Sur la route…Ce matin-lĂ , je m’étais levĂ© très tĂ´t afin de pouvoir aller jusqu’à Toulon avant que le flot de voitures des estivants n’envahisse la route de la CĂ´te. J’avais 55 km Ă parcourir pour faire ma course et je savais que, passĂ© neuf heures, la circulation allait se densifier et que le chemin du retour serait ralenti.La chaleur avait dĂ©jĂ bien diminuĂ© par rapport Ă la pĂ©riode caniculaire du mois de juillet, mais, vacances obligent et une climatisation de la voiture dĂ©faillante, je voyageais donc avec le strict minimum : un tee-shirt, un bermuda en coton, et rien dessous…Mon estimation sur la circulation de fin de matinĂ©e avait Ă©tĂ© trop optimiste ; plusieurs kilomètres de bouchons, de nombreux ralentissements, bref… il me faudrait deux bonnes heures pour rentrer.Je commençais Ă avoir chaud sur mon siège et, malgrĂ© les vitres ouvertes et la musique de l’autoradio, je trouvais le temps long.OccupĂ© Ă rĂŞvasser, mon regard oscillait entre la voiture devant moi et les promeneurs matinaux dĂ©ambulant sur le large trottoir sĂ©parant la route du dĂ©but de la plage. Je fis un bond lorsque j’entendis un Bonjour ! Ă la portière. Une jeune femme qui devait avoir dans les 25-30 ans et plutĂ´t mignonne venait de m’interpeler ; elle ajouta :— Je vais jusqu’à Sainte-Maxime ; si c’est sur votre route vous voulez bien me rapprocher ?Une auto-stoppeuse… Le trafic venait de me stopper Ă sa hauteur et, occupĂ© Ă rĂŞvasser, j’avais dĂ» la voir sans la voir en fait.Un peu surpris et pris au dĂ©pourvu, je lui ai proposĂ© de monter. Elle me remercia, dĂ©posa son petit sac Ă dos Ă ses pieds et ne prit pas soin d’attacher sa ceinture. Il faut dire qu’on Ă©tait au comble du ralentissement, on n’avançait carrĂ©ment plus ; tout au plus quelques mètres toutes les trois minutes, donc le risque d’accident Ă©tait inexistant…Je ne savais pas trop quoi dire, je la laissais mener le dialogue des petits Ă©changes que l’on peut avoir dans ces circonstances-lĂ , en l’écoutant m’expliquer oĂą elle allait, que je lui rendais bien service, etc. Je n’étais pas très bavard et me contentais de sourire aimablement en lui rĂ©pondant brièvement sans vraiment relancer la conversation.L’étĂ© et la chaleur du moment Ă©tant la mĂŞme pour tout le monde, elle Ă©tait Ă©galement vĂŞtue lĂ©gèrement et cela attirait mon regard. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je me suis laissĂ© aller Ă la dĂ©tailler aussi discrètement que possible. Elle Ă©tait de taille moyenne, je pense, genre 1 m 65, brune aux yeux bleus, et elle semblait avoir de jolies formes.Elle portait un dĂ©bardeur lĂ©ger et visiblement plus tout jeune car la forme de l’échancrure sous les bras et le dĂ©colletĂ© bâillaient comme sur un vĂŞtement que l’on a beaucoup portĂ© et qui s’est un peu dĂ©tendu avec les annĂ©es. Un court short, probablement dĂ©coupĂ© Ă la main dans un vieux jean, habillait son bassin, et elle avait des tongs aux pieds.Le tout donnait une image Ă la fois très vacances dĂ©contractĂ©es, et sexy.Le trajet s’annonçant encore long, histoire d’ouvrir la bouche et de ne pas passer pour un solitaire taciturne mal rĂ©veillĂ©, je lui suggĂ©rai de prendre son mal en patience et de se mettre Ă l’aise, ce qu’elle fit. Elle se pencha pour fouiller dans son sac et en sortir un Ă©lastique