Ce texte représente un peu un challenge. Je m’étais fixé comme but de l’écrire en une demi-journée et il le fut ! Enfin presque ! Le temps de la relecture en plus, mais la prochaine fois j’essaierai de faire mieux.Ceci dit, je ne renie en rien mes textes -One Shot-, style « Le décolleté de la caissière » ou « Fabien et Toinette » !En ce temps-là j’étais fou. Vous allez me dire que je le suis toujours, mais à cette époque-là particulièrement. Chtarpé de chez chtarpé, irrécupérable. Et quiconque n’a jamais été dans cet état-là n’a aucune idée de ce que cela peut être : tout simplement l’enfer et plus que ça encore !Pourtant j’arrivais à subsister, tout seul, enfermé dans une pièce sombre, un endroit particulièrement sordide, un trou à rat crasseux. Le plus exténuant dans une telle situation est d’essayer de faire croire que vous êtes encore « normal » aux rares personnes qui vous côtoient. Heureusement, dans mon cas, il y en avait très peu. Je pouvais ainsi rester cloîtré des semaines entières à vivre dans mes délires sans rencontrer âme qui vive.Je faisais des études de médecine mais à vrai dire, j’avais décroché depuis le début de l’année, n’ayant pratiquement jamais eu la force de mettre les pieds dans un amphi. Aussi, je m’étais acheté quantité de livres de biologie et m’étais proclamé « Autodidacte » et j’avais décidé bien entendu de devenir le meilleur toubib de toute la planète.Vingt heures par jour plongé dans des bouquins scientifiques, je voulais tout savoir et plus encore. Je ne sortais que pour faire un saut à la bibliothèque et grappiller d’autres ouvrages. Je ne mangeais pas ou très peu, je n’avais pas le temps, il fallait que je connaisse tout sur tout pour devenir le meilleur.Quelque temps plus tard, j’en suis arrivé à la conclusion que nul ne saurait être un bon biologiste s’il n’avait pas auparavant une maîtrise parfaite des mathématiques fondamentales, ce qui m’a inévitablement conduit à orienter mes recherches dans ce domaine. Je me suis alors tapé des gros pavés d’algèbre que je devais relire dix fois pour tenter vainement d’en extraire la quintessence profonde. C’est alors que j’appris qu’il n’y avait pas une logique, mais des logiques, chacune étant basée sur des axiomes de départ proprement subjectifs, ce qui me conduisit tout droit vers la philosophie puis vers la sémantique.Les piles de bouquins s’entassaient dans ma petite piaule. D’ici à la fin de l’année, je n’aurais évidemment jamais le temps de tous les étudier. Qu’à cela ne tienne, j’arrêterais la fac et tout le tutti quanti, de toute façon les vrais découvreurs, les grands, ne suivaient jamais les voies universitaires, c’était des francs-tireurs, des êtres à part… tout comme moi !Mais pourquoi au juste étudier toutes ces conneries ? Pourquoi perdre des jours et des jours à étudier, alors que le but final était au contraire de créer de nouveaux concepts ? Autant commencer par-là, aller à l’essentiel… C’est ainsi que je me mis à noircir des pages et des pages de considérations sommaires. Je voulais inventer une nouvelle philosophie basée sur des concepts qui n’existaient pas encore et qui allaient remettre en question l’ensemble des certitudes humaines, œuvre ambitieuse s’il en est à laquelle je consacrerais ma vie. Des pages et des pages qui s’entassaient, que je relisais, raturais, déchirais, brûlais… de gigantesques autodafés salvateurs quand je mettais le feu dans l’évier. Plusieurs fois la logeuse s’est pointée, est venue frapper à la porte, ça sentait le cramé, elle s’inquiétait bougrement. Je répondais pas, je faisais le mort, après avoir sommairement éteint les flammes, c’est vrai que ça puait.Désormais c’était l’été, il faisait beau, il faisait chaud, les étudiants s’étaient barrés et moi j’étais toujours enfermé dans ma petite piaule, à suffoquer. J’avais définitivement tourné la page du traité de philosophie pour me consacrer entièrement à ma toute nouvelle lubie : l’essai