— Hmmmm, je dois t’avouer que cela m’émeut quelque peu !— Vraiment, à quel point, ma chérie ?— Eh bien, je suis assise sur un banc du parc public à côté de chez moi et, en te parlant, j’ai glissé une main entre mes cuisses où c’est déjà bien chaud…— Ah ah ! L’envie te viendrait-elle enfin ?— Je l’ai toujours cette envie, tu le sais bien et je l’entretiens discrètement en ce moment, du bout des doigts sur le renflement de ma chatte. C’est vrai que j’ai très envie de baiser !— Ta voix tremble un peu en disant cela, te branlerais-tu sur ton banc malgré les gens qui passent ?— Pour l’instant, je suis seule dans le secteur, mais effectivement, je roule mon clito sous mon string et je sens la jouissance mouiller ma chatte.— Tu devrais passer à quelque chose de plus sérieux. Que risques-tu à reprendre contact avec le type, ne serait-ce que pour faire plus ample connaissance ?— J’hésite ; oui, j’ai envie, mais j’ai toujours peur de trouver quelqu’un de connaissance. Quand je baise un coup vite fait avec un inconnu, je suis sûre de ne pas le connaître ; tandis que là …— Demande à ta chatte ce qu’elle en pense !— Oh, ça, ce n’est pas la peine, elle est toujours prête, la coquine. S’il fallait que je l’écoute…— Justement, fais-le pour une fois, ne serait-ce que pour ne pas la décevoir.— … Bon, je vais essayer, mais n’imagine pas que cela va se faire comme ça. Je vais être très prudente.— Bien sûr, ma chérie, fais-le… à ta main, si elle est encore libre de mouvements.— Là , maintenant ? Oui, elle s’est calmée et je vais devoir me « finir » à la maison avec mon jouet préféré.— Mais avant, reprends contact avec ton admirateur et, surtout, tiens-moi au courant !— Oui, je te le promets et je vais jouir en pensant à nous deux. Bisous sur ton gland. Quelques jours plus tard, un court message me parvient de Patricia : Je l’ai rencontré et n’ai pas été déçue ! Tant pis pour toi, na…Un peu interloqué par la brièveté et le ton du SMS, j’ai cherché à prendre l’attache de l’homme afin qu’il me donne sa propre version de cette hypothétique rencontre. Ce fut fait aisément sur le site de rencontres en question et j’osai lui demander des nouvelles de la complice que je lui avais indiquée. Très spontanément, il répondit à mon message interrogatif.—  Hello ! Comment vas-tu et as-tu pu prendre contact avec ma belle coquine ?— Oui ! Ce fut un peu laborieux, car elle est très méfiante, mais nous y sommes parvenus. Nous avons d’abord conversé au téléphone et je dois dire que sa petite voix charmeuse m’a émoustillé.— N’est-ce pas qu’elle sait séduire avec tous ses moyens ?— Tu peux le dire, rien que de parler avec elle comme ça et je bandais déjà d’impatience. Heureusement, elle a accepté que nous puissions nous voir pour faire plus amples connaissance. C’est ainsi qu’elle m’a donné rendez-vous dans un café, au bord de la mer, un après-midi. Elle est arrivée habillée comme tu me l’avais décrite, classe, mais juste ce qu’il faut de sexy. Je me suis dit qu’elle voulait me tester et je me suis efforcé de rester zen… au moins au début. Ce n’est pas facile face à une si charmante femme sexagénaire, manifestement expérimentée et sensuelle.— Elle t’a fait le coup de ses jambes croisées sagement, je parie…— Exactement. Jolis genoux minces et bas, j’ai imaginé d’abord…, chevilles fines avec lanières des escarpins… hummm, un régal pour les yeux. Comme nous étions très proches, à une table sur la terrasse du café, j’ai tenté une légère approche avec mon genou et elle a répondu par un appui de sa cuisse. C’était encourageant.— Elle adore faire monter la tension comme ça, j’imagine très bien !— Tout en parlant de tout et de rien, en regardant ses beaux yeux bleus rieurs, j’ai posé une main sur sa cuisse et j’en ai ressenti la souplesse ferme. Mes doigts l’ont parcourue du genou à la hanche et elle m’a répondu en me faisant de larges sourires complices.— Aviez-vous du temps devant vous ?— Oui, j’avais pris mes précautions, tu parles ! Mais elle aussi et, quand je lui ai proposé une petite balade sur le bord de mer dans les dunes, elle a accepté avec entrain.— C’était bien parti, canaille !— Exactement. Nous avons gagné une zone couverte de buissons assez hauts qui poussent derrière la ligne de la dune, juste derrière la plage.— Je connais ; et nous y sommes déjà allés ensemble. Mais il y a parfois des voyeurs dans ce coin-là .— Eh oui, mais dans l’après-midi, on risquait moins d’être dérangés.— Parce que vous avez… ?