I – Timide mais coquine !Bonjour Ă tous mes lecteurs et merci pour les notes qu’ils m’attribuent, cela me flatte et m’encourage Ă continuer. MAIS, je tiens Ă prĂ©ciser Ă nouveau pour rĂ©pondre à  » Sapristi  » entre autres que ce n’est pas mon imagination fertile ou fĂ©conde qui dicte mes Ă©crits, non toutes ces histoires sont vraies et vĂ©cues par votre serviteur.Cette fois pour faire plaisir Ă LĂ©na qui m’adresse un gentil message personnel, je vais parler de lesbianisme. Je ne rĂ©siste pas Ă tes bisous, tu vois !Depuis que je suis photographe amateur, après avoir fait mes dĂ©buts avec des filles ou femmes seules, je rĂŞvais de voir enfin deux femmes ensemble, pas seulement cĂ´te Ă cĂ´te, ce qui est dĂ©jĂ bien, non, en  » action  » en train de se caresser, de se donner du plaisir…Pour moi, pour beaucoup d’hommes, c’est un fantasme et j’ai attendu longtemps avant d’avoir cette chance.Cela s’est rĂ©alisĂ© au cĂ©lèbre Cap d’Agde, lieu magique que je frĂ©quentais Ă©pisodiquement depuis cinq ans Ă l’époque, grappillant deux jours de libertĂ© de temps en temps. Quoi de mieux pour un amateur comme moi que de choisir la plastique de ces dames avant de les aborder ? C’est ce que je fis un midi, je mangeais dans un restaurant dominant la plage, ayant choisi ma place pour voir une jolie fille en face de moi Ă une autre table (pas seule)Très voyeur, j’ai toujours les yeux partout, et je remarque un couple au dehors, une femme aux jambes superbes, en string. Je vais vite les aborder et gentiment, elle accepte quelques photos vite faites que je propose de leur donner. Ils m’indiquent leur emplacement au camping et une semaine plus tard je viens les trouver vers 19 heures.Je raconte tout ça pour montrer le cheminement qui me permit d’aboutir Ă mon rĂŞve et ce sera long !Lorsque je viens les voir, c’est tout juste s’ils se rappelaient de moi, mais ils furent ravis de constater que je tenais parole et apprĂ©cièrent les photos. Moi j’apprĂ©ciais les formes de madame totalement nue et si ses jambes Ă©taient parfaites les deux fesses qui les couronnaient Ă©taient sublimes, rondes et charnues. Pour le cĂ´tĂ© face, trop de poils Ă mon goĂ»t, mais de fort jolis seins. Ils prĂ©paraient un apĂ©ro car un couple devait venir et ils me proposèrent de rester pour les voir. Ils arrivèrent presque aussitĂ´t d’ailleurs, très sympas et surtout ils acceptèrent que je fasse Ă©galement des photos, la femme Ă©tait une jolie blonde toute menue avec cette fois très peu de poils et une fente bien visible.Ma gentillesse Ă©tait rĂ©compensĂ©e, et quelques temps plus tard, je leur envoyais les photos. Je n’eus ensuite pratiquement aucun contact avec l’un ou l’autre couple mais le hasard me mit en prĂ©sence de ce second couple un an plus tard, les croisant au Cap devant un commerce et c’est eux qui me virent :— Bernard ! Comment vas-tu ? Et les photos ça marche ? Je ne sais plus si on t’a Ă©crit mais merci, elles sont super !On parla un peu, et ils me firent promettre de venir boire l’apĂ©ro un soir, ayant louĂ© un bungalow au camping.J’y vins la semaine suivante, alors qu’il y avait trois autres couples devant des apĂ©ros et le mari me prĂ©sente comme  » le photographe, fou des gros seins !  » Belle entrĂ©e en matière surtout qu’une des femmes avait un buste splendide, mais elle refusa d’être photographiĂ©e, hĂ©las ! Un des couples Ă©tait debout et partait, et, assise une fort jolie blonde me dit :— Avec moi, vous n’avez pas de chance, ma poitrine n’est pas très grosse !Bref, on boit un ou deux verres et au moment de se sĂ©parer la jolie blonde se lève et j’ai une jolie vision :— Vous n’avez pas une grosse poitrine, mais ce que je vois lĂ m’intĂ©resse beaucoup !Elle est en effet rasĂ©e !