politique, une théorie ultra révolutionnaire qui pourrait révolutionner l’idée même de révolution, bien qu’elle soit néanmoins fondamentalement d’inspiration anarchiste et que, comme disent les cocos, l’anarchisme est fondamentalement un concept de droite. En tout état de cause, c’était une œuvre capitale que le monde entier allait s’arracher.Toujours est-il que, le soir arrivé, après avoir bouilli toute la journée dans cette fournaise, il m’arrivait de m’en échapper. Alors, rasant les murs, protégé par la semi-obscurité, mes pas me conduisaient inévitablement vers le no man’s land des usines désaffectées où je flânais au milieu des carcasses de tôle rouillées. Profitant de la nuit noire, aux ombres fantomatiques, il m’arrivait même de dériver jusqu’au petit matin dans ce monde étrange qui n’appartenait qu’à moi. Parfois, au coin d’un immeuble à demi effondré, il m’arrivait bien sûr de rencontrer quelques clodos, mais j’essayais dans la mesure du possible de les éviter, simplement pour ne pas avoir à leur parler !Sur mon trajet, le seul endroit un peu animé était cette espèce de salle de jeux pour banlieusards désœuvrés, un trou infâme aux néons blafards qui devait fermer sur les coups de minuit. Devant, toujours quelques mobylettes et des glandeurs un peu éméchés. Dans la mesure de possible j’essayais eux aussi de les contourner, non pas que j’eusse la trouille, mais tout ce qui pouvait ressembler à un humain, à cette époque-là, me débectait.À cette saison pourtant, en plein cœur de l’été, il y avait nettement moins de monde et je me risquais parfois à jeter un coup d’œil vers cet endroit de perdition, par simple curiosité. C’est ce que j’ai fait ce soir-là, c’était complètement désert, et pour cause : c’était fermé. Ce devait être le 14 juillet ou le 15 août, je n’en savais foutre rien, j’étais complètement déconnecté.Devant la morne solitude qui m’entourait, je me suis même arrêté, pour une fois que je pouvais profiter de cet espace ! Je me suis assis sur les marches du magasin et j’ai scruté le ciel faiblement étoilé, la lune en était à son dernier quartier…Je ne l’avais pas vue s’approcher, sinon bien sûr je me serais tiré.— C’est fermé ce soir.Une grosse fille brune avec des seins énormes et le visage rougeaud et bovin, style supporter d’équipe de foot, pas du tout le genre de meuf qui me fait fantasmer. Cela dit, je ne suis pas raciste et n’ai jamais jugé quiconque sur son apparence, bien au contraire…— Tu viens souvent ici ? Je crois bien que je ne t’ai jamais rencontré.Et pour cause, pauvre pétasse, je ne faisais souvent que passer !Maintenant qu’elle m’avait trouvé, elle me collait, elle devait s’ennuyer dans son quartier. Ce soir-là, pas de petit ami en perspective, j’étais la seule chose sans doute qu’elle ait pu trouver ! Je me suis levé et suis parti sans rien dire en direction des anciennes usines désaffectées, comme à mon habitude. Elle m’a emboîté le pas, tout en continuant à dégoiser :— Tu n’es pas très bavard, comme mec !Ah bon, ça se voyait ? Plus curieux, tu meurs ! Mais elle ne se décourageait pas pour autant, partout où j’allais, elle me suivait. Une telle obstination méritait bien après tout que je fasse un petit effort. Il m’était quand même arrivé, de par le passé, d’avoir quelques contacts avec des êtres humains, il y a bien longtemps, c’est sûr, mais je n’avais pas toujours été un monstre !Je venais de grimper quatre à quatre les trois étages d’un immeuble délabré et quelques minutes plus tard elle m’a rejoint, en soufflant comme un bœuf. Sans pitié pour mes semblables, je me suis mis à rigoler, avant d’aller m’asseoir sur un balcon sans rambarde dont j’appréciais particulièrement la dangerosité. Assis ainsi, les jambes dans le vide, à dix mètres du sol, il m’arrivait même de me pencher, et j’adorais cette sensation d’infinie liberté. Pour sa part, elle est restée un peu en deçà, sans doute effrayée par l’attirance que le vide pouvait parfois exercer.