Souvenirs érotiques et cochons d’un érotomane – La cochonne (3)
Le chapitre 2 a paru le 6.4.2021…
…Au téléphone, Mathilde m’avait donné l’adresse d’une auberge où la retrouver le soir même… Je connais l‘endroit de réputation, le rendez-vous de couples, mais surtout de messieurs en quête de sensations plus ou moins fortes…
Proposée le 29/03/2022 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: ToilettesType: Histoire vraie
Lorsque j‘arrive, presque toutes les tables sont occupées. Mathilde occupe une table au fond de la salle. Je prends place à côté d‘elle.
A la table en face de nous, un monsieur d‘une cinquantaine d‘années ne quitte pas Mathilde des yeux, plus précisément une région bien précise, me semble-t-il.
Je baisse les yeux : Mathilde a les cuisses largement écartées ! Cette cochonne s‘exhibe à ce type! Comme avec moi, le premier jour… Elle ne peut pas s‘en empêcher, je crois que c‘‘est plus fort qu‘elle !
L‘homme mange d‘une main, de l‘autre il tripote sa braguette… Il bande.
Mathilde prend ma main et la conduit entre ses cuisses.
– Touche-moi…
Sa chatte est brûlante et sa culotte trempée. Je commence à lui palper la chatte, enfonce légèrement un doigt, puis deux dans sa fente. Elle un mouvement du bassin, alors je lui enfonce trois doigts dans le con, les faisant tourner. Je la branle sans retenue, ça clapote, c‘est obscène !
En face, le type est cramoisi et semble être au bord de l‘apoplexie. Il ouvre sa braguette, sort sa queue et commence à se branler.
Mathilde me souffle :
– Il a une belle queue… J‘ai envie de le sucer…
Elle se lève et se dirige vers les toilettes, trois secondes plus tard l‘homme se lève à son tour et la suit. J‘attends une minute encore et me dirige à mon tour vers les toilettes.
Le spectacle qui s‘offre à moi vaut son pesant de cul : Mathilde, la culotte à mi-cuisses, les doigts enfoncés dans sa chatte se branle au même rythme que son autre main sur la queue du monsieur. Je me colle dans son dos, elle se cambre :
– Lèche-moi le cul…
Je m‘agenouille, lui écarte les globe, et quand je plaque ma bouche entre ses fesses, elle s‘enfourne la bite du type jusqu‘à la glotte. Je fais tourner ma langue dans le cul de Mathilde, elle se met trois doigts dans le con et se branle.
Le type a saisi la tête de Mathilde à deux mains pour lui imprimer son propre rythme, mais il est tellement excité qu‘il ne met pas trois minutes à jouir. Je l‘entend râler en se vidant dans la bouche de Mathilde. Elle jouit aussi, mais ses gémissements sont étouffés par la queue qui lui remplit la bouche. Le monsieur se nettoie en vitesse, se rebraguette et s‘esquive.
Après le repas, le serveur nous sert deux armagnacs.
– De la part du monsieur de la table 10, ajoute-t-il avec un clin d‘oeil…
Mais je sais que la soirée ne fais que commencer, Mathilde est une insatiable et moi, je suis remonté à bloc… Arrivés dans son appartement, dans le salon, elle se met debout, les fesses appuyées sur la grande table. Elle trousse sa robe. Elle écarte les cuisses. Elle s’assied sur la table. Elle se recule, le pan retroussé de sa robe laisse voir ses cuisses volumineuses. Elle se laisse aller lentement en arrière sur la table.
– Viens… Prends-moi là, sur la table… Comme si tu me baisais au restaurant, devant tout le monde… Fais-moi des choses sales…
La robe remonte plus haut et ses genoux s‘écartent davantage. Je suis à hauteur idéale pour mater les cuisses qui s’évasent autour de la bosse claire de sa culotte.
Appuyée sur les coudes, elle m’observe avec un demi-sourire, attendant mon initiative. Je pose une main sur l’intérieur de sa cuisse, en retroussant sa robe de l’autre. Elle pose la main, caresse son sexe emprisonné dans la culotte, et s’allonge sur le dos. En sentant mes mains glisser sous sa robe, elle se cambre, soulevant le bassin pour que je puisse lui retirer son slip sans peine. Je fais rouler sa culotte sur ses hanches larges.
