Rappel : Nouvelle collègue de travail, Marie a été présentée à deux couples, Eric et Caroline, et Marc et Isabelle. Elle fait des ravages, sauf auprès d’Isabelle, qui la connaît de longue date et qui en conserve, semble-t-il, de mauvais souvenirs. Mais, hormis elle, les autres la trouvent superbe, notamment Eric et Caroline qui ont eu des relations suivies avec elle, à deux ou à trois. Pendant ce temps, Marc s’est découvert une forte attirance pour Caroline, alors qu’Eric, après avoir assisté à la masturbation et à la baise d’Isabelle, commence à ne plus penser qu’à elle. Ce soir, une nuit en boîte est organisée, mais Isabelle n’y sera pas.En arrivant en boîte, Marc retrouva la table réservée. Caroline portait une mini-jupe en cuir moulante et un haut dos-nu noir soulignant les courbes de ses seins. Marie, elle, portait un mini-short lacé devant noir et un boléro de même couleur. Marc ne sut laquelle l’excitait le plus. Les discussions commencèrent, notamment au sujet de l’absence d’Isabelle, qui n’étonna pas Marie. Puis, ils décidèrent d’aller danser sur un slow. Marie s’empara d’Eric et Caroline de Marc.Pendant que Caroline et Marc s’excitaient sans se l’avouer, Marie se colla contre Eric et lui siffla à l’oreille :— « Je vais inviter Caro à se maquiller aux toilettes. On commence toutes les deux, puis tu viens après quelques minutes, le temps que je la fatigue un peu pour qu’il m’en reste. »Le slow finit, ils retournèrent vers la table, mais Marie retint Caroline et toutes deux partirent vers les toilettes. Marc et Eric se mirent à reparler boulot.La boîte de nuit était presque vide, ce soir, aussi les deux amantes ne trouvèrent-elles personne aux toilettes. Elles s’isolèrent dans un WC fermé, le plus grand, et Marie plaqua Caroline contre le mur.— « Tu m’excites comme une folle, petite salope, rugit Marie. »Elle s’immisça entre les cuisses de Caro et lui pressa la chatte. Haletant déjà, Caroline dit :— « Eh bien, tu y vas vite, ce soir ! »— « Je veux en profiter maintenant avant que ton mec arrive. »Caroline s’écarta, retroussa sa mini-jupe, dévoilant un délicieux porte-jarretelles noir, et fit glisser son string. Puis, elle délaça le short de son amante et fit descendre le string qui y était dissimulé. Ensuite, elles se mirent en 69 et se firent l’amour en criant.Dans la salle principale, Eric interrompit la discussion et, prétextant une envie pressante, alla aux toilettes. Marc, encore troublé par l’absence et la dureté d’Isabelle, ne remarqua même pas qu’Eric entrait dans les toilettes des femmes.Eric n’eut aucun mal à retrouver ses amantes, vu le tapage qu’elles faisaient. Il poussa la porte, restée ouverte, et eut alors un gros plan sur le cul de Marie. Elle était en train de lécher la chatte de Caroline, assise sur les WC. Refermant la porte, Eric se déshabilla et se rapprocha tout d’abord de sa femme, qui lui saisit le sexe et l’astiqua en alternant coup de langues et halètements. Puis, Eric passa derrière Marie et s’enfonça dans son cul sans autres formes de procès. La surprise feinte de Marie l’envoya mordiller plus fortement la chatte de Caroline, qui intensifia ses cris. Après quelques va-et-vients, Eric voulut jouir sur le cul de Marie, mais celle-ci se dégagea en disant :— « Vas-y, jouis sur ta femme, elle te veut. »N’y tenant plus, Eric lâcha tout Caroline, tâchant son haut. Léchant les gouttes blanchâtres, Caro dit à son mari :— « Ben, tu as encore sali un de mes hauts. »— « On n’a qu’à l’enlever, rétorqua Marie. »Ni une, ni deux, Caroline se retrouva à peine habillée de ses bas filés, de son porte-jarretelles un peu lacéré et de sa jupe toute retroussée. Eric s’enfonça en elle, tandis que Marie se rhabillait en disant :— « Je vais aller donner le change à Marc. »Elle sortit et alla retrouver son collègue solitaire. Un slow démarra et elle l’emmena danser. Mais bien vite, Marc se retrouva gêné. Le contact avec le mini-short de Marie lui avait filé une érection d’enfer, et elle le remarqua. Elle le saisit par la nuque et lui chuchota au creux de l’oreille.