Sulfureuse Maîtresse,
Je vis depuis 2 ans avec une Dominatrice perverse qui a pris le pouvoir sur ma sexualité en m’encourageant à vivre ma féminité.
Telle une araignée, elle m’emprisonne dans sa toile un peu plus chaque jour. Depuis plusieurs mois elle me fait porter une cage de chasteté en gardant la clé de mes désirs
Proposée le 29/07/2022 par trans59 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Sulfureuse Maîtresse,
Natacha vit maintenant chez moi depuis plus d’un an.C’est une cérébrale et perverse Domina qui a tout de suite voulu me soumettre à ses désirs.
Elle a pris le pouvoir sur moi en me faisant découvrir ma féminité lors de jeux de rôles. Telle une araignée, elle m’emprisonne dans sa toile un peu plus chaque jour. Depuis plusieurs mois, elle m’oblige à porter une cage pénienne afin de me garder chaste.
Elle épile régulièrement mon clito afin que mes poils ne restent pas coincés à l’intérieur de ma cage.S’étonnant de me voir supporter cette privation de sexe depuis plusieurs semaines, elle a installé discrètement dans notre chambre un réveil équipé d’une mini caméra vidéo pour me filmer lors de ses absences.En visionnant le film à son retour à la maison, elle est très surprise de me découvrir en fille coiffée d’une perruque blonde coupée au carré se maquillant devant la glace. Son regard étonné va des bonnets D de ma guêpière qui menacent d’exploser sous la pression de mes seins siliconés, à ma culotte fendue qui laisse entrevoir mon sexe encagé.Des talons aiguilles subliment le galbe de mes mollets en mettant en valeur mes longues jambes gaînées de nylon.Elle me regarde attacher sensuellement mes bas cervin aux dix jarretelles de ma lingerie qui ont pour mission de garder les coutures de mes bas bien droites lors de mes ébats.
J’enfile ensuite une ravissante nuisette ivoire ornée de dentelle marron pour compléter ma tenue glamour.Privé de sexe, j’ai découvert ces nouveaux plaisirs en achetant à son insu de la lingerie vintage et de nombreux jouets sur un site anglais.A genoux sur mon lit, je m’empale sur mon plug ovale de 7 cm de diamètre en m’aidant du poids de mon corps pour m’ouvrir la chatte.
Lorsque j’entends le claquement sec du socle s’encastrer dans mes fesses, je reste un moment immobile en savourant mon plaisir d’être prise.
Puis, je le fais rentrer et sortir lentement en massant habilement ma prostate et mon périnée.Quelques instants plus tard, je déambule dans ma chambre pour sentir mon jouet vivre en moi.
Marcher l’anus ouvert me procure d’agréables sensations dans le bas ventre en laissant s’échapper de minces filets de sève de ma verge flasque encagée.
Je m’allonge ensuite sur le dos face à mon miroir pour m’enfoncer dans la chatte des godes de plus en plus gros.
J’adore me regarder les jambes fléchies et les cuisses grandes ouvertes avec cet énorme pieu enfoncé dans mon ventre jusqu’au nombril.
Sentant le plaisir monter dans mes reins, je dois souvent faire des pauses en pressant la racine de mon sexe pour ne pas jouir trop vite.Peu après, ne pouvant plus résister à cette vague déferlante qui m’emporte, je me donne le coup de grâce.Comme le font les femmes, je contracte mes sphincters sur mon gode tout en frottant sensuellement mes cuisses l’une contre l’autre.
Le ventre en feu et les jambes flageolantes, je continue à me goder la chatte qui est prise de contractions pendant que mon gode se met à tressauter dans ma main.Puis, mes râles de plaisir retentissent dans la chambre lorsque ma sève se met à couler lentement entre mes cuisses gaînées de nylon. Depuis que j’ai découvert les plaisirs du stretching, je ne peux plus m’en passer et j’ai toujours l’envie de prendre des jouets de plus en plus gros…
C’est devenu pour moi bien plus intense qu’un orgasme pénien.Après avoir visionné le film, Natacha décide d’encourager ma féminisation afin d’accroître son emprise sur moi.Depuis, elle m’achète régulièrement des nuisettes, corsets, porte jarretelles en me prodiguant ses conseils pour le maquillage et le choix de mes perruques.
