, elle se laisse tomber sur moi en poussant un long râle de bien ĂŞtre…— Hum ! Que c’est dĂ©licieux !— C’est exactement ce que j’allais dire !— Ne bouge pas, reste immobile, j’ai envie de te sentir enfoncĂ© au plus profond de moi !— Ok, ma belle amante !— Quelquefois j’aurais envie que le temps s’arrĂŞte pour pouvoir passer le reste de ma vie avec un homme fichĂ© dans moi.— Beaucoup d’hommes donneraient le monde pour ĂŞtre celui qui exaucera ton vĹ“u…— C’est vraiment extraordinaire de se sentir pĂ©nĂ©trĂ©e de la sorte.— Pour ma part, j’aime bien quand on bouge un peu…— Attend, je vais te montrer de quoi je suis capable !Sur le moment, je ne ressens aucun changement. Puis c’est comme si la pression des parois de son sexe variait en montant et descendant. Elle arrive Ă contracter ses muscles en rythme et la sensation est comme une petite main qui me branle doucement. C’est une sensation exquise !— Merveilleux ma chĂ©rie ! Tout bonnement merveilleux !— Tu vois, pas besoin de monter et descendre pour se donner du plaisir !— Ma femme me fait ça aussi mais en moins intense…— Je m’entraĂ®ne souvent, c’est sĂ»rement ça !— Vantarde !En regardant par-dessus son Ă©paule, je vois ma femme dans la mĂŞme position sur Jean-Luc, mais contrairement Ă nous, je peux voir le sexe de celui-ci entrer et ressortir du ventre de ma femme. Quelle belle vision ! Jean-Luc nous regarde aussi et me fait un clin d’œil que je lui rends. Il doit savoir ce que me fait sa femme… Il parle Ă l’oreille de Christine. Celle-ci se relève et sort le sexe de son vagin. Jean Luc se lève et vient vers nous en tenant mon Ă©pouse par la main.— Aimeriez vous un petit sandwich sur un canapĂ© Madame ? Demande-t-il en s’inclinant …— Pourquoi pas, c’est si joliment demandĂ© que je ne puis refuser…— Alors, si madame veut bien Ă©carter un peu ses jolies fesses…En fait, c’est Christine qui lui Ă©carte de ses mains. Jean-Luc se guide dans l’anus de sa femme et commence Ă pousser pour faire entrer sa queue. Je sens la pression et peu de temps après, je sens son sexe se glisser tout contre le mien. C’est comme si nos deux queues glissaient l’une contre l’autre. Martine gĂ©mit de plus en plus fort. Je vois Christine qui escalade le dossier du canapĂ© et qui offre son sexe Ă la bouche de notre amante juste au-dessus de ma tĂŞte. Il va me falloir un parapluie si je ne veux pas ĂŞtre mouillĂ© par ces dames… Je reste toujours immobile dans le vagin de Martine pendant que son mari lui ramone l’anus Ă grands coups de bite. Celle-ci crie son plaisir de se faire prendre par deux hommes et une femme ! Après un orgasme « cyclonique » Martine reprend son souffle et nous nous retirons d’elle. Jean-Luc et moi nous tournons alors vers ma femme…— Alors ma petite femme chĂ©rie ! TentĂ©e par un sandwich ?— J’ai bien envie d’essayer, en effet !— Alors sitĂ´t dit, sitĂ´t fait ! Nous sommes prĂŞts !Jean-Luc vient prendre ma place, Christine s’empale aussitĂ´t sur sa bite et je pĂ©nètre son anus que j’ai lubrifiĂ© avec sa cyprine. MĂŞme sensation de frotter nos deux queues l’une contre l’autre. Mais cette fois-ci, tous les deux bien excitĂ©s par le premier sandwich avec Martine, nous allons avoir du mal Ă nous retenir de jouir avec elle. Surtout que Christine, toujours assez dĂ©monstrative, crie son plaisir de plus belle pendant que je lime son cul comme un soudard. Elle jouit finalement dans un grand cri, je sens les contractions de son anus. Ce massage interne et saccadĂ© dĂ©clenche mon orgasme. Je lui Ă©jacule dans le cul une bonne dose de sperme. Quand je reprends mes esprits, je vois des petits flashs brillants, signe d’un orgasme très fort. Quel pied ! Jean-Luc va-et-vient comme un fou dans le vagin et finalement Ă©jacule lui aussi dans ma femme. Ă€ travers elle, je sens les contractions de sa bite Ă chaque giclĂ©e qu’il envoie dans le ventre de mon Ă©pouse consentante.Nous nous sĂ©parons Ă©puisĂ©s pour le moment. Nous allons nous restaurer un peu et nous reposer avant d’entamer une nuit qui risque d’être très chaude ! ! !