Je suis quasiment nu. Je porte uniquement un petit string en dentelle noire qui a bien du mal à contenir mon érection naissante. Sa tenue se compose d’un soutien-gorge avec string assorti, porte-jarretelles et bas noirs. Cet ensemble magnifie ces formes et ses cheveux tirés en arrière donnent à son visage un air légèrement autoritaire.Elle me regarde avec un demi-sourire et tourne lentement autour de moi. Je me sens observé sous tous les angles, puis elle vient se placer juste devant moi. L’odeur sucrée de sa peau commence à me parvenir. Elle me demande de me mettre à genoux devant elle. Je m’exécute et, tout en m’accroupissant, le plug inséré en moi vient me titiller la prostate, provoquant de délicieuses sensations dans le bas-ventre. Je me retrouve aux pieds de cette femme. Elle me regarde de haut. Elle approche son sexe de ma bouche, puis vient carrément le coller sur mes lèvres. Ma langue commence à se promener sur le tissu de sa culotte. De son côté, elle ondule doucement ses hanches pour venir frotter son clitoris sur ma bouche, puis me bascule en arrière et s’assoit sur mon visage. Elle écarte son string, j’accède directement à son sexe humide. Je me délecte de sa mouille. Je me retrouve rapidement avec la face pleine de cyprine. D’un seul coup, elle s’arrête, repositionne sa culotte me privant de la vue de sa chatte gonflée par l’excitation.Elle se trouve maintenant à une quinzaine de centimètres de mon visage et reste immobile pendant quelques secondes. Je me demande ce qui lui arrive. D’un seul coup, je vois sa culotte se mouiller et sens un liquide chaud couler dans ma bouche. Elle est en train de m’uriner dessus. Le goût de son pipi, filtré par le tissu, est agréable et je ne peux m’empêcher de me masturber. Elle s’en aperçoit et me regarde avec un sourire narquois. Elle se remet debout, enlève son string mouillé et me bâillonne avec. Sa culotte a un goût de pipi et de mouille mélangé. C’est exquis.Elle se tourne, j’ai une vue directe sur ses fesses et son anus. Elle s’accroupit et commence à se frotter sur mon ventre. Elle s’arrête à nouveau, se positionne au-dessus de mon sexe tendu qui dépasse de mon string. Elle écarte ses grandes lèvres et se laisse aller. La vue de son urine chaude sur ma bite m’excite au plus haut point. J’ai toujours son string dans la bouche, un plug dans l’anus et mon sexe trempé de sa pisse. Après avoir enfilé un préservatif, elle s’empale sur ma bite. Je ne tarde pas à jouir au fond de son vagin. L’orgasme est long et intense. Ce moment hors du temps m’a mis dans un état second qui m’a permis de dépasser allégrement les conventions sociales habituellement admises entre deux personnes.Je suis dans le cabinet de cette sexologue, en train de décrire un de mes fantasmes qui me revient régulièrement durant mes séances de masturbation. Il n’est pas aisé de raconter ce genre de récit à une personne tierce. Cela nécessite un lâcher-prise important, et c’est certainement un des buts de cet exercice proposé par la thérapeute. L’autre objectif, je l’imagine, est la raison première de mes consultations : retrouver une vie sexuelle épanouie au sein de mon couple. En ce début de travail thérapeutique, ma compagne n’est pas présente. Cependant, j’espère par la suite la convaincre de s’impliquer dans ce processus et chercher ainsi ensemble une nouvelle osmose sexuelle.La sexologue me propose donc de revenir sur mes expériences sexuelles qui ont pu alimenter ce fantasme. Après un temps de réflexion, et un nouvel effort pour dépasser ma pudeur naturelle, je lui parle de ma première copine avec qui j’ai eu une longue relation.J’avais une vingtaine d’années et étais en couple avec Sophie depuis quelques mois. Ce début de relation était intense sexuellement, nous faisions l’amour, tout le temps, partout… Et surtout, nous échangions