Plus que quelques centaines de mètres, je m’enfile dans une petite ruelle étroite, avec deux rangées de voitures qui échappent de peux à mes rétroviseurs. La pression se fait de plus en plus insupportable. Un virage à gauche, suivi d’un autre à droite, si je ne trouve pas à me garer tout près je ne survivrai pas. Il manquerait plus que ça, déjà qu’il a fallu que je sois coincé dans un embouteillage monstre justement ce soir. Ça m’apprendra à ne pas être plus prévoyant et à anticiper ce genre de choses. Miracle, un place juste devant la porte, j’exécute le créneau le plus rapide de ma vie, avec appui sur les deux infortunés véhicules de devant et derrière, mais il y a urgence, et en plus les pare-chocs, il faut bien que ça serve à quelque chose.Je me précipite dans l’immeuble, et bien sûr que l’ascenseur n’est pas là. En pestant je me jette dans la cage d’escaliers, au moins ça me distraira et m’évitera de penser à cette torture qui dure depuis tellement longtemps il me semble. Plus que trois étages, à grandes enjambées je les survole en même temps que je prépare la clé. Je n’ai pas droit à l’erreur, ne serait-ce qu’une seconde de perdue que ce serait trop. Combien de fois j’y ai pensé depuis plus d’une demie-heure coincé sur mon siège de voiture, aussi bien les Grosses Têtes que Fun Radio ne m’ont pas aidé pour dévier mon attention obsédante. Si j’avais été plus courageux, et moins incivique et pudique surtout, je me serais arrêté en plein milieu de l’embouteillage, j’aurais traversé les quelques voies, rejoint le trottoir, et j’aurais provoqué un raz de marée dans les égouts municipaux rien qu’en soulageant ma vessie. J’imagine le concert de klaxons …J’arrive sur le palier, ouvre prestement la porte de l’appartement. En parcourant les quelques mètres jusque vers la salle de bains – WC, j’explose les boutons de ma braguette et extirpe déjà mon engin, fin prêt pour la délivrance sublime. Ahhhh, il y a quelqu’un déjà qui est assis sur les toilettes, ma tendre et chère épouse. De me voir surgir aussi brusquement, le sexe horizontal bien que fort mou pris entre trois doigts, la fait hurler de rire. Contrairement à elle, je suis d’un naturel fort pudique, surtout aux toilettes. Dès le premier jour ou elle et moi sommes devenus intimement intimes, il y a quelques années déjà, elle n’hésitait pas à se soulager en face de moi. Pire encore, si je n’étais pas justement là en ce moment, elle réussissait à m’appeler pour me poser je ne sais quelle question, je me suis toujours dit que ça devait lui plaire quelque part. Moi durant tout ce temps, elle ne m’a jamais vu en train de faire pipi, à tel point que plusieurs fois elle m’a demandé comment je faisais ! Même petit garçon et ensuite adolescent, j’ai toujours rechigné à jouer à celui qui pisse le plus loin, au sens propre du terme, même si ces jeux semblaient toujours avoir un effet dévastateur auprès des filles présentes. Mais comme ce n’était jamais les filles qui me plaisaient le plus qui en riaient le plus, j’étais en accord avec moi-même.Malgré l’urgence du moment, le rire de mon épouse a eu un effet sinon dévastateur, inhibant. Que faire, je me sens incapable de me soulager ailleurs dans le lavabo ou la baignoire ? Sa présence m’en empêcherait de toute façon. Jamais à court d’idées (c’est aussi ce que j’aime chez elle), ma chérie reprend un air sérieux, et tout en restant assise, recule ses fesses sur la lunette des WC et écarte ses jambes. Je la vois se cambrer en avant pour faire contrepoids. En même temps, elle croise ses bras sur le bas de sa blouse blanche et se met à la remonter plus haut que ses seins. Quelle vision extraordinaire que sa poitrine projetée en avant, maintenue seulement par son soutien-gorge, son ventre plat et bronzé et enfin sa touffe noire tout en bas. Et tout en haut, c’est son superbe visage, aux traits fins et parfaits d’une Sud-Américaine typée, un regard lascif avec une grande bouche aux lèvres charnues qui me regarde et qui me murmure: « Vas-y, je t’ai fait un peu de place ». Devant cette situation, ma pudeur disparaît presque instantanément et je suis bien décidé à me laisser aller dans l’espace qu’elle m’a réservé. Pour une première, elle ne sera pas déçue, elle saura enfin que je ne peux faire mieux que n’importe qui d’autre (quelle tristesse!). Le seul inconvénient, mais de taille (!), c’est que trois doigts ne suffisent plus maintenant pour contenir mon truc qui se met tout doucement à tressauter. De plus pour être sûr de ne pas manquer la cible, je dois m’approcher à quelques centimètres de son visage, ce qui n’aide en rien pour mon