Entre ses cuisses lourdes, son sexe, charnu, gros. Le pubis renflé recouvert de poils, une toison dense. Je pince la chair grasse, étire les lèvres qui se déplissent, elles dépassent entre les cuisses, brunes à l’extérieur, rougeâtres du côté de l’entrée du vagin qu’elles ne protègent guère tant elles sont molles.
Je les repousse du bout des doigts, les étire de chaque côté, fait bâiller la fente en un trou ovale, bordé de chair humide. Mathilde ne dit rien. J‘examine son sexe dans tous ses détails.
J’ai l’impression de jouer au docteur, froissant puis déplissant les chairs chiffonnées, dégageant le haricot grenu du clitoris, l’agaçant à peine, avant de glisser très lentement deux doigts dans son vagin.
– Oui, c’est ça, vas-y, touche-moi comme ça !
Elle est si mouillée que mes doigts coulissent jusqu’au fond sans rencontrer la moindre résistance. Je commence à les agiter en rond, tirant à Mathilde un soupir de satisfaction. Des phalanges, je repousse les parois élastiques de sa chatte qui continue à se dilater. Je défait ma ceinture et repousse pantalon et slip sur mes chevilles.
Ma queue est dure comme un bout de bois, le gland cramoisi suinte. Je n’ai même pas à guider mon pieu de la main, en pliant légèrement sur mes jambes, je creuse les reins et le con de Mathilde s’ouvre sous la poussée du gland. En une poussée, je suis au fond.
Cette fois, Mathilde se met à gémir. Son expression n’a pas changé – paupières mi-closes, bouche étirée en un demi-sourire – mais la sueur qui lui perle aux tempes et sa respiration bruyante trahissent son plaisir de sentir mon pieu fouiller sa chatte.
Je donne de grands coups de reins, fait coulisser ma queue sur toute sa longueur, si vite qu’elle s’échappe par instants et vient riper sur le clitoris. J’essaie de faire mal à Mathilde, mais c’est l’effet inverse que j’obtiens. Mes entrées et sorties, mes coups furieux, ne font que lui procurer davantage de plaisir.
Les genoux relevés haut pour m’ouvrir sa chatte autant qu’elle le peut, elle malaxe sa poitrine à travers sa robe.
– Oh, tu le fais bien ! Oh oui, tellement bien ! Je suis ta cochonne ! Baise !
Elle déboutonne le haut de sa robe. On aurait pu croire que c’est parce qu’elle manque d’air – elle halète maintenant – mais elle ne veut que libérer ses seins, deux masses de chair molle piquées d’un mamelon brun sombre. Elle les écrase entre ses doigts, les pétrit avec furie en sentant l’orgasme venir.
– Oui ! Maintenant ! Maintenant ! Oh, je viens !
De la sueur me coule dans le dos. J’accélère, essaie de la rattraper, me rue d’avant en arrière. Mathilde crie et je sens les premiers flots me baigner le pubis. Je me retire et vois un jet de pisse gicler hors de sa chatte, éclabousser mes couilles. En jouissant, elle est en train de me pisser dessus.
Je remets ma queue dans sa chatte, freinant l’ondée qui ruissèle entre nous, lui coule le long du périnée pour finir en flaque sur le carrelage. Elle crie encore, je me retire et sa pisse gicle en deux salves successives, me baignant le gland… Mathilde pisse quand elle jouit, comme un homme éjacule.
Ses sursauts calmés, elle se laisse retomber lourdement sur la table pour reprendre son souffle. Sa respiration haletante fait rouler ses seins sur son buste. L’odeur âcre de l’urine se mêle maintenant à celles plus chaudes de mouille et de sueur. Son entrecuisse parait ravagé : le vagin reste entrouvert, les lèvres recroquevillées ont viré au rouge vif et le tout baigné de pisse qui étire les poils en tortillons luisants.
Une seconde, j’hésite à la retourner sur la table, à me servir de son cul pour jouir.
Au lieu de ça, je finis d’ôter slip et pantalon et je grimpe sur la table.