afin de s’attacher les cheveux. Je ne perdis pas une miette de son geste car, ce faisant, le tissu de son dĂ©bardeur sous son bras s’est Ă©cartĂ© assez largement, me rĂ©vĂ©lant qu’elle ne portait rien dessous et m’offrant tout le cĂ´tĂ© de son joli sein. Le galbe de ses formes très brièvement aperçues lorsqu’elle s’était assise ne m’avait pas trompĂ©Â : elle devait faire un très apprĂ©ciable 85C ou D et sa poitrine semblait ferme. Un petit sourire intĂ©rieur m’envahit et ma tempĂ©rature monta d’un cran…Après s’être attachĂ© les cheveux, elle pencha un peu le dossier de son siège en arrière, noua son dĂ©bardeur sous sa poitrine pour dĂ©gager son ventre, puis retira ses tongs et replia sa jambe droite jusqu’à poser son pied, dont un orteil portait un petit anneau, sur le tableau de bord, en me demandant si cela ne me gĂŞnait pas. Je lui dis que non et profitai de cette nouvelle position et de la lenteur du trafic pour dĂ©tailler son ventre et ses jolies jambes, pas très longues vu sa taille moyenne, mais très bien dessinĂ©es. Un petit piercing ornait son nombril. J’étais troublĂ© car son short très taille basse et dont le gros bouton du haut manquait dĂ©gageaient sa peau bronzĂ©e juste au-dessus de son pubis.Elle avait descendu ses lunettes de soleil sur son visage et semblait s’être posĂ©e un peu, comme quelqu’un qui s’apprĂŞte Ă fermer les yeux pour s’assoupir ou, du moins, se dĂ©tendre. Je dĂ©cidai de me concentrer quelques secondes sur la route car j’avais encore un peu plus chaud et mon esprit commençait Ă vagabonder sĂ©rieusement…Mais c’était plus fort que moi, mon regard retourna parcourir avec insistance ses courbes et les Ă©chancrures de ses vĂŞtements, encouragĂ© par le fait qu’elle ne bougeait pas et devait donc avoir les yeux fermĂ©s (toujours cachĂ©s par ses lunettes sombres). Confiant, je tournai donc un peu plus la tĂŞte ; c’est alors qu’elle replia sa jambe gauche et la posa « en tailleur », avec la cuisse largement ouverte. Son genou vint s’appuyer contre ma main posĂ©e sur le levier de vitesse.C’est sĂ»r, mon manège de voyeur amateur et maladroit venait d’être dĂ©couvert et elle en avait jouĂ© pour me piĂ©ger. J’étais Ă la fois excitĂ© et honteux comme un gamin pris sur le fait, ne sachant plus quelle attitude adopter. Elle esquissa un sourire et me dit :— Ne sois pas gĂŞnĂ©, et puis je peux bien te remercier un peu pour le service que te me rends en me conduisant.Je me tortillai un instant sur mon siège, histoire de me donner les deux secondes d’urgence nĂ©cessaires pour trouver quelque chose Ă dire… avant de lui avouer avec l’air le plus dĂ©contractĂ© possible que sa rĂ©action me rassurait et que je la trouvais attirante.Pour toute rĂ©ponse, elle m’a souri et a Ă´tĂ© ses lunettes pour me parcourir Ă son tour du regard tout en passant une main nonchalante sur l’intĂ©rieur de sa cuisse. C’en Ă©tait trop pour mon self-control et je sentis mon sexe commencer Ă palpiter Ă cause d’un dĂ©but d’érection. Je ne portais pas de caleçon et, malgrĂ© ma position assise, une bosse commença Ă dĂ©former le tissu lĂ©ger de mon bermuda sous les yeux de ma passagère.