– Ouf!P s’assit dans le carrĂ© du train qui nous ramenait Ă Paris et soupira d’aise.- Quelle journĂ©e, ils nous ont fait cavaler, j’ai les pieds en compoteJe souriais en m’asseyant face Ă elle.- On devrait trouver des masseurs dans les trains!- Tu veux un massage?- Tu ferais ça pour moi?- Avec plaisir.- J’adorerais.Et elle posa ses pieds sur mes genoux. Elle portait des bottines en cuir noir sous un pantalon court. Je saisis son pied gauche et entrepris de dĂ©lacer sa chaussure en essayant de ne pas laisser transparaitre ma fĂ©brilitĂ©. Une fois soigneusement dĂ©lacĂ© le soulier glissa aisĂ©ment laissant apparaĂ®tre de dĂ©licieuses chaussettes noires en coton fin, un peu humides. Une lĂ©gère odeur de cuir tiède et de transpiration parvint Ă mes narines accĂ©lĂ©rant mon Ă©rection. Je lissais la chaussette sur la plante du pied avant de m’attaquer Ă la bottine gauche.- Je n’ai pas trop transpirĂ© au moins s’enquit-elle faussement innocente.- Pas du tout, mentis-je.Ses deux pieds confortablement posĂ©s sur mes cuisses j’entrepris de lui masser doucement les plantes, les talons puis les orteils, tandis que nous discutions de notre journĂ©e de travail. Insensiblement elle descendait sur son siège et tandis que je massais son pied droit le gauche finit par atteindre mon entrejambe. Lorsqu’elle y exerça subitement une pression franche je crus exploser.- Tu as l’air d’apprĂ©cier le massage autant que moi on dirait dit-elle en riant.- Je ne peux pas le cacher dis-je en rougissant- J’adore les footboys! Mais on arrive et j’ai peur qu’il ne faille renfermer mes petons…Je lui remis Ă regret ses bottines en profitant pour me pencher et humer de plus près son dĂ©licieux parfum.Devant la gare, au moment de se sĂ©parer elle se tourna vers moi- J’habite Ă cotĂ©, tu viendrais finir ton massage?Je crus dĂ©faillir et mon empressement Ă accepter son invitation la fit de nouveau rire.ArrivĂ©s chez-elle, elle nous servit Ă boire puis s’allongea Ă demi sur le divan, dĂ©signant ses pieds encore chaussĂ©s elle me dit- Ils sont Ă toi FootboyJe m’agenouillais Ă ses pieds et entrepris Ă nouveau le lent dĂ©laçage. Ses pieds Ă©taient beaucoup plus près de mon visage que dans le train et lorsqu’ils Ă©chappèrent de leurs bottines l’odeur me frappa de plein fouet, je n’avais qu’une envie, enfouir mon visage entre ses pieds, lorsqu’elle me dit- Tu peux les sentir si tu veuxJe me penchais tout en portant ses pieds Ă mon visage, mes narines parcourant ses pieds des orteils au talon…- Tu aimes vraiment ça! Mmmm c’est trop facile. Rechausse-moi.DĂ©pitĂ© je tardais Ă obĂ©ir elle retira alors vivement ses pieds et les glissa sous elle.- Tu dois obĂ©ir si tu veux ĂŞtre mon footboy, compris?J’opinais et elle tendit son pied gauche que je rechaussais la mort dans l’âme, puis le droit.- Maintenant reprenons ton Ă©ducation. A poilEt comme, interdit, je ne bougeais pas :- Tu as bien compris dĂ©shabille toi …sauf tes chaussettes!Je m’exĂ©cutais et me retrouvais nu, bandant devant elle.