– Mathilde, tu as vraiment tout salopé !
Elle relève les yeux vers moi, le regard flou, sans comprendre ce que je lui dis.
– Il va falloir nettoyer tout ça maintenant !
Je m‘accroupis au-dessus d’elle, posant un genou de chaque côté de ses épaules et je la prend par la nuque pour lui soulever la tête.
– Allez, viens nettoyer tout ça !
En la tirant sans ménagement, je l‘attire vers mon entrejambe, lui plaquant le visage contre les poils qu’elle a mouillés de sa pisse. Mes couilles roulent sur sa joue, ma queue toujours raide lui cogne contre la tempe. En resserrant les genoux, je lui interdit de lever les bras et il m’est facile d’orienter son visage comme je le veux.
– C’est ta pisse, Mathilde, alors, vas-y, goûte-la !
Elle a un gémissement. Toujours en la tenant par la nuque, je promène ma queue luisante de mouille et de pisse sur son visage, comme si je voulais la maquiller. Je passe le gland sur ses paupières, sur l’arête de son nez.
Quand j‘arrive à ses lèvres, elle ouvre docilement la bouche, mais je ne la laisse pas sucer tout de suite.
– Tu es vraiment une dégoûtante, Mathilde !
Elle ferme les yeux et tend la langue pour la passer sur mes couilles. Elle les lape doucement.
– C’est vrai, je suis sale ! Je suis une dégoûtante et une cochonne !
Elle relève les yeux vers moi et je comprend qu’elle est à nouveau excitée.
– Sers-toi bien de ta langue ! Et partout !
Je me cambre légèrement au-dessus d’elle, et je sens sa langue glisser dans mon périnée. Ma queue se tend, le gland luisant. Je m‘avance de quelques centimètres et, avec un grognement, Mathilde commence à me fouiller l’anus de sa langue. Elle s’enfonce aussi loin qu’elle le peut, tournoie dans mon cul, laisse mes couilles frotter sur son front. C‘est à mon tour de haleter.
Je la sent gigoter sur la table et la voit glisser une main entre ses cuisses. En serrant ses doigts les uns contre les autres, elle recommence à pilonner son con comme je l’ai fait avec ma bite. Elle grogne en s’acharnant sur mon trou du cul.
Je suis si proche du plaisir que rester comme ça est douloureux, je veux gicler. Je serre mon pieu et jouis, éjaculant si abondamment que mon sperme gicle jusque dans les cheveux de Mathilde avant de me poisser les doigts.
La tête me tourne. Je me laisse aller en avant, m’appuyant sur les paumes, je reprends conscience de Mathilde qui continue à se branler brutalement, une expression vicieuse sur son visage luisant. Elle ouvre la bouche, tend le cou pour aspirer mon gland mollissant entre ses lèvres, le suçotant pour en tirer les dernières gouttes de sperme.
– Le reste, chéri !
Sa voix est rauque, hachée. Je réalise qu’elle est encore plus excitée que lorsque je l’ai baisée. Sa masturbation est si saccadée qu’elle fait trembler la table. Elle me sourit, lubrique, essayant de donner un ton enjôleur à sa voix.
– Donne-moi le reste, chéri ! Donne-moi tout !
Les rôles sont inversés, c’est moi qui dois lui pisser dessus, ce qui l’excite au point qu’elle en grimace, qu’elle ébranle la table en cognant sa chatte de sa main ouverte. Elle ouvre la bouche en une grimace obscène. Je me mets debout et pendant qu’elle se fait jouir une nouvelle fois, je lui pisse dessus comme elle le désire.
Dirigeant ma bite de deux doigts, je vise d’abord sa poitrine, éclaboussant ses gros seins, imbibant le coton de sa robe puis je remonte jusqu’à sa bouche qu’elle garde grande ouverte. Elle laisse ma pisse l’emplir avant de déglutir bruyamment, expédiant dans son cou ce qu’elle ne peut avaler.
Elle jouit encore plus fort que quand je l’ai baisée, ruant comme une ânesse, donnant des coups de talons sur la table en beuglant des insanités, tandis que l’ultime filet d’urine lui balaie le front et les tempes.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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