— « Mon pauvre, il va falloir arranger ça. »Elle le prit par la main et l’emmena aux toilettes des dames, où résonnaient les gémissements de Caroline. Marc n’eut pas besoin d’un dessin pour savoir ce qu’il devait se passer dans les toilettes occupées. Puis, il se retrouva tout à coup dans un des WC fermés, le pantalon baissé, son sexe tendu de sortie. À genoux, Marie commençait à le branler en ronronnant :— « Eh bien, cela doit faire bien longtemps qu’il n’a pas été astiqué. Il ne faut pas négliger ses instruments de plaisir. »Elle engloutit le sexe et offrit à Marc une fellation, qu’il trouva divine après des années de privation. Ayant oublié la sensation, il ne tarda pas à tout lâcher dans la bouche de Marie. Mais, elle ne s’en formalisa pas et ôta son boléro en se redressant. C’est alors que Marc, réalisant ce qu’il avait fait, remonta son pantalon, repoussa doucement Marie et tenta de s’enfuir. Son amante le retint en lui lançant :— « Si tu en as envie, n’hésite pas à me recontacter. »Marc sortit en trombe de la boîte de nuit, alors que Marie retournait suivre les ébats du couple dans les WC d’à côté. Ils en sortirent peu après, puis recommencèrent chez eux avec Marie. Quant à Marc, il retrouva sa femme endormie et, honteux, s’endormit à ses cotés.Le lendemain, Marc fut un peu maussade, puis s’aperçut que son esprit devenait de plus en plus occupé par les images du décolleté de Marie ou par le souvenir des jouissances de Caroline. Il se mit à bander comme un taureau et, quand sa femme prit sa douche, il la retrouva et la prit avec une rare violence. Isabelle hurla sa jouissance et embrassa fiévreusement son mari. Ils étaient réconciliés, mais Marc n’en était pas plus soulagé.Aussi, une fois au travail, il utilisa la ligne interne pour appeler le bureau de Marie.— « Allô, Marie ? C’est Marc. »— « Ah, Marc, remis de tes émotions d’hier ? »— « Pas vraiment, et justement… »— « Chut, je sais. Tu as envie de moi, maintenant ou dès que c’est possible, c’est cela ? »— « Euh, en gros…oui. »« Moi aussi, j’en est très envie, mais il va falloir que je me prépare, et pour cela, il faudrait que j’ai du temps. Et ce n’est pas Caro qui m’en donne. »— « Caro ? Mais… »— « Caro et moi, on baise ensemble depuis quelques temps, si tu veux savoir, et elle est complètement accro de moi. Je n’ai même plus le temps de m’acheter des fringues… et j’ai tellement envie d’être bandante pour toi… Tu sais, tu m’as plu dès qu’on s’est vu la première fois. »— « Moi aussi, tu me plais beaucoup… Mais qu’est-ce que je peux faire pour toi ? »— « J’ai rendez-vous à quatre heures avec Caro, chez elle. Arrive à quatre heures dix, ou un petit peu plus. J’en profiterai pour m’éclipser et tu lui tiendras la jambe jusqu’à… Je sais pas… sept heures, ça te va ? »— « Je vais voir ce que je peux faire… Et pour nous ? »— « Si tu réussis, demain sera une journée très chaude, ça te va ? »— « Oh oui. »Ils raccrochèrent et ne purent retenir, chacun de leur côté, un geste de victoire, l’un parce qu’il avait trouvé une maîtresse de rêve pour faire face à ses manques sexuels, l’autre pour des raisons qu’elle seule encore connaissait. Puis, Marie appela Eric et lui donna rendez-vous à la piscine, où elle avait l’habitude de se rendre, pour quatre heures et demi.L’après-midi, Caroline et Marie partirent en même temps, pour se retrouver à quatre heures chez la première. À peine rentrée, Marie, feignant une excitation sans bornes, emporta Caro vers la chambre et lui souleva sa jupe. Ecartant le string jaune déjà tâché de mouille, elle commença à lui bouffer la chatte comme une folle pendant dix bonnes minutes. Caroline était aux portes de l’orgasme quand on sonna. Marie, qui ne s’était pas déshabillée, alla ouvrir, après avoir conseillé à Caro de se changer.