Nous étions fin mai, début juin. Toutes les facs étaient en pleine période de partiels. Rien de tel qu’une fête étudiante pour décompresser avant les dernières épreuves de l’année ! La soirée battait son plein et je regardais toutes ces personnes déchaînées, mon verre à la main, lorsqu’une tornade s’abattit sur moi par derrière, m’entraînant avec elle dans sa chute ! Surpris et abasourdi par le choc, je constatais néanmoins avec plaisir et soulagement que la dite tornade était en fait une charmante demoiselle aux longs cheveux blonds et aux grands yeux verts émeraudes. Elle semblait un peu ivre et se confondait en excuses de m’avoir ainsi malmené. Mais tout le plaisir est pour moi pensais-je. Au moment de nous relever, je vis que quelque chose n’allait pas chez elle à la vilaine grimace qui traversa son joli visage angélique lorsqu’elle posa le pied droit par terre : elle s’était tordu la cheville en trébuchant sur une canette de bière vide ! En beau héros défenseur de la veuve et de l’opprimé, je lui offrait immédiatement mon aide afin de la soutenir et l’accompagner dans un endroit plus calme. Premier contact physique qui me permis de constater l’élégance de sa silhouette et le charme de ses formes appétissantes ! Je l’a pris par la taille pour la soulager et nous sortîmes de la salle. Elle peinait vraiment à marcher et plus je la portais et plus elle se laissait aller sur mon bras, si bien que ma main finit par toucher sa poitrine : premier émoi !Finalement, contrainte mais pas forcée, elle accepta que je la raccompagne jusqu’à sa chambre dans la cité universitaire toute proche, ses amies l’ayant délaissée pour d’autres occupations ! Au bout de quelques dizaines de mètres, je commençais à faiblir physiquement et les muscles de mon bras étaient à la limite de la tétanie. Je lui proposais donc par commodité de la porter sur mon dos, ce qui ne l’a gêna pas le moins du monde, à demi inconsciente qu’elle était ! Je ne voulais pas abuser de la situation, mais porter une belle jeune fille, bien faite, un peu ivre, en T-shirt et en jupe courte sur mon dos provoqua en moi un frisson de plaisir en pensant que j’allais forcément devoir toucher ses cuisses : deuxième contact et deuxième émoi !Je sentais sa poitrine lourde et ferme écrasée dans mon dos, et mes mains appréciaient maintenant la douceur de sa peau et la fermeté de ses cuisses. N’empêche, j’en bavais quand même en grimpant les escaliers qui menaient à l’étage de sa chambre ! Pendant ce temps, elle riait, s’amusant du coquasse de notre équipage : elle était ma divine amazone et moi j’étais son fougueux étalon ! Enfin arrivés devant la porte de sa chambre, je fis descendre ma cavalière sur le sol en la laissant glisser doucement entre mes mains qui touchèrent fatalement sa petite culotte de dentelle : troisième émoi !Elle sortit la clé de sa poche, ouvrit la porte et entra toujours soutenue par ma serviable personne, puis je l’aidais à s’asseoir au bord de son lit. Nous étions face à face, moi agenouillé à ses pieds, dans la pénombre de cette chambre exiguë éclairée seulement par la lumière du couloir. Elle était si belle et si désirable dans cette demi obscurité ! Mais il fallait bien s’occuper de l’urgence médicale du moment ! Je soulevais son pied endolori et lui retirai sa petite chaussure de toile. Quel joli pied ! Je lui massai doucement la cheville incriminée, du talon jusqu’au bas du mollet. Elle recula ses mains sur le lit, pencha son corps et sa tête en arrière en soupirant : »Comme c’est bon ! »dit-elle alors.C’étaient les premières paroles sensées qu’elles prononçait depuis notre brutale rencontre. Mais le spectacle qu’elle m’offrait était encore plus intéressant. Cambrée sur son lit, sa poitrine projetée en avant semblait jaillir de son fin maillot, et les pointes de ses seins dressées luttaient pour s’affranchir du joug de son soutien-gorge ! J’avais également une vue imprenable sur son entre-jambe et sur sa petite culotte de dentelle blanche qui dessinait presque de façon inconvenante les lèvres de son sexe. Là, je ne compte plus les émois ! Plus je la dévorais des yeux, plus mes caresses remontaient le long de sa jambe, plus elle soupirait, et plus mon érection menaçait de rompre les coutures de ma braguette. Je lui retirai alors son autre chaussure et caressai ses deux jambes maintenant. Elle s’abandonnait totalement à son plaisir, soupirait plus fort, indifférente au fait que la porte soit restée ouverte depuis notre arrivée. J’étais de plus en plus excité, à la fois sidéré et émerveillé par ce spectacle dont j’étais l’acteur secondaire. N’y tenant plus, je dégrafais mon pantalon d’une main tout en continuant mon parcours de l’autre. Mon sexe jaillit hors de son carcan, fier et gorgé comme jamais avant. Mon gland hypertrophié et violacé luisait comme fruit mûr.Ma belle écartait les cuisses à mesure que mes mains s’avançaient ; elle souleva légèrement les fesses ce qui était le signe pour moi que le moment de retirer sa culotte était arrivé. Elle ne me regardais pas, la tête toujours en arrière. La culotte n’étant plus qu’un souvenir, sa jupe remontée sur les hanches, elle se cambra davantage afin de m’offrir le plus beau des cadeaux qu’une femme puisse faire à un homme : sa petite chatte blonde humide béant