CHAPITRE 2La vie reprit son cours. Le boulot quotidien, les enfants un dimanche de temps en temps, et une petite baise avec ma femme une à deux fois par semaine maximum; plutôt une à deux fois par mois. Lors de ma douche matinale je pensais souvent à celle que j’avais prise avec Marie-France et ça me faisait bien souvent bander. Quand j’avais un peu de temps je me masturbais en pensant à elle, une main faisant le va-et-vient sur ma verge ensavonnée et l’autre avec un doigt dans le cul ; j’aimais cette sensation de cul rempli mais je n’avais jamais été attiré par les hommes et je me contentais d’un doigt ou d’un autre objet comme d’un manche arrondi de brosse enduit de vaseline. Le dimanche ma femme et moi prenons un bain ensemble. Je me rappelle les séances superbes où je la suçais dans l’eau du bain et où, après avoir eu son plaisir, elle me masturbait et aimait recevoir le sperme en jet sur son joli visage pour ensuite se l’étaler partout et je devais la lécher « pour la faire propre » comme elle disait. Actuellement c’était passé et nous vivions avec l’habitude et la fatigue quotidienne et ma libido était bien basse ; Je l’avais même crue morte ce qui m’avait donné l’envie de tenter l’expérience passée avec Marie-France. Bref, c’était reparti et plusieurs semaines passèrent, peut-être même un trimestre entier de cette façon.Un jour au bureau je reçus un appel et reconnu la charmante Marie.— C’est moi dit-elle ; je pense que tu ne m’as pas oublié ! Peut-on se revoir ?— Oui bien sûr, lui répondis-je. Au même endroit que la dernière fois demain vers 16 heures.Je la retrouvai le lendemain ; c’était la fin de l’été, il faisait encore beau et une foule bigarrée et peu vêtue, quelques hommes même en short, se pressaient sur la grande avenue. Elle était déjà là : elle avait changé de coiffure, coupé ses cheveux qui étaient plus courts avec des mèches blondes. Elle portait un tailleur jaune paille, sur un corsage en soie blanche échancré qui laissait deviner la naissance de ses beaux seins; Elle avait un simple collier de métal doré avec une breloque représentant un éléphant. Nous nous embrassâmes tendrement comme de vieux amis. Nous ne nous étions vus que peu de fois, mais la connaissance avait été si profonde et dense que j’avais l’impression de l’avoir toujours connue, alors que je connaissais très peu de choses de sa vie. Elle sirotait un diabolo grenadine et lisait Libération.— Comment vas-tu me demanda-t-elle? Comment se sont passées ces dernières semaines ?Je sentis dans son regard une lueur amusée.—  »As usual », comme d’habitude, terne, sans odeur et sans saveur. On vit quoi ! Et toi ?— J’ai revu mon mari, ça c’est bien passé, il était content de rentrer, très fatigué par son travail. Il est à présent reparti.— Vous avez fait l’amour ?— Oui, bien sûr, il était en manque et j’ai bien dû l’éponger plusieurs fois avant qu’il ne retrouve son calme dit-elle avec un sourire. Mais c’est comme toi avec ta femme, la position du missionnaire, quelques petits léchages mais peu de fantaisies. Je pensais à toi pendant qu’il me ramonait et je crois que c’est plus ces images qui me faisaient mouiller plutôt que son ramonage qui me semblait terne. Pourtant, il a une belle bite, aussi belle que la tienne et il sait s’en servir. Finalement tout est dans la tête. Et toi, avec ta femme ?— J’ai essayé d’introduire un peu de fantaisie mais ça a été quasiment impossible. Elle m’a quand même sucé une fois ou deux et je l’ai enculé une fois. C’était pas mal ce jour là mais ça ne c’est pas reproduit. Tu m’as rappelé parce que tu avais envie de nouvelles expériences ?— Oui, c’est tout à fait ça. La dernière fois je me suis sentie désinhibée comme jamais et j’ai eu un plaisir immense. J’aimerais pouvoir recommencer. Toi tu n’as pas été mal non plus. Peut-être étais-tu un peu moins désinhibé que moi. Mais j’ai aimé ta tendresse dans le jeu de l’amour. Tu n’as jamais été violent. Je hais la violence et je déteste tout ce qui peux ressembler à du sado-masochisme. Je suis tout à fait rassurée maintenant aussi j’aimerais recommencer un scénario. Penses-tu possible que cette fois-ci se soit toi qui t’exhibe et moi qui te regarde, la voyeuse en quelque sorte même ? Ca devrait être une expérience nouvelle pour nous deux. Tu es choqué ? me dit-elle en voyant mon expression étonnée.