Histoire coquine :La vie, parfois ne tient pas Ă grand-chose. Une jolie bourgeoise qui s’ennuie et sirote du champagne au soleil, le long de sa piscine. Elle attend le retour de son industriel de mari. Un jardinier trop beau, trop gentil. Un enfant Ă l’Ă©cole qui se plaint de maux de tĂŞte. Une directrice d’Ă©cole qui tĂ©lĂ©phone au papa. Un papa qui abandonne son usine, prend son fils Ă l’Ă©cole et rentre chez lui. Une heure trop tĂ´t… Une jolie bourgeoise, le sexe du jardiner dans sa bouche, voit la porte du jardin s’ouvrir et son mari et son fils se figer Ă l’entrĂ©e…La jolie bourgeoise, c’est moi. Du moins c’Ă©tait moi… Après tout s’est enchaĂ®nĂ©, comme une marĂ©e que rien ne peut arrĂŞter : avocats : divorce, avocats : pension, avocats : dĂ©chĂ©ance des droits parentaux… Comment expliquer que c’Ă©tait la première fois ? Comment faire comprendre qu’on peut tout avoir et s’ennuyer ? Que les cages dorĂ©es restent des cages ? Qu’un mari absent n’est pas remplacĂ© par des cadeaux luxueux ? J’Ă©tais la salope qui trompait son gentil mari avec un jardinier qu’elle suçait en plein air dans le parc du domicile conjugal…
Quand la marĂ©e a refluĂ© j’Ă©tais sur le sable. Petits boulots de merde, dĂ©pression, pension qui permet de ne pas totalement sombrer, alcool, psychologues, services sociaux, ANPE, alcool, dĂ©pression…J’ai vu toutes mes « amies » s’Ă©loigner de moi en fronçant le nez. InfrĂ©quentable ! Mon fils comme mon ex-mari pensent que je suis au mieux une grande malade au pire une pute.
En deux ans j’ai pris 10 kilos. Essentiellement sur le ventre et les fesses. Mes cheveux sont souvent gras. Je m’habille en prĂŞt Ă porter bas de gamme. Je m’abrutie de tĂ©lĂ©vision et de whisky bon marchĂ©…Et je roule ce samedi vers chez mes parents, les seuls ĂŞtres humains de « l’ancien temps » que je vois encore. Je pense Ă mon frère, sa femme, surtout, qui m’a tant jalousĂ©e avant et qui m’a tant critiquĂ© ensuite : « ma belle-sœur, celle qui s’est fait surprendre par son mari avec un jardinier » Je visualise parfaitement cette peste avec ses moues de dame patronnesse… Salope !Soudain je n’ai plus envie d’y aller ; Il le faut pourtant. Le loyer approche. Seuls mes parents pourront m’avancer un peu d’argent. Mais voir ma garce de belle-sœur et mon faux-cul de frangin, c’est trop.Je m’arrĂŞte sur une aire d’autoroute envahie de camions alignĂ©s comme Ă la parade. Il est 19h. Si j’arrive en retard j’Ă©vite le dine Toujours ça de pris…
Je suis perdue dans mes pensées devant la machine à café triturant ma tasse vide.
– Je vous en offre un autre ?Il est assez petit, avec un dĂ©but de ventre et de calvitie.
– Si vous voulez
– Avec du sucre ?
– Non, une goutte d’arsenic…Il marque un temps d’arrĂŞt, plisse son front et rĂ©flĂ©chit
– Ca n’a pas l’air d’aller fort, la petite dameNon, mon bonhomme, la petite dame ne va pas fort. J’essaie pourtant d’ĂŞtre aimable. C’est sans doute le premier homme qui m’aborde depuis… Ben depuis la catastrophe…
– Non, c’est pas top en ce moment…
– Venez grignoter quelque chose ça ira mieuxIl m’entraĂ®ne dehors, dans la grande cafĂ©tĂ©ria Ă 100 mètres.Nous Ă©chouons devant une table qui sent la javel ou on nous sert un plat du jour. Est-ce la solidaritĂ© des galĂ©riens, nous en sommes rapidement Ă nous confier nos vies de misère. Lui ses 10 heures par jours, 6 jours sur 7, derrière son volant, ses nuits solitaires dans sa cabine, son gosse qu’il ne voit pas grandir, sa femme qui le tolère sur le divan le dimanche et qui a trouvĂ© de quoi combler ses absences. Moi, mes petits boulots, mes fins de mois qui commencent le 15, ma dĂ©pression, ma fatigue…Il commande deux whiskies puis deux autres. La rencontre de deux loosers ça se fĂŞte.