— Bah oui, tu sais, je lui tenais sagement la main au début, mais, rapidement, elle s’est rapprochée et touchait ma hanche avec la sienne, si bien que je l’ai prise par la taille puis elle s’est tournée, de dos. Ça m’a un peu surpris, mais elle voulait juste que je la caresse de haut en bas, pendant qu’elle tendait son adorable cul contre moi. J’ai ainsi pu l’embrasser dans le cou tout en découvrant la forme de ses seins ; petits, mais sensibles, comme tu me l’avais annoncé ! Quand je lui ai pincé les tétons, elle a gémi de plaisir et a glissé ses deux mains entre nous deux pour me caresser la queue en même temps.— Ouahhh ! Tu l’avais séduite et elle aime aller vite alors.— Tu peux le dire, j’avais à peine une main sur son ventre, par devant, qu’elle ouvrait ma braguette et partait à la recherche de ma bite. Pendant ce temps-là , je mordillais ses oreilles et léchais son cou. J’ai adoré ! Toujours tournée devant moi, elle a sorti mon sexe et l’a caressé lentement de haut en bas, longtemps en serrant par moments, en glissant à d’autres. Comme tu me l’avais annoncé, elle est très douée et on voit qu’elle a l’habitude d’exciter pour faire jouir les hommes.— C’est aussi son plaisir personnel de sentir l’effet qu’elle produit. Cela l’amène presque à la jouissance, parfois.— En tout cas, là , elle a pris son temps jusqu’à ce qu’elle me dise à l’oreille, calmement, comme j’étais penché dans son cou : « il y a un mec qui nous observe, là -bas… » Effectivement, on apercevait un homme d’une cinquantaine d’années, à peine dissimulé derrière les buissons, à quelques mètres de nous. Manifestement, il se touchait la queue en observant notre couple. J’ai craint qu’elle soit effrayée et qu’elle veuille s’en aller, mais, au contraire, elle s’est retournée vers moi en me léchant la bouche et suçant ma langue et me proposa : « tu veux ? On va lui en donner pour son argent ! »— Ça ne m’étonne pas, car elle adore s’exhiber et exciter les mecs. Cela fait partie de ses plaisirs.— C’est ce qu’elle fit en glissant accroupie et, de manière que le type voie tout, elle a passé lentement sa petite langue tout au long de mon sexe, des couilles au gland, plusieurs fois tout en me branlant. J’ai failli éclater, mais elle sait y faire et interrompait son jeu quand il le fallait, si bien que j’ai réussi à me contenir plus longtemps. Pendant ce temps-là , le voyeur s’était approché silencieusement et, du regard, m’interrogea pour savoir ce qu’il pouvait faire ou pas. J’ai tourné doucement le visage de Patricia vers le mien et lui ai demandé. Elle m’a répondu sans hésitation : « On peut le faire à trois, si ça te dit. Moi j’ai envie, de toute façon. » Et elle replongea sur ma queue en avalant complètement mon gland.— Humm, cela me rappelle des séances avec elle. Décidément, elle t’a fait le grand jeu.— Tout à fait et c’est une sacrée suceuse, mais ça, tu le sais déjà . Elle m’a pompé longtemps en se caressant la chatte en même temps et elle jetait des coups d’œil coquins au mec pour l’exciter. Finalement, elle s’est relevée, m’a offert ses fesses en relevant sa jupe sur ses hanches et s’est tendue en arrière pour que je l’enfile. Le temps de passer un préservatif et elle avait fait signe au voyeur de se placer devant elle, penchée en avant qu’elle était. Quand j’ai glissé ma queue dans sa chatte brûlante et gluante de désir, elle s’est accrochée à la bite de l’autre homme et lui a fait une fellation !— Exactement comme on l’avait vécu avec un type, sur une aire d’autoroute, une autre fois ! J’imagine très bien la scène.— Cela a duré un moment et j’ai bien profité de son adorable petit cul, sans la sodomiser, car elle a souhaité réserver cela pour une autre fois… tant mieux, finalement ! Quand le type a été prêt à gicler, elle a retiré d’un coup la capote et l’a fait partir dans ses mains. Moi, j’en ai fait autant sur ses fesses et j’ai tout étalé avec ma queue. Elle ronronnait de plaisir !— Eh bien, dis donc, je suis comblé, moi qui souhaitais qu’elle se donne du plaisir avec un coquin, comme elle aime le faire. Je suis très content de savoir que vous avez bien commencé et que vous allez continuer.— Elle me l’a promis, à condition que je respecte scrupuleusement la confidentialité… sauf avec toi, évidemment !Peu après cet échange révélateur, j’interrogeai ma complice pour en savoir plus et, sans hésitation, elle me confirma en détail l’aventure… et nous avons joui ensemble au téléphone en même temps, cette fois-ci.