Des histoires simples et véridiques. Une tranche de vie d’un type normal, pas Quasimodo ni Clooney mais juste un mec avec ses envies, ses aventures et ses fantasmes. Je m’appelle Franz, je viens de Suisse et j’ai 30 ans.Chapitre -1- Torride soiréeQuand cette histoire a commencé, j’avais tout juste 20 ans. À cette époque je vivais depuis près de 3 ans « une histoire d’amour » avec Mireille. Une vie sympa faite de sorties souvent arrosées, de joints entre potes, de sport, d’études, de boulot pendant les vacances et bien sûr de sexe.Ma vie sexuelle était déjà très riche même si mon expérience se limitait à une première copine durant des vacances outre-atlantique. Pour ma copine (dont j’étais le premier amant) et moi ce fut un dépucelage et deux semaines « d’apprentissage ». Mireille était une brunette, ni maigre ni grosse avec un visage d’ange cachant un tempérament torride.Nous avons donc découvert le sexe ensemble ce qui avait créé une grande complicité dans nos rapports et dans notre manière de découvrir nos corps. Je peux vous dire que Mireille n’avait pas de limite tant qu’elle n’avait pas atteint le 7ème ciel, rien ne la rebutait. Malgré notre jeune âge, nous avions déjà goûté à tous les plaisirs dit «classiques : Mireille était une experte en fellations et je la faisais jouir très souvent avec ma langue ou simplement mes doigts. Il n’y avait pas d’interdits comme la sodomie, l’utilisation d’objets tel que gode ou menottes, visionnement de films pornos, etc…. Mireille se promenait souvent avec des boules de Geishas et il nous arrivait de prendre notre plaisir dans des lieux des plus divers. En Bref une vie sexuelle « parfaite » dans laquelle, malgré notre court tableau de chasse, nous avions surtout appris à donner et surtout à faire jouir notre partenaire sans retenue. Mireille était abonnée aux orgasmes multiples et moi à des jouissances plus que journalières.Malgré cette apparente perfection, les démons de la découverte ou plutôt de la tentation, allaient me frapper de plein fouet.Nous étions au début de l’été, un samedi soir, et une grande fête se déroulait dans la ville voisine. Mireille m’avait quitté pour rentrer plus tôt chez elle et je me retrouvais, bien imbibé d’alcool, avec quelques potes. Nous passions de stands en stands, appelés par des amis, buvant de nouveaux cocktails au grès de nos envies.Au passage d’un stand j’entendis crier mon nom. Me retournant je me retrouvais en face d’une ancienne copine de classe étudiante à Paris et de sa petite sœur. Une bise à Nathalie, une bise à Charlotte, je venais d’embrasser le diable mais ne le savait pas encore.La conversation ne dura pas longtemps avec Nathalie, appelée par d’autres copains. Je me retrouvais à discuter seul avec Charlotte, mes potes m’ayant lâché. Comment décrire Charlotte sans tomber dans les stéréotypes : jeune fille d’à peine 18 ans, blonde comme le blé, bronzée comme une fille du sud, mince à souhait et une paire de seins à damner un ange. Je la connaissais « cette paire de rêve » pour l’avoir souvent contemplée à la piscine. Charlotte comme sa sœur s’adonnaient au monokini depuis longtemps, chose d’ailleurs normale en Suisse. J’avais donc eu loisir d’admirer leurs corps et en connaissais les magnifiques « atouts ». Pour moi ces deux sœurs avaient un parfum de rêve et d’inaccessibilité. Comme quoi on peut lourdement se tromper dans la vie.Charlotte comme moi-même d’ailleurs avions passablement bus ce soir-là. L’alcool n’est peut-être pas un grand aphrodisiaque mais il supprime les inhibitions, c’est certain. Rapidement notre discussion vira sur nos vies respectives, nos amours et même notre vie plus personnelle pour ne pas dire sexuelle. Une partie de drague pas très subtile mais réciproque. Je découvrais une Charlotte délurée me draguant sans retenue surtout voyant que je répondais à ses avances. Nous