- C’est mieux, Ă genoux maintenantJe m’agenouillais et elle tendit Ă nouveau son pied chaussĂ©, mais alors que je m’apprĂŞtais Ă dĂ©nouer Ă nouveau ses lacets- Avec les dents footboy! Tu me dĂ©chausses entièrement sans les mains.Je devins ainsi son footboy. Selon les jours elle portait des chaussettes ou des socquettes de coton, des mi bas en nylon des collants ou des dim-UP.Dans nos dĂ©placements professionnels je devais lui masser les pieds, je dĂ» mĂŞme un jour lui embrasser les pieds devant une jeune fille inconnue assise dans le carrĂ© d’en face qui observait la scène du coin de l’Ĺ“il. P s’adressa Ă elle- Vous avez vu mon footboy comme il est mignon?il masse très bien vous voulez l’essayer?Surprise et rougissante la jeune fille commença Ă refuser, puis convaincu par P elle me tendit en riant ses pieds en baskets. Elle devait porter ses petites socquettes blanches depuis plusieurs jours et prit un malin plaisir Ă les Ă©craser sur mon nez.Un jour oĂą elle m’avait fait venir chez elle je la trouvais avec une amie, F. très jolie brune en jupe et bottes, elles Ă©taient toutes deux enlacĂ©es sur le divan, assez Ă©mĂ©chĂ©es- Je te prĂ©sente mon footboy lui dit-elle- Ton quoi?- Mon petit fĂ©tichiste. Il est très obĂ©issant , , tu veux l’essayer?- Bien sĂ»r!! gloussa son amie- Commence donc par un petit massage des pieds, ça le met au garde Ă vous!Sur le signe de P je m’agenouillais et entrepris de dĂ©faire les bottes de son amie .- je n’ai pas changĂ© de chaussettes, protesta celle-ci.- Il va adorer tu vas voir.Sous ses bottes elle portait des chaussettes de laine bleues, terriblement odorantes.- Je les sens d’ici s’exclama P, fais lui bien sentir après il ne pourra rien te refuser.Tandis qu’elle Ă©crasait en riant ses pieds sur mon visage elle remarqua mes pieds.P s’amusait aussi Ă me faire porter ses dessous après les avoir portĂ© et depuis la veille je portais sous mon jean une paire de ses bas et une de ses culottes.- Il porte des chaussettes de fille demanda F?- Mieux que ça tu vas voir, allez footboy dĂ©shabille toi un peuJ’Ă©tais alors devenu très obĂ©issant et ne tardais pas Ă me retrouver devant les deux jeunes femmes, uniquement vĂŞtu de bas noirs et d’une culotte de satin, de laquelle mon sexe cherchait Ă s’Ă©chapper.- Trop mignon s’exclama F! et Ă part renifler les pieds il fait quoi d’autre? demanda –t-elle en caressant mon entrejambes du bout du pied.- Tout ce que tu veux, il est très sensuel, la langue agile et la bite raide.- Il lèche bien?- Oh oui!- Le cul aussi- Je le laisse rĂ©pondre, footboy tu lècherais le cul de mon amie?- Oui mademoiselle- Mais ma chĂ©rie tu me donnes quoi en Ă©change des services de mon chĂ©ri? repris P sur le ton autoritaire que j’aimais tant …Un instant surprise F. rentra dans son jeu et la regarda langoureusement .- Ce que tu veux.- Vraiment?- Oui- Tu es prĂŞte Ă m’obĂ©ir?- J’en rĂŞve depuis le lycĂ©e- Alors a genoux Ă cotĂ© de mon boy mais d’abord dĂ©shabille toi.F. ne semblait attendre que ça et commençait Ă enlever sa large ceinture- Attends plutĂ´t, footboy dĂ©shabille la.Les mains tremblantes je dĂ©boutonnais son chemisier puis sa jupe qui tomba Ă ses pieds.- Le soutien gorge footboy mais pas le droit de lui toucher les seins sans ma permission.Ses petits seins fermes pointaient pourtant leurs tĂ©tons …- La culotte maintenant, mais sans les mains prĂ©cisa-t-elle alors que j’allais poser mes mains sur ses hanches et pas question de lui lĂ©cher la foufoune.La culotte de F Ă©tait dĂ©jĂ trempĂ©e et sa chatte sentait aussi fort que ses chaussette, ma queue tendait la culotte de ma maitresse et F ne la quittait pas des yeux.- Petite cochonne tu auras ton sucre d’orge plus tard si tu me fais bien jouir, Ă genoux tous les deux.Nous nous retrouvâmes tous deux aux pieds de P. F uniquement vĂŞtue de ses chaussettes et moi de mes bas, ma queue s’Ă©tant enfin Ă©chappĂ©e de sa prison soyeuse.P. portait ce jour lĂ des boots en cuir noir et des dim-up noirs opaques que j’aimais beaucoup pour leur douceur.Chacun a un pied nous enlevâmes doucement les boots de notre vĂ©nĂ©rĂ©e maĂ®tresse. J’avais repĂ©rĂ© que c’Ă©tait le troisiĂ©me jour que P.portait ces bas et je ne fus pas surpris par l’odeur, au contraire elle acheva de m’enivrer. F. peu habituĂ©e eut un mouvement de recul.- Tu n’aimes pas ma chĂ©rie?- Heu si- Footboy aide- la allezJe pressais doucement sur la nuque de F. pour la forcer Ă coller ses ravissantes narines sous les orteils de sa nouvelle maĂ®tresse. Je vis quelques larmes apparaĂ®tre dans ses yeux.- Tu pleures ma chĂ©ri? footboy petite brute laisse la on va arrĂŞter ce jeu qui fait pleurer mas petite chĂ©rie.- Non surtout pas je vais y arriver protesta F qui seule cette fois enfouis son visage entre les pieds de P.Elle avait bien mĂ©ritĂ© que je la serve et le reste de la soirĂ©e, tandis qu’elle lĂ©chait longuement le sexe de P., obĂ©issant Ă chacune de ses injonctions, de mon cotĂ© je lui lĂ©chais le con et le cul selon les ordres de l’une ou de l’autre, volant quand je le pouvais une bouffĂ©e de leurs pieds.Lors des sĂ©ances ultĂ©rieures avec les deux jeunes femmes P. s’amusait Ă multiplier les combinaisons A son tour F. dut me sucer ce qui n’Ă©tait pas pour me dĂ©plaire je du sans me faire prier la baiser et l’enculer pendant qu’elle baisait les pieds de P. Finalement celle-ci trouva que je mĂ©ritais de revenir a plus d’humilitĂ© et une après-midi seulement vĂŞtu de bas blancs je fus attachĂ© et F. Ă©quipĂ©e d’un god me fit perdre ma virginitĂ©.Mais je n’Ă©tais pas prĂŞt Ă la dernière invention de ma maĂ®tresse, le jour oĂą elle me demanda de porter Ă nouveau ses bas blancs. Lorsque que j’arrivais chez elle, elle avait des airs de conspirateurs. Elle s’amusa Ă me maquiller et m’attacha le sexe avec un bas noir. Tandis que je vĂ©nĂ©rais ses adorables pieds, ce jour lĂ en socquettes de nylon noir, la sonnette retentit. Elle me demanda de passer a cotĂ© pour une surprise dit-elle .J’attendais un bon quart d’heure avant qu’elle ne m’appelle. Elle Ă©tait sur le canapĂ© mais au lieu de F. se trouvait un adorable adolescent rougissant la chemise ouverte et les lèvres barbouillĂ©es du rouge de ma maĂ®tresse.- Je te prĂ©sente footboy mon chou, footboy je te prĂ©sente mon neveu il fera tout ce que tu veux.- Tout?- Oui mais d’abord il va te mettre Ă l’aise, Footboy enlève donc les baskets de mon petit neveu.Je m’empressais d’obĂ©ir et me trouvais devant une paire de dĂ©licieuses chaussettes blanches que je humais avec bonheur. B. le neveu semblait un peu abasourdi au dĂ©but mais se prĂŞtait de bonne grâce Ă mes embrassades.- Dis-moi chouchou, je vois que tu bandes je sais que ce sont mes nichons qui te font de l’effet mais tu ne crois pas quand mĂŞme que je vais sucer mon neveu?- Non ma tante- Je ne vais pas non plus te laisser comme ça alors dis moi ce que tu prĂ©fères tu te branles ou tu te fais sucer par footboy?- Il me sucerait?- Bien sur si je lui demande je suis sur qu’il adore ça.C’est comme ça que je me suis retrouvĂ© sucer ma première bite après avoir achevĂ© de le dĂ©shabiller sauf ses dĂ©licieuses chaussettes blanches bien sĂ»r.