— Je suis flattĂ©e de cet effet… me dit-elle.Et, alors que je n’en croyais pas mes yeux, elle se repositionna sur son siège et ouvrit un peu plus grand les cuisses. Son short s’est mis Ă bâiller, rĂ©vĂ©lant ce qui devait ĂŞtre le bord d’un mini string de bain bleu turquoise, et sans autre formalitĂ© elle insinua ses doigts sous le tissu en l’écartant. C’était pour moi le feu vert d’un moment aussi surrĂ©aliste qu’érotique qui dĂ©butait. Elle fixait mon entrejambe dont la bosse Ă©tait maintenant volumineuse et commença Ă se caresser. Elle passa brièvement une main sous son dĂ©bardeur pour se caresser un sein et pincer son tĂ©ton mais ne s’y attarda pas du fait des nombreuses voitures qui passaient Ă notre hauteur. En revanche, son bassin Ă©tait trop bas pour ĂŞtre vu et ses doigts commençaient Ă rouler de plus en plus sur le haut de son sexe.J’étais aux anges, j’avais chaud et sans un mot je la regardais faire en sentant mon gland faire pression dans mon bermuda. Une petite aurĂ©ole humide commençait d’ailleurs Ă se former au sommet de la bosse. Ma passagère Ă©tait visiblement excitĂ©e… L’épaisseur de son short semblait restreindre le mouvement de ses doigts et, tout aussi naturellement que ses premières caresses, elle ondula, le fit glisser Ă ses pieds et reprit sa position en tailleur, les cuisses ouvertes, m’offrant l’intĂ©gralitĂ© de sa chatte, la mince bande de tissu de son string Ă©cartĂ©e sur le cĂ´tĂ©. Elle avait une très jolie toison noire, dense, mais taillĂ©e court, au milieu de laquelle Ă©mergeaient de ravissantes lèvres, plutĂ´t petites mais assez Ă©paisses et apparemment dĂ©jĂ gonflĂ©es par le plaisir. Elle fouillait habilement chacun de ses replis et alternait entre son bouton durci et son antre de plaisir. Chaque fois que ses doigts en ressortaient, ils Ă©taient engluĂ©s de son nectar qu’elle prenait plaisir Ă Ă©taler de son clitoris Ă son petit trou… si j’en juge par les contorsions que faisait son poignet pour permettre Ă ses doigts de passer sous elle et assez en arrière, semble-t-il. Tout en continuant Ă se donner du plaisir, sans mĂ©nagement elle dĂ©posa sa main gauche sur la bosse de mon pantalon et me saisit fermement le sexe en faisant quelques mouvements de va-et-vient Ă travers le tissu. Je la gratifiai d’un profond soupir en guise d’encouragement, et en quelques secondes elle avait fait sauter mon bouton et ouvert ma braguette, faisant jaillir ma queue rougie de dĂ©sir.J’avais dĂ©sormais du mal Ă me concentrer sur la route, et mĂŞme l’avancĂ©e au ralenti n’était plus Ă©vidente vu mon Ă©tat…Un Hummm… sortit de sa bouche alors qu’elle dĂ©calottait mon gland en le serrant Ă la base pour le gonfler et le faire rougir encore plus. Elle le pressait et en fit sortir une goutte cristalline qu’elle s’empressa de recueillir sur son doigt et de porter Ă sa langue pendant que sa main droite continuait Ă s’agiter en elle, Ă la fois lascive et insistante. De temps en temps, j’entendais un bruit gras et mouillĂ© de succion s’échapper du mouvement profond de ses doigts la pĂ©nĂ©trant.Tout en suçant son majeur, elle retira d’un seul coup les deux doigts qui la fouillaient et les porta Ă ma bouche en me disant :— Il n’y pas de raison que tu n’en profites pas aussi.Ils Ă©taient luisants et sentaient un mĂ©lange Ă©picĂ© de sueur, de gel douche et de cyprine qui m’enivrait… J’aspirai ses doigts et me dĂ©lectai dans un Ă©tat presque second de son nectar.