– Vous avez dĂ©jĂ visitĂ© un camion ?Tu crois que je ne te vois pas venir ? Mais tu es gentil, tu as rĂ©glĂ© la note alors…
– Non jamaisIl me mène Ă son camion et me fait monter cĂ´tĂ© passager. Il m’aide Ă grimper. MĂŞme pas un geste dĂ©placĂ©. MĂŞme pas une caresse furtive. Un bon point. Il fait le tour, grimpe derrière son volant. Il semble fier de son royaume. Tout est bien propre, bien rangĂ©. Une photo de son fils trĂ´ne au milieu du tableau de bord. Un blondinet souriant qui doit avoir l’âge du mien. Il surprend mon regard.
– Mon fils, confirme-t-il. Vous avez des enfants ?
– Oui, non, m’embrouillais-je, ce n’est pas le sujet
– C’est quoi le sujet ?Une impulsion, les whiskies, la lassitude… Je plonge dans l’enfer :
– Tu veux que je te suce ?
– J’ai pas d’argent
– Cadeau !Il recule son siège et ouvre sa braguette. Je l’aide Ă sortir un sexe mou. Je me vautre sur le siège, la tĂŞte près du volant, près de sa bite. Je la mets dans ma bouche. Je ferme les yeux et je commence Ă le sucer. La dernière fois que j’ai fait cela, c’Ă©tait au soleil dans mon jardin avec mon jardinier. C’Ă©tait il y a… un siècle. Le sexe grossit dans ma bouche, son propriĂ©taire respire fort. Je suce, la mâchoire crispĂ©e.
Soudain la portière passager s’ouvre. Je ne bouge mĂŞme pas. La fatalitĂ©. Une voix :
– Salut Marcel j’ai vu ton cami… La voix s’arrĂŞte net. Vu la hauteur du siège il doit avoir le visage Ă hauteur de mes fesses. Le gars dĂ©glutit. Je continue Ă pomper. Je veux aller au bout de l’ignominie.
– Ferme la porte bon dieu… Marcel est inquiet. Il a peur. Il a peut-ĂŞtre encore un honneur, une dignitĂ©, lui..
L’autre ne comprend pas, il grimpe sur le siège et ferme la porte, coincĂ© entre mon derrière et la portière.
– Je peux aussi ? C’est combien ?Lui aussi me prend pour une pute ! DĂ©cidĂ©ment Je relâche la queue de Marcel et me redresse.
– C’est 100 eurosBoire le calice jusqu’Ă la lie
– 100 euros pour quoi ?
– Tu verras
– Il sort un portefeuille usĂ© de sa poche arrière, en tire deux billets de 50, hĂ©site puis me les tend.Je n’ai mĂŞme pas de sac Ă main, il est restĂ© dans ma voiture. C’est de l’amateurisme ma fille… Je mets les billets dans la poche intĂ©rieure de mon manteau. Puis en me tortillant je fais glisser ma culotte jusqu’Ă mes cheville puis la rĂ©cupère et la mets Ă©galement dans ma poche de manteaux.