énormément sur nos envies qui, par chance, étaient souvent partagées. Assez rapidement, nous avons commencé à explorer le plaisir anal, en étant alternativement le receveur ou le donneur de plaisir. Au début simplement avec nos doigts, nos langues et nos sexes. Puis au fur et à mesure de l’appropriation de ce type de plaisirs, nous nous sommes équipés en matériels. Je me souviens parfaitement de la fois où nous nous sommes rendus dans un sex-shop pour acquérir un gode-ceinture. Sophie estimait qu’il était de son devoir de me faire découvrir le bonheur de se faire prendre à quatre pattes.Pour l’occasion, elle porte une courte jupe qui laisse deviner le haut de ces bas noirs. Son soutien-gorge remonte parfaitement ses gros seins qui tendent de manière indécente un pull moulant. De mon côté, je suis simplement en jean et pull. En garant la voiture, je ne peux m’empêcher de l’embrasser et de glisser ma main vers son entrejambe. À travers sa culotte, je distingue l’humidité de son sexe. Elle se laisse caresser quelques instants puis m’arrête. Elle soulève ses fesses discrètement du siège de la voiture et fait glisser son string le long de ses jambes. L’excitation commence à se faire sentir, je me vois déjà dans la boutique en train de choisir un gode-ceinture, tout en sachant que ma copine ne porte rien sous sa jupe. Elle me dit qu’elle veut bien se rendre, les fesses à l’air, dans le sex-shop, si en contrepartie je porte son string. Surpris par cette idée, je la trouve finalement excitante et me tortille comme je peux dans la voiture pour enfiler sa culotte puis remettre mon jean. La sensation du tissu entre mes fesses qui caresse mon anus est très agréable, et en sortant de la voiture, j’ai du mal à dissimuler mon érection. En tout cas, Sophie le remarque et s’en amuse en me provoquant légèrement. Au moment d’entrer dans le magasin, elle soulève furtivement sa jupe me permettant d’apercevoir ses belles fesses rondes. J’entre dans la boutique avec le rouge aux joues.Le sex-shop est classique avec une grande partie consacrée aux DVD. Quelques clients sont présents, mais ne font pas particulièrement attention à nous. La partie sex-toy se situe dans un coin du magasin, mais elle est plutôt bien achalandée. Cependant, nous sommes venus chercher un article précis, et il n’y a qu’un seul modèle de gode-ceinture. Je me dis que le choix sera facile. Au même moment, une vendeuse surgit et nous demande si nous souhaitons avoir des conseils. J’allais répondre ma phrase classique « On fait juste regarder, merci », mais Sophie me devance, commence par lui expliquer notre recherche puis lui demande si elle n’a pas d’autres modèles disponibles. Je suis rouge pivoine, surtout lorsque Sophie précise qu’elle souhaite me faire découvrir le plaisir de la pénétration anale.La vendeuse nous invite à la suivre dans l’arrière-boutique. Elle nous pose sur une table plusieurs modèles de tailles et formes différentes tout en nous conseillant un modèle qui a, selon elle, l’avantage de bien se fixer sur les hanches et permettre des pénétrations énergiques. Le gode de ce modèle a des dimensions généreuses, mais pas extrêmes. Je demande à la vendeuse si le modèle n’existe pas en plus petit. Elle reconnaît que ce type de modèle nécessite un peu d’habitude et que le mieux est de porter un plug anal un peu avant son utilisation. Sophie est convaincue et me dit que nous prenons le gode-ceinture et le plug. Elle en profite pour demander à la vendeuse s’il y a un endroit tranquille dans le magasin. Je me retrouve ainsi dans une cabine d’essayage penché en avant avec Sophie derrière moi en train de m’introduire tranquillement le plug dans les fesses. Une fois bien en place dans mon anus, je remonte mon string puis mon pantalon. Nous sortons de la cabine puis allons payer. La vendeuse me regarde avec un