Ayant souffert de quelque mal respiratoire, au bel âge de 20 ans, il me fut conseillé de prendre l’air de la montagne à l’effet de redynamiser mes poumons par l’éther purifié des sommets.On se souvint alors qu’une tante prénommée Clotilde avait, après une vie mystérieuse, mis de la distance avec la famille et choisi de s’expatrier en Suisse, où elle vivait, près d’un lac aux eaux limpides, dans un joli manoir du siècle dernier, joyau d’un parc boisé, ceint de murs épais.Elle accepta volontiers de m’accueillir les quelques semaines nécessaires à ma convalescence et je pris alors le train qui m’emmena jusqu’à la gare campagnarde où j’étais attendu.Au sortir de la gare, je vis s’approcher de moi une femme blonde, portant ses cheveux en chignon, environ 45 ans, plutôt grande et ronde, une poitrine opulente. « Un physique à l’Allemande », me dis-je. Cela ne correspondait pas à la description de la tante Clotilde, que l’on m’avait déclarée brune et longiligne.— Vous êtes Chris ? m’apostropha cette walkyrie à l’accent germanique.— Oui, en effet…— Je suis Greta, la gouvernante de votre tante. Elle m’a demandé de venir vous chercher…Impressionné par le physique de cette femme, je la suivis vers une voiture de faible cylindrée. Elle prit mes bagages et m’invita à m’asseoir, prenant le volant.Je sus plus tard, à mon grand avantage, qu’elle était davantage une personne polyvalente, dernière employée de ma tante Clotilde, à l’exception d’un vieux jardinier qui menait une lutte perdue d’avance contre la nature en tentant d’entretenir le parc. Greta était aussi camériste, cuisinière et dame de compagnie. Elle tenait la maison et semble-t-il fort bien, m’expliqua ma tante.Celle-ci se montra fort agréable et sympathique et me reçut parfaitement. On me donna une belle chambre donnant sur le lac.Ma tante Clotilde était une femme d’environ 35 ans, brune aux cheveux courts, les yeux noisette et une bouche aux lèvres pleines, un corps fin et racé mais avec des formes, des seins et des fesses qui la rendaient très féminine.L’atmosphère était néanmoins bizarre, presque mystérieuse. Je ne percevais pas les rapports entre ma tante et Greta, vivant seules dans cette immense maison. Je devinais entre elles des rapports particuliers. Je n’étais pas alors assez sensible aux choses de l’amour et à ses subtilités pour penser qu’elles pouvaient entretenir des relations lesbiennes.On me laissait vaquer en toute liberté. La bibliothèque était très bien fournie et je m’y approvisionnais abondamment. Je m’essayais sans grand résultat à la pêche à la ligne et les journées passaient lentement.Parfois, je me demandais de quoi vivait ma tante, mais nos conversations au dîner semblaient exclure tout propos la concernant. Au demeurant, elle était charmante, me faisait parler, me demandait des nouvelles des uns et des autres d’une famille de laquelle on l’avait, disait-elle, éloignée pour des raisons obscures qu’elle ne me donna pas, si ce n’est que sa conception de la vie et de la morale était trop originale et qu’elle avait besoin de liberté.Je me trouvais donc souvent seul au manoir, ma tante se rendant à Zurich régulièrement où elle passait la journée et parfois la soirée ou davantage, je ne savais à quelle occupation. Greta avait ce jour-là l’autorisation de s’absenter jusqu’à 18 heures.En cet après-midi d’ennui, car j’avais passé les premiers jours en promenades diverses et découvert le pays alentour, autant qu’on pouvait le faire à pied, et lassé de lecture intensive, j’errais dans cette bâtisse à la recherche d’un centre d’intérêt.Mes pas me conduisirent au premier étage, dans l’aile normalement réservée à l’appartement de ma tante, c’est à dire, un dressing, un boudoir et une grande chambre à dominante or, ouvrant sur une salle