– Tu as des prĂ©servatifs Marcel ?Ma voix le fait sortir de sa torpeur. Il ouvre une boite Ă gant et en sort un qu’il a tĂ´t fait d’enfiler. Je me tourne vers le passager, ouvre sa braguette et en tire son sexe. Je sens les mains de Marcel, derrière, sous ma jupe, Puis la pointe de sa queue cherche le chemin. Je relève ma jupe jusqu’Ă ma taille dĂ©couvrant mes fesses grasses. D’une main je tire sur la chair intĂ©rieure d’une cuisse pour libĂ©rer un passage dans lequel il s’engouffre. Son gland trouve l’entrĂ©e de mon sexe et d’une poussĂ©e il me pĂ©nètre. Son prĂ©servatif est lubrifiĂ©. Tant mieux. Je me penche sur le passage et commence ma fellation. Le gars pousse un soupir d’aise. Je me doute que son regard doit ĂŞtre rivĂ© Ă mes fesses entre lesquelles s’agite son copain Marcel. Je vois la scène comme si je n’en n’Ă©tais pas actrice. Un dĂ©tachement total. Ma belle-sœur serait folle de joie : je fais la pute. Un rugissement de Marcel, un coup de boutoir plus fort que les autre et je le sens qui se vide en moi… Je relève la tĂŞte relâchant le sexe dressĂ© que je suçai consciencieusement. Je prends un prĂ©servatif dans la rĂ©serve de Marcel et l’enfile au gars qui ne bouge plus. Nouveau demi-tour. Je ramène mes fesses vers lui et ma tĂŞte vers Marcel. Le gars ne perd pas de temps et Ă peine suis-je en position qu’il est en moi. Je regarde le sexe de marcel qui est sous mon nez, mollasson et toujours habillĂ© du prĂ©servatif. Je suis Ă´te et jette le bout de latex sur le sol de la cabine. Ah Marcel, il faudra nettoyer demain… Puis je prends son sexe entre mes lèvres. Le gout du sperme envahit ma bouche. C’est dit, ce soir je toucherai le fond. Dans mon dĂ©sespoir une pensĂ©e gaie. Je pourrais expliquer mon retard Ă ma belle-sœur par le fait que je suçais des routiers. Me traitera-t-elle de menteuse ?
Le sexe de Marcel a maintenant repris de la vigueur, tandis que son collègue semble pris de frénésie. Il me martèle en ânonnant :
– Tiens salope, tiens salope, prend ça, et ça…Et ça s’arrĂŞtera lĂ car je le sens exploser dans ma chatte.
– Vingt dieux, ça fait du bien par oĂą ça passeUn fin poète..
Il me met une claque sur les fesses, retire son prĂ©servatif et referme sa braguette. Il ouvre la portière, sort et referme. Je prĂ©sume que maintenant il va tĂ©lĂ©phoner Ă sa femme et lui jurer son amour Ă©ternel. Je suis cynique mais la vie de m’a pas fait de cadeaux. Je relâche la pression de mes lèvres sur le membre de Marcel, me redresse, et me mets Ă quatre pattes sur la banquette, la tĂŞte contre la vitre passager. Je relève ma robe qui avait glissĂ© et offre mon derrière, trop charnu et trop mou, Ă la concupiscence de Marcel. Il n’hĂ©site pas. Après avoir remis un nouveau prĂ©servatif, il se met Ă genoux sur la banquette derrière moi. Il Ă©carte mes fesses lourdes et m’enfile sans effort.Je pense Ă une vieille blague sur notre position : en levrette tous les culs sont beaux, on ne voit pas la tĂŞte du partenaire et on n’est pas obligĂ© de sourire.Sourire, je suis bien obligĂ©e de le faire au gros en salopette qui vient d’ouvrir la portière et se trouve nez Ă nez avec moi
– Il parait que tu suces et que tu baises pour 100 € ? Il a dĂ©jĂ un billet dans la main. En appui sur une main je prends son argent et le glisse dans ma poche. Mon manteau devient un coffre-fort. L’autre monte sur le marchepied est sort une bite d’un diamètre au-dessus de la moyenne. Je me penche et l’embouche. Marcel continue Ă s’activer de plus belle… Je suce le temps qu’il finisse son affaire. Je sens ma montĂ©e de son plaisir. Je suis d’une totale luciditĂ©. Je n’Ă©prouve rien. Ni honte, ni dĂ©gout. Pas de plaisir non plus. Marcel, lui atteint son nirvana pour la deuxième fois. Je tends une capote au gros en salopette dont le sexe, maintenant en plein Ă©rection prĂ©sente des dimension bien au-dessus de la norme..