— « C’est Marc ! Annonça-t-elle. »Caroline grogna. Marie l’abandonnait dans un tel état d’excitation ! Oubliant à quel point sa jupe blanche et son chemisier blanc étaient translucides, elle changea de sous-vêtements et les remplaça par un soutif et un string noir. Elle s’en aperçut trop tard, après avoir fait la bise un Marc impressionné.— « Alors, qu’est-ce que tu fais là ? Hasarda-t-elle. »— « Je suis venu te parler d’Isabelle. »Marie, remarquant que Marc lui ouvrait une solution pour s’échapper, dit :— « Oh, des affaires privées, je m’en vais. »Caroline tenta de la retenir, mais Marie s’était déjà évaporée. De dépit, elle s’assit à côté de Marc et dit :— « Raconte-moi. »— « Bien voilà, ce n’est pas rose en ce moment avec elle. Elle est hargneuse un moment, puis, juste après, on fait l’amour comme des bêtes. »Le sujet fut vite une torture pour Caroline, qui se sentait trempée. Elle se sentit irrésistiblement attirée par l’entrejambe de Marc, mais se retint en prenant la tangente :— « Je vais faire du thé, tu en veux ? »— « Volontiers, je t’accompagne. »Ils allèrent dans la cuisine, Marc continuant son babillage, les yeux rivés sur le cul bien souligné par la couleur du string de Caroline. Lorsqu’elle s’appuya sur le meuble de la cuisine pour faire chauffer l’eau, il n’en put plus.— « …Non, et puis, sa répulsion à vouloir absolument s’habiller sexy… Toi, par contre, tu l’es toujours. »Il lui posa une main sur le cul et Caro, déjà excitée par le traitement que lui avait fait subir Marie, ne put réprimer un gémissement. Encouragé par cette preuve de faiblesse, Marc se colla contre son cul et commença à caresser tout son corps. Très sensible, Caro gémit finalement une demande, presque une supplication :— « Oh oui, baise-moi, Marc, baise-moi fort ! »Marc lui obéit aussitôt. Il déchira le chemisier, tira violemment sur la jupe et la découvrit ainsi, en sous-vêtements noirs et sexy. Il chuchota :— « Depuis le temps que j’attendais ce moment. »Puis, il s’empara d’elle, lui retira les derniers remparts de tissu et la prit violemment contre le congélateur. Caroline ne s’était jamais sentie aussi profondément pénétrée et elle hurla le plaisir que cela lui procura. Puis, il la renversa sur la table de la cuisine et pénétra dans son cul. Là aussi, elle hurla son bonheur, s’agrippa aux angles de la table, caressa sa chatte trempée, puis accueillit avec un soupir d’extase la jute de Marc dans ses entrailles. Mais il lui en fallait plus. Marc se recula et saisit son sexe, indiquant son désir à Caroline, qui s’agenouilla et la lui suça comme une folle. Un peu réhabitué aux sensations liées à la fellation, il ne juta pas en elle et la releva. Ensemble, ils retournèrent dans le salon et Marc plaqua Caro contre la baie vitrée avant de la prendre en levrette. Sa chatte collée contre le verre laissa quelques traces humides, avant que Marc ne la retourne et n’envoie son sperme en plein dans le visage de Caroline.Ils s’assoupirent un peu, se réveillèrent tous deux, tentèrent d’en discuter, puis recommencèrent à faire l’amour, d’abord dans la chambre, puis sous la douche, jusqu’aux environs de sept heures. Mais Marc n’avait plus envie