sourire en coin et me souhaite un bon moment.Arrivés à la maison, nous nous sautons dessus, excités comme rarement. Durant tout le trajet, j’ai admiré le sexe humide de Sophie en remontant légèrement sa jupe. Le plug, dans le même temps, me dilate l’anus progressivement et le plaisir envahit mon bas ventre. Je me retrouve rapidement en string dans le salon, la robe et le pull de Sophie ne sont plus qu’un lointain souvenir et je peux la contempler sans retenue en sous-vêtements et bas. Ses formes généreuses, sa peau blanche, son air provocant font que mon sexe dépasse allégrement du petit string. Elle peut lire mon excitation dans toutes les parties de mon corps.Elle se met à genoux et prend mon sexe dans sa bouche tout en me regardant profondément dans les yeux. Puis nous nous retrouvons rapidement allongés sur le canapé en position de 69, sur moi elle se frotte sur ma bouche et mon nez. En quelques instants, j’ai le visage recouvert de mouille. De son côté, Sophie a bien ma bite en bouche et me pénètre avec le plug en faisant des longs allers-retours comme s’il était un simple gode. Je sais qu’avec ce traitement, ma jouissance ne va pas tarder. Sophie, elle, ne se retient pas et jouit en me remplissant la bouche de cyprine. Toujours sur moi, elle sort mon sexe de sa bouche, me regarde en souriant et me dit « à ton tour de prendre ton pied… À quatre pattes ! » Je ne me fais pas prier et me positionne les fesses en l’air afin d’offrir un accès facile à mon anus.Elle commence par prélever de la mouille de son sexe pour lubrifier ma rondelle, puis commence à me pénétrer avec un doigt. Mon état d’excitation couplé à la présence du plug quelques instants plus tôt fait qu’elle n’a pas de mal à introduire deux, puis trois doigts. Estimant que je suis prêt à accueillir notre nouvelle acquisition, elle s’équipe du gode qu’elle porte maintenant fièrement et me met ce sexe factice dans la bouche. Sophie est magnifique de puissance, elle m’irradie de sa sexualité libre et enjouée. Je suis dans un état second avec ce gode dans la bouche, admirant ses cuisses imposantes, son pubis touffu agrémenté de cet appendice, son ventre et ses seins généreux, son visage radieux…À ce moment, Sophie est la femme la plus excitante que je n’ai jamais rencontrée. Elle positionne le gode lubrifié par ma salive à l’entrée de mon postérieur et s’enfonce tranquillement en moi. Une fois bien au fond, elle s’arrête me laissant savourer la sensation d’être complètement rempli. Puis, elle commence à me faire l’amour doucement, je sens le gode coulisser en moi. Elle accélère la cadence, le plaisir monte et rapidement je me retrouve en transe. Je voudrais que Sophie me baise toute ma vie comme cela, je perds tous mes repères et seule ma jouissance à venir compte. Cette dernière arrive, mon sexe se gonfle, je sens le sperme couler en continu, mon anus se contracte à maintes reprises, amplifiant chaque fois mon plaisir. Je suis vidé, Sophie est en nage et a l’air particulièrement heureuse. Nous nous allongeons tous les deux dans le canapé et reprenons lentement nos esprits. Nous nous endormirons collés l’un à l’autre, avec le gode toujours bien en place dans mes fesses.À la fin de ce récit, je me rends compte que j’ai mis beaucoup d’enthousiasme à raconter ce souvenir. Je me sens d’un coup gêné. La sexologue me sourit gentiment, mais ne laisse apparaître aucun sentiment particulier, ni de jugement ni de gêne… Je prends conscience qu’évidemment, elle entend ce type de récit toute la journée. Cela est tout à fait logique qu’elle ne soit troublée d’aucune manière. Elle m’indique que la séance a été intéressante et que nous poursuivrons la semaine prochaine. Juste avant de partir, elle ajoute qu’il serait bien de venir équipé de mon plug à la prochaine séance pour réaliser quelques exercices pratiques…