— Ah ! Ça vous plait aussi ? Tu vois chĂ©rie, je ne suis pas le seulSon mari semble content d’avoir un alliĂ©Â !— Moi, je trouve qu’une femme n’est nue que rasĂ©e, c’est merveilleux, acceptez-vous que je vous fasse quelques photos ?Elle hĂ©site :— C’est la première fois que je suis sans poil, pour plaire Ă mon mari… J’ai l’impression que tout le monde me regarde (Ă l’époque c’était peu courant, c’est vrai !) Mais je m’y fais !— Vous ĂŞtes superbe comme ça, il a bien fait votre mari, sinon je ne vous aurais par remarquĂ©e, n’hĂ©sitez pas, je vous prends en photo ?Ce qui est bien c’est que notre hĂ´te intervint pour dire qu’ils pouvaient avoir confiance, que j’envoie les photos, que j’étais sĂ©rieux, et elle finit par accepter, encouragĂ©e par son mari.— Mais je n’ai jamais fais ça, moi, guidez-moi pour les poses !Ça je sais faire ! Je la prends telle que je viens de la dĂ©couvrir, Ă cĂ´tĂ© de la table, puis devant la voiture, et je la teste en lui faisant prendre des poses oĂą sa jolie fente est mise en valeur. Elle est toute rose d’émotion, gĂŞnĂ©e car les autres regardent et l’encouragent. Quand je lui demande de s’accroupir, les cuisses bien ouvertes, elle regarde son mari d’abord :— Vas-y chĂ©ri, tu aimes bien qu’on te regarde, non ?— Oui, mais devant un appareil, ça change !Mais elle Ă©carte les cuisses en grand et sa petite minette s’ouvre. Je lui dis que c’est très beau tout ça et Ă partir de ce moment toutes les poses seront Ă©cartĂ©es ! Comme penchĂ©e en avant, les pieds très Ă©cartĂ©s et me regardant entre ses jambes, allongĂ©e sur une serviette sur le capot de la voiture ou par terre, cĂ´tĂ© pile, cĂ´tĂ© face. Pour changer de dĂ©cor, on va sans un emplacement libre en face, les autres restant Ă table.— Ça vous plait de vous montrer alors ?— Oui, j’aime bien qu’on me regarde, mon mari aime m’exhiber un peu sur la plage, j’avoue y prendre un certain plaisir, j’aime bien regarder aussi !— Voyeuse ?— Un peu oui !— C’est rare, ça ! Et d’être prise en photo comme ça ?— Ben j’avoue que ça me plait, et puis vous savez y faire, vous parlez bien…— On continue, alors ? Un peu plus osĂ©Â ?— Oh ! Au point oĂą j’en suis, on continue !On va tout au bout pour profiter des derniers rayons du soleil, il y a un ballon qui traĂ®ne, je l’y fais asseoir dessus, très ouverte, je lui dis qu’elle est très belle et excitante, je le pense et pour les dernières photos je lui demande d’écarter sa fente avec ses doigts. Quand elle le fait, je vois des gouttes nacrĂ©es qui coulent !— Je crois que ça vous plait au point de vous exciter, on dirait ? Elle est mouillĂ©e cette jolie minette, non ?Elle sourit en confirme en se touchant ! Je lui dis qu’elle est un excellent modèle et qu’il faudra continuer et se revoir. On revient vers les autres.Le mari :— Alors ? Elle est douĂ©e ou pas ?— Très douĂ©e, et ça lui a beaucoup plu ! Hein ?Elle, un peu gĂŞnĂ©e :— Ça me plait, j’ai mĂŞme mouillĂ©Â !Ça les fait rire et son mari ajoute :— Vous avez bien fait de lui demander, elle est timide mais c’est une coquine !On arrose encore ces dĂ©buts, et rendez-vous est pris pour le lendemain Ă midi pour retirer les photos, ils sont impatients de le voir. Elle viendra seule car le mari travaille et ne revient que le soir. On prend les photos et on les regarde ensemble, ravis tous le deux car elles sont rĂ©ussies. Je lui propose de boire un verre. Elle est venue en vĂ©lo avec un string et au cafĂ©, discrètement, je ferais trois ou quatre vues Ă la terrasse oĂą elle Ă©carte le string et je revois sa superbe fente imberbe. On discute des suites à ça :— Oh ! Je veux bien, je me trouve bien sur vos photos ! Et puis, je suis Ă l’aise avec vous ! Et puis ça me plait !— Et votre mari, il semblait ravi ?