Tout d’abord, les présentations : mon prénom est Annabelle, je suis mariée depuis onze ans. J’en ai présentement trente-deux et suis encore en « parfait état », du moins selon mon mari et, d’après l’expérience que je vais vous raconter, encore très désirable.Très grande pour une femme, je fais un mètre quatre-vingt et soixante-cinq kilos. Comme je n’ai pas eu d’enfant, j’ai gardé ma taille de jeune fille et ma poitrine 36D (*) est encore assez ferme. Je porte mes cheveux blonds courts. Je n’ai aucun tatoo, mais un piercing à chacun de mes mamelons et un à mon clitoris. Pour le restant vous n’avez qu’à imaginer.Je connais mon mari depuis l’école secondaire, nous nous sommes mariés jeunes et, incroyable mais vrai, je n’ai connu aucun autre homme que lui. Notre vie amoureuse est toujours palpitante avec des hauts et des bas, mais l’amour que je lui porte est infini et je crois que la réciproque est vraie. Ce qui n’exclut pas une complicité très grande et un partage des fantasmes que nous avons en commun.Depuis plusieurs années, nous visionnons des films pornos pour agrémenter notre vie sexuelle. De tous les genres d’ailleurs. Et souvent, nous avons fait allusion à la réalisation de certains de nos fantasmes et de ce que nous voyons dans les films. Toutefois, ces fantasmes sont demeurés des fantasmes. Nous n’avons jamais été plus loin.Récemment, nous avons visionné plusieurs films de gangbang. Mon mari semble très excité par ce type d’activité. J’ai toujours pensé que les hommes préfèrent fantasmer sur l’idée qu’ils aimeraient se trouver dans une situation où ils seraient entourés de nombreuses femmes qui les feraient jouir de toutes les façons. Mais, pour mon mari c’est bien le contraire, il aime regarder une femme se faire prendre par tous les orifices par plusieurs hommes à la queue-leu-leu ou en même temps. De mon côté, c’est la vue de toutes ces queues en érection qui m’excite. Je m’imagine être à la place de ces actrices entourées de ces mâles à ma disposition.Un soir, Jonathan, mon mari, me demanda ce que je pensais de ce type d’activité. Il se demandait si c’était trop osé à mon goût. Un peu intimidée, je lui répondis que la vue de toutes ces queues à la disposition d’une seule femme m’excitait énormément. Pour toute réponse il m’embrassa avec passion et nous fîmes l’amour comme jamais.Quelques semaines plus tard, il m’appela à mon gym et me demanda si j’avais envie d’une petite soirée qui sortait de l’ordinaire. Intriguée, je lui répondis que, si j’étais en sa compagnie, je lui faisais confiance et que j’étais prête à le suivre. Il me fixa un rendez-vous pour dix-heures en spécifiant comment je devais être habillée.À l’heure et à l’endroit convenus, il passa me prendre. Nous nous rendîmes dans un club échangiste. J’avais à la fois une idée à quoi m’attendre et en même temps j’ignorais les spécificités de l’endroit. Mon mari me dit qu’à tout moment, si j’avais envie de quitter l’endroit, de le dire et que tout serait terminé.Il s’avéra qu’il s’agissait d’un endroit où nous eûmes beaucoup de plaisirs, du moins pour une première expérience. Lorsque nous arrivâmes au club, la dame à la réception nous introduisit au club et nous fit visiter. En fait, il s’agissait d’un petit club, ce que j’appris par la suite, avec un bar en entrant, quelques chambres, un bain tourbillonnant ainsi que des douches communes.Lorsque nous arrivâmes, il y avait un couple au bar, une jeune femme qui discutait avec la barmaid et six célibataires, dont quatre dans le tourbillon, qui visionnaient une vidéo porno.Je trouvais que, pour un club échangiste, il n’y avait pas beaucoup de personnes à échanger. Mais je compris rapidement de quoi il retournait et quelle était l’idée que mon mari avait mijotée.Après deux drinks et quelques échanges verbaux avec le couple assis à nos côtés, la jeune femme seule disparut à la douche. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tous les hommes disparurent aussi vers la douche. Les sourcils interrogateurs, je demandai à Jonathan ce qui se passait. Il me répondit qu’il allait y avoir de l’action et que, cette fois, ce n’était pas à l’écran dans une vidéo, mais live.Nous nous approchâmes des douches pour réaliser que l’action avait déjà commencé. Entre quelques hommes qui me tournaient le dos je vis la jeune fille avec une queue dans chaque main. Son corps était submergé de mains d’hommes. Ses fesses et ses seins étaient pétris de toutes parts.En peu de temps, je compris que ces hommes étaient plus qu’excités. Du sperme circulait dans leur veines, leur cerveau ne fonctionnait plus qu’en fonction de cette femme à la merci de leur queue. Après un certain temps, il y eut du mouvement. La jeune femme se détacha du groupe pour retourner au bar se chercher un verre d’eau.Au même moment, nous rejoignîmes l’autre couple au bar à l’endroit où nous étions précédemment. Ce fut à quelques mètres de nous que la jeune fille s’agenouilla et rapidement les hommes l’entourèrent en espérant se faire sucer à leur tour. En un instant, je constatai que j’étais toute mouillée et, comme Jonathan me l’avait demandé, je ne portais pas de petite culotte, seulement une jupe grise courte qui allait avec mon tailleur de la même couleur. Je sentis le liquide de ma chatte couler sur le siège du bar en regardant Sophie, j’appris son nom plus tard, sucer avidement la queue d’un type pendant qu’elle branlait deux autres queues de belle taille.L’action de Sophie avait beau être des plus excitantes, je constatai rapidement que plusieurs des hommes autour de Sophie et même ceux qui se faisaient sucer la queue me jetaient un regard très significatif. Non seulement il s’agissait de la réalité, mais je me sentais bien désirée. C’était comme si les acteurs porno d’un film me regardaient réellement en me signifiaient leur intention de me prendre à mon tour. Je me retrouvais dans mon salon avec mon mari en train de regarder un film dans lequel je deviendrais une participante. Ces petits regards ne passèrent pas inaperçus aux yeux de mon mari. Sans dire un mot, il déboutonna mon veston. Je ne portais rien en dessous comme il me l’avait demandé, aucune chemise ni soutien-gorge. Il me glissa doucement à l’oreille quelques mots doux et me demanda de me laisser faire.À la vue de ma grosse poitrine, que mon mari caressait, de nombreux regards se portèrent sur nous. Ce qui fit comprendre à mon voisin situé à ma gauche que quelque chose se passait avec l’autre couple. Après un petit signal à sa femme qui se pencha pour voir de quoi il s’agissait, elle s’aperçut qu’il y aurait peut-être de l’action de ce côté-ci du bar. Elle entreprit d’ouvrir la braguette de son mari et commença à le masturber. Je ne pus m’empêcher de porter un regard sur cet énorme sexe d’une grosseur qu’on ne pouvait voir que dans les films pornos.À ce moment, j’étais énormément excitée et je ne savais pas ce que je devais faire ni jusqu’où mon mari voulait aller. Ce fut à ce moment que Jonathan me demanda de soulever ma jupe pour que les hommes puissent voir ma chatte. Je lui obéis et tout en caressant mes seins, Jonathan me demanda de me masturber avec ma main droite et de prendre la queue de mon voisin avec ma main gauche. J’hésitai un moment, c’était la première fois que j’en étais à toucher une autre queue que celle de mon mari. Jonathan s’en aperçut et me signala que c’était le temps de réaliser un de mes fantasmes. Sans plus tarder, je l’embrassai passionnément et commençai à réaliser mon fantasme. Ce fut à ce moment que je sentis que mon voisin me caressait mon sein gauche pendant que Jonathan me malaxait le droit. En peu de temps, tous les hommes qui entouraient Sophie se mirent à me regarder. J’étais déjà une éponge à jouissance en train de me faire caresser par deux hommes et ma chatte coulait abondamment et ça se voyait. J’introduisis deux doigts dans ma chatte bien lubrifiée et après un certain temps les remontai jusqu’à mes lèvres pour pénétrer ma bouche. Lentement ma langue lécha mes doigts gluants de ma jouissance qui pénétrèrent ma bouche pour se faire sucer.Sans rien demander, à mon tour je me mis à genoux et pris la queue de mon voisin dans ma bouche. Il se leva en laissant