partîmes dans de grandes théories sur la fidélité, les découvertes, la vie trop courte, etc. Une liste non exhaustive d’excuses pour cacher nos réelles envies.Pour finir par décider de nous revoir, seul, pour faire « mieux connaissance ». Je n’y croyais pas et acceptant « le défit », je lui proposais tout de suite de se retrouver lundi soir chez moi, sachant que la maison serait déserte, mes parents en vacance et mon frère en camp d’entraînement. Le plus fou c’est qu’elle accepta avec un sourire qui en disait long sur le but de la soirée de lundi. Par contre elle refusa de me suivre ce samedi soir car elle estimait, à juste titre, que notre niveau d’alcool avait atteint des sommets peut recommandable pour une nuit d’amour.Dimanche fut une longue journée, avec en plus une gueule de bois terrible. Mireille allait bien mieux que moi et avait décidé que la journée n’allait pas être perdu juste pour cause d’un trop plein d’alcool.A plus de 2 heures l’après midi, elle décida de me réveiller comme j’adorais, avec une fellation. Hum ce qu’elle suçait divinement. Léchant d’abord mon sexe de haut en bas, aspirant le gland pour le faire durcir, me léchant les couilles et égarant même parfois sa langue sur mon anus. J’avais peut-être mal à la tête mais je me retrouvais très vite avec une belle érection et prêt à jouir. Mireille me connaissait assez pour savoir quand arrêter et me garder en pleine forme pour sa propre jouissance. Me sentant réveillé, Mireille se retourna et vint se positionner sur moi, me présentant son cul et son sexe épilé déjà bien humide. Je ne me fis pas prier et commençai à lui lécher la chatte, goûtant à son doux nectar, lui léchant les lèvres, aspirant son clitoris et lui caressant même parfois son joli petit anus. Elle n’en demandait pas plus et tout en continuant à me sucer, elle commença à jouir dans cette merveilleuse position du 69.Mireille sentant son plaisir arriver, se retourna et vint une nouvelle fois me présenter sa petite chatte aux lèvres gonflées par le désire. Cette fois elle me dominait, se caressant les seins, les tirants, les pinçant tandis que je continuais à lui lécher le clitoris, un doigt dans sa chatte et un autre caressant son anus. Elle ne tarda pas à jouir, me couvrant le visage de sa mouille.Moi j’étais comme fou. Mireille qui jouissait sur mon visage sans retenue, la bite bien bandée et surtout des images de Charlotte et des souvenirs de notre discussion de la veille plein la tête.Lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle, je la fis basculer, la positionna en levrette, et présenta ma bite devant son anus. Comprenant ou je voulais en venir, Mireille se contorsionna pour saisir le tube de gel posé à portée de main à côté de mon lit. Même si elle appréciait beaucoup la sodomie, elle avait toujours besoin d’un peu de gel pour commencer. La voyant prête à s’offrir à moi, je glissais d’abord mon sexe dans sa chatte trempée. Quel délice de rentrer dans cet antre « bouillant », trempée de son dernier orgasme, les lèvres gonflées par le plaisir. J’étais loin d’être apaisé et la vue de son superbe cul me ramenant à d’autres images totalement obscènes de Charlotte dans la même position.J’allais jouir tant l’excitation de cette future aventure était grande. Saisissant le tube de gel, je glissais une noisette sur l’anus de Mireille en la caressant un peu, tout en couvrant ma bite d’une capote. Je replaçais mon sexe devant ce petit œillet et m’enfonçais dans ses entrailles sans retenues. Mireille ne put empêcher un petit cri de douleur. Je n’allais pas être long à jouir et je faillis craquer quand je sentis la main de Mireille se poser sur sa chatte et commencer à se caresser. Mireille avait bien sentit que j’étais déchaîné elle voulait aussi jouir avant que je craque.Sentant que je ne contrôlais plus rien je me retirai de son anus, la força à se