que Marie ne revienne, et d’ailleurs, elle aussi se demandait s’il fallait revenir.En effet, à quatre heures et demi, Marie était dans un des bassins de la piscine, plutôt déserte. Les derniers nageurs venaient de partir avec les surveillants de baignade. Ceux qui restaient n’étaient plus couverts par les assurances en cas de problème. Mais Marie n’avait pas de problème, en particulier lorsqu’elle vit arriver Eric en slip de bain de sport. Elle nagea vers lui et sortit de l’eau, dévoilant son corps superbe moulé dans un maillot de bain de sport. Il consistait en un boxer et une brassière. Eric pensait la trouver en bikini, mais le maillot de sport l’excitait tout autant tellement il s’avérait moulant. Il voulut l’embrasser, mais, d’une habile prise, l’envoya à l’eau et plongea à sa suite. Ils se retrouvèrent en riant dans l’eau, puis nagèrent vers un podium où ils s’accrochèrent, l’un collé à l’autre. Ils s’embrassèrent, puis Marie s’échappa et sortit de l’eau. Elle invita Eric à la suivre dans les douches et c’est là qu’elle lui présenta son cul. Comme un fou, il lui enleva son maillot de bain et le sien, puis ils firent l’amour pendant deux heures. À la fin, Marie était tellement couverte de sperme et Eric était si tendu de tous ses muscles qu’une bonne douche leur fut d’une grande utilité. Ils rentrèrent ensemble chez Caroline, mais Marie fit rester Eric dans la voiture en lui disant :— « Ce soir, on va au resto, puis c’est chez moi que ça se passe. Je vais chercher Caro et on y va. »Elle sortit et sonna à la porte.Caroline lui ouvrit, les yeux brillants, et les yeux de Marc pétillaient aussi.— « C’était bien, alors ? Demanda-t-elle. »Marc et Caro se regardèrent et Caroline demanda :— « Mais, comment tu as su ? »— « C’est normal, vous allez si bien ensemble. Bon, c’est pas le tout, mais ton mari nous invite au resto. Toi, mon petit Marc, tu n’es pas censé être là, alors, sors par derrière. Tu t’es bien débrouillée. »Marie prit Caroline sous le bras et elles sortirent. Lorsque Marc entendit la voiture redémarrer, il s’en alla et rentra chez lui. Il était fatigué, mais tellement heureux, qu’il insista pour faire l’amour avec Isa. Il s’effondra, crevé, en pensant à Caroline et à Marie.Pendant ce temps, les deux femmes et Eric s’envoyaient en l’air à son insu.Le jour suivant, Marc était très excité. Il s’était préparé un emploi du temps du tonnerre. Ce matin, il allait sûrement faire l’amour avec Marie, et, l’après-midi, il irait voir Caroline, qui était en journée de repos. Un tempérament d’obsédé sexuel avait pris le pas sur lui depuis son aventure avec Caroline.Quand Marie arriva, elle ne dit rien et fit un signe du doigt pour qu’il la suive. Obéissant, c’est ce qu’il fit. Ensemble, toujours silencieusement, ils descendirent les escaliers jusqu’au sous-sol, où on entreposait les archives sur de grandes étagères. Là, Marie le prit par la main et le guida derrière une étagère derrière laquelle, seule lumière discrète de l’endroit, brillait la lumière verte d’un néon indiquant une sortie de secours. C’est avec cette pauvre lumière qu’il la détailla. Elle portait un grand manteau, mais elle l’ouvrit rapidement, dévoilant un string blanc des plus découpé, un porte-jarretelles relié à une paire de bas blancs et un soutien-gorge qui ne retenait qu’avec difficulté ses seins gonflés. Marc lui fit remarquer la tâche visible qui ornait son string et le mauvais état de son soutif. Sa réponse fut claire et terriblement excitante :— « En attendant le bon moment, je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser en pensant à ce que tu allais me faire. Tiens, goûte. »Elle lui tendit un doigt, qu’il suça, et découvrit une odeur et un goût de mouille aphrodisiaque.