— Dites les filles ! Maintenant que nous sommes vraiment très intimes, que diriez-vous d’un Ă©change un peu plus poussĂ© qu’un simple coĂŻt ? Lance Jean-Luc.— Qu’entends-tu par-lĂ Â ? Demande Martine— Un Ă©change complet pour une nuit entière par exemple !— Ah ! Je vois ! Ces messieurs veulent croquer toute la nuit les pauvres poulettes que nous sommes Christine et Moi !— Exactement !— Peut-on se concerter entre femmes ?— Pourquoi pas ! Pour nous les hommes, c’est dĂ©jĂ fait !— C’est bien ce que nous avions cru comprendre !Elles s’écartent un peu vers la cuisine et reviennent un petit sourire sur le coin des lèvres ! Connaissant ma femme, cela n’augure rien de bon pour nous les hommes. Je redoute plutĂ´t que ce soit nous qui allons nous faire croquer tout cru !— Ok ! Nous sommes vos servantes serviles jusqu’à demain ! Disent-elles en riant.Le repas achevĂ©, nous bavardons de choses et d’autres (mais non ! Pas que de sexe !), tout en nous caressant tendrement en couples reconstituĂ©s. Puis vient le moment tant attendu par tous : celui de se sĂ©parer pour aller nous coucher. Après quelques instants de discussion, nous convenons que les femmes garderaient leur chambre respective. Ce seront nous les hommes qui changeront. Je migre donc avec Martine pour une nuit d’amour tandis que Christine accueille Jean Luc dans la pièce contiguĂ«. Les deux pièces sont Ă peu près semblables, amĂ©nagĂ©es avec beaucoup de goĂ»t. Petit bisous devant nos portes entre maris et femmes, nous nous souhaitons une bonne nuit avec humour…Nous voila seuls Martine et moi, nous nous dĂ©shabillons en nous embrassant d’abord du bout des lèvres puis de plus en plus passionnĂ©ment. Enfin, Martine est complètement nue et file vers la salle de bain. Je mets un CD de musique brĂ©silienne dans la mini chaĂ®ne et feuillette quelques ouvrages de leur bibliothèque Il faut dire que leur chambre comporte un petit coin salon avec vidĂ©o, livres et canapé… Je remplace ma maĂ®tresse de ce soir sous la douche, me rase pour pouvoir lui prodiguer de bonnes caresses buccales en sentant la douceur de sa peau juste entre ses cuisses. Quand je reviens, Martine est sous la couette tournĂ©e vers moi sur le cĂ´tĂ©, la tĂŞte appuyĂ©e sur sa main dans une pause très langoureuse. Ses cheveux s’étalent sur l’oreiller… Elle est dĂ©licieuse. Je me glisse Ă ses cĂ´tĂ©s et nous nous enlaçons tendrement, puis nos bouches se trouvent, nos langues s’entremĂŞlent. Nous flirtons un bon moment mais qu’importe, nous avons toute la nuit. De ma main, je caresse ses hanches, son dos, ses Ă©paules, ses cheveux, je passe un doigt sur ses pommettes, suis le contour de sa bouche. Elle frissonne, ça la chatouille et nous rions tous les deux comme deux enfants…Elle passe sa main entre nous et je sens ses doigts entourer mon sexe pendant que je lui caresse les seins. Je prends un de ses mamelons entre mes lèvres, passe ma langue autour, aspire doucement la pointe, repasse ma langue pendant que ma main s’occupe de l’autre sein. Je presse doucement l’autre pointe entre mes doigts, la tord un peu, Elle commence Ă ronronner comme une chatte… Sa main s’active sur ma queue et je commence Ă avoir une belle Ă©rection.— Ma chĂ©rie, j’ai très envie de te lĂ©cher, je ne peux plus attendre…— Oui ! Lèche-moi, j’adore !J’explore bientĂ´t cette petite chatte dont la toison est taillĂ©e court et assez rĂ©duite. En ticket de mĂ©tro comme on dit ! Je sens son parfum que par Ă©lĂ©gance, elle s’en est mise une pointe dans les poils. Je reconnais MITSOUKO de Guerlain. MĂŞlĂ© Ă son odeur naturelle, c’est divin ! Son clitoris est dĂ©jĂ tout raidi, j’effleure ses petites lèvres, ce qui lui provoque un sursaut. Je la lèche partout autour et mĂŞme ses grandes lèvres avant de revenir au centre sur son petit bouton rose pâle. Quelques minutes de ce traitement l’amène Ă un Ă©tat d’excitation telle qu’elle remue son bassin dans tous les sens, se tortille sur le lit, gĂ©mit et finalement succombe Ă un orgasme qui m’oblige Ă lui tenir fermement le bassin pour Ă©viter qu’elle n’échappe Ă ma caresse. Chaque nouveau contact avec ma langue la fait rebondir d’orgasme en orgasme. Elle crie, roule sur le cĂ´tĂ©, mais je continue de la lĂ©cher pendant encore un bon moment. Enfin, je sens que son excitation retombe un peu et je remonte avec ma langue vers son ventre, puis son nombril et enfin ses seins qu’elle masse encore.