Elle m’apprend aussi à marcher avec des escarpins et à bouger d’une manière fluide à petits pas sans balancer les bras tout en croisant les jambes.J’ai ressenti le besoin de plus en plus pressante de développer ma féminité.
J’adore voir mon clito flasque encagé nuit et jour et je me sens nu lorsque Natacha me l’enlève pour faire ma toilette ou me donner des orgasmes ruinés.Elle sait pertinemment qu’elle me castre lentement jour après jour car elle m’empêche d’avoir les érections nocturnes nécessaires au bon fonctionnement de mes corps caverneux. En regardant le film, elle n’a cependant pas apprécié que je jouisse sans son autorisation et elle me fait des reproches en me montrant l’étrange instrument qu’elle tient dans sa main.- C’est un butplug spécial chasteté qui t’empêchera de te goder en mon absence, me dit-t-elle.- Il est pourvu de trois branches que je vais déployer dans ta chatte à l’aide de cette molette.- Une fois ouvertes en corolle et verrouillées à l’aide d’une clé, ces branches deviennent impossibles à retirer.
– En portant à la fois ta cage pénienne et ce plug anal de chasteté, tu ne pourras plus prendre de plaisir sans moi, m’assure-t-elle en souriant.D’une main assurée, elle enfonce le buttplug dans ma chatte en écartant les branches avant de les verrouiller dans mon intimité.- Je serai la seule à pouvoir te l’enlever, me dit-t-elle en mettant la clé autour de son cou.A mon grand étonnement, je peux garder cet instrument jour et nuit aussi facilement qu’un rosebud.
Il ne pèse que 300gr et s’insère parfaitement dans la raie de mes fesses ce qui me permet de mener une vie active et de m’asseoir sans problème.
La seule contrainte est que ma Maîtresse doit m’accompagner aux toilettes pour le déverrouiller.Par contre, je peux soulager ma vessie tout en gardant ma cage de chasteté.
C’est avec plaisir sans cesse renouvelé que je m’assois comme une fille sur la lunette des wc en faisant glisser ma culotte sur mes cuisses pour éviter de détacher mes jarretelles sous le regard approbateur de ma Maîtresse.Une fois par semaine, elle retire ma cage pour me traire afin de m’empêcher d’avoir des éjaculations nocturnes.Comme beaucoup de soumis, le fait de porter ma cage en permanence m’a transformé en éjaculateur précoce.Par les habiles pressions de la pulpe de ses doigts sur ma prostate, ma Domina me vide rapidement les bourses sans que je ressente le moindre plaisir.
Afin de m’interdire toute éjaculation nocturne, elle extrait ma source de vie plusieurs fois de suite jusqu’à la dernière goutte à l’aide de son vibro fairy qui devient vite un instrument de torture.D’un air satisfait elle me dit:
-Ta queue est restée totalement flasque pendant les séances de milking.
– Elle a aussi perdu deux centimètres au repos ces derniers mois, ce qui va me permettre de te mettre une cage plus petite.
– Dans quelques semaines, je pense que je t’aurai définitivement castré comme je le désire.
En entendant ses paroles, je me réjouis d’avoir bientôt un petit clito de sissy que je cacherai entre mes cuisses pour pouvoir porter des dessous transparents et mettre en valeur mon mont de vénus.C’est toujours avec impatience que j’attends la fin mois car ma Domina m’enlève mon buttplug pour me récompenser de mon obéissance en me donnant un orgasme anal.
Fine mouche, elle sait qu’ensuite, elle pourra tout me demander.
A chaque fois qu’elle me sodomise avec son gode ceinture, ma Maîtresse augmente son emprise psychologique sur moi tout en me rendant physiquement et cérébralement addict à ce plaisir.
Elle m’avoue ressentir une forte excitation mentale en me dominant sexuellement.
Elle en tire aussi de substantiels avantages dans la vie réelle car elle décide de tout à la maison en ayant la garde de mes comptes bancaires.
Je dois reconnaître qu’il m’est devenu très agréable de rester passif et de jouir de ma chatte.Le jour de ma récompense étant arrivé, Natacha se plante devant moi revêtue d’une guêpière et de bottes en cuir rouge.