— Tu n’as pas peur de te retrouver, comme ça, à l’écart de tout, avec un mec que tu ne connais ni d’Ève ni d’Adam ?— Bof, je ne suis pas une sainte Nitouche, je sais me défendre et puis toi, de toute façon, tu as l’air d’un gentil.— Il ne faut pas se fier aux apparences. Tu sais, c’est surtout les cinglés qui viennent dans ces lieux isolés. Le genre de mec frappadingue dans sa tête, tout gentil en apparence, tueur en série en réalité.— Pfffff… t’aimes surtout te raconter des salades et effrayer les petites filles, mais en ce qui me concerne, ça fait bien longtemps que j’ai perdu mon pucelage !D’entendre ça de la bouche d’une fille, je trouvais ça quelque peu déplacé, il faut dire que j’étais quand même un tantinet coincé et cela devait bien faire un an que je n’avais pas couché… Et puis merde, elle me collait, elle me draguait, je ne savais pas comment j’allais m’en débarrasser. Je ne savais pas trop non plus ce qu’elle me voulait.Tu parles si je le savais pas ! Une fille qui, à minuit, suit un inconnu dans un endroit désert à l’écart du monde, en général, c’est sans doute pas pour enfiler des perles ni pour deviser philosophie ! Le problème c’est qu’avec moi, elle était mal tombée. J’aurais pu prendre mes jambes à mon cou et la semer, mais je crois que j’aurais plus jamais osé venir de ce côté. Peut-être qu’au fond, elle finirait par se décourager, lorsqu’elle verrait bien qu’il n’y a rien à en tirer, et qu’elle rentrerait sagement chez elle et me foutrait la paix !Ceci dit, cela faisait déjà presque une heure que nous étions là, à ne rien faire, et elle ne semblait guère s’en inquiéter. Elle faisait la conversation à elle toute seule, posait les questions et donnait les réponses ou parfois, lorsqu’elle en avait marre, simplement elle se taisait. Mais nulle trace d’impatience, c’était bien là ma veine, j’étais affublé d’un pot de colle. Et cela faisait si longtemps que je ne fréquentais plus personne que c’était, pour moi, tout à fait insupportable… Mais c’est certain, je ne lui en voulais pas, ce n’était pas de sa faute à elle. Finalement, je me suis levé et j’ai pris le chemin du retour, ma nuit était gâchée… À un moment, je me suis retourné vers elle. Je ne sais pas ce qui m’a pris :— Tu veux venir chez moi ?Je devais être encore plus con que tout ce que je pouvais penser, pour me jeter ainsi directement dans la gueule du loup.— Et c’est où, chez toi ?— Je te préviens, c’est tout petit et c’est un véritable capharnaüm… Au fait, tu t’appelles comment ?— Julie, et toi ?— Jérôme.— Tu n’es pas très bavard, Jérôme.— …— Je te plais ? Tu as envie de baiser avec moi ?Flûte et re-flûte, elle pouvait pas se taire !— … Je ne sais pas si j’ai envie de baiser, comme tu dis, mais en tout cas, ce n’est pas de ta faute… ça n’a rien à voir avec toi…Et c’était vrai, cela n’avait rien à voir avec elle, c’était moi, uniquement moi et toujours moi, j’aurais surtout pas voulu qu’elle finisse par croire que j’aimais pas les grosses, qu’elle en arrive à penser que son corps n’était pas attirant ou quelque chose comme ça, je n’ai jamais aimé faire de la peine à quiconque et puis en plus, je le pensais pas.— Hihi, j’ai pas de chance, je tombe toujours sur des mecs à problèmes. Enfin, puisque tu n’as pas peur des grosses, c’est déjà ça… Moi, en tout cas, j’ai très envie de baiser et franchement, tu me plais assez.C’était bien ma veine !Je l’ai regardée un peu, discrètement, en marchant. Après tout, c’était une femme et elle en valait bien une autre. Rares sont les femmes qui n’ont aucun charme, moi je leur trouve toujours quelque chose de séduisant, ne serait-ce que dans une attitude, une façon de se mouvoir ou de tourner la tête. Et elle ne faisait pas exception à la règle. Chez elle, c’était sa façon de repousser sa mèche, sans arrêt, machinalement. Et puis elle avait quelque chose dans les yeux… de magique, pour une zonarde. Je me voyais très bien dans un lit avec elle, malgré