retourner une nouvelle fois, me positionna devant sa bouche, je retirais la capote et me saisis de ses seins pour une rapide branlette espagnole. Mireille ne comprenait pas vraiment ma soudaine rapidité et ma volonté de jouir dans cette position mais me laissa faire, se caressant toujours la chatte afin de jouir avec moi.Je jouis très fort et très longtemps entre ses seins, lui couvrant le visage de foutre tandis qu’elle jouissait sous l’effet de ses caresses. Je m’écroulais à côté d’elle, épuisé, le mal de crâne de retour.Je venais de jouir comme un dingue avec Mireille mais la tête pleine d’images des plus osées avec Charlotte. Je m’imaginais les même positions, lui lécher la chatte, la faire jouir avec ma langue, elle me suçant, moi la prenant en levrette avant de la sodomiser puis de jouir entre ses seins si gros. Je ne pratiquais pas souvent la branlette espagnole avec Mireille. Elle n’avait pas des seins fait pour cela, et si aujourd’hui j’avais voulu jouir comme cela ce n’était dû qu’aux images de Charlotte me trottant dans la tête.Je réalisais que tout les différenciait. Mireille à la peau claire presque blanche, Charlotte éternellement bronzée. Mireille avec ces rondeurs, très sexy il est vrai, et ses petits seins, Charlotte mince avec sa poitrine incroyable. Mireille brune, Charlotte blonde. Mireille et son visage d’ange, Charlotte et ces moues aguicheuses. Bref de vrais contraires.Le lundi fut une longue journée de travail. J’avais la tête ailleurs, m’inventant des scénarios des plus chauds au fil des heures. De retour à la maison j’appelais Mireille pour encore une fois lui expliquer que ce soir on ne se verrait pas car il faillait que je récupère du week-end. Une vile excuse pour une soirée des plus prometteuse.Je tournai en rond dans la maison ne sachant pas comment passer mon temps avant l’arrivée de Charlotte. J’avais, dans un soin de perfection, contrôlé que tous « les lieux » de potentiel débauche soient clean, j’avais des capotes dans ma poche et surtout un début d’érection qui déformait mon short chaque fois que je pensais à Charlotte.J’avais demandé à Charlotte d’arriver par le jardin afin de ne pas se faire voir par mes voisins ou d’éventuels amis d’Mireille. J’étais près à faire les plus grandes folies avec Charlotte mais mon esprit gardait une peur d’être découvert et de perdre Mireille. . Ce petit « extra » au scénario donnait une nouvelle touche d’interdit supplémentaire.Elle arriva juste à l’heure par le jardin, se glissant directement dans ma chambre.J’étais fébrile comme jamais et ne trouvais pas mes mots lorsque je réalisai qu’elle était la, devant moi, comme prévu, prête à tout, arrivant chez moi pour une seule raison, le sexe. C’était complètement fou et irréaliste de vivre une telle aventure et de s’imaginer que Charlotte était venue directement chez moi uniquement pour coucher avec moi car au vu de notre discussion du samedi soir, il ne faisait pas de doute qu’elle voulait du sexe, seulement de sexe.Charlotte avait soigné sa tenue qui la rendait sexy au plus haut point. Une blouse blanche largement ouverte laissant voir ses seins encore plus gros serrés dans un soutien-gorge noir, un pantalon de daims super moulant, et des bottes lassées presque jusqu’au genoux. Une bombe mais aussi mal à lèse et tendu que moi.Décidé à faire le premier pas je m’approchai d’elle, et déposai une doux baisé sur ses lèvres, une main posée sur sa nuque. Elle soupira d’aise et me retint la tête lorsque je voulus me retirer. Me saisissant à son tour la nuque avec ses deux mains, elle recolla ses lèvres sur les miennes et m’offris un super « french kiss ». Plus le baisée durait plus elle se colla à moi, pressant ses seins sur ma poitrine et son entre jambe contre mon sexe qui commençait à bander. Impossible de cacher mon excitation habiller seulement d’un short.Me lâchant