J’avais 14 ans Ă l’Ă©poque. Une fois par mois je me rendais en vĂ©lo chez ma grand-mère, Ă 40 km de mon village. Je l’aidais Ă entretenir sa petite propriĂ©tĂ©. C’Ă©tait en novembre, nous avons passĂ© la journĂ©e Ă ramasser les feuilles, tailler quelques arbres, empiler du bois. En fin d’après midi ma grand mère me dit d’aller me doucher pendant qu’elle nous prĂ©parait un chocolat chaud. Lorsque je sortais de la douche ma grand-mère Ă©tait en train de se laver les mains, je ne l’avais pas entendu entrer dans la salle de bains. La chaleur de l’eau et le fait de m’ĂŞtre savonnĂ© le sexe avait entraĂ®nĂ© chez moi un dĂ©but d’Ă©rection. Je ne le savais pas Ă l’Ă©poque je l’ai constatĂ© plus tard, la nature m’avait sĂ©rieusement avantagĂ© sur la taille de mes attributs sexuels. Le regard de ma grand-mère s’est de suite portĂ© sur mon sexe. En plaisantant elle me dit, je ne sais pas si tu es fatiguĂ© mais ton zizi a l’air en pleine forme. Elle a commencĂ© Ă me faire des compliments, type « tu l’as très joli » et a enchaĂ®nĂ© par: « est ce que tu dĂ©calottes bien », j’ai rĂ©pondu que oui, elle me dit approche toi. J’Ă©tais debout, elle assise sur le bord du bidet,elle a pris ma verge dans sa main et a essayĂ© de me dĂ©calotter. Je ne dĂ©calottais pas totalement. Elle me dit qu’il fallait que le gland soit totalement dĂ©calottĂ© et commença Ă forcer sur la peau, par des petits mouvements de haut en bas. Au contact de sa main je n’ai pas pu maĂ®triser mon Ă©rection, mon sexe avait doublĂ© de volume. Elle me dit que j’Ă©tais très dur et commença Ă me masturber. Elle a de suite compris que j’avais du plaisir, je ne reconnaissais plus ma grand-mère elle Ă©tait très excitĂ©e. Elle parlait beaucoup, elle me demandait si j’avais mal, mon sexe Ă©tait très tendu, le gland apparaissait presque totalement, mais n’Ă©tait pas entièrement dĂ©couvert. Puis j’ai commencĂ© Ă avoir mal, elle me dit qu’il fallait continuer, et ajouta « tu sais les mamies ont l’habitude de faire tout ça « puis elle introduit mon sexe dans sa bouche j’Ă©tais stupĂ©fait, elle avait Ă peine commencĂ© Ă me sucer que je ressentais un immense plaisir, j’avais l’impression que mon sexe allait exploser tant il Ă©tait dur. Elle s’arrĂŞta quelques instants et me demanda si j’avais toujours mal, je dis que non, elle me dit « ne t’inquiètes pas on va y arriver tu n’auras pas besoin d’aller chez le docteur, elle ajouta: tu prĂ©fères que je te le fasse avec des mĂ©thodes anciennes ou que ce soit le docteur qui fait souvent très mal et oĂą il faut aller plusieurs fois. Je lui dis que je prĂ©fĂ©rait que ce soit elle. Elle ajouta que ces « choses lĂ il ne fallait jamais en parler Ă personne ». Elle rĂ©introduit mon sexe dans sa bouche me suça quelques instants, je sentais mon sexe dur comme il ne l’avait jamais Ă©tĂ©, je sentais que j’allais Ă©jaculer, j’allais me retirer de sa bouche mais elle le tenait fermement et fit quelques sons avec sa gorge pour me faire comprendre qu’il fallait que j’Ă©jacule dans sa bouche, ce que j’ai fais. Elle a continuĂ© Ă me sucer quelques instants, je tenais sa tĂŞte, je faisais quelques mouvements avec mon bas ventre pour lui faire comprendre que je voulais rester dans sa bouche. Elle me dit « et bien tu sais tu as très bien crachĂ©, ton jus est très bon, il est brĂ»lant et très Ă©pais. Mais mon gland n’Ă©tait toujours pas entièrement dĂ©calottĂ©. Elle me dit qu’il arrivait que la « fellation »n’Ă©tait pas toujours efficace et qu’il fallait un rapport sexuel pour que cela se face en douceur. Elle m’expliqua comment ce passait un rapport sexuel et me dit: « Si tu veux je veux bien que tu me pĂ©nètres et elle se dirigea vers sa chambre, elle ferma les volets, puis retira sa jupe, enleva sa culotte et s’allongea sur le lit, elle Ă©carta ses cuisses, elle me dit « regarde » elle Ă©carta bien les lèvres de son sexe et me dit tu vois le petit trou rose et bien c’est mon vagin, il faut que tu sois très très dur pour bien me l’enfoncer. Puis très gentiment avec beaucoup de douceur elle me dit « viens chĂ©ri viens sur mamie, donne moi ta jolie queue bien dure, enfonce toi bien, vas au fond, elle est dĂ©licieuse … » je me souviens parfaitement de chaque instants, de chaque paroles, elle a dĂ©boutonnĂ© son chemisier, dĂ©grafĂ© son soutien-gorge, j’ai vu ses seins qui retombaient de chaque cĂ´tĂ©s de son torse, je ne savais plus ou regarder, ses seins, ses cuisses ouvertes , mon sexe qui la pĂ©nĂ©trait, elle gĂ©missait « elle est grosse, elle est bonne, donne bien ta queue Ă mamie, prends moi bien au fond » puis elle a eu un mouvement vif de recul et m’a dit « viens me lĂ©cher » je n’ai pas compris; « viens me la lĂ©cher » et j’ai lĂ©chĂ© son sexe humide pendant une Ă©ternitĂ©, elle m’a fĂ©licitĂ© comme quoi je l’avais bien lĂ©chĂ© et m’a dit « viens tirer ton coup » je l’ai prise pendant un long moment et j’ai Ă nouveau Ă©jaculĂ©. Elle me dit que j’avais Ă©tĂ© très doux, qu’il faudrait recommencer plusieurs fois mais surtout qu’il ne faudrait jamais en parler Ă personne. Que souvent les mamies ou les tantes aidaient les jeunes garçons dans leur Ă©ducation sexuelle mais que cela personne n’en parlait, c’Ă©tait comme çà depuis toujours. J’ai retrouvĂ© ma grand-mère trois semaines plus tard, ma mère m’avais mĂŞme dit que je pouvais y passer la nuit du samedi si je ne voulais pas rentrer avec la nuit. A peine arrivĂ© ma grand-mère m’a dit « alors et cette jolie petite queue elle dĂ©calotte bien, montre moi « nous sommes montĂ©s dans sa chambre, elle m’a fait une fellationje l’ai lĂ©chĂ©, elle s’est mise Ă quatre pattes sur le lit et m’a dit « prend moi comme les chiens dans la campagne »Elle m’a fait pratiquer la sodomie, m’a demandĂ© de me masturber devant elle, j’Ă©tais très demandeur, elle m’a montrĂ© de vieilles photos pornographiques, j’Ă©tais très excitĂ©. Le soir au repas elle m’a fait boire du vin, et une fois au lit elle m’a imposĂ© de la lĂ©cher très longtemps, il a fallu que je lui lèche le sexe et l’anus, elle adorait ces pratiques,,elle avait un très gros objet artisanal type godemichet elle m’a demandĂ© de la pĂ©nĂ©trer avec cet objet, j’Ă©tais excitĂ© de voir un si gros objet pĂ©nĂ©trer son vagin, je l’ai senti un peu gĂŞnĂ© puis elle m’a dit que je pouvais la pĂ©nĂ©trer quand je voulais. La nuit je me suis rĂ©veillĂ© elle dormait sur le cotĂ©, je l’ai mise sur le dos je lui ai Ă©cartĂ© les cuisses et le l’ai prise assez brutalement, elle gĂ©missait mais n’a pas dit un mot. J’ai eu des rapports sexuels avec ma grand-mère pendant un an et demi. Il lui arrivait de passer un week end Ă la maison, si ma mère et mon frère partaient faire quelques courses en ville, elle me faisait une fellation ou je la prenais violemment et rapidement, j’ai souvent eu l’impression que je la violait et ces rapports lui plaisaient. Elle Ă©tait très gĂ©nĂ©reuse avec moi, elle m’a beaucoup aidĂ© financièrement, je n’ai jamais resenti un quelconque sentiment de gĂŞne ou de honte, juste un sentiment de grand plaisir de douceur, rien Ă voir avec un rapport sexuel « normal entre partenaire de mĂŞme gĂ©nĂ©ration », je suis conscient que les seniors sont d’anciens jeunes..J’ai quittĂ© la rĂ©gion pour mes Ă©tudes, j’ai connu une jeunes fille exceptionnelle qui est devenue ma femmes six ans plus tard. Nous sommes toujours mariĂ©s. Je garde un souvenir très doux de mon Ă©ducation sexuelle avec ma grand-mère qui est dĂ©cĂ©dĂ©e maintenant.