– Mets la et descendIl obtempère…Je descends du camion Ă mon tour est une fois les pieds sur le sol, je me tourne, relève une nouvelle fois ma robe et me penche en avant, la tĂŞte sur le siège. L’autre vient derrière prĂ©sente son gland Ă l’entrĂ©e de ma chatte très visitĂ©e ce soir et d’un coup de rein m’embroche. Je serre les dents. Il est bien plus gros que les autres… Il me prend par les hanches et me secoue comme un prunier. Par moments j’ai l’impression que mes pieds dĂ©collent du sol. Je regarde Marcel en train de se rhabiller. Le gars qui me martèle est maintenant penchĂ© sur moi. Je sens son ventre proĂ©minent appuyer sur le bas de mon dos et son souffle sur ma nuque. J’ai hâte qu’il termine car nous ne sommes protĂ©gĂ© des regards que par la porte ouverte. Mais après tout je ne risque que l’ignominie. Et j’ai dĂ©jĂ donnĂ©. Je donne quelques coups de reins Ă sa rencontre pour accĂ©lĂ©rer la venue de son plaisir. Il accĂ©lère, grogne et se libère Ă longs traits dont je peux sentir la chaleur Ă travers le latex. EssoufflĂ© il se penche Ă mon oreille et me murmure
– 200 € si tu viens te faire enculer dans mon camion. Puis il se retire arrache la capote qu’il jette sous le camion et il s’Ă©loigne sans un mot de plus.Marcel se penche vers moi
– Pourquoi tu fais ça ? Tu n’es pas une pute
– Il faut des fois toucher le fond pour rebondir, MarcelJe vois dans ses yeux une incomprĂ©hension totale et je referme la portière.
Je cherche Ă repĂ©rer ma voiture. Elle est du cĂ´tĂ© des voitures particulières. Je traverse le parking des camionneurs en cherchant mes clĂ©s dans ma poche ou je trouve ma culotte. Ça me fait rire. Alors que je passe devant le dernier camion, un mastodontes bardĂ© de chromes, ses phare s’allument et s’Ă©teignent aussitĂ´t. Par la vitre baissĂ©e le conducteur m’interpelle
– Alors ? Tu as rĂ©flĂ©chit ?C’est mon gros client
– C’est non
– 300 ?
– Non
– Tu fais ta bourgeoise. T’as pas assez faim…Ces mots m’atteignent de plein fouet. Pour rebondir il faut toucher le fond… Je fais le tour de son camion et grimpe cĂ´tĂ© passager. Il verrouille les portes et retire son pantalon, Son sexe repose ridiculement entre ses jambes velues Ă l’abri sous sa panse de buveur de bière.
– Tu as un coup Ă boire ?Il cligne de l’œil.
– Du bon.. Il fouille dans sa contreporte et me tend une bouteille plate
– 18 ans, il est majeur…Je bois une gorgĂ©e directement au goulot. Effectivement ça change du whisky premier prix. Lui, il se branle pour prĂ©parer la bĂŞte. Je reprends une deuxième gorgĂ©e
– Va sur la couchetteJe passe entre les deux sièges. Derrière se trouve une couchette de la taille d’un lit. Il vient m’y rejoindre des billets Ă la main. Il a dĂ» prendre toute la caisse de bord car il y a des billets de toutes valeurs. Mais il y a bien 300€. RĂ©glo. J’Ă´te mon manteau.