de bain de marbre noir.Deux commodes et une coiffeuse surchargée meublaient ce boudoir. J’ouvris alors quelques tiroirs et découvris la lingerie de ma tante. Il y a en avait dans trois tiroirs, culottes, soutiens-gorge, bodys ; je sortis plusieurs porte-jarretelles, guêpières, et dans un autre tiroir, des paires de bas, dont beaucoup de vrais bas nylon, d’ancienne mode, ne tenant qu’avec des jarretelles. Je glissais mes mains dans la soie, le nylon, la dentelle. Je sortais ces sous-vêtements, laissant mon imagination courir, voyant l’image de ma tante Clotilde avec ces dessous coquins, affriolants même.Je ne sais me l’expliquer mais je fus soudain pris d’un besoin irrépressible de me déshabiller et de revêtir ces dessous féminins. Je choisis une guêpière noire et rouge, des bas couture noirs et un string rouge.Je me mis nu et enfilais ces dessous. J’étais très excité et le string était distendu par mon paquet que je touchais en déambulant dans la chambre, puis à l’étage. Je descendis au rez-de-chaussée, visitai le séjour, le salon et la bibliothèque et toujours ainsi accoutré, allumai du feu dans la cheminée.Soudain, je sentis une présence derrière moi. Je me retournai vivement et j’aperçus Greta, encore en manteau, qui me regardait, surprise et qui me dit simplement qu’elle était rentrée plus tôt que prévu.— Je ne vous dérange pas Chris ? me dit-elle d’une voix profonde.Elle s’approcha de moi tout en posant son manteau de fourrure sur un fauteuil. Elle portait une robe légèrement décolletée et des escarpins.Je vis son regard fixer mon sexe bandé qui tendait le fin tissu du string et dont le gland dépassait en haut de l’élastique.Je ne faisais pas un geste, interdit, et honteux de me trouver ainsi vêtu devant cette femme impressionnante.— Je, euhh… vous ne le direz pas à ma tante, Greta ?Elle me toisa et je vis son regard briller d’un éclat inattendu, espiègle et mutin.— Non sans doute pas… si… nous trouvons un arrangement…— Quel arrangement ?— Ça t’excite, petit coquin, de porter de la lingerie féminine ? Ne dis pas le contraire, ça se voit ; tu bandes…— Greta, je, euh…— Tais-toi, petit vicieux.— Oui, je…— Tu ne bouges pas, je reviens de suite, dit-elle.Je restai seul alors qu’elle quittait la pièce et je l’entendis monter vers sa chambre. Encore sous le choc d’être ainsi découvert, je m’interrogeai sur la conduite à tenir. Soit je filais me rhabiller normalement, ranger les dessous de tante Clotilde mais je prenais le risque de la dénonciation, sachant que Greta ne me semblait pas douée d’un grand sens de l’humour, soit je me remettais entre les mains de cette teutonne et je me doutais que cela ne serait pas sans contrepartie.J’étais finalement resté et j’entendis Greta revenir après quelques minutes et, ô surprise, elle avait ôté sa robe et entrai dans le salon en soutien-gorge balconnet en dentelle noire, qui ne cachait rien des mamelons de ses gros seins, un slip assorti et un porte-jarretelles mauve soutenant des bas résilles. Elle portait un petit sac à la main.Elle s’approcha de moi et me demanda de me mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Je n’osai lui désobéir. Soudain, je sentis sa main qui me caressait les fesses.— Tu as un beau cul, tu sais, des fesses bien fermes.Sa main soupesait par-dessous mes couilles et la situation m’excitant de plus en plus, j’avoue que je bandais très fort.Je me tournai et la vis qui se pelotait les seins en s’excitant les pointes. Elle se pencha vers mes fesses et promena ses mamelons sur mon cul. Je sentais ses tétons durs frotter sur mes globes et jouer sur ma raie avec le fil du string.Je l’entendais s’affairer par ailleurs et je compris tout, lorsqu’elle vint se planter face à moi, munie d’un gode-ceinture, avec une verge factice noire d’honnête dimension.Elle me présenta fièrement cet engin et m’ordonna :Je regardai Greta dans les yeux puis mon regard descendit sur ses gros seins excités et enfin sur cette bite de plastique et presque malgré moi, mais avec le sentiment de l’interdit et de briser un tabou, j’embouchai cette fausse pine et commençai à la sucer.D’une main, je palpais les fesses de Greta et de l’autre je tenais les couilles de cette queue qui allait et venait dans ma bouche.