— Oh ! Oui d’ailleurs ça… (elle hĂ©site, je l’incite Ă continuer…) ça l’a excitĂ© de savoir que j’avais mouillĂ© en posant…— Mais encore ? Il vous a sautĂ© dessus, je parie ?Elle sourit— Ben oui, ! A peine entrĂ©s dans la caravane, il m’a poussĂ© sur le canapĂ© et on a fait l’amour !Une semaine plus tard, je revins les voir vers 8 heures et on alla vers les dunes pour refaire une sĂ©rie oĂą elle dĂ©montra la souplesse de son corps dans des poses des plus audacieuses et cela devant cinq ou six hommes qui apprĂ©cièrent le spectacle. Pas besoin de l’encourager, en fait, elle se montrait Ă eux autant qu’à moi !Je leur offris l’apĂ©ro, puis ils m’invitèrent Ă souper dans la caravane et lĂ , je dĂ©couvris un couple charmant, aimant s’amuser, aimant le sexe, et j’appris qu’elle aimait les femmes aussi.Je rĂ©agissais disant que j’avais ce rĂŞve en tĂŞte de voir deux filles ensemble. RĂ©ponse :— Trouve-moi une autre fille, alors !Je gardais cette idĂ©e en tĂŞte mais pour l’heure on s’habilla pour continuer la soirĂ©e ensemble et quand Betty demanda ce qu’elle devait mettre, je n’eus que l’embarras du choix : Un tiroir plein de sous-vĂŞtements plus sexy les uns que les autres.Adorant les bas, j’en choisi une paire avec un petit porte-jarretelles (noirs) plus un soutien-gorge Ă demi-bonnets, laissant les tĂ©tons au-dessus, noir aussi sous un corsage rose très lĂ©ger et quasi-transparent, et une jupette arrivant juste Ă la lisière des bas, plus des talons hauts. Une silhouette des plus excitante, je le lui dis, elle rĂ©pond :— J’adore attirer les regards… qu’on se retourne sur moi !— Je vais te faire des photos, tu ne passeras pas inaperçue avec le flash !A peine sortis du camping on se promène dans une galerie marchande oĂą elle est remarquĂ©e. On s’assied Ă une terrasse de bar, oĂą je fais quelques vues, les jambes croisĂ©es bien haut. Des gens s’arrĂŞtent, regardent, elle est ravie. Puis on ira faire des photos dans un ascenseur, dans des escaliers ou l’absence de culotte est mise en valeur. En douce son mari me dit :— Tu as bien fait de lui proposer des photos, ça lui plait bien, ça relève sa nature exhibitionniste !Elle se prĂŞtera Ă toutes mes idĂ©es y compris avec du monde autour (surtout mĂŞme).On montera ensuite dans leur voiture pour se rapprocher du camping oĂą le mari lui dira :— Montre Ă Bernard ce que tu sais faire, chĂ©rie ! Fait lui voir avant qu’on dĂ©marre !Elle hĂ©site, on est garĂ© dans la rue, mais peu Ă©clairĂ©e. Puis, je la vois se soulever et se positionner pour s’empaler sur le levier de vitesse ! Fantastique de voir ça !Je les accompagne Ă pied Ă leur caravane, car il y en a une autre de vide sur leur emplacement oĂą je peux coucher, c’est sympa de leur part.Mais en fait, ils m’offrirent un verre chez eux, ce qui n’était qu’un prĂ©texte pour me la montrer dans ses Ĺ“uvres. Betty Ă©tant très excitĂ©e d’avoir fait ça, son mari savait qu’elle avait besoin de se masturber. Elle le fit d’autant mieux que j’avais dit adorer ça. Elle posa une condition : que je ne la touche pas, son mari non plus. Voyeurs, mais on pouvait se masturber ! Elle commença pendant qu’on buvait Ă se caresser les seins sur le chemisier, puis en dessous, elle croisa et dĂ©croisa les jambes car ça la  » dĂ©mangeait  » puis, elle dit :— Il fait chaud ici, je me mets un peu Ă l’aise ! Vous aussi vous pouvez !Il faisait juste bon, mais elle Ă´ta son chemisier, nous les chemises, puis elle se renversa un peu sur les coussins pour prendre ses seins dans ses mains, fermant parfois les yeux. Elle releva un genou, retroussant la jupette et dĂ©voilant sa fente superbe. Et ce genou commença Ă s’agiter sans arrĂŞt ce qui lui massait l’entre cuisse. Son mari me murmura :— Ça commence comme ça, tu va voir la vicieuse que c’est !Elle nous dit d’un coup :— Je vous excite ? Vous pouvez