— « Si on continuait ce qu’on a commencé il y a deux nuits ? Proposa-t-elle. »Elle ne demanda pas de réponse et s’agenouilla, retira le sexe déjà bien bandé de son amant et entama une fellation en bonne et due forme. Devant sa résistance, elle remarqua :— « On dirait que Caro t’a remis au parfum, en ce qui concerne la pipe. »Devant cette remarque, Marc se mit à bouillir, la pris par les épaules et la retourna. Il lui ôta son string et son soutif et la prit contre les étagères et criant :« Tiens, je vais te remettre au parfum, moi, sale cochonne. »Tout comme Caroline, avec qui elle avait discuté discrètement hier, elle reconnut que le sexe de Marc l’investissait très profondément et elle cria :— « Continue, oui, je te sens bien ! »Cela ne fit que redoubler l’ardeur de Marc, qui passa de sa chatte à son cul sans préalable, sachant très bien que Marie devait s’y être préparée. En effet, il y glissa comme dans du beurre, et Marie jouit fortement. Marc finit par éjaculer sur son cul et son dos. Avec ses seins, Marie remit vite d’aplomb le sexe de son amant et en redemanda. Marc lui demanda de s’accrocher à lui, puis il la prit debout, elle s’empalant peu à peu sur son membre au garde-à-vous. La position activa sa jouissance et il lâcha tout son sperme entre les jambes de Marie. Exténués, ils s’effondrèrent. Lorsque Marc se réveilla, Marie recommençait une fellation. Cette fois, il la fit pivoter pour se mettre en 69 et il lui dévora la chatte. Ils jouirent ensemble, Marie avalant tout le sperme restant, Marc toute la mouille qui coulait du sexe de son amante.Ils se séparèrent en silence.A trois heures de l’après-midi, Marc n’y tint plus, prit ses affaires et décida de passer chez Caroline. Il n’en pouvait plus et avait rêvé de ses seins, de son sexe et de son visage en plein orgasme toute la nuit. Il partit en toute discrétion.Isabelle aussi avait eu des rêves érotiques, cette nuit, mais celui qu’elle voyait, c’était Eric. Elle ne revenait toujours pas de son audace lorsqu’il était venu rapporter les clés, et se demanda si elle ne devait pas faire quelque chose pour s’empêcher d’y penser. Mais ce fut peine perdue. Prenant une grande inspiration, elle décrocha le téléphone et composa le numéro d’Eric.— « Allô, Eric ? C’est Isa. »— « Salut, Isa, je pensais à toi. »— « Oui… Moi aussi, je pensais à toi… je pensais que… »— « Oui ? »— « J’ai envie de m’habiller un peu plus sexy, désormais. »— « Ah ! Et ? »— « Et j’ai besoin d’être conseillée, et Caro est en congé. Marc est introuvable et j’ai besoin de l’avis d’un homme en qui j’ai confiance… »— « Ben, c’est difficile, mais… d’accord. »— « Tu es super, alors on se retrouve dans dix minutes sur le parking. »Chacun raccrocha de son côté, un peu gêné. Isabelle mouillait comme une folle, Eric bandait comme un taré. Qu’à cela ne tienne, ils se retrouvèrent sur le parking, puis s’arrêtèrent en ville, devant un magasin des plus féminins. Eric s’étonna :— « Euh, c’est une boutique de lingerie, ici. »— « Oui, je veux changer d’abord ma lingerie. »— « Tu peux me répéter ça ? Depuis le temps que Marc aimerait te voir en string… »— « Ce sera toi qui me verras en porter en premier. Prends-ça comme un honneur.»Pour sûr, c’était un honneur, et un grand sacrifice pour Isabelle au regard de ses grands principes. Pourtant, elle n’hésita pas et entra, suivie d’Eric. La vendeuse s’excusa auprès de sa cliente et vint leur demander ce qu’ils cherchaient. Isabelle répondit :— « Mon mari aimerait me voir habillée plus sexy et fond devant les strings. J’aimerais voir ce que vous avez. »La vendeuse dévisagea Eric, le