son aspect imposant et massif, moi, en plus, je trouvais ça plutôt rassurant, ces courbes opulentes, certainement un grand désir d’être materné.Restait le problème que je ne voulais surtout pas me retrouver dans un lit avec qui que ce soit… D’autant plus que dans ma piaule, avec les quatre-vingt-dix centimètres du matelas, nous allions être particulièrement à l’étroit, et puis que je pouvais encore trouver dix mille raisons bidon du même style.Je l’ai fait entrer, c’était la première fois qu’une fille venait là, c’était d’ailleurs la première fois que quelqu’un venait là, tout simplement. Mis à part probablement ma logeuse qui, rongée par l’inquiétude, devait parfois forcer la serrure en mon absence, personne n’avait idée du bordel que ça pouvait être. D’ailleurs elle est restée sur le pas de la porte, complètement médusée. Tout était entassé pêle-mêle en piles disparates : le linge, les bouquins, les casseroles, pour sûr qu’elle n’avait jamais vu ça, ce n’était même pas bordélique, c’était terrifiant. Je n’en avais pas honte, c’était comme ça, à prendre ou à laisser, de toute façon pas fait pour que quiconque vienne y fourrer son nez, l’antre d’un chercheur fou qui se laissait aller. J’ai balancé par terre un tas de bricoles qui traînaient sur le lit et l’y ai fait asseoir. De toute façon, il n’y avait nulle autre place où s’installer.— Tu veux boire quelque chose ?À part de la bière, j’avais surtout de la bière. Et pas de frigo. Je vous dis pas, en plein été ! Tandis que nous sirotions notre cervoise bien chaude, assis sur le canapé, à vrai dire sans trop parler, je la regardais. Je ne savais pas trop comment commencer les hostilités, mais je sentais bien qu’il faudrait y aller. À vrai dire, j’aurais bien aimé qu’elle prenne ça à sa charge, mais elle ne faisait vraiment rien pour m’aider. Sans doute pensait-elle que c’était le rôle du mâle de faire les premiers pas. Elle se contentait de ne rien faire, avec un petit sourire en coin, visiblement heureuse de se faire ainsi mater.C’était une grande brune costaude, au moins 1m75, bien charpentée avec une poitrine énorme et un double menton. Le style de fille qui peut vous étaler d’une simple paire de baffes. Une grosse bouille ronde encadrée par deux grandes boucles d’oreille en pendentif, et un maquillage bon marché qui avait coulé, style rouge à lèvres bien criard et noir aux yeux surchargé, mais en cette fin de journée, tout ceci s’était considérablement estompé. Mis à part ça, elle était habillée comme un sac : des baskets, un vieux jogging gris élimé et un tee-shirt sans forme légèrement décolleté qui dévoilait la naissance de sa grosse poitrine soutenue par un immense soutien-gorge rouge. Suffisamment féminine, donc, pour ne laisser aucun doute sur ses intentions sexuelles, mais aussi suffisamment négligée pour n’attirer dans ses filets que les zonards de son espèce.Mais qu’importe après tout, je crois que cette fille quelque part me plaisait, peut-être son air rude et décidé, j’étais soudain plein d’affection et d’admiration pour elle. Et, sous son apparence de loubarde-vache à lait, je crois qu’il y avait surtout beaucoup de simplicité et d’angélisme. Elle cherchait simplement un copain sympa pour passer quelques heures agréables, dans sa tête, c’était clair comme de l’eau de roche, il n’y avait aucun autre sous-entendu !Je ne me sentais pas bien, j’étais HS. Je ne me serais sans doute pas senti mieux avec Sissy Impératrice. De toute façon je me sentais pas bien, je bandais pas, je courais droit au fiasco, aucune fille, si belle soit-elle, n’aurait de toute façon pu me faire dresser la queue. C’était certain, j’allais pas assurer !J’ai débouché une autre canette et me suis rassis à côté d’elle, à la toucher, pensant que ces contacts sporadiques allaient me stimuler. Et, tandis que je buvais, mon bras frottait négligemment contre sa mamelle gauche mais elle n’avait pas l’air de s’en offusquer. Je vous