— Oh ! Mon chĂ©ri, quel pied !— Oui, je crois que tu as apprĂ©cié…— Jean-Luc me fait jouir quelquefois aussi fort, mais rarement aussi longtemps ! Christine ne doit pas s’ennuyer avec toi !— Il n’y a pas qu’avec moi, Ă©coutes-les !Dans la chambre d’à cĂ´tĂ©, les cris de ma femme nous parviennent Ă©touffĂ©s, mais ils ne laissent aucun doute de la nature de leur raison. Elle prend aussi un pied d’enfer !— Dis donc ! Ta femme a de la voix !— Tu ne t’es pas entendue tout Ă l’heure !— C’est vrai que tu m’as fait crier comme jamais je n’ai osĂ© crier. D’être avec quelqu’un d’autre que mon mari, a fait sauter le dernier verrou de ma pudeur ! Et le savoir en train de baiser Ă cĂ´tĂ© m’excite un maximum !— C’est vrai que d’entendre Christine crier de la sorte me donne une Ă©rection de tous les diables !— Fais voir !— …— Oh ! La ! La ! C’est vrai ! Mon pauvre chĂ©ri ! Je vais m’occuper de toi…Elle me caresse d’abord les testicules avec sa main puis sa langue me titille Ă la base du sexe puis remonte, passe sur le frein du prĂ©puce. Je pense qu’elle va engloutir toute ma tige, mais sa langue redescend. Elle me fait languir ! Enfin au bout de quelques minutes, je sens ses lèvres autour de mon gland et enfin toute sa bouche autour de mon sexe. Je ne peux me retenir de pousser un petit gĂ©missement… C’est trop bon ! Il faut presque que je me retienne pour ne pas abrĂ©ger sa fellation. Pourtant après la journĂ©e que nous avons eus ! ! ! Elle ralentit et sans doute jugeant mon Ă©rection assez dĂ©veloppĂ©e, elle m’enfourche et vient se « planter » sur ma bite. Son vagin est trempĂ© et je la pĂ©nètre sans peine. Elle pousse un râle de plaisir pendant la pĂ©nĂ©tration. Une fois au fond, je reste immobile, mais elle ne fait pas jouer ses muscles internes. J’entame un lent va-et-vient puis accĂ©lère de plus en plus. Nos corps sont couverts de sueur.— Oui ! Vas-y ! DĂ©fonce-moi !— Ah !!!— Oui ! Encore ! Encore plus fort !— Oh ! Martine…— Oui ! Prend-moi comme une pute !— Ah ! Ma petite pute, que tu es bonne !— Oui ! Je suis ta petite pute Ă toi ce soir !— Ah !!!!— Oui ! Vas-y jouis-moi dedans ! Remplis-moi !— Argh !— Oh ! Mon chĂ©ri !Je mets quelques minutes à « revenir sur terre » ! Quel pied aussi ! J’en vois encore 36 chandelles !— Eh bien mon chĂ©ri ! Tu as criĂ© presque aussi fort que moi !— Oh ! Je suis cassĂ©Â ! VidĂ©Â !— J’espère bien que non ! La nuit n’est pas finie, nous ne sommes pas encore Ă demain…Nous referons l’amour encore 2 fois au cours de la nuit et une fois encore au matin avant de nous lever. Jean-Luc et Christine nous ont rĂ©veillĂ©s aussi quelques fois dans la nuit. Nous sommes heureux que de leur cĂ´tĂ©, ça se soit bien passĂ© aussi.C’est avec de jolis cernes sous les yeux que nous prenons le petit dĂ©jeuner tous les quatre sur la terrasse. Suivit d’un petit bain dans la piscine. Je flirte avec ma femme comme si c’était celle de Jean-Luc ! C’est extraordinaire, le fait d’avoir totalement changĂ© de partenaire, nous fait redĂ©couvrir comme au premier jour de notre amour ! La matinĂ©e se passe Ă se dorer au soleil sur des transats, un petit repas lĂ©ger et nous devons bientĂ´t prendre congĂ© de nos hĂ´tes.La prochaine fois est programmĂ©e en dĂ©cembre. Nous avons louĂ© un appart’hĂ´tel de 2 chambres Ă Strasbourg. Nous allons voir le marchĂ© de NoĂ«l. Mais pas seulement ! ! !Vivement NoĂ«l ! Un week-end de sexe Ă quatre, quel cadeau ! ! !A suivre en janvier…