prenant pour le mari en question, puis indiqua un étal, juste à côté des cabines d’essayage, avant de dire :— « Veuillez m’excuser, mais mon autre cliente m’attend. »Isabelle sourit, puis se dirigea vers l’étal. Eric resta un peu en arrière, observant le déhanchement de son amie, qu’il n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Puis, il la rattrapa, alors qu’elle choisissait ses strings en murmurant :— « J’espère que ça m’ira. »Eric n’en doutait pas, mais ne dit rien. Ensuite, Isa alla se glisser dans la cabine d’essayage et tira le rideau. Imaginant ce qu’il pourrait voir s’il jetait un coup d’œil à travers le rideau, Eric sentit son membre se raidir et s’efforça de se calmer. Ce fut peine perdue, surtout lorsque Isa l’appela de la cabine :— « Qu’est-ce que tu en penses ? »Eric, après un temps d’hésitation, écarta le rideau et la trouva seulement habillé d’un string bleu foncé. Il resta longtemps le regard accroché sur sa poitrine hargneuse, puis Isabelle lui dit :— « Non, c’est en bas qu’il faut regarder. »Elle tourna sur elle-même. Le string restait sage, mais cela n’empêchait pas Eric de se sentir bien mal à l’aise dans son pantalon. Il bredouilla qu’elle était très belle dedans et ressortit, rouge d’excitation. Il repéra la vendeuse, toujours occupée avec une grand-mère visiblement très pointilleuse, puis s’entendit à nouveau appelé. Cette fois, il entra bel et bien dans la cabine et tira le rideau derrière lui avant de regarder Isabelle. Il ne la vit pas tout de suite, mais vit surtout son cul somptueux à peine protégé d’un string-ficelle rouge. Il entendit à peine la question d’Isa :— « Il me va bien ? »Puis, ses nerfs lâchèrent. Il la saisit par la nuque et passa sa main libre directement sous le devant du string. Isa gémit délicieusement, l’invitant à continuer. Eric s’enfonça dans cette moule inondée et vint jouer avec son clito tout éclos. Isabelle commença à donner quelques coups de bassin pour que les doigts investigateurs la pénètrent davantage et Eric la plaqua contre la paroi de la cabine d’essayage. Voyant Isa devenir docile, il lui relâcha la nuque et sa main s’empara du string, par derrière. D’un coup, il tira et son autre main reçut un jet de mouille. Isa sentait la ficelle lui explorer la raie et manqua de crier. Puis, se souvenant de la présence de la vendeuse et de la cliente, elle força Eric à ressortir d’elle et lui murmura :— « Je veux continuer, mais pas ici, ce n’est pas possible. Ressort, et je te retrouve d’ici cinq minutes. Tu tiendras ? »— « Difficilement, mais j’y arriverai. »Eric sortit, alla chercher la voiture et prit Isa au passage.— « Allons chez toi, dit-il. »Il roulait vite, mais pas assez, selon lui. Tout à coup, il entra dans un parking et gara sa voiture. Etonnée, Isabelle demanda :— « Mais, pourquoi on s’arrête ? »Eric éluda la question.— « Tu portes quoi, en dessous ton jean et de ton T-shirt ? »— « J’ai gardé le string-ficelle de tout à l’heure, et j’ai pas pris le temps de m’acheter un soutif. »— « Je te veux. »Isabelle ne répondit rien et déboutonna son jean, puis enleva son T-shirt. Seulement habillée de son string, elle passa sur Eric et ils s’embrassèrent longuement. Puis, les mains d’Eric vinrent errer sur ses seins, et s’immiscèrent à nouveau dans son sexe. Il ne tarda pas à faire jouir Isabelle et lui murmura :— « J’ai envie de te prendre si fort ! »— « Oui, j’ai envie de toi aussi, mais chez moi. »Elle se retira de sa position, mais Eric sut qu’elle avait fait cela grâce à sa forte volonté. Les flots de mouille qui couvraient ses cuisses étaient la preuve de son excitation. Il remit le contact. Cet après-midi s’annonçait merveilleuse…