— Petit cochon, tu aimes ça, vicieux, me disait Greta.Malgré moi, et ne me reconnaissant pas, car j’étais loin d’imaginer que je me serais trouvé dans une telle situation pour faire ce que je faisais en ce moment, je me surpris à être prodigieusement excité par cette fellation. J’abandonnai les jolies fesses de Greta pour me branler en même temps que je gobai cette bite, salivant dessus comme la plus salope des putes.— Ne bouge pas, m’ordonna-t-elle soudain, alors qu’elle se portait en arrière pour retirer le gode.Je restai ainsi à genoux sur la table basse. Je sentis bientôt ses mains qui écartaient mes fesses. Ses doigts prenaient possession de ma raie et de ma rondelle.— Ne n’inquiète pas, j’ai mis de l’huile, me dit-elle et le fait est que, à mon grand étonnement, ses doigts pénétraient facilement par cette entrée pourtant inviolée.J’avais naturellement compris le projet et je sentis bientôt que les doigts avaient laissé place au sexe de plastique dont le gland appuyait sur le muscle lubrifié. D’un coup, il s’enfonça et je me trouvai, pour la première fois, sodomisé.La douleur prit le dessus dans un premier temps, je me sentais totalement empli de ce sexe ; puis, peu à peu, je perçus une sensation plus ambiguë. La conscience de me livrer à une telle pratique n’était pas étrangère à ce sentiment.Greta s’activait maintenant de plus en plus vite et je crois bien que cela suffisait à cette cochonne pour jouir. Moi-même, à ma surprise, je bandais ferme et me mis à me branler.Mais bientôt, Greta se retira et vint devant moi, ses gros seins à hauteur de ma queue. Elle me fit alors ce qu’il est convenu d’appeler une branlette espagnole. Journée ô combien éducative, je découvris alors cette pratique à mon avantage, je veux dire au-delà des photos pornographiques.La coquine ne tarda pas à me faire jouir ainsi et j’inondai ses seins de plusieurs giclées de sperme qu’elle répandit d’une main, se tartinant bien ses deux gros nibards, tandis que de l’autre main, la coquine se branlait impudiquement, ajoutant à son après-midi un autre orgasme.Alors qu’elle reprenait ses esprits, me rendant compte de la perversité de ce que nous venions de faire, je remontai à l’étage retirer ma lingerie et me rhabiller « normalement ».En redescendant, Greta avait disparu et je l’entendis s’activer à la cuisine.Je sortis faire une courte promenade et rentrai en même temps que le crépuscule attendant pour dîner le retour de ma tante Clotilde. Elle arriva bientôt et passa quelque moment avec Greta après s’être changée.Je me dis que mon heure avait sonné et que Greta allait certainement faire état de mes exploits à sa maîtresse et lui dire quel pervers et vicieux j’étais, justifiant le renvoi dans ma famille.Au dîner du soir, ma tante Clotilde était resplendissante. Elle portait une jupe assez courte sur ses longues jambes gainées de gris, un chemisier de soie grège sous lequel on voyait un soutien-gorge blanc sexy.Nous faisions honneur au repas et conversions gentiment, mon appréhension s’atténuant voyant que Greta n’avait apparemment pas vendu la mèche.Après ce dîner de qualité, arrosé de deux vins parfaits, nous nous installâmes au salon devant la cheminée, en compagnie de Greta, qui avait terminé son « service » et était alors autorisée à partager la soirée de sa patronne.Nous devisions banalement, Greta lisant un roman, écoutant les accents de la musique de Mahler, lorsque ma tante Clotilde me dit brutalement :— J’ai compris que tu t’étais bien amusé cet après-midi, Chris…— …— Et que tu portes très bien mes dessous et ma lingerie.