Mon regard est attiré par l’énorme gode noir qui est solidement attaché à sa taille.
Je remarque que la lanière centrale trop serrée rentre dans son vagin.En comparant mon escargot enfermé dans sa coquille à ce pal monstrueux qui se balance lourdement entre ses cuisses, je comprends vite que Natacha a pris le pouvoir sur moi.Lorsque je la vois s’approcher en serrant cet énorme phallus entre ses mains, je ne pense plus qu’au plaisir qui m’attend.
Je me couche sur le dos en mettant un coussin sous mes fesses.
Me sentant confusément femme, j’abaisse ma culotte qui est mon dernier rempart de chasteté.
En souriant, Natacha vient se mettre à genoux entre mes cuisses en posant mes jambes sur ses épaules.
Mon bas ventre bouillonnant d’impatience, j’écarte mes fesses à deux mains en cambrant les reins comme une chienne en chaleur.
Mon bassin se tend pour aller au devant de cet énorme sexe qui se balance lourdement devant mes yeux.
Sous la pression du gland, les plis de ma rosette s’effacent peu à peu.
Je ressens un plaisir mêlé de douleur lorsque Natacha force mon passage en m’empalant d’un grand coup de reins.
Lorsque ma rosette cède d’un coup, j’ai l’impression de subir un véritable viol.
Sans me quitter des yeux, elle m’embroche comme un mouton sur toute la longueur du pal.
Puis, elle va et vient lentement en moi pour me faire sentir les reliefs des grosses veines saillantes courant sur sa hampe en se servant de mon anus comme d’un vagin.
Je cambre les reins pour mieux m’offrir à ma maîtresse qui me baise si bien.
Chaque centimètre me comble d’un plaisir nouveau avec ce sentiment de plénitude d’être bien prise et remplie.
-Tu te donnes à moi comme une femme, me dit-t-elle ravie en me fouillant les entrailles sous tous les angles.Puis vient le moment ou le souffle court et le cœur battant la chamade, j’ai la sensation de jouir comme une fille dans un moment de pure extase.
Une vague de chaleur monte de mes reins en irradiant mon ventre.
Ma chatte prise de fortes contractions involontaires en serrant fortement cet énorme sexe qui me comble si bien.
Ma verge flasque et sans érection de sissy se met à couler lentement en continu en prolongeant mon orgasme anal.
D’épaisses coulées blanchâtres se répandent sur ma guêpière en gagnant l’intérieur de mes cuisses et en s’infiltrant dans la lisière de mes bas.
La tête rejetée en arrière et les yeux fermés, je râle de plaisir en me laissant emporter par cette vague déferlante de plaisir.
Natacha savourant son plaisir d’avoir pris le pouvoir sur moi se retire de mes reins en posant sur ma chatte un cylindre en verre qui est un pussy pump.A l’aide d’une poire en faisant le vide d’air, elle fait gonfler le mince ourlet anal qui s’est formé autour de mon anus lors de mes jeux.
Il ne tarde pas à grossir en prenant l’apparence de véritables lèvres vaginales…- Tu as maintenant une très belle chatte, me dit-t-elle en caressant mes lèvres anales épaisses et turgescentes avec ses doigts avant de m’enfoncer son gode dans les reins en me faisant jouir à nouveau.Peu après, elle m’installe sur sa table gynécologique en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, elle se sert de son plug gonflable pour me dilater la chatte.Avec un brin de sadisme, elle le gonfle à fond en entendant mes gémissements de plaisirs et de douleur résonner dans la chambre.
Elle me fait découvrir une autre de ses spécialités en m’enfonçant un long insert urétral dans la verge pour stimuler ma prostate en interne tout en gonflant mon plug gonflable qui vient la masser en externe. Je jouis intensément lors de ce double massage anal et urétral en ne tardant pas à voir la tige métallique qui coulisse dans ma verge se recouvrir de ma source de vie.
Ensuite, elle entoure mes gonades d’une chaîne pour y suspendre deux poids de 300gr.Face à la glace, je regarde l’allongement spectaculaire de mes bourses qui me donne d’agréables sensations en provoquant une forte tension sur mon frein.Quelques instants plus tard, Natacha m’entraîne dans son lit en posant son avant bras à la verticale du matelas pour que je m’embroche dessus.