— Tu sembles adorer… me dit-elle. Attends un instant, je vais nous offrir la suite de cette dĂ©gustation.Sa main gauche cessa alors de branler ma queue et elle me demanda de me soulever un peu pour faire glisser mon bermuda Ă mes pieds. MalgrĂ© le plaisir qui m’envahissait de plus en plus, une lĂ©gère crispation s’empara de moi Ă cet instant ; pourvu qu’aucun motard ou poids-lourd ne vienne Ă ralentir près de nos portières, je ne saurais plus oĂą me mettre. Mais c’est un peu comme si j’avais passĂ© un point de non-retour, ce genre d’instant oĂą l’on se dit en une fraction de seconde « tant pis, c’est trop bon » alors qu’une partie de nous sait pourtant que l’on n’a dĂ©jĂ plus tout Ă fait l’esprit clair Ă ce moment-là … et je l’ai laissĂ©e faire. Je ne savais pas comment c’était possible mais mon excitation continuait Ă croĂ®tre…Elle se tourna vers moi et saisit mes bourses de se sa main gauche, Ă pleine paume… Je pensais coquinement qu’elle allait jouer avec, les faire rouler un moment, les soupeser, mais, au lieu de ça, Ă ma surprise, elle se contenta de les soulever vers ma queue pendant qu’elle replongeait ses deux doigts bien au fond de sa grotte. La regardant faire par intermittence, je constatai avec bonheur qu’une bonne partie de ses poils Ă©taient engluĂ©s de mouille et que l’intĂ©rieur du haut de ses cuisses luisait…Elle ressortit ses doigts toujours aussi mouillĂ©s et me dit, le sourire en coin :— À moi l’honneur !Et dans le mouvement elle souleva un peu plus mes couilles et pointa ses deux doigts trempĂ©s sur mon anus. Je sursautai mais, en dehors du cĂ´tĂ© insolite et inattendu de la situation, j’adore cet attouchement que bien peu de filles ont dĂ©jĂ osĂ© me prodiguer. Sans avoir de tendance homosexuelle ni mĂŞme bi, je ne vois pas pourquoi les femmes seraient les seules Ă profiter des plaisirs d’attouchements anaux bien faits. Sentir une langue ou un doigt s’immiscer Ă cet endroit me rend fou de plaisir…Je trouve qu’il y a une grande excitation Ă vivre un instant oĂą la surprise est telle qu’on se demande, l’espace d’une seconde, si l’hĂ©sitation qu’elle fait naĂ®tre ne va pas l’emporter sur le plaisir que l’on s’apprĂŞte Ă vivre… Il faut dĂ©cider très vite, et cette urgence est dĂ©licieuse…Je l’ai laissĂ©e faire en me soulevant un peu pour lui faciliter le passage,et ne pus contenir un petit grognement de plaisir lorsque deux de ses phalanges commencèrent Ă presser mon petit anneau pour le dĂ©tendre, puis Ă tenter de s’ouvrir doucement un passage vers mon intĂ©rieur.MalgrĂ© l’inconfort de la position, elle semblait sĂ»re de son geste et de son effet, satisfaite de ma rĂ©action mais, comme pour me frustrer dĂ©licieusement, elle retira brusquement ses doigts et, en me fixant, les porta vers sa bouche qui s’entrouvrit pour laisser pointer sa langue. Elle ferma les yeux et lĂ©cha mĂ©ticuleusement son index en gloussant de bonheur. Elle avait devinĂ© que ce manège m’exciterait au plus haut point, aussi prenait-elle tout son temps tandis que sa main gauche avait lâchĂ© mes couilles et avait repris un massage lent mais ferme de mon sexe.