— Euh… je… je vais t’expliquer ma tante…— Ooohh, inutile, j’ai bien compris que tu étais un vilain cochon, un vicieux, tu n’as pas honte ?— Euh… ma tante, je… euh…— Alors comme ça, tu aimes les dessous sexy ?— …— Alors ? Réponds-moi franchement.— Oui, ma tante.— Comme ça, par exemple ?Clotilde ouvrit alors les cuisses pour dévoiler de superbes jambes gainées de ses bas gris tenus par un porte-jarretelles rouge. J’aperçus son string tendu sur son pubis, qui à vrai dire ne cachait pas grand chose.Elle était ainsi prodigieusement excitante et me regardait dans les yeux, sûre d’elle, un rien provocatrice et narquoise.— Je pensais que tu étais puceau ajouta-t-elle, mais Greta m’a assuré du contraire et m’a même dit que tu étais particulièrement coquin pour un jeune homme… Greta, je pense que dans ces circonstances, nous pouvons reprendre nos habitudes.Greta sourit et, posant son livre, vint à quatre pattes, sur l’épais tapis, vers ma tante, pour poser sa bouche sur le sexe de Clotilde. Je matais, éberlué, Greta qui léchait la chatte de ma tante, qui écartait l’élastique de son string pour permettre à la langue experte de sa dame de compagnie de pratiquer un savant cunnilingus.— Déshabille-toi, m’ordonna ma tante, enlève tout.Je n’osai naturellement désobéir à un tel ordre, entrevoyant une soirée peut-être plus intéressante que les précédentes.— Alors, dis-moi Chris, précisa Clotilde lorsque je fus nu devant elle, Greta t’a enculé cet après-midi non ?— Euh oui…— Alors ? qu’est-ce que tu attends pour lui faire pareil ?Comme si de rien n’était, Greta continuait de brouter sa maîtresse et moi je matai son cul qui bougeait sous sa robe.Je me levai alors et me rapprochai de Greta. Je relevai lentement sa robe sur ses cuisses, reconnaissant les bas qu’elle portait l’après midi et, ô stupeur, elle ne portait rien d’autre, et notamment pas la moindre culotte.Je me mis à caresser, palper les fesses callipyges de Greta qui ondulait sous ma main. Je lui tripotai ses globes, les écartant pour passer mon index sur sa raie. Je n’hésitais plus à glisser mes doigts de plus en plus bas, touchant sa fente que je sentais humide.D’une main, je me masturbais devant ces deux femmes libertines et lubriques, en moi-même fort heureux de voir que ma tante Clotilde se révélait une sacrée cochonne.— Approche-toi me dit-elle.Je compris qu’elle voulait me sucer et je vins mettre ma queue à portée de sa bouche. Aussitôt, elle avala mon chibre vigoureux. La coquine salivait sur ma hampe bandée, suçant alternativement le gland, puis la queue et les couilles pour finir par l’emboucher tout entière.Elle s’arrêta après quelques minutes.— Allez Chris, petit cochon, va enculer Greta. Elle le mérite. N’est-ce pas Greta ? Greta ?— Mmmmffff, oui Clotilde, je le mérite.— Alors, demandez-le à Chris.— Oui. Chris, veux-tu bien m’enculer, s’il te plait ?Trop excité pour répondre, je m’étais déjà posté derrière les belles fesses de Greta qui, des deux mains, se les écartaient, attendant semble-t-il sans la moindre réserve, une rigide intromission.Je poussai de mon gland sur l’anus de Greta et sa jolie rosette, bien éduquée, me laissa immédiatement entrer, si bien d’ailleurs que je me trouvai rapidement à lui fourrer le cul jusqu’à la garde.La cochonne, sodomisée à fond, continuait de sucer la chatte de ma tante qui se répandait en commentaires et propos pornographiques.