dis, elle était dispo, cette nana, et c’est moi qui déconnais. Je me suis alors hasardé à poser ma main sur ses cuisses réellement énormes, comme pour les lui palper.Du coup elle a plongé sa main dans son décolleté et m’a tendu deux petits sachets :— J’suppose que tu n’en as pas ! C’est toujours comme ça avec les mecs.Non, effectivement, je n’en avais pas, je n’en avais jamais acheté, j’ignorais même comment ça s’utilisait. Les rares filles avec qui j’avais couché lorsque j’étais au lycée ne me l’avaient jamais demandé. Je me retrouvais donc comme deux ronds de fritte, les capotes à la main, sans savoir quoi dire ni quoi faire ! Finalement, je les ai posées et, pour faire diversion, j’ai basculé ma belle sur les draps sales, ou plutôt je l’ai invitée à basculer, car par ma force seule, je n’aurais sans doute pas réussi à la faire bouger d’un poil.Je me suis immédiatement mis entre ses cuisses, en me disant que si j’arrivais ainsi à la faire jouir avec ma langue, peut-être qu’après ça, elle me ferait plus chier… J’ai tiré sur son jogging et l’ai baissé. Elle m’a aidé en soulevant ses grosses fesses. Dessous elle portait une grande culotte satinée bon marché, que j’ai doucement écartée. Très poilue la bougresse et sur tout le pubis, des longs poils bouclés mais une toison somme toute clairsemée. Je me suis tout de suite mis à la lécher, elle sentait la petite fille négligée mais ce n’était pas pour me dégoûter. Au bout d’un moment, elle s’est redressée, elle a finit d’ôter son jogging ainsi que sa culotte, avant de recoucher et d’écarter largement ses grosses cuisses. Visiblement elle aimait prendre ses aises et voulait largement en profiter. Je me suis consciencieusement appliqué à bien la lécher, tout en maudissant intérieurement ma queue qui ne voulait toujours pas bander. Quelle honte en plus s’il lui prenait l’idée d’aller raconter tout ça à ses potes ! Lorsqu’ils me verraient passer, ils n’arrêteraient plus de se marrer.Alors je la léchais, je la bouffais, je la lapais, sa grosse chatte appétissante, je la lui dévorais avec appétit, enfonçant ma tête dans cette juteuse pastèque. Désormais toute gluante de mouille qui coulait le long de sa raie et que je m’efforçais d’aspirer. Finalement, elle était super bonne à manger, toutes les nanas ne le sont pas, une mouille abondante acidulée, pas trop sucrée, comme je les aime, je m’en mettais plein le visage, je m’en barbouillais la figure, particulièrement excité…Et malgré tout ça, je n’arrivais toujours pas à bander. Une véritable obsession, angoisse obsessionnelle, je me suis dit que si je ne bandais pas de la soirée, je n’aurais plus qu’à me suicider. En attendant, je continuais de faire diversion avec ma bouche, avec mes doigts, je m’enfonçais dans sa grosse chatte trempée, deux doigts, trois doigts, quatre doigts, si j’avais osé j’aurais presque pu la fister. Et tout en la branlant, je continuais à la bouffer, à l’aspirer, à la déguster tandis que sa jute n’arrêtait plus de couler.Un pied contre le mur, elle écartait toujours plus les cuisses pour s’offrir encore mieux à moi. Elle ne criait pas, elle ne parlait pas, mais je l’entendais gémir de l’intérieur, profondément et sans complaisance, complètement à l’écoute de ses sens et du plaisir qui approchait. Son corps vibrait, ses muscles se contractaient, je redoublais d’énergie contre sa chatte en la branlant, en la lapant, risquant même ce petit doigt dans son anus qu’elle ne refusa pas.Désormais, je la sentais vraiment au bord de l’explosion. Elle avait crié une ou deux fois d’une petite jouissance intermédiaire mais cette fois-ci c’était la vraie, la bonne, l’immense félicitée, celle qui allait ravager tout son corps et la laisser pantelante. Aussi je la laissais languir en calmant quelque peu mes ardeurs, je voulais la faire durer, encore et encore, juste au bord du précipice, augmenter encore plus la tension et qu’elle prenne sa délivrance comme une libération…J’avais