problème de volume. Pourtant la pression est telle que je sens que le liquide tente par tous les moyens de forcer le passage et de s’opposer à mon désir grandissant.Ca y est, une première vague a passé l’obstacle et jaillit sur le ventre de ma bien-aimée, absolument ravie ! Je bloque tout, tente de me concentrer et de viser plus bas. La prochaine vague ne fait pas mieux que d’inonder sa touffe noire. Je vois les gouttes sur sa toison merveilleuse, elles tombent finalement en glissant lascivement le long des poils. Là aussi j’ai le réflexe stupide d’arrêter tout pour recommencer. Grave erreur, car cette fois le désir a pris le dessus. Décuplé qu’il était par l’insolite de cette position, et par mon sans-gêne d’arroser mon amour par autre chose que ma semence. Elle n’a qu’à faire un petit mouvement vers l’avant avec sa bouche pour happer mon gland, encore tout mouillé de ma pisse. Elle me suce goulûment pendant quelques secondes (ça c’est encore une autre de ses qualités, c’est la meilleure suceuse que j’aie connue de toute ma vie, je n’en ai pas connu beaucoup, mais je suis sur qu’elle est la perfection!). Mais soudain, elle arrête, et me dit sur un ton de reproche coquin que j’aurais dû finir de la mouiller avant. Et aussi qu’elle veut me voir finir. J’ai beau lui rappeler ses cours d’éducation sexuelle ainsi que l’incompatibilité entre son désir et mon état du moment, mais elle ne veut rien entendre.Elle se lève, et prépare la baignoire pour se couler un bain. Je n’ai qu’une seule possibilité, comme je ne veux en aucun cas me caresser devant elle pour me faire jouir, c’est de penser à autre chose, en espérant que ça ira vite. Ce n’est pas trop difficile en fait, vu la tension dans mon bas du ventre, il me suffit de penser quelques minutes à ma journée harassante pour que je sente les tressautements de ma queue vers le bas. L’infâme, c’est le moment qu’elle choisit pour se déshabiller entièrement pour entrer dans la baignoire, et dans un rire étouffé, elle frotte négligemment son cul à plusieurs reprises sur mon paquet qui ne tarde pas à reprendre de l’ampleur. Tout est à refaire, je lui dis que ce n’est pas du jeu, mais elle n’en a cure, au contraire, ça l’amuse. Pendant qu’elle se couche dans la baignoire pleine de mousse, je me décide à retire pantalon, chaussures, chaussettes et caleçon et je m’assieds en face d’elle sur le rebord de la baignoire, une jambe dans l’eau, l’autre au dehors. Hors de son atteinte, du moins j’espère qu’elle n’aura pas le toupet de venir me taquiner de nouveau avec ses pieds (en d’autres circonstances, elle m’a déjà fait jouir plusieurs fois rien qu’avec ses pieds délicieusement habiles pour me titiller gland, verge et testicules). Non, elle n’a pas cette audace, et pour de bon je commence à me soulager enfin, mon sexe pendant, le gland caché dans la couche de mousse. Je ne peux m’empêcher de gémir tant la souffrance était grande et je vois que mon amour y prend grand plaisir. Au moins elle ne me voit pas faire comme tout le monde, le mythe reste sauf !Libéré de cette contrainte, l’esprit plus entreprenant, je me mets à la contempler et à la défier du regard. Ainsi elle a voulu me faire souffrir, ma vengeance sera terrible, je vais lui donner de grands coups de queue dure sur son corps, gober ses tétons, et si elle fait mine de résister, je lui assène ma langue vigoureuse sur sa chatte pour que cette dernière périsse noyée ou étouffée. Ensuite, de mes mains impitoyables je lui immobilise le bassin, et je passe violemment outre ses lèvres en comprimant son clitoris, et je m’enfonce au plus profond de son puits d’amour, avec mes couilles qui battent encore son cul, et je vais ressortir, revenir, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle demande grâce par ses cris. Alors seulement à ce moment, lorsqu’elle implorera haut et fort mon pardon, que son corps sera en proie à de furieux spasmes, que sa peau sera rouge cramoisie, qu’elle criera telle une possédée, alors là seulement je me laisserai jouir au plus profond d’elle pour mettre fin à ses souffrances. Je sais que je suis particulièrement dur avec elle, et que j’ai tendance à lui faire subir ce châtiment souvent, avec des variantes toutefois. Le plus étonnant est qu’après toutes ces années, elle ne semble pas m’en vouloir trop. Pour revenir à l’histoire, je suis donc assis, les jambes bien écartées, le sexe long et large, mais bien flasque comme toujours après une érection. J’apprécie toujours ces instants, quand ma queue est bien grande sans être dure, malheureusement ça ne dure jamais suffisamment longtemps. Distraitement, je roule deux ou trois doigts sur ma queue, quel bonheur. Je vois qu’elle me regarde intensément et je suis persuadé qu’elle aussi à sa main quelque part sur son corps. Adroitement, j’écarte la mousse sur la ligne entre mes yeux et ce que j’estime être son bas du ventre. Comme je le connais bien, je ne me trompe pas et je vois bien nettement qu’elle a ses doigts qui écartent ses lèvres. Instinctivement, elle cambre son bassin pour faire remonter à la surface sa toison, en continuant le travail de ses doigts et en poussant les gémissements typiques.Ma queue est bien droite maintenant et je continue à la masser délicatement, en prenant bien soin de décalotter complètement le gland, pour le recouvrir ensuite de nouveau. De l’autre main j’englobe mes couilles tout en remontant la verge contre mon ventre. Mes mouvements se font plus insistants, je varie l’angle de ma queue pour ressentir des sensations différentes, et aussi pour me pavaner devant l’objet de mon amour. Elle n’en perd pas une seconde, je sais qu’elle reproduira ces mêmes mouvements que j’aime à une autre occasion (encore une chose que j’adore chez elle, cette faculté de savoir ce qui me plaît). Je la vois enfin se relever très doucement. Sans sortir ses seins de la mousse, et pourtant je les distingue très bien, elle s’avance contre moi, la bouche déjà entrouverte pour mieux accueillir mon gland en premier. Tel un félin, elle s’avance, sa bouche s’ouvre de plus en plus. Quelle vision de rêve! Mon regard parcourt encore son dos, et subitement je vois ses fesses qui ressortent de la mousse, très nettement je vois son cul magnifique qui émerge, alors que son dos cambré retourne sous la mousse. Dans mes vies antérieures, j’ai bizarrement toujours flashé sur la poitrine de mes amies, sur leur bouche ou leur cheveux. Avec elle, tout est dans son cul et ses fesses merveilleusement proportionnées. Quand je la vois en pantalon moulant (elle n’en porte jamais d’autre), je ne vois souvent que son cul et je me mets à fantasmer pas mal. Et je ne manque pas une occasion, même si c’est dix ou vingt fois par jour, de la prendre par surprise par derrière pour un simulacre de pénétration aussi courte que brève. Elle adore ça, et moi aussi ! Donc en même temps que ma queue disparaît entièrement dans sa bouche (ça aussi ça m’impressionne, car même si elle n’est certainement pas la plus grande, ma queue a quand même une taille respectable, en comparaison des statistiques qu’on trouve parfois), je reste fasciné par ses deux globes fessiers qui me semblent tellement inabordables. Il faudrait être fou pour abandonner une position si délicieuse, alors que je sais qu’elle ne perdra pas une goutte de mon sperme.Mon esprit se met à divaguer, noyé de délices, j’imagine pouvoir me détacher de mon enveloppe corporelle. C’est alors que l’incroyable se produit, alors que je voyais son cul tellement inspirant droit en face de moi, maintenant je le vois sur la droite ! Pourtant ma femelle adorée n’a pas bougé, c’est moi qui me sens me déplacer de plus en plus vers son arrière. En même temps je vois l’image magnifique de moi-même en train de subir les assauts d’une bouche vorace, je me vois brandir ma queue raide, les veines saillantes, lui tirer l’enveloppe jusqu’à la base des couilles pour que le gland apparaisse tout nu pour être mieux sucé par cette bouche. Mon regard baisse un peu, et oh surprise, je vois que je me suis dédoublé !!! je touche incrédule ma nouvelle queue, aussi dure et grosse que celle d’en face. Je laisse les questions pour plus tard, et me dirige donc vers LE cul. Comme je le savais, sa chatte est béante et luisante comme lorsqu’elle m’implore de la pénétrer. Je passe ma langue tout doucement sur cette chose brûlante. Elle se rend compte de quelque chose, et arrête deux secondes de me sucer. Je la rassure en lui disant que ce n’est que moi qui me suis dédoublé pour mieux la faire jouir. L’explication la ravit et elle continue son œuvre buccale. Moi je n’en peux plus, et ma langue ne suffit pas à éteindre son feu. Je lui prends les hanches, dirige ma flèche à l’orée du trou béant, et d’un mouvement rapide plaque mon ventre contre ses fesses. Je la sens sursauter, mais je n’en tiens garde, je continue de mettre sans dessus-dessous son vagin. En plus du plaisir lié aux sens, j’ai une vision comme en stéréo, d’un côté je vois le cul de mon amour en proie aux assauts d’un corps furieux, et de l’autre je la vois en train de sucer goulûment une queue qui n’est autre que la mienne. Les deux, ou les trois devrais-je dire, jouissons en même temps, d’une façon aussi violente qu’inoubliable.