finalement la nuque, Charlotte ne laissa rien paraître même si elle avait parfaitement vu et sentit mon excitation. Un sourire coquin sur le visage, elle me dit simplement qu’elle mourrait d’envie de m’embrasser samedi passé et que les deux jours à attendre l’avaient rendue impatiente. La glace était définitivement brisée et la soirée commençait sur d’excellentes bases.Je lui proposai de visiter la maison, avec comme arrière pensée de la laisser décider où elle désirait que nos ébats commencent. Ma chambre était située au rez-de-chaussée avec une salle de bain et la sortie sur le jardin. Le premier étage comprenait le salon et la cuisine et le second trois chambres et une salle de bain. Charlotte s’assit sur les marches d’escalier et commença à enlever ses longues bottes. Je protestai, arguant qu’elle était vraiment très sexy avec de telles bottes. Me lançant une œillade coquine, elle me dit que rien ne l’empêcherait de les remettre plus tard mais elle ne voulait pas salir la maison et de toute manière ne pourrait enlever son pantalon avec les bottes. Le message était plus que limpide.Les bottes enlevées je lui proposai de monter au premier étage et la suivit dans l’escalier. Quelle vue se pressentait à moi ! Ses superbes fessent moulées dans son pantalon de daim, se balançant juste devant mon nez. C’était sans équivoque un appel au sexe. Je me permis une remarque concernant la superbe vue qui se présentait à moi et lorsque ma main se posa sur cette croupe de rêve pour une intrépide caresse, Charlotte se retourna, me souris et me demanda si son pantalon me plaisait et si j’en aimais la matière. Que répondre à ça ? Je rougis bêtement surtout sentant son regard toujours posé sur mon entre jambe. Pour reprendre ma contenance, je lui répliquai qu’un tel « joli cul » s’accommoderait de n’importe quel pantalon et que j’espérais découvrir un joli string pour ne pas gâcher une telle beauté.Arriver dans le salon, Charlotte, toujours aussi espiègle, me répondis que je n’avais qu’à vérifier par moi-même et qu’ayant perdu ses bottes au premier étage, elle pouvait perdre le pantalon au second et sûrement le reste au troisième. Je ne me le fis pas dire deux fois, et la saisissant par la taille je l’emmenai sur un des canapés du salon et tout en l’embrassant, commença à ouvrir son pantalon. Ma main s’égara un instant sur sa petite culotte irradiant une chaleur des plus prometteuse. Son pantalon trop serrer ne me permettant pas de réelles caresses, je me dégageai de son étreinte et entrepris de lui enlever. Je me retrouvai ainsi avec Charlotte assise sur un canapé, en petite culotte, très petite comme je pouvais le constater avec plaisir, me souriant coquinement. Je me rassis rapidement et elle vint directement se recoller à moi pour reprendre le baisé interrompu par cet effeuillage.A peine je reposais la main sur sa culotte, que Charlotte écarta un peu les cuisses se livrant à mes caresses impatientes. Je ne me fis pas prier et commençai à la caresser promenant mes doigts sur son sexe toujours couvert par sa culotte. Parfois ma main s’égarait sur sa cuisse, un doigt se glissait doucement sous le fin tissu atteignant ses poils soyeux et touchant délicatement les lèvres de son sexe qui commençait à gonfler sous l’effet du plaisir. M’embrassant toujours avec fougue, son souffle devint plus court au fur et a mesure que mes caresses se faisaient plus précises et plus appliquées sur son sexe. Lorsque je fis descendre sa culotte jusqu’à ses genoux, elle quitta ma bouche et posa sa tête sur mon épaule me soufflant de chaud soupires sur la nuque tandis que ma main avait atteint son clitoris et le caressait avec fougue. Mon majeur se promenait maintenant sur son sexe trempé, s’enfonçant parfois dans sa chatte, caressant le reste du temps son clitoris dardé sous l’effet du plaisir.Les soupires de Charlotte se