joué à ce petit jeu de tous temps et avec toutes mes copines, je voulais toujours qu’elles jouissent mieux plus loin, plus fort, plus intensément, qu’elles hurlent leurs jouissances comme des forcenées. Et c’est vrai qu’à ce petit jeu, par la conjonction de mes doigts et de ma bouche, j’étais plutôt balaise et qu’en général, elles en redemandaient. Julie n’échappa pas à cette règle, d’autant plus que mon infirmité m’incitait à exceller. Je la conduisis tant et si bien sur les cimes de la jouissance qu’elle réclama d’elle-même cette intense libération :— Vas-y, continue, branle-moi plus fort, ohhhh tu me tues, mon salaud… Ahhhh j’vais te pisser dessus… Ouiiii…Et comme pour répondre à ses paroles, un flot de mouille abondante comme de la pisse m’inonda le visage. Ça, plus les contractions de ses grosses cuisses autour de ma tête, je devins fou et me mis à laper comme un chien tout son jus de salope, aspirant toute sa raie jusqu’à son trou du cul, passionnément avec ma bouche. Elle est partie, un cri inhumain est sorti de sa bouche, un couinement de cochonne qui prend vraiment son pied. Heureusement que les voisins n’étaient pas là ce week-end-là, sinon ils en auraient amplement profité.Et comme je continuais à la branler, à la bouffer, elle n’arrêtait plus de se tortiller dans tous les sens, toute à la jouissance qui l’investissait. J’ai décidé de profiter de l’avantage et de l’embrasser partout, d’abord ses belles cuisses bien grasses que je mordillais, ensuite les bourrelets de son bas-ventre particulièrement sensibles qui la faisaient se tordre. Ensuite j’ai remonté son tee-shirt au-dessus de la tête lui condamnant ainsi les bras à l’inaction et, libérant sommairement ses mamelles, je me suis mis à lui téter.Après cette jouissance sans égale, elle était d’une sensibilité à fleur de peau. Je pouvais l’embrasser partout et elle réagissait, le bord de ses seins, sous ses aisselles, le bas de son cou, elle gémissait de plaisir partout et se tortillait sous mes caresses incessantes. Je frappais toujours là où elle s’attendait le moins, lui arrachant sans cesse de nouveaux gémissements qu’elle ne cherchait nullement à camoufler. Pour être sans conteste une grosse dondon ventrue et plantureuse, c’était aussi une véritable boule de nerf aux réactions démesurées. Je pense que si je ne m’étais pas arrêté au bout d’un certain temps, j’aurais pu continuer ainsi à la stimuler et à l’exciter une bonne partie de la nuit. Elle était totalement abandonnée à mes caresses, totalement soumise… à toutes mes caresses, entièrement offerte aux dures lois du plaisir.J’ai pris un de ses gros nichons à deux mains, une poitrine hors normes aux mensurations impressionnantes, et me suis mis à lui téter ses petits bouts, l’aspirant comme un nourrisson et n’hésitant pas à les lui mordiller. À force d’être ainsi tétée, elle s’est mise de nouveau à gueuler, visiblement pas de souffrance mais d’une jouissance incontrôlée. Du coup elle s’est branlée la chatte comme une folle en me disant de continuer, cambrant même la poitrine vers ma bouche pour que je la prenne plus à fond :— Vas-y ! tête-moi, mon salaud, j’adore ça, j’adore qu’on me tête à fond comme une vache à lait…Et ce faisant, elle se branlait et a fini par éclater à nouveau en se tordant les cuisses de bonheur. J’étais prêt à faire subir le même sort à l’autre tétasse mais elle m’en a empêché. Elle en pouvait plus, la pauvre, elle avait gagné un repos bien mérité… J’ai posé ma tête entre ses cuisses en saisissant ses grosses fesses à pleines mains. Dieu que j’avais aimé la faire jouir et lui donner toute cette jouissance, j’aurais voulu tout lui donner.Au bout d’un certain temps :— Ne reste pas là, viens contre moi, j’ai envie de bisous. En plus je sens fort, tu dois être asphyxié, hihi !— Non, je trouve que tes odeurs sont divines, vraiment tu me plais, je te trouve absolument géniale.