– Non, dit-il, Ă poil.Je fais passer ma robe au-dessus de ma tĂŞte, dĂ©grafe mon soutien-gorge et range le tout sur l’oreiller. Il est debout entre les deux sièges et se masturbe doucement. De sa main libre il caresse mes seins. Puis je me penche, Ă©carte sa main et la remplace par la mienne. Puis je commence Ă le sucer avec entrain. Il regagne sa rigiditĂ© assez rapidement. Je le lâche et il met un prĂ©servatif. Je reprends son sexe emmaillotĂ© et je me remets Ă le sucer en prenant soin de l’enduire de ma salive. Quand je le juge Ă point je me mets en position sur les genoux, croupe basse, la tĂŞte sur mes vĂŞtements. De ma main je recueille de la salive que j’Ă©tale sur mon anus. Et, le cul offert, j’attends. Pas longtemps ! Il s’approche Ă genoux. De mes deux mains j’Ă©carte mes fesses dĂ©voilant l’entrĂ©e de mon cul. Il pose son gland sur mon anus et se mets Ă pousser. Je serre les dents. Je ne crierai pas. Il continue sa progression. Il est vraiment gros. La douleur me tire des larmes des yeux mais je ne dis rien. Enfin je sens son bas ventre Ă©craser mes fesses. Il est entrĂ© en entier ! Aussi Ă©tonnant que cela puisse paraitre, c’est la première fois que j’ai une bite dans le cul. ConsidĂ©rant cette pratique d’une vulgaritĂ© extrĂŞme, j’avais toujours refusĂ© Ă mon mari l’entrĂ©e de mes reins. Reins qui sont aujourd’hui investis par la grosse queue d’un routier inconnu. La vie a de ces facĂ©ties…La douleur s’est attĂ©nuĂ©e, ne reste que la gĂŞne de sentir cette queue dans mon intestin. L’homme se met Ă bouger. Il se retire presque puis me rĂ©investit lentement. Je sens qu’il veut profiter de l’instant le plus longtemps possible. 300 € ! Il en veut pour son fric. Il accĂ©lère ses va-et-vient, essayant de profiter de toute sa longueur. J’accompagne mollement le mouvement. A un moment il sort entièrement de mon anus pour mieux le pĂ©nĂ©trer, sans douceur cette fois-ci. Mais mes chairs se sont assouplies probablement. Je n’ai plus de douleur et quasiment plus de gĂŞne. Ce n’est pas agrĂ©able, pourtant je suis excitĂ©e Ă l’idĂ©e que je me fais enculer par un inconnu et pour de l’argent. Je glisse une main entre mes cuisses et commence Ă caresser mon sexe vide. Mon partenaire continue Ă me pilonner le cul et je sens Ă ses mouvements de plus en plus rapides et Ă son halètement de locomotive qu’il est proche du plaisir. Je l’excite encore un peu plus en bougeant mes fesses, en les propulsant Ă sa rencontre et d’une voix enrouĂ©e je l’encourage :
– Vas-y dĂ©fonce moi avec ta grosse bite, dĂ©fonce mon cul
– Ah salope, ah salope, je viens, je viensMes doigts redoublent d’ardeur dans mon vagin et je sens le sexe du gros routier gonfler et exploser en moi. Son Ă©jaculation entraĂ®ne mon orgasme, fulgurant, qui me secoue des pieds Ă la tĂŞte. Nous restons un instant sans bouger, mon routier plantĂ© dans mon cul. Je sens son sexe diminuer de volume, puis il se retire et me mets une grande claque sur les fesses.
– Tu es la reine de la sodomie. La vache, 300 € pour la championne de l’enculage, j’ai fait une affaireJe prends cela pour un compliment et me rhabille. Lorsque je suis prĂŞte, il descend de son engin et vient m’ouvrir la portière. Et il me gratifie d’une nouvelle claque sur les fesses, amortie cette fois-ci par mon manteau.
– A la revoyure, ma belle…Je remonte dans ma voiture et la dĂ©marre. Pendant qu’elle chauffe je sors ma culotte de ma poche et me contorsionne pour l’enfiler. Puis je change d’avis, la retire et la jette dans la boite Ă gant.
Je compte les billets : 500 €. C’est plus que mes parents m’auraient prĂŞtĂ©, plus que ce dont j’ai besoin pour le loyer. Pas besoin de subir ma vipère de belle-sœur. Je retourne chez moi me coucher.Le lendemain matin le tĂ©lĂ©phone me rĂ©veille trop tĂ´t. C’est ma belle-sœur
– Qu’as-tu fait hier ? Nous t’attendions chez les parents !Gros reproche dans la voix…
– J’ai Ă©tĂ© me faire enculer par des routiers…Silence choquĂ©, puis :
– Ce n’est pas la peine d’ĂŞtre vulgaire
– La vĂ©ritĂ© n’est jamais vulgaire et pour rebondir il faut savoir toucher le fond.Je raccroche. Je le sais, je vais trouver du boulot, arrĂŞter de boire, faire un rĂ©gime. La vie m’appelle…
Justinsolo a Ă©galement publiĂ© son rĂ©cit coquin sur notre site d’histoires intimes : http://www.histoires-intimes.com/toucher-le-fond-1614.htmlPartagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter