Bonjour à toi et bienvenue. Alors comme ça, il paraît que tu as envie de me faire l’amour ? Tu n’es pas le premier aujourd’hui, et tu te crois peut-être assez puissant pour cela ? Oui, c’est bien à toi que je parle, toi qui as choisi ma cabine. Dans ce club, parmi d’autres filles, tu avais le choix entre une jolie Asiatique spécialisée dans les cosplays, une mature rouquine incendiaire dotée d’un 90 D à la pose plus que suggestive, une superbe méditerranéenne qui a une posture féline avec un regard de braise ; mais à la place, tu m’as choisie, moi, jeune et jolie brune agenouillée sur un lit, ma nudité à peine cachée. Est ce mon grain de beauté juste sous mon œil droit qui t’a fait craquer ? Est-ce ma taille de guêpe ? Tu as déjà entendu parler de moi ? Ou est-ce à cause de ce regard coquin et du baiser que je lance en direction de l’objectif du photographe ? Non, ne réponds pas, ça n’a plus aucune importance désormais. Quoi qu’il en soit, je suis heureuse que tu m’aies choisie, et je pense que tu risques de parler de moi à tes amis ; enfin, à condition que tu tiennes le choc, parce que je n’ai pas envie que tu me fasses un arrêt cardiaque.Bon, alors puisque tu décides malgré tout de rester, je t’invite à t’asseoir. Mets-toi à l’aise et enlève donc ta veste, je t’en prie, car la température risque de monter très vite. Je vois que tu es habillé d’un costume intégral ; tu dois avoir une haute fonction pour être vêtu ainsi. Moi, j’ai opté pour quelque chose de plus utile : je porte un joli bustier blanc avec un porte-jarretelles amovible, et des gants montant jusqu’aux coudes avec le string assorti. Tu ne me trouves pas belle ? D’habitude, les mecs ont déjà sorti leur queue et commencent à se branler, mais toi tu continues à me regarder, à la limite de l’impassible. Tu veux relever le défi, jouer le jeu jusqu’au bout, on dirait ; seulement, tu ne sais pas à qui tu as affaire, et ça me plaît. Si je m’y mets sérieusement, je serais capable de te faire bander si fort que tu t’en évanouiras. Non ? Décidément, ton calme commence à me troubler, mais vu que je n’ai pas dit mon dernier mot, alors on y va.Je lance via la télécommande une musique d’ambiance qui me donne le rythme pour me déhancher sensuellement.Tu aimes ma façon de bouger pendant que je me déshabille très lentement ? Aujourd’hui, je me sens d’humeur coquine, alors attends ; je me colle un peu à toi, histoire de te faire réagir. Oooh, mais dis-moi, qu’est ce que je sens ? Tu m’as l’air d’être sacrément bien équipé… Pourquoi ne la sors-tu pas ? Toujours rien ? Très bien, alors je vais me frotter un peu à ta bosse, et on verra si tu ne réagis toujours pas.Dis, je ne sais pas si c’est la chaleur de la pièce, ton self-control, ma danse lascive, l’ambiance torride, toi ou tout à la fois, mais je dois admettre que tout cela commence à m’exciter. Tu ne me touches pas ; pourtant je sens que tu en meurs d’envie, n’est-ce pas ? Si je me caresse devant toi, là , je suis certaine que tu auras une réaction. Alors, je m’éloigne un peu de toi, me touche tout doucement les seins pendant que la danse continue, et je suis très surprise de m’apercevoir que tu ne fais que me sourire en me disant que je suis très belle, rien d’autre. Je me cambre, te présente mes fesses, t’invite à les caresser, les toucher, mais toujours rien, à part des compliments. Je t’ai sous-estimé, je dois bien l’admettre ; et maintenant que mon spectacle est fini, puisque tu t’es comporté en vrai gentleman, je t’offre un petit bonus, mais il faudra que cela reste entre nous, OK ? T’es génial.C’est moi-même qui ouvre ta braguette, et un vrai monstre en sort comme un diable sort de sa boîte. Oh bon sang, là aussi je t’avais sous-estimé et je dois bien admettre que ta queue me met en appétit. Puis-je la goûter ? Merci. Quand je la prends, je la sens chaude, palpitante, je sens ses veines saillantes, et si tu restes comme ça, tu vas vraiment finir par t’évanouir. Elle a une délicieuse odeur, elle est douce, ton gland est décalotté et le prépuce est déjà humide. Là , ça me plaît. Quand je la lèche, elle réagit ; je crois qu’elle m’aime déjà , et je peux t’affirmer que c’est réciproque. Tu m’excites à mort. Si ça continue, c’est moi qui vais te demander de me baiser, là , tout de suite. Non, je dois reprendre le contrôle de la situation, ça ne va pas du tout. Hmmm, ta queue a l’air si bien dans ma bouche…On dirait que je t’entends pousser des soupirs de satisfaction et, quand je te regarde, je vois ton visage déformé par le plaisir. Excuse-moi, je n’arrive pas à la prendre en entier, elle est bien trop grosse pour ma petite bouche. Pardon ? Tu voudrais que je me mette debout ? Entendu, si ça te fait plaisir, mais que comptes-tu faire ? Tu écartes mon string de tes doigts, mais sais-tu t’en servir, au moins ?Oooh, mon Dieu, je sens tes doigts chauds qui caressent mon petit abricot rasé et fondant de désir. La sensation est vraiment délicieuse, et je dois m’agripper à tes épaules puissantes sinon c’est moi qui risque de tomber. Oh, merde, moi qui t’avais pris pour un pervers qui aurait sorti sa queue au bout de 5 secondes à peine, je me rends compte que t’es un vrai expert. On dirait que c’est toi, maintenant qui déborde d’assurance. Je sens que ça monte rapidement ! Hem… Arrête, ou je vais t’inonder les doiiiiiigts, j’arrive au point de non-retouuuur… Haaaaaaaaannn, mon Dieeeeeeuuuuuuuuuuu… J’ai le souffle coupé, tu m’as fait jouir comme une bête, et je tiens à ce que tu aies toi aussi ta part de plaisir, mais uniquement avec une protection, j’insiste. Tu en as une ? Bravo, tu es un mec responsable.Laisse-moi la sortir et te la mettre. Voilà , tu es prêt pour le bonus qui t’a été promis. Je vais maintenant te chevaucher en position assise, mais en restant dos à toi. Hmmm, ta queue me pénètre, je la sens si bien, elle est fantastique, et tu mets les mains sur mes hanches afin de m’imprimer le rythme. Tu me prends avec force, dis donc : je n’ai jamais vu un mec aussi fougueux que toi. Non, je n’ai pas le droit de t’embrasser, mais je dois admettre que ce n’est pas l’envie qui m’en manque, crois-moi. Dans cette position, j’ai l’impression que ta queue prend plus de volume ; c’est incroyable, je ne vais pas tarder à avoir un autre orgasme…Ça y est, je perds les pédaaales… Haaannnn haaaaaaaaaannnnn… Je ne maîtrise pas mes gestes, je suis prise de convulsions, ma tête est vide, ma bouche est sèche, et je te sens te retirer tout doucement. Le souffle court, je me rends compte que nous avons joui simultanément. Quel bonheur… Tu m’as rendue dingue !Laisse-moi te retirer ta capote pour la jeter, et tiens, voilà un mouchoir pour t’essuyer. Eh bien, je suis ravie que tu sois passé me voir. Surtout, reviens quand tu veux, tu es le bienvenu ; et peut-être que je demanderai que l’on te fasse un prix pour la prochaine visite. Et avant que je n’oublie, n’hésite pas à parler de moi à tes connaissances. Dernier petit bonus pour toi, je t’envoie un gros bisou comme sur ma photo. À très bientôt, j’espère. Bye-bye !