— Non pas choqué, ou plutôt oui choqué car je ne m’y attendais pas ; je me vois mal à 50 ans, me montrer sous tous les angles à ton regard. J’aurais un peu honte. Je ne me trouve pas mannequin ou bellâtre et je commence à avoir une peu de ventre comme tu as dû te rendre compte.— Oui mais ça n’a pas d’importance. Je ne suis pas non plus une minette qu’on se plait à exhiber dans les magazines, j’ai les seins qui tombent, mes fesses sont grosses, mes cuisses ont de la cellulite et autour de mes yeux il y a des rides qui prouvent mon âge.— Mais c’est tout ton charme et ta personnalité et j’ai pris beaucoup de plaisir à te regarder la dernière fois.— Et bien pourquoi ne pourrais-je pas avoir le même plaisir que toi ? Examiner sous tous les angles un homme avec qui ont va faire l’amour et bien d’autre choses encore, n’est-ce pas naturel ?— Tu as sûrement raison, mais c’est un pas que je n’ai pas encore franchi. Je dois être encore trop inhibé.— Mais, dis moi, quand tu te masturbes est-ce que ça t’arrive de te regarder ?Je suis sûr qu’à ce moment là mon visage devint rouge et je fus presque déstabilisé. Je réfléchis un moment et je décidai de répondre franchement.— Oui ça m’arrive ; devant la grande glace de la salle de bains, il m’arrive de me masturber quand je suis seul à la maison… j’aime bien me voir bander, j’aime bien voir mon sperme gicler. J’aimerais bien aussi pouvoir voir mes fesses en même temps mais je n’ai pas de système de miroir adéquat.— Donc tu aimes bien t’exhiber me dit-elle avec un air triomphant. Il y a un système de miroirs chez moi et tu pourras t’en servir. Te mets tu quelques fois quelque chose dans le cul pendant que tu te branles la queue ?Je décidais de tout dire :— Oui, une brosse à cheveux qui a un gros manche tout rond et que j’enduis de vaseline. Je me penche en avant, devant la glace et je l’enfonce et me la tourne dans le cul avec une main pendant que l’autre travaille ma pine. C’est divin.— Et bien pourquoi ne le referais-tu pas devant moi et entre deux miroirs ? Ne te fais pas de soucis, je te guiderai si tu manques d’idée. Ai confiance en moi comme j’ai confiance en toi. Quand es-tu libre ?— Tu as raison, les femmes ont presque toujours raison ; je vais me lancer.Je regardai mon carnet :— Après-demain, j’ai tout l’après-midi possible.— Bon c’est d’accord, je me ferai remplacer par mon assistante à la pharmacie. Rendez-vous chez moi, puisque tu le connais maintenant, à 14 heures.Je sonnais donc chez elle deux jours après; Elle m’ouvrit couverte seulement d’un peignoir de sortie de bains blanc très épais dans lequel elle était emmitouflée. Elle sentait l’OBAO et s’était faite horriblement désirable. Elle me mena dans son salon, me fit asseoir et m’offrit un bon verre de whisky 18 ans d’âge. Nous parlâmes de choses et d’autres, et quand nos verres se retrouvèrent vides elle me dit :— Alors on y va ?— Que veux-tu que je fasse ? Comment veux -tu que je commence ?Elle s’approcha de moi, ôta ma veste qu’elle accrocha soigneusement au dos d’une chaise, déboutonna ma chemise qu’elle retira et mis sur la veste puis elle s’attaqua à ma ceinture de pantalon qui résista un peu et toujours sans un mot baissa la fermeture éclair de la braguette, puis descendit le pantalon jusqu’à parterre puis baissa mon slip. Je ne bandais pas encore mais j’avais des frétillements dans les bourses et la verge. Je me retrouvai avec mes chaussures et mes chaussettes, torse nu, le slip et le pantalon en ressort sur mes pieds. Elle se baissa, son visage effleura ma bite qu’elle fit semblant de ne pas voir, me fit asseoir fesses nues sur le canapé, délaça mes chaussures, les enleva à tour de rôle ainsi que les chaussettes, puis enleva le slip qu’elle rejeta au loin, puis le pantalon qu’elle plia sur une autre chaise. Elle me fit mettre debout:— Enlèves ta montre et la chaîne que tu portes autour du cou, je te veux tout nu, nu comme un ver. Je m’exécutai et me retrouvai à poil c’est le cas de le dire. Elle me regardait de tous ses beaux yeux.— Tournes toi que je vois tes fesses ; elles sont un peu poilues, et les poils qui démarrent derrière ta nuque descendent jusqu’à ta raie. Mais tu n’es pas ce que l’on peut appeler un homme velu. Tu as des poignées d’amour, ce n’est pas vilain, tu es loin d’être gros et bedonnant, juste un peu de ventre.J’avais l’impression d’être à la foire aux bétail, mais ce n’était pas désagréable.— Tu as une belle petite toison frisée encore bien blonde et colorée et ta bite a bonne allure même quand elle ne bande pas. Je veux voir plus. Montes sur la table.Je montai sur la table basse.