— Oui Chris, vas-y, encule-la cette grosse salope. Elle aime ça, la vicieuse. Vas-y, défonce-lui son gros cul…Et à Greta :— Vas-y salope, bouffe-moi la moule, tu aimes ça qu’on se gouine toutes les deux… oui, enfonce ta langue encore…Il va de soi qu’une telle ambiance décuplait mon excitation, ce qui, ajouté à la pression de l’anneau culier de Greta sur ma queue, me fit bientôt jouir. Je lâchai mon foutre dans le cul de Greta, qui d’une main, ayant apparemment cette habitude, se masturbait le clitoris.Après cette première estocade si j’ose dire, je me contentai de mater les deux coquines qui se mirent en 69. J’entendais les bruits de succion, de lapement de cyprine, le clapotis de leur mouille tellement elles s’excitaient. Elles ne tardèrent pas à jouir avec force soupirs, feulements et gémissements.Mais à mon grand regret, après cet intermède lesbien, Clotilde et Greta me laissèrent et regagnèrent leur appartement respectif.Je me couchai donc et m’endormis bientôt pas mécontent de la journée, avec le souvenir de ma jolie tante qui se gouinait avec cette grosse salope de Greta.Je me réveillai au cours de la nuit, sentant quelque chose d’inhabituel. Le temps de reprendre mes esprits, je m’aperçus qu’il y avait non seulement une autre personne dans mon lit mais qu’en plus cette personne, profitant du fait que je dormais nu, avait tout simplement mis ma queue dans sa bouche. Et c’était cette sensation d’une bouche moelleuse, chaude, m’aspirant le sexe qui m’avait tiré du sommeil. Je fis naturellement semblant de dormir encore quelque temps me demandant, dans la pénombre, qui cela pouvait-il être entre ma tante et Greta.J’espérai que ce fut ma tante, car la soirée interrompue trop tôt pour moi, m’avait laissé sur ma faim de goûter la bouche et autre chose de ma jolie tante que je découvrais si perverse.En tout cas, celle qui me suçait savait y faire. Je sentais un doigt se promener sur ma raie et agacer ma rosette, ce qui me fit croire que la belle Greta revenait à l’attaque. Mais soudainement, j’entendis une voix qui disait :— Alors mon gentil neveu, tu es réveillé ?Le suspense était levé et j’avoue que savoir que ma tante Clotilde était en train de me tailler une pipe redonna, si c’était encore possible, plus de vigueur à ma queue.— Ohhh, tante Clotilde c’est toi… oh oui… j’avais… j’avais tellement envie de toi…Sans autre formalité, je me relevai à demi sur mon lit, renversai Clotilde et la pénétrai avec toute ma vigueur.— Oh Chris, doucement…Mais je n’avais cure de cette mise en garde et de toute mon énergie, je limai, ramonai, enfilai à l’envi ma tante ravie d’être ainsi fourrée par son vigoureux neveu.Les plaisirs varièrent dès cette première nuit. Je me retrouvai à lécher le minou de Clotilde, puis à l’enculer, ce qu’elle apprécia grandement avant d’avaler mon foutre qu’elle réclama avec gourmandise.Elle finit la nuit dans mon lit.Dès le lendemain, l’ambiance avait changé et il ne se passait pas un jour sans que je ne fisse l’amour avec l’une ou l’autre et parfois, le soir, les deux en même temps.C’est alors que j’appris que ma tante avait hérité de ce manoir d’une relation de clientèle, particulièrement satisfaite de ses prestations, et que ses absences fréquentes s’expliquaient par le fait que tout simplement, ma jolie tante Clotilde exerçait le métier de putain de luxe.C’est ainsi qu’elle passait nombre de ses après-midi et de ses soirées et parfois la nuit, ce qui ne l’empêcha pas, pour le reste de mon séjour, de nous faire avec Greta, partager ses charmes et sa perversité.Je me réjouis encore quelque temps de ces délices ancillaires et avunculaires, agrémentant un séjour riche de découvertes naturelles et je dois avouer que j’ai eu l’impression que ces relations particulières et les parfums capiteux que je respirais s’étaient révélés aussi profitables pour ma santé que le grand air de la montagne.Chris