transformèrent au rythme de mes caresses en gémissements de plaisirs, puis rapidement en cris. Je le découvrais avec surprise mais Charlotte était le genre de femme à hurler son plaisir et elle ne s’en privait pas. Bien décidé à lui offrir une première jouissance avec ma main, je continuais de plus belle à la masturber lui arrachant des cris de plaisirs de plus en plus forts. Je bandais comme un dingue et j’ai bien cru que j’allais jouir dans mon short lorsque soudainement les cris s’arrêtèrent, les mouvements de son bassin également, et qu’elle se tendis comme un arc, jouissant comme une folle, trempant ma main comme jamais je n’avais senti une femme jouir et finalement laissant échapper un hurlement tout en retombant sur ma poitrine. Essouffler comme après un sprint Charlotte plongea son regard dans le mien, me souris, me dis merci et m’offrit un tendre baisée.Je n’en menais pas large et ma bite tendue à l’extrême me faisait presque mal tant le plaisir avait été proche. Il avait manqué de très peu que je jouisse sans même avoir été ou m’être touché.Son souffle repris, Charlotte réajustât sa culotte, se leva et regardant mon sexe bandé sous mon short, j’en rougissais toujours, me dis simplement qu’elle aimerait bien que la visite continue car il restait un étage. Me dépassant elle commença à monter lentement et langoureusement les escaliers me présentant une vue de son corps encore plus incroyable qu’avant. Un superbe string brésilien moulant, ou plutôt mettant en valeur son cul bronzé. Je rêvais éveillé. J’étais entrai de monter les escaliers dans ma maison derrière Charlotte en string et en chemise deux minutes après l’avoir fait jouir sur le canapé du salon, moins de trente minutes après son arrivée chez moi. Elle m’avait promis d’enlever d’autres vêtements au troisième étage et je m’imaginais bientôt découvrir d’autres merveilles de son corps.Arrivée en haut des escaliers, elle se retourna et m’apostropha en me demandant pourquoi je rêvais au milieu de l’escalier. Je ne pus m’empêcher de lui répondre du tac au tac, qu’avec un cul pareil il y avait de quoi faire rêver. Elle me sourit simplement et comme découvrant que nous étions arrive au troisième étage me dis qu’elle n’oubliait pas sa promesse et entrepris d’enlever sa blouse, laissant apparaître ses seins toujours serrés dans un superbe soutien-gorge noir. Je ne pus me retenir de lui demande de l’enlevé et de remettre sa blousse ouverte sur ses seins. Sans pudeur ni retenue, elle exécuta ma demande et je me retrouvai deux marches en dessous de Charlotte, elle les mains sur les hanches, son regard dans le mien, en string encore mouille, on pouvait voir un joli petit rond de mouille sur son sexe, une blouse blanche non boutonnée cachant à peine ses seins, arrogants énormes, appelant les caresses, les bouts dressés et tendus sous le tissu de la blouse.Comme si rien ne se passait elle me demanda simplement si on pouvait continuer notre visite, se retourna et entra dans la première chambre. Encore rêvant je la suivit et me retrouvai tenant Charlotte par la taille, une main se baladant négligemment sur ses fesses nues, devant le grand lit de mes parents. Se retrouver dans la chambre de mes parents lui paraissait un peu étrange et elle me demanda de continuer la visite. Je la conduisis donc dans la chambre suivante et on se retrouva dans le bureau, chambre avec une grande table et un computer, les paperasses de mes parents dans des bibliothèques et une grande chaise de bureau avec des accoudoirs ouverts.Cette chaise me rappelait de torrides moments avec Mireille et me donnait de sacrées idées. Poussant délicatement Charlotte je la fis se retourner, je m’approchai d’elle, posa mes mains de chaque côté de ses hanches et fis délicatement descendre sa culotte jusqu’à ses pieds. Elle la shoota au loin et toujours me regardant dans les yeux se laissa tomber lentement sur la chaise. Toujours à genoux devant elle et la tenant par les chevilles, je la forçai à passer une jambe sous chaque accoudoir. Me lançant un regard coquin, elle se laissa faire sans hésitation. Je me retrouvais avec Charlotte nue, mis à part sa blouse toujours ouverte et ne cachant pas vraiment ses magnifiques seins, assise de manière obscène sur une chaise de bureau, le sexe ouvert et trempé avec les grandes lèvres encore gonflées par son dernier orgasme. Je devais sérieusement me contenir pour ne pas arracher mon short et la prendre sans attendre sur cette chaise.J’étais bien décidé à la faire jouir le plus de fois possible avant d’avoir mon premier orgasme. Les femmes ont cette chance de pouvoir jouir à répétition, il serrait dommage de les en priver. Toujours à genoux devant elle je me mis à remonter lentement entre ses cuisses, léchant et embrassant tantôt la jambe droite tantôt la gauche. Arrivé à ces genoux, j’avais une vue imprenable sur son sexe complètement ouvert. Des poiles blonds très bien taillés le recouvrait à peine. Coupé très court, son sexe semblait presque avoir été épilé tant les poiles restant étaient fin et blond. Adorant plus que tout les sexes imberbes, Mireille avait depuis longtemps complètement épilé le sien, je trouvais la chatte de Charlotte vraiment très « appétissante ».Mes mains continuèrent de remonter sur ses cuisses, ma bouche léchant toujours une cuisse après l’autre faisant accélérer la respiration de Charlotte, preuve de son assentiment. Mes mains ne s’arrêtèrent pas sur son sexe même si je me permis de passer mes pouces sur ses grandes lèvres trempées et gonflées tandis que ma bouche allait se coller sur ce fruit gorger de plaisir. Tandis que mes mains continuaient leur monté pour attendre, enfin, ces superbes et énormes seins, ma langue commença à lécher et ma bouche à mordiller et aspirer son sexe ainsi offert à ma gourmandise.Les deux mains occupées à caresser ses seins, objets de rêve enfin atteint, la bouche coller à son sexe, j’emmenais une nouvelle fois Charlotte sur les chemins du plaisir. Comme lors de mes premières caresses, le souffle rapide, puis les gémissements de Charlotte se transformèrent rapidement en des cris de plaisir. Aussi impudique dans sa manière de se montrer nue et de prendre son plaisir, Charlotte était extravertie dans sa manière de jouir et ne se privait pas d’hurler son plaisir pour ma plus grande joie et un peu de crainte d’avoir des voisins entendant nos ébats. Ma bouche continuait son manège, tantôt léchant la chatte de bas en haut, lapant sa cyprine, tantôt m’arrêtant sur son clitoris, le mordillant, le léchant et le suçant, arrachant sous ces caresses des cris toujours plus perçant à Charlotte.Ces deux mains posées sur ma tête elle me caressait les cheveux, parfois poussant mon visage sur son sexe, parfois le retirant tant le plaisir était violent surtout quand j’aspirais son clitoris gorgé de sang. Charlotte était prête à exploser, le souffle rapide, des cris sortant de sa bouche à chaque nouveau coup de langue, son bassin essayant de se coller toujours plus à ma bouche et à ma langue inquisitrice quand soudain il y eut un instant de calme puis un immense cri et tout son corps comme projeter contre moi, arracher au fauteuil par l’orgasme. Son bassin se colla encore une fois à ma bouche, trempée par un tel flot de jouissance, puis elle se rabattit dans le fauteuil, comme abattu après un effort trop grand.Je me redressai, quittant son sexe, réellement suintant de mouille, et approchai mon visage de ses seins. Mes mains ne les avaient pas quittées et ils étaient encore plus gros car gonflés par le plaisir, avec des tétons durs et dardés, appelant de nouvelles caresses. Ma bouche encore couverte de cyprine se posa sur chacun d’eux, mordillant les tétons, les léchant, suçant comme un nouveau né. Je n’avais jamais touché ou plus encore lécher de pareils seins, énormes mais ferme, gros mais élastique. Charlotte encore sous le coup de son dernier orgasme me caressait doucement la tête, se laissant lécher et caresser les seins en tirant un doux plaisir et en gémissant doucement.Non lassée par ces caresses mais réalisant que depuis que nous avions commencé notre petit jeu je n’avais pas encore eu droit à beaucoup d’attention, Charlotte me poussa la tête vers son visage, m’embrassa longuement, puis me murmura à l’oreille que maintenant c’était à moi de jouir. Joignant le geste à la parole elle posa sa main sur mon sexe bandé comme jamais et toujours « enfermé » dans mon short. Ces caresses furent un déclique pour moi et j’eus grand peine à ne pas jouir lorsqu’elle glissa sa petite main dans mon slip et touchât pour la première fois ma bite.Charlotte me repoussa, ressortit ses jambes toujours coincées dans les accoudoirs du fauteuil, s’assit au bord du fauteuil et entreprit de me déshabiller sans trop d’hésitation. Je me retrouvai très rapidement nu devant elle, le sexe dressé, appelant les caresses tant attendues. Charlotte entreprit de me caresser lentement, me masturbant de la main droite tandis qu’elle me caressait les testicules de la main gauche. Quel délire sexuel, Charlotte nue, encore tremblante de son second orgasme, assise sur une chaise les jambes impudiquement ouvertes ne cachant rien de sa chatte, me branlant à deux mains la bite juste en face de son visage.Je n’allais pas tenir longtemps c’était certain surtout lorsque j’entendis Charlotte me dire d’une fois suave, qu’elle allait me rendre mon plaisir au centuple et me faire d’abord jouir avec ses mains comme moi au préalable. Elle me demanda de la regarder tandis qu’elle continuait à me branler, touchant parfois juste le bout de mon gland avec sa langue ou parfois faisant touchant ses tétons tendus avec mon sexe.Les yeux plongés dans les siens je sentis mon plaisir monter, arriver par flot. Charlotte, toujours la main gauche sur mes couilles senties également que j’allais jouir, ralentis le mouvement de son autre main léchât une dernière fois mon sexe écarlate par tant de plaisir et d’attente et dirigeât mon sexe sur ses magnifiques seins. Je jouis longuement entre ces seins, elle me branlant doucement un petit sourire aux lèvres, admirant son excellent travail.Tandis que je jouissais encore, chancelant sur mes jambes devenues du coton, Charlotte lécha mon sexe, le nettoyant avant de le lâcher et de se caresser les seins couverts de sperme. En rigolant elle se leva, vint se coller à moi, toujours pantelant, et m’embrassa, me faisant goûter mon sperme, les seins poisseux collant sur ma poitrine couverte de sueur par tant de plaisir.Charlotte la perverse, Charlotte la dévergondée, Charlotte l’impudique qui n’avait pas hésité à se mettre nue devant moi et qui venait en moins d’une heure de jouir sous mes caresses par deux fois et de me faire jouir en me branlant sur ses seins, me susurra à l’oreille que pour mon deuxième orgasme, avec sa bouche pour me rendre la pareille, il me faudrait lui apprendre car elle n’avait jamais fait de fellation.Je la regardai surpris surtout au vue de ce qui venait de se passer, mais toujours rieuse et impudique, elle m’expliqua qu’elle n’avait jamais léché un sexe d’homme pas plus que goûté ou avaler du sperme ou encore eu le corps couvert comme aujourd’hui. Ces dernières minutes avaient été remplies de nouveautés pour elle. Elle m’expliqua qu’elle n’était pas vierge mais que ses expériences s’arrêtaient à des coucheries des plus banales.J’avoue ma surprise mais également ma « gourmandise » car avec de telles dispositions, l’apprentissage allait être un sacré plaisir et la soirée ne faisait que commencer.redconsulting@hotmail.comA vos emails et la suite arrivera bientôt. Merci