tomber son pantalon. Aussitôt fait, trois hommes se mettaient autour de moi avec leur sexe en érection et attendaient que je fus disposée à prendre soin d’eux. Ce qui fut fait. À ce moment tout devint une fantasmagorie de sensations jamais atteintes auparavant. Rapidement, je fus prise par plusieurs hommes qui caressaient mes seins, ma chatte et mon cul. À tour de rôle, je changeai de partenaires sans savoir lequel. Leurs visages ne m’importaient peu, seules m’intéressaient leurs queues et ce qu’ils me faisaient avec leurs mains.Il apparut rapidement que je n’étais pas la seule dans cette situation. Au moment de m’agenouiller pour prendre la queue de mon voisin dans ma bouche, sa partenaire s’était levée de son siège pour s’occuper du sexe de mon mari. C’était comme une image miroir. Car l’autre moitié de l’assistance s’était rapprochée de Jocelyne, ma voisine, tout en délaissant Sophie.Ces hommes étaient tellement excités qu’ils passaient de l’une à l’autre comme pour ne rien manquer. Il y en avait un qui n’en pouvait plus et dès que je le pris dans ma gorge je sentis qu’il allait venir. Ce fut à coup de grandes secousses rapprochées qu’il se vida dans ma bouche. Il devait s’être masturbé pendant des heures car son éjaculation semblait ne plus finir. Je dus avaler à deux reprises, la bouche pleine de son sperme. C’était souvent de cette façon que Jonathan terminait sa jouissance. Il aimait passionnément venir dans ma bouche. Et j’imaginai que c’était la même chose pour beaucoup d’hommes. Alors ce fut ce que je fis avec ma première éjaculation extra-conjugale. Un goût exquis.Dès que mon partenaire du moment se fut retiré de ma bouche, un autre vint planter sa queue toute dure. J’avais envie qu’on me traitât comme dans les films de gangbang, comme un objet sexuel, comme un déversoir à sperme dont tous les trous étaient à la disposition de ces messieurs pour leur bon vouloir et pour me faire jouir, car cette idée d’être à leur merci m’excitait au point de jouir sans même qu’on me touchât.Mais pour me toucher ils ne se gênèrent. J’eus droit au carrousel comme Jonathan me disait souvent. Pénétration vaginale, anale et double pénétration. Je dois dire que la pénétration anale est ma favorite. Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque mon mari m’encule, c’est comme si mon point G est situé dans mon petit trou. À tout coup, j’éjacule comme une folle lorsqu’il me défonce le cul. Mais une double pénétration, je ne l’avais expérimentée uniquement qu’avec mon mari et un dildo. Ouf, ce fut toute une expérience ! Pendant que je suçais un type, un autre se faufila sous moi entre mes jambes, par l’arrière, et il commença à me caresser mon petit orifice pendant que je sentais une autre main caresser ma chatte. Tout à coup je sentis que le doigt de mon partenaire de dos avait été remplacé par une belle queue bien raide. Sans hésiter il me prit par les hanches et m’assit sur sa queue qui s’enfonça doucement dans mon cul. Sans surprise pour moi, ma chatte se mit à gicler sur la main de mon partenaire de devant qui sans tarder se plaça entre mes cuisses pour me pénétrer.Je hurlais de plaisir, prise par deux queues, dans mon cul et ma chatte. De chaque côté de moi, deux types s’agenouillèrent, avec la queue bien bandée dans leur main qui me frôlait le visage. Sans plus tarder, je me mis à lécher et sucer goulûment chacune de ces queues jusqu’au moment où ces deux partenaires éjaculèrent en même temps une quantité plus que respectable de sperme sur mon visage. Ce fut à ce moment que mes deux partenaires qui me pistonnaient de part et d’autre se retirèrent pour me gicler leur foutre. Je me mis en position pour recevoir le plus possible de leur sperme qui alla dans mes cheveux, mes joues, ainsi que sur ma langue qui se dressait pour quémander quelques gouttes de ce délicieux nectar.De son côté, Jocelyne avait épuisé le reste de nos partenaires, ainsi que Jonathan.Après une bonne douche, nous rentrâmes à la maison et nous nous promîmes d’autres sorties du même genre.Annabelle(*) 36D : mesure américaine correspond à 95DD en France.