— Mets toi à genoux, la tête contre la table et ouvre bien tes fesses que je vois bien à l’intérieur. Tu as beaucoup de poils à cet endroit et ils remontent jusqu’aux bourses. J’aimerais bien te raser le tour de trou de cul ! Tu veux bien ?J’étais décider à tout accepter;— Vas y, fais ce que tu veux ;Elle s’absenta, et revint avec un Philips Shave pour femme et en écartant mes fesses elle me rasa l’intérieur. J’espérais en moi-même que ma femme n’allait pas remarquer ce changement intime.— Voilà qui est bien me dit-elle en posant un baiser sur mon trou. Maintenant, poses tes fesses sur la table, avec tes pieds devant bien à plat et ouvres grand tes cuisses. C’est bien … Maintenant couches-toi en arrière, mets tes jambes en l’air, écartes bien tes fesses que je mate ton trou du cul. Ah, il me plait encore mieux à présent tout imberbe qu’il est ;. je vois que tu bandes à présent tu prends du plaisir ? me dit-elle d’une voix qui ne pouvait pas me faire douter du sien. Tu veux bien te branler ? J’ai un truc pour toi.Et elle alla chercher dans un tiroir de la bibliothèque un godemiché superbe en bois, probablement en olivier. Cette bite était bien plus grande et grosse que la mienne, elle devait faire dans les 20 à 25 cm.— C’est moi qui l’ai faite me dit-elle toute fière ; je sculpte et je peins quand j’ai des loisirs; les tableaux sont de moi comment les trouves-tu ?Je trouvais cette conversation irréaliste : moi bandant comme un chef, allongé sur une table comme un bébé qu’on s’apprête à langer, à poil devant une dame bien enfermée dans son peignoir qui me parlait de peinture.— Oui, ça me plait mais je vais débander lui dis-je;— Alors viens avec moi dans la chambre ;Je ne la connaissais pas encore ; elle était cossue, une armoire moderne, ainsi qu’un grand lit double faisaient un bel ensemble ; il y avait un beau miroir au mur et dans un coin un miroir sur pied à orientation variable.— Moi aussi j’aime bien me masturber en me regardant devant et derrière. Et je me mets aussi quelque chose dans le cul. Vas-y penches toi en avant que je t’enfourne mon godemiché dans le cul dit-elle en l’enduisant de vaseline; montres moi bien ton trou, ouvres bien tes fesses, là comme ça c’est bien et hop d’un coup elle me l’enfonça.Je ne bandais plus mais de sentir cette énorme truc dilater mon cul me fit dresser ma bite d’un coup en même temps que je poussai un cri peut-être à la fois de douleur et de plaisir.— C’est bien, reste comme ça à quatre pattes, tu te vois bien devant et derrière demanda-t-elle en réglant le miroir amovible ?— Oui c’est parfait lui répondis-je.— Alors vas y branles toi. Tu peux te redresser, je vais te faire bouger la pine de bois dans ton cul.Et pendant que je me branlais la pine, je la voyais me regarder dans la glace qui était face à moi et par le jeu de miroir je voyais le god pénétrer et sortir de mon cul dans ses doigts agiles. Cette grosse bite massait ma prostate et à chaque coup j’avais une jouissance intense et je commençais à comprendre le plaisir qu’avait les homos à s’enculer.— Je vais jouir lui dis-je.— Alors c’est bien, tournes toi vers moi, je veux voir ta jute exploser, viens viens plus prêt….J’étais sur elle, le god dans le cul, debout et elle se pencha pour voir juste devant le méat de ma bite avec son gland rouge et luisant. J’explosai sur elle. Elle en eut plein son visage, ses yeux, sa bouche.— Vviens, lèches moi le visage, fais comme avec ta femme,Et je lui léchais tout mon sperme pendant qu’elle retira le god de mon derrière pour se l’enfourner dans le con. Son peignoir était grand ouvert, je le lui enlevai. Elle était debout et je pouvais voir le god entrer et sortir de son con et en même temps ses fesses rebondies dans la glace.— Ecartes moi les fesses que je vois mon trou du cul pendant que je me branle me dit-elle dans un souffle, ah je vais jouir, lèches moi le cul, fous moi ta langue dedans, oui c’est ça, manges, manges, bouffes, mets moi un doigt au fond du cul, et remue le bien, tu sens le god, ah … et elle explosa elle aussi.Et nous voilà tous les deux nus l’un face à l’autre, après cette séance de masturbation plutôt bien réussie.