— Raconte pas de conneries. Je t’ai pas demandé non plus de tomber amoureux, juste de venir faire un câlin.Je me suis donc allongé tout contre elle dans le petit lit une place et me suis mis à la bécoter gentiment.— Et si je tombais réellement amoureux ? Ce serait un problème ?— Oui.— ???— Je ne suis peut-être pas disponible. J’ai peut-être un copain. En ce moment il fait l’armée, il n’est pas souvent là. C’est pour ça que…— Il a bien de la chance, ton copain.— Je ne sais pas si je resterai toute ma vie avec lui, il est pas toujours très gentil avec moi. Mais je lui ai promis et pour l’instant c’est comme ça…— Tu as promis d’être fidèle ?— Oui, je le suis presque… mais il a pris dix jours de mitard et ces jours-ci j’avais trop envie, et puis en plus, nous nous sommes disputés… De toute façon, pour l’instant, nous n’avons rien fait de mal.Curieuse conception des choses, il est vrai mais après tout, c’était sa façon de voir les choses ! Et de toute façon, je ne lui demandais pas de se justifier, personnellement je m’en foutais… sauf que j’aurais bien aimé avoir une amie comme elle…Sa poitrine était hors pair, hors norme, gigantesque. Depuis que je l’avais libérée, elle retenait toute mon attention. Jamais auparavant je n’aurais pu imaginer qu’une femme aussi forte aurait pu tant m’exciter. Je n’arrêtais pas de la toucher, de la palper, passant de ses nichons à ses bourrelets, son gros ventre me fascinait, pulpeuse à souhait voilà ce qu’elle était, tout son corps n’était que beauté, une invitation aux caresses… Je me suis bien mis à nouveau à la téter. Elle s’est laissée faire quelques minutes avant de se redresser.— À mon tour de te faire du bien…— …— N’aie pas peur, tu es tout contracté ! Laisse-toi aller… On est cool, tous les deux, je n’attends pas de toi une performance, tu n’as vraiment rien à me prouver. Je veux juste partager un peu de plaisir avec toi, peu importe la méthode…Et comme je ne répondais pas :— Et ne fais pas celui qui n’a pas compris, ce n’est pas en faisant l’autruche comme tu le fais qu’on résout ses problèmes…Elle était à genoux à cheval sur moi et me caressait lentement les épaules, ses deux gros seins faisaient vraiment partie des sept merveilles du monde… N’empêche que moi, je bandais toujours pas.— Cool, mon amour, laisse-toi aller, la grosse Julie va te donner du plaisir.Elle s’est reculée et a commencé à me caresser lentement l’entrejambe. Plus douce que la moyenne, moi qui l’aurais cru brutasse sous ses airs de zonarde. Puis, après avoir rattaché ses cheveux, elle s’est penchée sur mon sexe et l’a doucement embrassé. Tout dans une exquise tendresse pleine de patience et de compréhension.Au début, il ne s’est rien passé et puis miracle, au bout d’un certain temps, à force de persévérance, j’ai commencé à avoir… des sensations !Plus d’un an que je n’avais pas eu de rapports sexuels et la dernière fois cela s’était plutôt mal passé. Et voilà que cette grosse fille obstinée parvenait quelque peu à me faire bander. Certes pas une érection magistrale mais c’était un bon point. Elle a relevé la tête et m’a regardé droit dans les yeux, histoire de dire « Tu vois, pas de quoi s’affoler, rien n’est désespéré ». Puis plus coquine, plus vicieuse, de longs coups de langues évocateurs, me montrant bien sa bouche goulue et sa langue.— Ohhh cochonne, continue comme ça, ouiii… J’aime ton regard de grosse cochonne…Et là franchement, elle me pompait, ma bite était désormais assez dure pour qu’elle l’engloutisse encore et encore et qu’elle l’enfonce entre ses lèvres rouges, en prenant soin de se faire toujours plus salope. Elle se déchaînait sur ma bite et m’aspirait les couilles et parcourait ma hampe de sa langue bien friponne, mais toujours avec suffisamment de retenue pour m’empêcher de jouir. Ce petit manège dura presque une demi-heure. J’étais désormais tendu comme un arc, je n’avais jamais de ma vie bandé aussi fort.Alors, lentement et avec d’infinies précautions, elle s’est saisie d’une capote et