Sa main bien lubrifiée rentre facilement dans ma chatte béante qui s’ouvre comme un fruit mure.
Elle tourne ensuite lentement son poignet en massant ma prostate jusqu’à ce que quelques gouttes incolores perlent à la surface de mon gland.
– Maintenant empale toi à fond! M’ordonne-t-elle.Je m’aide du poids de mon corps tout en poussant en regardant avec fascination son bras disparaître jusqu’au coude.Peu après, au regard sulfureux qu’elle me jette, je sais qu’elle a décidé de m’achever.Poursuivant son fist, elle me mordille les bourses jusqu’à ce que ma source de vie jaillisse sur son visage et dans sa superbe chevelure auburn.
Puis, elle me pompe la queue en creusant ses joues pour mieux aspirer mes dernières gouttes de sève.Quelques instants plus tard, elle me bande les yeux en m’attachant les mains derrière le dos tout en me plaquant contre le mur de la chambre.
Me faisant face, elle remonte sensuellement sa jambe jusqu’à la lisière de mes bas en m’écartant les cuisses.
Les frottements de son genou gaîné de nylon sur mon gland finissent par me provoquer une faible érection.
En me fixant de son regard de braise, elle entretient longuement mon désir en évitant de me faire jouir.Je suis surpris lorsqu’elle me chuchote à l’oreille:
– Es-tu prêt à souffrir pour moi?
Sans attendre ma réponse, elle prend appui sur mes épaules pour se stabiliser et projette avec force son genou entre mes cuisses.
Je m’affaisse sur elle en poussant un cri de douleur.
– Redresse toi, je n’ai pas fini, me dit-t-elle en me plaquant contre le mur.
– Écarte les jambes, je vais recommencer, m’ordonne-t-elle en me laissant anticiper douloureusement l’avenir pendant des secondes interminables.
Visant mon entrejambe, son genou part à la vitesse de l’éclair en m’écrasant les bourses.Puis, elle vient se coller contre moi comme une chatte en chaleur en me prodiguant ses caresses.
Elle me travaille longuement au corps tout en posant ses lèvres sur ma bouche pour étouffer mes gémissements de plaisirs.
Ses mains vont des bonnets de ma guêpière à ma culotte fendue.
Elle regarde d’un air ravie ma queue flasque de sissy qu’elle effleure avec sa cravache.
Puis, faisant une pause, elle me confie:
– En t’obligeant à porter ta cage de chasteté jour et nuit, tes corps caverneux comprimés en permanence ont perdu leur fonction érectile.
– Tes taux de testostérone se sont également effondrés ce qui t’empêche maintenant de bander.
– En te castrant patiemment jour après jour, je suis parvenue à obtenir ta soumission et à te féminiser.
– Tu es enfin devenue la lesbienne que je désire avoir dans mon lit.
– Je t’initierai à la technique du tucking pour que ton sexe ne se voit plus sous ton string.
– Je te montrerai comment enfoncer tes testicules dans ton canal inguinal en fixant ta queue à l’intérieur de tes cuisses avec des bandes adhésives.
– En ce qui me concerne, j’aurai toujours l’envie de faire l’amour avec un homme que je recevrai à la maison en ta présence.
– Tu l’accueilleras en soubrette vêtue d’une guêpière pour mettre tes seins en valeur.
– Pendant qu’il me prendra par tous mes orifices, tu resteras assise, les cuisses écartées en te godant devant nous.
– Par la suite, comme il voudra te baiser et te féconder, tu te donneras devant moi.
– En remerciements, je t’autoriserai à passer la nuit dans mon lit.
– Habillées de nos lingeries glamour, nous ferons l’amour entre filles en nous servant de nos jouets.
– Ne pouvant plus bander, tu pourras mieux te concentrer sur ton plaisir anal.
A ces mots, j’imagine nos futures séances torrides en priant qu’elle fasse de nombreuses rencontres pour qu’elle m’accueille dans son lit plus souvent.Comme toutes les dominatrices expérimentées, Natacha sait alterner les îlots de plaisir dans un océan de douleur et de frustration pour accroître ma soumission physique et mentale en développant mes goûts fétichistes et masochistes Je n’ai aucun regret car je mène une vie agréable à ses côtés.
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