vous branler !On se met Ă poil, on bande, on s’installe bien tous les deux face Ă elle, ça ne m’était pas encore arrivĂ© souvent de me masturber Ă cĂ´tĂ© d’un mari montrant sa femme. Elle ne nous adressa plus la parole voyant qu’on se branlait, perdue dans son plaisir de montrer son corps, pensant Ă ceux qu’elle avait excitĂ©s tout Ă l’heure sans doute. BientĂ´t elle releva les deux genoux, les Ă©cartant le plus possible et ses deux mains se posèrent sur son minou caressant dĂ©licatement ses chairs intimes. Elle prenait plaisir Ă bien tout montrer, Ă©cartant ses lèvres très sensuellement, comme au ralenti, c’était sublime et elle poussait de petits gĂ©missements. BientĂ´t elle se retrouva enfoncĂ©e dans les coussins, ses avants bras tenant ses cuisses très relevĂ©es, et ses mains Ă©cartant sa fente au maximum, un doigt titillant son clito, un autre dans sa minette dĂ©jĂ bien mouillĂ©e ! Une vision superbe dont je ne pus faire aucune photo ayant un problème de flash ! Grrr !En quelques minutes son plaisir monta, elle haleta, sa tĂŞte secouĂ©e en tous sens puis elles s’arrĂŞta pour fouiller dans un sac sous un coussin, le mari me poussa du coude :— Regarde cette garce !Elle en sort un joli vibro tout rose qu’elle met en route pour exciter son clitoris, mais très vite il disparaĂ®t dans un trou bĂ©ant. Et là ça durera plusieurs minutes, elle Ă©tait au bord de l’orgasme, s’arrĂŞtait, reprenait jusqu’à ce qu’elle soit secouĂ©e de spasmes en poussant un cri inhumain.Elle serra très fort les cuisses, les yeux fermĂ©s, je n’ai pas rĂ©sistĂ©, jouissant dans un kleenex !Je la remerciai pour ce fantastique spectacle et je les laissai alors que son mari la caressait et qu’elle prĂ©fĂ©rait ĂŞtre seule avec lui !Nous avons gardĂ© un bon contact et j’envoyais les photos rĂ©ussies au point qu’un jour le mari me proposa de venir chez eux. Betty s’étant laissĂ© repoussĂ© les poils, il voulait avoir des photos avec poils, puis la raser devant moi ! Comment refuser ça ? Ils m’accueillirent chez eux un soir de janvier pour un bon petit repas mais avant pour l’apĂ©ro, je pus admirer la toison de Betty sous un petit tablier blanc encadrĂ© par des jarretelles tenant des bas noirs. Vision paradisiaque, pas que la vision d’ailleurs car tout le repas fut une excitation permanente. Betty assise entre nous se laissait caresser, embrasser, je me retrouvais mĂŞme Ă genoux sous la table pour lĂ©cher son minou, tout cela devant une vidĂ©o ne montrant que des scènes de doubles pĂ©nĂ©trations. Joli programme pour lequel j’étais choisi en fait !Pour finir le repas, le gâteau fut en partie dĂ©gustĂ© sur son joli corps qu’on lĂ©cha partout. Et après une douche, la chambre nous accueillit avec en prĂ©ambule une belle exhibition de Betty qui se montra sous tous les angles, en tenue sexy, se caressant, se masturbant devant nous. C’est son plus grand plaisir, se branler, en Ă©tant regardĂ© par des hommes qui le font aussi. Elle eut plusieurs petites jouissances avec diffĂ©rents vibros puis on la rejoignit Ă sa demande pour une dĂ©bauche de caresses de toutes sortes. Elle nous masturba, un sexe dans chaque main, nous lĂ©cha ensemble, puis sa jolie bouche se referma sur mon gland, branlant son mari et inversement… Une experte… Elle s’offrit Ă nous, le mari d’abord, (normal), qui me laissa la place, elle avait une minette d’une douceur surprenante, très ouverte, mais je remarquai aussi que son petit trou plissĂ© Ă©tait tout aussi accueillant pour mes doigts d’abords, puis pour mon sexe qui n’étant pas spĂ©cialement gros s’y faufila facilement. Elle aimait tout ce qu’on lui faisait, prenant des initiatives, des positions parfois curieuses par passion du sexe !Ce soir-lĂ j’appris qu’elle n’aimait pas que les hommes…A suivreBernard.