légèrement devant mon visage ! Du bout de la langue, je parcourais délicatement cette fente sacrée ; et elle de mouiller de plus en plus, des gémissements ayant remplacés ses soupirs. Tout en me masturbant, je me délectais de son nectar, fouillant plus avant sa frémissante intimité avec ma bouche, mes lèvres, ma langue, au rythme des mouvements de son bassin. Je léchais alternativement de haut en bas et de gauche à droite sa fine toison. Mon visage tout entier était couvert de sa mouille. C’est alors qu’elle se redressa, retira son T-shirt et son soutien-gorge, me pris la tête entre ses mains et me donna un baiser d’une fougue toute significative. Sa bouche avalait mes lèvres et sa langue battait contre la mienne avec ardeur. Nos salives se mêlaient, nos bouches ne faisaient plus qu’une. Puis, elle plaqua mon visage sur sa chaude et douce poitrine que j’embrassais goulûment, mordillant ses tétons dressés et durs. J’adorais pétrir ces seins fermes et lourds, gonflés de plaisir.Je me relevai alors pour me libérer totalement de mes vêtements. Ayant d’abord quitté le bas, j’avais mon maillot sur le visage lorsque je sentis ma queue raide comme un cierge aspirée par sa bouche gourmande. Quelle sensation exquise ! Une fille magnifique accroupie devant moi me léchait, me suçait, me pompait si fort tout en se caressant la chatte que je cru mourir d’émotion et de plaisir ! Et ses grands yeux verts brillants de plaisir fixés sur mon regard semblaient me dire « Tu aimes ça hein ! Et moi j’aime te donner ce plaisir, je veux te faire jouir ! ». Après quelques minutes de ce traitement, je lui fis comprendre que j’étais sur le point d’éjaculer : elle se releva et me poussa sur le lit, à plat ventre. Elle s’allongea alors sur moi et commença un mouvement de va-et-vient de tout son corps. Je sentais ses pointes de seins me frôler la peau, des épaules jusqu’aux fesses, et sa petite chatte humide qui courait le long de mon dos, sur mes jambes. Sa langue glissait dans mon cou, sur les lobes de mes oreilles. Cette intense sensation de douceur et de bien-être me calma. J’imaginais que j’étais alors à l’autre bout du monde, dans un salon thaïlandais, une charmante jeune fille asiatique pratiquant sur moi le plus torride des body-body !Relâchant son étreinte, elle m’invita à me retourner. Ce que je fis sans attendre. Elle se mit debout au-dessus de moi, puis s’accroupit lentement, les jambes bien écartées jusqu’à ce qu’elle puisse saisir ma bite. La lumière du couloir l’éclairait en pleine face ; j’appréciais une fois de plus la beauté de ce corps offert, de ces seins dressés comme des obus, de ce sexe ruisselant grand ouvert. Je voyais mon gland guidé par sa main s’approcher lentement de sa chatte ; elle le fit glisser lentement plusieurs fois sur sa vulve humide en gémissant de plus bel avant de l’introduire doucement dans son sexe. Elle ressentait chaque centimètre de mon membre tendu et dur, et moi je ne percevais plus mon corps : je ne ressentais rien d’autre que mon sexe pénétrant doucement dans cet étroit écrin de velours. Les yeux mi-clos, se mordillant les lèvres, elle descendait encore et encore, retira sa main juste avant de s’enfoncer jusqu’à la garde. Un râle de plaisir intense s’échappa de sa gorge »Hum ! Que c’est bon ! »Je sentais mon gland blotti au fond de son vagin qu’elle contractait et relâchait adroitement autour de mon membre prisonnier volontaire. Elle entreprit ensuite de remonter et de redescendre délicatement toute la longueur de ma queue trempée et luisante de sa mouille. Gémissant, soupirant, elle contrôlait subtilement le tempo de sa danse du bas-ventre, ajoutant par instant à son va-et-vient vertical des balancements d’avant en arrière de son bassin. Son clitoris dressé comme une fleur m’invitait à le caresser. Mes mains s’aventuraient à l’intérieur de ses cuisses tendues par l’effort lorsque son corps tout entier fut secoué par un soubresaut ; elle commençait à jouir. Sa main droite s’aplatit soudain sur son clitoris qu’elle commença à frotter avec frénésie. Mes mains se jetèrent alors sur ses seins durs. Ses va-et-vient devinrent plus rapides, se transformant en véritable coups de buttoirs. J’écoutais le bruit mat et régulier de ses fesses taper mes couilles prêtes à se vider, le clapotis de sa chatte dégoulinante, sa respiration profonde ponctuée de cris de jouissance. Le frottement de mon gland dans son vagin dilaté devint brûlure ; je tentais de me retenir en grimaçant et en ahanant. Dans un même cri de bête en rut, nous jouissions ensemble, au même instant. Je sentais mon sperme jaillir comme d’une lance à incendie tandis que son vagin se resserrait à l’extrême, ces derniers mouvements accompagnant les saccades de mon puissant jet. Elle s’effondra sur moi, épuisée et comblée. Mon sexe palpitait encore au fond d’elle.Nous sommes restés ainsi pendant un temps qui semblait infini, immobiles, reprenant lentement notre souffle. Puis, elle se dégagea doucement et se laissa glisser sur le flanc. Les yeux fermés, le visage paisible, elle s’endormit. Je contemplais fièrement ce corps alangui et repus tandis que je me rhabillais. Avant de refermer cette porte qui n’avait rien pu dissimuler de notre étreinte, je soufflai un dernier baiser vers ma belle inconnue assoupie.Inconnu mystère