— À mon tour de t’offrir le parfum et le goĂ»t de mon cul… me dit-elle avec un sourire pĂ©tillant qui avait pour effet de supprimer toute vulgaritĂ© de ses mots pourtant très crus.Joignant le geste Ă la parole, elle lubrifia ses doigts entre ses lèvres, se souleva et plongea sa main plus en dessous et en arrière sous la ficelle de son string, puis, les yeux mi-clos, elle esquissa une grimace de contentement en Ă©crasant de nouveau son bassin contre sa main…Elle ondulait en gĂ©missant lĂ©gèrement et massait ma queue au bord de l’explosion, au rythme des mouvements de ses hanches. Ma respiration commençait Ă saccader sĂ©rieusement et, avant que je ne me vide dans sa main, elle cessa ses va-et-vient, sortit ses doigts de son ventre et me les colla sous le nez en me disant :— Je t’en prie, profites-en, respire-moi bien avant de me goĂ»ter.Ses doigts avaient une odeur plus forte et plus Ă©picĂ©e mais terriblement excitante et je les ai aspirĂ©s presque immĂ©diatement, dĂ©couvrant le goĂ»t un peu plus amer de son cul, mĂŞlĂ© aux saveurs douces et salĂ©es de ses restes de cyprine.Sans me prĂ©venir, elle retira les doigts de ma bouche, les plongea entre ses lèvres ouvertes et commença Ă se masturber frĂ©nĂ©tiquement d’une main en me branlant tout aussi Ă©nergiquement de l’autre. Tout son corps se secouait au rythme effrĂ©nĂ© et presque violent de ses mouvements, ses seins ballotaient sous son dĂ©bardeur et en quelques secondes mon bassin se contracta et mon sexe se transforma en geyser dans sa main, je n’en finissais plus d’éclabousser de longs jets chauds de sperme mes cuisses, mon ventre, sa main… C’était intense, Ă la limite de la brĂ»lure mais absolument divin. Dans le mĂŞme temps, une secousse plus forte que les autres la fit se cambrer et dĂ©coller du siège en se mordant les lèvres pour ne pas crier, durant les spasmes qui lui faisaient serrer les cuisses et tressauter le ventre. Elle venait d’avoir un magnifique orgasme…Reprenant ses esprits, elle lĂ©cha avec dĂ©licatesse mon sperme qui coulait lentement entre les doigts de sa main gauche.— Merci pour ce petit bonus dessert… ajouta-t-elle avec toujours son ravissant sourire, mĂ©lange de joyeusetĂ©, de gourmandise et de gĂ©nĂ©rositĂ©.Elle prit soin de remonter très dĂ©licatement mon bermuda et de le refermer, rĂ©ajusta le petit triangle de tissu turquoise de son string sur sa toison brune et enfila son short sans le boutonner.Contrecoup de cet instant insolite, je rĂ©alisais que j’avais Ă©tĂ© totalement absent durant les dernières minutes qui venaient de s’écouler, l’impression que cela avait durĂ© des heures. J’eus la sensation de penser en accĂ©lĂ©rĂ© l’espace d’un moment, combien de temps s’était-il vraiment Ă©coulĂ©, est-ce que quelqu’un avait pu nous voir… ?Il me fallut me concentrer Ă nouveau sur la route, respirer lentement et profondĂ©ment pour recouvrer mes esprits et me dĂ©tendre vraiment.Un peu plus tard, le visage pourpre de bonheur, je fixais la route dont le trafic redevenait fluide peu Ă peu ; de son cĂ´tĂ©, elle regardait le paysage dĂ©filer Ă sa droite et semblait dĂ©tendue. Jusqu’au moment de lui dire au revoir, nous n’échangeâmes presque aucun mot. ArrivĂ© Ă l’entrĂ©e de Sainte-Maxime, je rangeai la voiture le long du trottoir pour lui permettre de descendre. Elle dĂ©posa ses lèvres sur ma joue le temps d’un bisou aussi pĂ©tillant que son sourire, me remercia en claquant la portière et ajouta :— C’était très sympa ; au plaisir de nous croiser si vous circulez de temps en temps sur la route des plages…