— Et en plus on appelle ça un plaisir solitaire dit-elle en riant. Viens dans la baignoire, j’aimerais te voir pisser de prêt, voir la pisse sortir du même trou que ton sperme, j’aimerais que tu m’arroses.On se retrouva dans la baignoire vide, qu »elle commençait à remplir, elle allongée au fond et moi accroupi avec son corps entre mes jambes ; je dus attendre un peu avant de pouvoir pisser car j’avais la prostate encore gonflée par ma dernière jouissance mais cela vint et je l’arrosai ; elle prit elle même ma pine et s’amusa à projeter la pisse partout sur elle comme avec un jet d’arrosage; ensuite elle l’embrassa et la suça un peu comme pour dire merci puis nous restâmes dans le bain chaud sans un mot, à récupérer. On sortit du bain et elle me dit :— Avant de se quitter à nouveau je veux te branler;— Mais j’ai la bite fatiguée.— Ça ne fait rien comme ça tu penseras à moi encore plus longtempsElle me fit asseoir sur son tabouret de salle de bains face à la glace et commença à entreprendre ma pine qui était devenue assez petite et rabougrie après le bain. Elle l’avala d’abord dans sa bouche, puis goba les testicules qu’elle suça abondamment. Ma bite restait quand même assez petite ; elle n’avait pas l’air de s’en soucier et commença à me masturber en faisant passer mon gland entre le pouce et son index qui formait un trou. Le va-et-vient de cette friction contre le sillon du gland et de la verge me donnait de bonnes sensations et je sentais que je n’allais pas tarder à rebander. Elle continua son petit manège. Quand elle sentit l’engin durcir, elle s’écria fièrement :et elle continua de plus belle à masser ma verge, entrecoupé de succion du gland, d’avalage de testicule et autres. Je me laissai faire ; cette masturbation dura longtemps et mon gland commençait à devenir douloureux ; elle n’en perdait pas une miette attentive à regarder les transformations qui s’opéraient. Puis quand elle me vit commencer à me trémousser sur le tabouret elle prit ma pine entièrement dans sa bouche, je sentais sa langue faire le tour du gland ainsi que du sillon, et elle but mon sperme avec délectation, puis ensuite m’embrassa fougueusement.— Voilà , ça c’est mon petit cadeau. Mais avant de se quitter, j’aimerais un peu de tendresse … Viens dans mon lit et prends moi dans tes bras.Je me retrouvai tout contre elle dans son grand lit. Elle était chaude, tremblante et je la sentais triste.— Que se passes-t-il, tu as de la peine ?— Oui j’ai de la peine, parce que on va se quitter mais pas seulement pour cela : toute ma vie j’ai été une femme aimante, bien élevée, réservée. J’ai un mari correct, une bonne situation. Pourquoi faut-il que j’ai besoin de ce défouloir, de cette séance de désinhibition pour revivre ? Et pourquoi faut-il que je recherche pour cette séance un homme bien sous tout rapport. C’est évident que je vais m’attacher, que je m’attache, que l’on se reverra souvent et que l’habitude venant… Et si je ne te vois plus tu me manqueras. Et elle sanglota.Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement. Elle se retourna sur le dos, mis la tête dans ses bras comme pour pleurer, mais elle ne pleura pas. Je lui embrassai la nuque, puis ma langue parcourut son dos, s’arrêta longuement sur ses fesses, sans les écarter mais avec une infinie tendresse, descendit encore embrasser ses cuisses, ses jambes puis enfin ses pieds si délicats. Je remontai ensuite doucement, ma langue et ma bouche refirent le chemin inverse et arrivé à sa nuque je la retournai et l’embrassai à nouveau longuement.— C’est vrai, on s’est bien trouvé ensemble et probablement on pourrait penser à un bout de vie ensemble. Mais tu as raison, profitons de nous au maximum, et ne nous laissons pas prendre par la vie et les habitudes qu’elle entraîne. Si je te plais, invites moi encore une fois et puis peut-être une autre fois. Ces après-midi me sont à moi aussi indispensables qu’à toi et ton annonce de la messagerie a rejoint la mienne, c’est ce qui est bien. Si on décide un jour de rester ensemble on prendra alors la décision. Peut-être est-ce encore prématuré. Mais rassures toi, tu n’es pas un salope. Tu es un femme normale et tes sens sont bien vivants et ont besoin de s’exprimer et de s’extérioriser. » Il faut que le corps exulte disait Jacques Brel « .Elle m’embrassa à nouveau tendrement.— Ainsi donc, on va se rhabiller et se quitter ; comme la dernière fois ne m’appelles pas. Peut-être te rappellerai-je si j’ai encore des états d’âme. Tu as été formidable, et j’ai eu un énorme plaisir à jouer de toi et avec toi. J’espère que j’ai pu t’en donner aussi, mais je vais essayer de ne pas trop t’aimer.J’acquiesçai, puis nous nous séparâmes à nouveau, après un tendre baiser mais avec une grande tristesse au cœur..A suivre…