l’a enfilée doucement sur mon sexe bien humide de sa salive. Une fois bien protégé, elle est venue me chevaucher, Diane chasseresse aux gros tétons qui remuaient en cadence au rythme de ses allées et venues. Mon dieu qu’elle était belle ainsi, chevauchante amazone entièrement libérée dans la plus splendide de toutes les nudités. Elle s’enfilait sur moi mais somme toute sans urgence, elle voulait faire durer au maximum et se doutait bien qu’un peu trop d’impatience aurait pu me faire éclater prématurément. Or il n’en fut rien, de la façon la plus experte qui soit, des mouvements amples en profondeurs, elle est parvenue elle-même au bord de l’explosion. À ce moment-là, complètement excités tous les deux, nous n’avions plus qu’une envie, celle de jouir comme des malades. Elle s’est alors dégagée pour se mettre à quatre pattes :— Baise-moi, mon salaud, j’ai envie de sentir ta grosse queue me labourer.Je ne me suis pas fait prier, je ne sais pas trop où elle avait vu une grosse queue, mais je l’ai néanmoins transpercée puis, agrippant ses hanches, je l’ai bourrée sans retenue comme un salaud qui aime en profiter…C’est encore elle qui a joui en premier, je l’ai sentie venir, elle s’est mise à beugler, les muscles de son vagin se sont à nouveau contractés, très fort autour de ma bite. Encore quelques allers et retours en regardant balancer ses lourdes mamelles et je me suis épanché entre ses cuisses bien grasses. J’avais rarement aussi bien joui avec une gonzesse, c’était encore meilleur que quand je me masturbais… Mais pour elle, ce n’était pas le moment d’arrêter. Une fois dégagée, elle s’est retournée, a retiré la capote et a entrepris de lécher ma bite gluante de sperme avec un plaisir non dissimulé. Cette fois, c’est elle qui me tétait… et jusqu’à la dernière goutte, une véritable affamée de sperme, j’avais rarement vu ça…Après, court intermède, nous avons repris des canettes pour nous désaltérer. Mais encore une fois ce n’était là pour elle qu’un intermède. En vraie chaude lapine, sitôt les canettes bazardées, elle m’a demandé de m’allonger et est venue à cheval sur mon visage, m’invitant sans équivoque à la bouffer, écartant même ses lèvres avec ses doigts pour mieux m’offrir sa chatte. Elle se branlait sur ma figure comme une cinglée, j’avais de la peine à respirer mais je devais aimer ça puisque je me suis mis à rebander, comme ça, de moi-même, sans aucun attouchement, je n’en revenais pas. Du coup je me suis acharné plus encore sur sa chatte, glissant mes doigts partout, entre ses grosses fesses, dans son cul, je lui doigtais lentement l’anus et cette Marie-Cochonne appréciait. J’ai humecté mes doigts pour lui en mettre deux.Mais je voulais encore plus, je lui ai demandé de se retourner pour qu’elle me présente ses larges fesses et son petit trou à lécher. Et tandis que ma langue vicieuse glissait dans sa plus précieuse intimité, elle s’est mise à siffler en voyant ma queue dressée… Inutile de dire que l’autre capote ne tarda pas à être utilisée et qu’elle fut même la première femme à m’offrir son petit trou, ce qui visiblement n’avait pas l’air de la gêner. Après l’avoir laborieusement sodomisée et m’être laissé aller sans retenue sur ses fesses blanches, je l’ai à nouveau bouffée et re-bouffée jusqu’à ce qu’elle éclate à nouveau par ma bouche…Je serai toujours redevable envers Julie de m’avoir en quelque sorte sauvé la vie, en tout cas de m’avoir permis d’échapper à la folie. Dieu sait où je serais si je ne l’avais pas rencontrée ce soir-là, sans doute dans un HP avec un entonnoir sur la tête à me faire passer pour un Napoléon d’opérette.Après cet épisode, nous nous sommes revus plusieurs fois et avons refait l’amour, bien entendu. Je suis allé dès le lendemain acheter tout un stock de capotes, au cas où il lui prendrait envie de me rendre visite.Et puis un jour, son con de militaire de copain est revenu de la caserne et nous avons alors cessé toute activité…